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La masculinisation de la femme
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« Les filles d’Ève semblent toutes souffrir de la même malédiction.
Prenez une femme jouissant de toutes les richesses de ce monde et au sommet de sa beauté.
De plus, même si elle jouit de l’attention de nombreux hommes, observez là, quelques instants,
devant un miroir. Il ne suffit que de quelques moments et elle fera la moue. Comment?…
Eh bien, elle vient de se trouver un défaut physique, là où il n’y en a pas.
Et sur le plan relationnel, avec son homme, il en est de même.
Le cœur des filles d’Ève est constamment agité et ne peut trouver de contentement véritable ici-bas,
dans ce monde déchu, sinon pour de très brefs moments, car il subsiste toujours,
gravé dans leurs cœurs, un souvenir souterrain, subconscient, du Jardin et de la Perfection originelle.
Il en résulte que le moment présent ne sera jamais à la hauteur, ne peut jamais les satisfaire.
Malheur à elles (et à leur entourage) lorsqu’elles se mettent
en tête de vouloir à tout prix recréer leur jardin d’Éden,
car elles sont alors capables de déclencher l’enfer…
– John Milton – « Le Paradis perdu » –
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Introduction
Elle est probablement évidente de la plupart, si ce n’est de tous, en Occident et aussi beaucoup partout ailleurs, la masculinisation de la femme depuis un siècle est-elle inéluctable? Pratiquement personne ne s’en préoccupe, la plupart considère{nt} cette « évolution » comme une appréciable manifestation du « progrès ». Mais l’on peut progresser de deux manières: vers le haut ou vers le bas. Qu’en est-il ici? Jusqu’où ira cette frénésie de masculinisation? Presque personne ne le sait. Un retour à l’Ordre naturel est-il possible? Difficile à dire…
Précisons d’emblée qu’une masculinisation de la femme ne peut s’ensuivre que lorsque la femme est dominée par son propre intellect. Cela ne peut jamais arriver à une femme intuitive, chez laquelle l’Intuition – et, en ce cas, en particulier, l’Intuition féminine – règne.
Dans le cadre de cet article nous nous limiterons principalement au constat: Pour celles et ceux pour qui cela ne serait pas encore évident, quels sont les signes évidents et incontestables de la masculinisation de la femme? Et, à terme, où cela mène-t-il non seulement la femme mais l’humanité entière?
Passons en revue les signes évidents de la déféminisation…
L’habillement
En une cinquantaine d’années la plupart des femmes ont complètement abandonné l’habillement traditionnel de la femme depuis des siècles et même des millénaires – la robe ou la jupe – pour le pantalon, traditionnellement le vêtement de l’homme. Cet habillement jusque là traditionnel est-il aussi l’habillement naturel de la femme? Même si l’intellect et le sentiment de certains voudront argumenter pour discuter cela, la réponse donnée par l’Intuition est indubitablement oui.
La tenue
Très liée au vêtement, la tenue de la femme est automatiquement, elle aussi, devenue plus négligée. Même s’il peut toujours y avoir des exceptions, une femme en robe soigne plus naturellement sa tenue qu’une femme en pantalon. La tenue de nombreuses femmes de l’époque contemporaine en grossier « blue-jean » laisse souvent beaucoup à désirer et témoigne d’un relâchement évident. Une femme en robe, si elle est consciente de porter une robe, a naturellement la tenue et la démarche appartenant au charme féminin qui vont avec! Ce que certaines femmes ont bien compris, comme, par exemple, Hanna Gas ou Carmel Assak.
La démarche
La démarche d’une femme masculine et dominée par son propre intellect (cela va de pair!) est anguleuse souvent saccadée et disharmonieuse. La caractéristique fondamentale de l’intellect est, en effet, qu’il ne peut concentrer son attention que sur une seule chose à la fois. L’harmonie des mouvements ne peut exister que lorsque l’esprit règne sur toute la personnalité, c’est-à-dire occupe la première place.
Une vraie femme – qui devrait être la couronne de cette Création – a le devoir d’utiliser toute sa force pour faire s’épanouir ce qui lui est confié jusqu’à la Beauté la plus grande. Notamment elle a le Devoir de placer – ce qui en fait partie – sa façon de marcher sous la maîtrise de son esprit. Cela requiert uniquement un sérieux vouloir spirituel et un peu de peine, rien d’autre.
