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La Loi de l’Évolution

La Loi de l’Évolution

La Loi de l’Évolution

Les Lois de la Création
Sur le site de l’École de L’Art de Vivre, progressivement, l’on découvre ensemble les Lois de la Vie… C’est ainsi que nous avons découvert les Trois Lois de Base, la Loi de la Pesanteur Spirituelle, la Loi de l’Attraction du Genre Semblable, la Loi de l’Effet de Réciprocité, puis la Loi du Donner et du Recevoir (Loi de la Compensation), la Loi du Mouvement…
Aujourd’hui, nous voulons nous intéresser à la Loi de l’Évolution, elle aussi d’une importance considérable pour la vie dans la matière grossière. Cela concerne tous les Règnes: Le Règne minéral, le Règne végétal, le Règne animal et, bien sûr, aussi, le Règne … humain! Il y a donc bien quatre Règnes distincts et pas seulement trois, parce que, oui, l’être humain n’est pas un animal!
Création ou Évolution?
Les deux Notions sont souvent – à tort – opposées. Il n’y a aucun besoin d’être « créationniste » ou « évolutionniste ». Il convient juste de reconnaître la réalité des faits. Qu’elles soient « créationnistes » ou « évolutionnistes », les théories sont très compliquées, alors que – comme toujours – la réalité est beaucoup plus simple.
La Création a-t-elle été créée?
La Création – l’Univers – a-t-elle été créée? Oui, déjà le mot lui-même l’indique: La Création a été créée par le Créateur. Elle est donc Son Œuvre. Et, comme toute œuvre, elle est limitée.
L’être humain est-il une créature ou un produit de l’évolution?
L’être humain est-il une créature ou un produit de l’évolution? Il n’est pas possible de répondre à une telle question par une seule affirmation. L’esprit humain – au départ seulement un germe d’esprit humain – est une créature. Son corps terrestre, lui, est le résultat de l’évolution.
En ce sens il n’est pas faux de dire que « l’être humain descend du singe », mais, en réalité, cela n’est pas juste non plus, parce que ce n’est pas réellement l’être humain qui descend du singe mais seulement son corps terrestre gros-matériel.
Sur Terre, les corps sont donc soumis à l’évolution au sens biologique, ce qui fait qu’ils peuvent aussi dériver les uns les autres, mais cela n’implique rien de pareil quant aux noyaux qui les habitent. Jamais une âme de singe (ou de tout autre animal) ne pourrait se transformer en esprit humain. Il y a là une intangible et infranchissable différence d’origine.

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Le dolorisme

Le dolorisme

Le dolorisme

C’est quoi, le dolorisme?
Le dolorisme est une possible appellation pour exprimer la doctrine de la souffrance.
Plus précisément le dolorisme une doctrine de portée principalement spirituelle ou religieuse exaltant la douleur physique, comme si elle était porteuse d’une valeur intrinsèque, en lui attribuant même une valeur spirituelle ou morale. Il s’agit, en fait, d’un véritable culte de la douleur pour elle-même. Un adepte d’un tel culte de la douleur, d’un point de vue philosophique, peut donc être appelé doloriste.
D’un point de vue plus courant, un doloriste peut tout simplement être appelé un martyr volontaire ou un fanatique religieux. Quant à eux, Les mots «dolorisme» et «doloriste» sont, tout simplement, des mots savants façonnés au début du XXème siècle à partir du nom latin «dŏlŏr», génitif «dolōris», signifiant «douleur physique, souffrance».
Cela se réfère, en particulier, déjà, à l’exaltation de la souffrance de Jésus sur la croix. Souvent l’accompagne la fausse imagination que les bons Chrétiens pourraient devenir «co-rédempteurs», c’est-à-dire participer à la Rédemption effectuée par Jésus (quelle présomption!) en « offrant » leurs souffrances à Dieu, comme s’il était possible de les monnayer et comme si Dieu pouvait en faire quelque chose!
C’est ainsi que le jeune Guy de Fongalland – reconnu par l’église comme « Serviteur de Dieu » – « offrait, chaque jour, de petits sacrifices à Jésus, pour Lui faire plaisir ». Parmi ce genre de « sacrifices » l’on raconte, par exemple, qu’il mettait volontairement des cailloux dans ses chaussures, même si ses pieds devaient en saigner, afin de « souffrir pour Jésus » et ainsi – croyait-il – – en vertu de la «communion des saints» – participer à «racheter les péchés des âmes du purgatoire»…
Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ
Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas le cas.
Afin de ne pas trop rallonger le présent article, ce chapitre du faux sens généralement attribué aux souffrances délibérément infligées à Jésus lors de la passion, est développé sur cette page.
Dieu aimerait-Il voir Ses créatures souffrir?
L’idée sous-jacente c’est que Dieu apprécierait – voire Se réjouirait de – la douleur de Ses créatures. Pourtant, c’est une idée insensée! Dieu ne veut pas de souffrance pour Son Peuple! Sinon, Il ne serait pas Dieu! C’est-à-dire Pureté, Amour et Justice! Quel « Dieu » serait-ce là? Au contraire, Dieu veut que l’être humain soit heureux dans le sens le plus vrai. Le Secret pour une juste appréciation de la Perfection Divine?: Accorder