Il suffit de regarder les « défilés de mode », totalement dépourvus de Grâce, avec ces mannequins déhanchés, aux visages et aux regards vides d’expression, pour comprendre où se trouve ici la perte de la vraie féminité, précisément dans un domaine où la féminité est supposée jouer un rôle déterminant!
La chevelure
Depuis des décennies la longueur des cheveux des femmes n’a fait que raccourcir, jusqu’à finir par aboutir à des coiffures dites « à la garçonne » ou « de petit chéri » (« Bubbykopf »).
Au sujet du « Bubbykopf » voilà ce qu’il est possible de lire sur Wikipédia:
Sur cette page: « l’autre coiffée du Bubbykopf à la mode chez les nouvelles femmes «Neue Frau», soit les féministes de l’époque, et portant le pantalon ».
Sur cette page: « ou dans le costume glamour du Weimar, la «nouvelle femme» moderne de l’époque portant le bubbykopf à la mode ».
Souvent, des femmes ayant porté les cheveux longs dans leur jeunesse les coupent courts (comme de nombreux hommes), arrivées à un certain âge. Perte de féminité évidente. Même une femme âgée peut porter les cheveux longs, sinon libres du moins ramassés en chignon. Même en chignon l’impression produite est toute différente. Même si l’âge est là, l’impression de féminité demeure.
Une femme à cheveux courts (très « pratiques » pour la vie « moderne »!) est-elle une femme féminine? Laissez votre intellect raisonnement) et votre sentiment de côté et laissez votre intuition parler et répondre…
La voix
Depuis environ la fin de la deuxième guerre mondiale la voix de la femme ne cesse de devenir toujours plus grave, se rapprochant de celle de l’homme. Est-ce grave? Oui, car c’est l’un des signes indubitables de la disparition de la vraie femme.
Ce phénomène de la voix des femmes devenant toujours plus grave – que certains féministes n’hésitent pas à présenter comme une « bonne nouvelle » (sic!) – est indubitable et bien documenté:
https://www.aufeminin.com/news-societe/pourquoi-femmes-voix-plus-grave-s2861220.html
https://www.hellowork.com/fr-fr/medias/carriere-femmes-reussite-voix-grave.html
Il arrive même que des femmes se voulant être des « femmes d’autorité » comme l’ancienne première ministre du Royaume Uni Margaret Thatcher (1925-2013), par un entraînement (coaching) fassent exprès d’abaisser leur voix (dans son cas une différence de 60 Hz!), afin d’avoir « plus d’autorité » et de paraître « plus sérieuse »…
Exercice spirituel: Que ressentez-vous à l’écoute de l’ « ancienne » (première partie de la vidéo) et de la « nouvelle » Margaret Thatcher (deuxième partie de la vidéo)? A-t-elle gagné ou perdu quelque chose? Une femme avec une voix plus grave est-elle une femme plus forte ou plus faible? Plus féminine ou plus masculine? Le « féminisme » ne serait-il pas, en réalité, un « masculinisme »? Répondez, svp, en commentaires ci-dessous. [Rappels: Il n’est pas nécessaire de créer un compte sur le site pour pouvoir poster un commentaire. Les pseudonymes sont admis.]
Au niveau des faits il ressort que les hommes ont, de manière générale, une voix plus grave, liée à « la testostérone qui allonge les cordes vocales à l’adolescence ». La tonalité de la voix des femmes a baissé de manière significative depuis soixante-dix ans.
À la fin des années 1990, une étude de l’University of South Australia avait constaté une chute de 23 Hz de la «fréquence fondamentale» entre deux groupes de femmes australiennes âgées de 18 à 25 ans: les chercheurs avaient comparé des archives audio de voix datant de 1945 et des enregistrements pris au début des années 1990, en prenant soin de vérifier que toutes les femmes étaient étudiantes, qu’aucune ne fumait, et en écartant celles prenant la pilule contraceptive, ce qui aurait pu affecter les cordes vocales. La baisse d’une moyenne de 229 Hz à 206 Hz sur cinq décennies traduisait déjà une différence «significative et audible». (Source)
De nos jours, la situation est certainement bien pire encore: En effet, en février 2017, une nouvelle étude réalisée sur un panel de 5000 adultes et enfants allemands a démontré que les Allemandes s’exprimeraient sur une fréquence moyenne de 186 Hz contre 220 Hz auparavant, la moyenne des hommes étant à 110 Hz. (Source)
Une voix plus grave serait considérée comme « dramatique, sensuelle et mondaine » (Source). D’où vient l’idée que « Dans l’imaginaire collectif, les voix aiguës sont considérées comme enfantines et fluettes, alors qu’une voix grave fera penser à la puissance et à la force »? En tant qu’élément de réponse à cette question, une chercheuse a proposé à un petit groupe de personnes de débattre afin de prendre une décision collective, avant de demander à chacun, à l’issue de ce processus, de décrire la hiérarchie du groupe et de classer les membres selon leur autorité. Tout en ayant enregistré les discussions.
La majorité du panel (probablement dans le but que sa parole ait plus de poids!) avait changé la tonalité de sa voix dès les premières minutes. Le résultat était sans appel: à voix plus grave, meilleur rang! Tandis que ceux qui avaient «élevé leur voix dans les tons aigus étaient considérés comme plus soumis, et obtenaient un moins bon classement» (Source).
Dans toutes les explications données par les spécialistes pour tenter d’expliquer le phénomène plusieurs frisent le ridicule. Par exemple: « Pour expliquer ce phénomène, les chercheurs avancent le fait que la télévision et la radio présentent de plus en plus de modèles féminins ayant baissé leur voix, pour paraître plus sensuelles. Influencées par les médias, les femmes les auraient copiées. » (Source). Une telle explication – si elle contient une part de vérité – voudrait tout simplement dire que, une fois de plus, c’est, tout simplement, la vanité qui est à l’origine de la masculinisation de la femme.
Autre explication des « chercheurs »: « Dans les pays « plus égalitaires », comme la Norvège, les femmes auraient une voix plus grave que dans les autres États. » Parlant des femmes, un médecin affirme: « elles réussissent leur carrière et gagnent plus d’argent. Cela se reflète dans la voix profonde. » (Source).
Il est même affirmé que « les politiques avec une voix grave ont plus de chance d’être élus », comme l’ont montré les universités de Duke et de Miami en 2015, ou encore celle selon laquelle « un PDG est d’autant mieux payé qu’il a la voix grave. ». (Source)
Il est frappant de constater que – comme dans le conte « Les habits neufs de l’empereur » – personne ne veut voir l’évidence, c’est-à-dire remonter jusqu’à la cause véritable: Le faux vouloir de masculinisation de la femme visant à imiter l’homme et à vouloir l’affronter sur son propre terrain conduit inéluctablement à des modifications se répercutant de l’intérieur vers l’extérieur. Dans le corps gros-matériel (le corps physique) – probablement pour des raisons hormonales (testostérone) – les cordes vocales finissent par se modifier en s’allongeant et toujours plus ressembler à celles des hommes.
A ce sujet une présentatrice TV déclarait, déjà il y a plusieurs décennies, avec un grand sourire que cette voix altérée vers le grave était celle de la « nouvelle femme » moderne (sic!)…
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La « nouvelle femme » est déjà arrivée!
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Le langage
Les femmes sont maintenant aussi grossières et blasphématrices que les hommes et utilisent les mêmes jurons qu’eux, même – aussi incroyable que cela puisse paraître – lorsque celui-ci désigne … un certain genre de femme, en l’occurrence … une prostituée! Devenir grossière « comme un charretier » est aussi une moyen, pour les femmes, de se masculiniser (dans le plus mauvais sens!), tout en s’enfonçant, encore plus, vers l’abîme…
De façon générale, il n’y a déjà aucune excuse pour tout être humain si, notamment dans sa façon de parler, il se laisse aller au point de se montrer grossier et offensant. Même un être humain pauvre peut le faire. Mais c’est encore plus vrai pour une femme, laquelle devrait aussi montrer l’exemple en ce domaine!
Un être humain qui se montre grossier et mal éduqué, offense ainsi tout Sens de la Beauté et méprise les Dons de Dieu, encore plus – parce que c’est elle qui a le plus reçu! – si c’est une femme! Que doit-il, à l’avenir – en fonction de la Loi de l’Effet de Réciprocité, – advenir de telles femmes qui avaient pourtant été dotées par leur Créateur de tout le nécessaire pour devenir la Couronne de cette Création?
Les hanches
A partir de la puberté et au moins jusqu’à la ménopause les hanches d’une femme féminine sont larges. Des hanches étroites, peu propices à la maternité, sont un signe évident de masculinisation de la femme. Des hommes virils ont des hanches étroites. Des hanches larges chez un homme sont le signe d’un homme efféminé.
Il existe de plus en plus de femmes qui portent, dans leur être, des traits de caractère masculins. Précisément à notre époque, il y en a plus que jamais. Beaucoup du monde féminin semble vraiment contaminé par ce masculinisme; chez une telle femme, ou une telle jeune fille, quelque chose de déformé existe dans son être, ne peut être que déformé, parce que, conformément à la Nature, une femme ne peut, ni ne doit, être un homme.
Même lorsque le corps a toujours une apparence nettement féminine, il arrive souvent que les hanches, dans la plupart des cas de caractéristiques masculines, par leur étroitesse, rappellent le masculin, ce qui, par conséquent, en réalité, est aussi non-féminin. Cela peut être l’indication que dans ce corps théoriquement féminin – mais, en apparence, pas si féminin que ça! – se trouve une âme de l’autre genre…
La baisse de la fécondité
Toujours moins de bébés, c’est un constat mondial. Étant donné que nous avons déjà examiné et approfondi ce sujet, nous y renvoyons donc les lecteurs et lectrices et n’y revenons pas dans le détail ici. Ce qu’il faut ici retenir, c’est que l’une des conséquences lointaines de la masculinisation des femmes c’est – outre une baisse flagrante de la qualité des âmes en instance d’incarnation -, d’abord, des difficultés croissantes à procréer finissant par aboutir à une stérilité complète, dont la conséquence ultime est l’extinction complète d’un peuple ayant étourdiment laissé sa féminité se masculiniser…
La profession
Alors que – selon les Lois de la Création – la profession fondamentale de la femme est de conduire et éveiller un homme à accomplir de grandes Actions, et rien d’autre, la masculinisation de la femme dans la profession est, cent fois hélas, elle aussi, devenue une évidence absolue. Tellement évidente que rien n’est ici à démontrer. Que dire de ces femmes « camionneuses », « déménageuses », « adjudantes », « policières », « catcheuses » ou « footballeuses » « professionnelles »?
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Femme boxeuse
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Le sport
La masculinisation de la femme dans le sport est également une complète évidence. Que dire de ces « femmes », souvent tatouées et « percées » (piercings), et – au mépris de toute pudeur – en short et débardeur ou même soutien-gorge, boxeuses, haltérophiles ou « rugbywomen »?
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Femme haltérophile
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A quel point la femme se déprécie ainsi, dans le complet mimétisme de l’homme, ne peut ici être décrit. Tout cela conduit assurément – lentement mais sûrement – la femme à la déféminisation et donc à devenir une caricature d’elle-même, donc, en définitive, à sa disparition pure et simple, en tant que telle.
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Femme caricature ou caricature de femme?
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Ainsi, sur Terre, tout est déjà rapidement devenu fondamentalement désaxé, tout est sorti de l’Équilibre entre l’Actif et le Passif, le Positif et le Négatif, le Masculin et le Féminin. Les conflits et querelles, en constant accroissement, ainsi que les ratages, ne sont à attribuer qu’aux mélanges obstinés entre l’Activité positive et l’Activité négative dans la Création – lesquelles doivent pourtant – si la Paix et l’Harmonie doivent régner (voir, par exemple, le film « La Zizanie ») – absolument demeurer pures, parmi tous les êtres humains de la Terre -, ce qui, du fait de la confusion ainsi provoquée, ne peut entraîner avec soi que décadence et naufrage.
Les Lois de la Création montrent pourtant clairement le Chemin à suivre et, dans leur Logique absolue, sont faciles à respecter, entre l’activité masculine et l’activité féminine il ne doit pas exister de mélange, pas plus qu’il n’en existe entre les deux Branches de la Croix de la Création.
La tabagie, l’alcoolisme et la toximanie
Les femmes fument désormais autant que les hommes, sinon plus. Dans la surenchère pour la « parité » et l’égalitarisme forcené, si un homme fume une cigarette, la femme « moderne » se doit – comme George Sand – de fumer le cigare ou la pipe. Si un homme boit du whisky, la femme « moderne » – même enceinte (et tant pis pour le bébé à naître!) – se doit de carburer à la vodka, etc. Et c’est la même chose pour les drogues en tous genres. Aussi lorsqu’il s’agit de débauches, le « féminisme » n’a pas de limites. Lorsqu’une femme se corrompt, elle devient pire qu’un homme.
La politique
A qui a une once d’intuition, l’association des deux mots « femme » et « politique » est déjà suffisamment éloquent pour qu’il soit besoin d’en dire davantage. La politique n’est certes pas un monde où la féminité puisse réellement s’épanouir. La femme qui aurait dû se tenir à la première place a absolument voulu devenir l’« égale de l’homme » (sic!), ce qui – étant donné qu’une femme ne pourra jamais être un homme! – a pour conséquence que – malgré (ou à cause de!) toutes ses « conquêtes féministes » – elle se tient présentement spirituellement bien en-dessous de lui!
Maintenant la « femme moderne » recherche le « full power » et, pour y parvenir, tous les moyens sont bons!

Femme haltérophile Full Power
L’ultime aboutissement de la masculinisation de la femme: Le changement de sexe!
Actuellement, nous observons, de plus en plus, un phénomène toujours plus marquant sur la planète et, notamment (bien que cela existe partout sur la planète), dans la race blanche: Le phénomène des transsexuels maintenant volontiers appelés transgenres! C’est un phénomène complexe auquel – considéré d’en bas, c’est-à-dire seulement avec l’intellect et le sentiment – la plupart des gens ne comprennent rien ou pas grand chose: Ils ne voient que l’écorce, c’est-à-dire le corps gros-matériel. Ils ne considèrent pas l’âme qui habite à l’intérieur, et encore moins l’esprit.
Considéré d’en haut, c’est-à-dire en fonction des Lois de la Création et du Savoir de la Création, tout est cependant très simple et s’explique très bien!: De plus en plus, la femme est victime d’elle-même, car, en fait, il ne lui arrive rien d’autre que ce qu’elle a elle-même voulu!
En effet, fondamentalement – homme ou femme -, l’être humain est non pas un corps (lequel n’est que l’enveloppe la plus extérieure de l’être humain) mais un esprit. Et ce qui s’avère déterminant pour son destin c’est – justement – le vouloir de l’esprit, qui est, en fait, l’être véritable en l’être humain.
Pour le genre – ou autrement dit pour le sexe – masculin ou féminin, il résulte d’une décision initiale du germe d’esprit, au tout début de son évolution, à sa sortie du Royaume spirituel. Et cette première décision du germe d’esprit est déterminante et irrévocable non seulement pour la suite de l’évolution du germe mais pour l’éternité de l’esprit.
Lorsque, de fausse manière, au cours d’une incarnation ultérieure, un esprit féminin, voulant – généralement par vanité -, d’aberrante manière, abandonner sa nature originelle – laquelle est négative et passive -, choisie par elle-même, oriente son vouloir dans la direction masculine opposée, la forme de son âme (dont l’enveloppe la plus extérieure est le corps fin-matériel) se modifie et finit par adopter le genre opposé masculin, actif et positif.
Par conséquent, cela change, certes, la forme et l’apparence de l’âme, mais pas l’orientation fondamentale du Noyau – le germe d’esprit –, qui, elle – en vertu du principe que, selon les Lois de la Création, il est impossible de se renier soi-même -, reste toujours la même.
Par conséquent, nous avons, dès lors, un esprit – ou, plus précisément, pendant toute la durée de l’évolution, un germe d’esprit – féminin, entouré d’un corps fin-matériel présentant, au contraire, de plus en plus les attributs du masculin, de sorte que cette âme (l’esprit avec ses fines enveloppes, la plus extérieure étant alors le corps fin-matériel) peut et doit, quant à elle – d’un point de vue extérieur, être qualifiée de masculine.
Mais que va-t-il, maintenant, se passer, lorsque cette âme d’apparence masculine – mais dans laquelle il y a un esprit féminin -va vouloir se réincarner? Tout naturellement, en fonction des Lois de la Création, elle va s’incarner dans un corps … masculin!
Et c’est précisément là que commence le drame des transgenres! En fonction de la Loi de l’Attraction du Genre Semblable, à cause de son âme masculine, un esprit féminin se retrouve incarné dans un corps … masculin! Elle ne peut, toutefois nullement se plaindre d’une quelconque injustice, puisque, en une juste Activité, les Lois de la Création lui ont précisément donné ce qu’elle-même a … voulu: une vie d’homme dans un corps d’homme!
Que disent, en effet, les femmes transgenres (nées dans des corps d’hommes voulant {re}devenir des femmes, ou – déjà « transitionnées » – anciennement dans des corps d’homme)? Elles disent: « Je suis – ou j’étais – dans un corps ne correspondant pas à ce que je suis, dans un corps de l’autre sexe, dans un corps masculin, alors que je suis une femme! ». Il s’agit donc d’esprits féminins incarnés dans des corps d’hommes ayant – au moins dans une certaine mesure – pris conscience du fait qu’intérieurement – dans leur réalité la plus fondamentale – ils ne sont, en réalité, pas des hommes mais bien des femmes.
A noter que si certains hommes terrestres transitionnent en femmes, il arrive aussi que, par la suite, ils « détransitionnent », la « détransition » étant le fait d’arrêter complètement ou temporairement la transition de genre.
Selon ce qui est dit sur cette page Wikipédia: « Les différentes études semblent indiquer que la part des personnes transgenres dans la population générale est comprise entre 0,1 % et 2 %« , mais il est évident que – du fait qu’il y a toujours plus de femmes masculinisées – le phénomène ne fait que s’amplifier, de sorte que beaucoup de gens qui – jusqu’ici – pouvaient se contenter d’ignorer ce phénomène vont rencontrer toujours plus d’«êtres humains» dans cette situation, de sorte qu’ils devront s’efforcer de comprendre de quoi il retourne et seront obligés de se positionner – ne serait-ce qu’intérieurement – à ce sujet.
En effet, toujours selon la même page Wikipédia: « Dans les années 2010, le nombre d’enfants transgenres identifiés comme tels augmente fortement dans les pays occidentaux. ». De plus: « Les chercheurs identifient un nombre bien plus élevé de personnes transgenres dans les populations adolescentes et jeunes adultes des années 2010 et 2020. ». De plus: « Au Brésil en 2021, on estime que les personnes transgenres sont plus jeunes en moyenne que les personnes cisgenres » [NDLR: « cisgenre » est un mot récemment inventé pour désigner les « gens normaux » (non transgenres!).].
L’on apprend aussi que: « Si dans le passé la majorité des personnes souffrant de dysphorie de genre étaient assignées hommes à la naissance, la tendance s’est graduellement inversée depuis vingt ans. Aujourd’hui, les personnes assignées femmes à la naissance constituent plus de la majorité des diagnostics de dysphorie de genre (ratio de 13:10). ».
Il est aussi à noter que « le processus de « transition » [NDLR: tentative médicale de changer de sexe] (bloqueurs de puberté, injection d’hormones, chirurgie) peut avoir des conséquences lourdes et irréversibles sur la santé des personnes trans concernées (problèmes osseux, cancers, maladies cardiovasculaires). Le faible recul scientifique sur le processus de transition ne permet pas d’identifier toutes les conséquences biologiques et médicales. ».
Paradoxalement, pour certains groupes féministes, les « femmes trans » [NDLR: qui sont pourtant de vrais esprits féminins!] ne sont pas reconnues comme des femmes. « Ces groupes se réclamant du féminisme justifient leur exclusion des femmes « trans » à partir de postulats tels que: «Les femmes trans ne sont pas des femmes car les femmes trans ont une biologie masculine, elles ont eu une socialisation masculine, elles possèdent des privilèges masculins, elles menacent la sécurité des autres femmes.». Pas étonnants que certains groupes féministes pensent cela, cela montre seulement que – comme la plupart des gens – ces « femmes » ne sont capables de juger que d’après l’écorce.
L’on apprend encore que, chez les transgenres, « Le risque de suicide est 7 fois plus élevé par rapport à l’ensemble de la population » et que « Les thérapies de l’identité sexuelle qui tentent de modifier l’identité de genre vers celle qui est considérée comme appropriée par rapport au sexe assigné sont généralement inefficaces voire néfastes. » De plus: « Les patients qui avaient moins de 10 ans lorsque des praticiens ont tenté d’«aligner leur identité de genre sur le sexe attribué à la naissance» présentent un risque relatif de tentative de suicide quadruplé. ».
Autrement dit, les « thérapies » qui ont pour objet de tenter de réconcilier les âmes féminines avec leur « sexe (masculin) de naissance » (c’est la même chose dans l’autre sens!) sont généralement vouées à l’échec. Rien d’étonnant lorsque l’on a intégré le Savoir de la Création: Un esprit féminin ne pourra jamais se sentir bien et chez lui dans un corps masculin, et inversement, un esprit masculin ne pourra jamais se sentir bien dans un corps féminin!
Sauf Intervention Divine, les aberrations provoquées par la masculinisation de la femme sont, en fait, sans limites. Un dernier exemple: Sur cette page l’on apprend qu’« un Anglais a donné naissance à une petite fille l’année dernière [NDLR: C’était en 20011]. C’est le quatrième homme au monde à accoucher! ». Afin de pouvoir allaiter sa petite fille, « l’homme a décidé de conserver sa poitrine, qu’il avait pourtant prévu de faire enlever. ». A sa mère lui disant qu’il serait « une super maman« , il lui a répondu: « Non, je serai un super papa! » (sic!).
Avant lui, il y avait déjà eu « le premier homme enceint », l’américain Thomas Beatie, qu’il est possible de voir, « enceint de six mois », avec son gros ventre mais sans seins et avec barbe et moustache, sur cette page…! Certains s’inquiéteront peut-être de savoir comment cet homme alors « enceint » a ensuite fait pour allaiter sa petite fille…? S’ils ne le savent pas déjà, ils seront sûrement « rassurés » d’apprendre qu’un homme aussi peut allaiter un bébé avec son « lait paternel »…:
http://www.famili.fr/,le-saviez-vous-les-hommes-peuvent-allaiter,364,333165.asp.
https://vivredemain.fr/2016/03/29/hommes-produire-lait-paternel/.
https://www.oummi-materne.com/lallaitement-au-masculin-mythe-ou-realite/.
https://www.liberation.fr/debats/2012/04/05/les-hommes-aussi-peuvent-allaiter-mais_1811868/
https://mouvementallaitement.org/2024/11/13/hommes-peuvent-ils-allaiter/
Ainsi que conclut pudiquement le ou la journaliste: « Espérons que le futur enfant ne sera pas trop perturbé par son histoire pour le moins insolite… »!
L’histoire n’est, d’ailleurs, pas finie, puisque – comme indiqué sur cette page – cet « homme-femme » – à moins qu’il ne s’agisse d’une « femme-homme »? (légalement un homme mais doté d’organes de reproduction féminins) – est, par la suite, est encore devenu « maman » pour la deuxième fois, cette fois d’un petit garçon… Ici il est possible de le/la voir en train de passer une échographie prénatale.
L’histoire n’est pas encore finie, parce sur cette page l’on apprend que « le premier homme enceint » (sic) est « papa » pour la quatrième fois. Sauf que, cette fois, c’est « sa femme » qui a porté le bébé, mais qui l’a mise enceinte? Probablement pas « lui », car – s’il est encore pourvu d’organes reproducteurs féminins, cela veut dire qu’il n’en a plus de masculins! (En fait la fécondation a eu lieu par insémination artificielle avec du sperme congelé.) Apparemment, cette femme-homme n’a aucun complexe, puisque elle/il étale volontiers sa vie sur son compte Instagram, ainsi que sur son compte Facebook, sans parler de son site Internet de sa chaîne youtube …
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Et dire que – tout bien considéré – toutes ces aberrations en cascades ont une seule et même cause initiale: la masculinisation des femmes!
D’un point de vue religieux, par exemple, le pape Benoît XVI a dénoncé les études de genre, avertissant qu’estomper la distinction entre hommes et femmes pourrait-conduire à «l’auto-destruction» de la race humaine. De même, en 2006, Albert Mohler, alors président du Southern Baptist Theological Seminary, a dit: «Seul Dieu a le droit de déterminer le genre», ajoutant: «Toute tentative de modifier cette Création est un acte de rébellion envers Dieu.» Et aussi: «Une société qui ne peut pas distinguer les hommes et les femmes n’est pas susceptible de trouver une Clarté morale dans tout autre domaine de la vie.».
Un document de la Congrégation pour la doctrine de la foi, de l’Église catholique, publié en 2000 a conclu que les procédures de changement de sexe ne changent pas le sexe d’une personne aux yeux de l’Église. «Le point clé», indiqué dans ce document, est que «l’opération chirurgicale transsexuelle est si superficielle et externe que cela ne change pas la personnalité. Si la personne était un homme, il reste un homme. Si elle était une femme, elle reste une femme.».
Du point de vue spirituel – qui est le nôtre -, en effet, ce qu’il est important de considérer c’est que ce qui est maintenant pudiquement appelé la « transidentité » n’est – en ce qui concerne les supposés « hommes » voulant terrestrement redevenir des femmes (Il apparaît que, à notre époque, «Les femmes trans semblent plus nombreuses que les hommes trans selon de nombreuses études») – que l’aboutissement ultime de la masculinisation de la femme. Parce que ce changement de sexe ne peut se faire au cours d’une même incarnation (le corps gros-matériel n’est, en fait, prévu que pour une durée limitée, celle d’une seule vie terrestre) mais seulement lors d’une réincarnation, le lien de causalité est nettement plus difficile à établir pour ceux et celles qui aiment à (faussement) répéter: « On n’a qu’une vie! » (sic!).
Naturellement, lorsque dans un couple homme apparent / femme, l’homme initial se transforme en femme terrestre, une procréation au sein de cette paire devient impossible. Qu’à cela ne tienne, l’intellect a toujours une solution pour cela! Certains hommes font congeler leurs spermatozoïdes avant de se transformer en femmes (après la « transition » ils n’ont plus de testicules!). A côté de cela l’on voit aussi des paires de femmes qui ont recours à la « Réception d’ovocytes de la partenaire » (ROPA). L’on n’arrête pas le « progrès »!
Toutes les femmes sur Terre qui – actuellement – foncent, tête baissée, dans la direction positive et active masculine, feraient bien de réfléchir pour savoir si c’est bien ce qu’elles veulent vraiment, car elles peuvent être sûres d’une chose: Les Lois de la Création leur donneront toujours ce qu’elles auront voulu! Mais, peut-être, à ce moment-là – constatant enfin l’aberration de ce comportement -, n’en voudront-elles plus? Il sera, toutefois, trop tard, au moins pour cette vie-là. Pour autant qu’il soit encore possible, le chemin du retour à la normale (la réintégration de leur véritable genre) – qui, dans la réalité, ne passe ni par le changement d’identité sociale ni (encore moins!) par la chirurgie (comme la vaginoplastie) appuyée par d’autres pratiques comme la transition hormonale ou la thérapie de la voix) – leur semblera certainement bien amer!
La vraie nature de l’influence féminine
L’influence devant être exercée par la femme est de tout autre nature, beaucoup plus fine, et – bien que largement invisible – elle n’en est pas moins déterminante … à condition, toutefois que la femme occupe volontairement la place qui, selon la Volonté de son Créateur, est la sienne dans la Création, et qui – loin de l’incroyablement stupide vanité qui pousse toujours plus loin les femmes dans une direction diamétralement opposée à leur nature – est indissociable des Vertus d’Humilité, de Modestie, de Chasteté, de Candeur, de Fidélité, etc.
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Dame élégante par Albert Lynch – Y a-t-il encore des femmes?
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Mon capital connaissances et informationnel vient ici d’être décuplé.
Merci infiniment.
Georges Tayou.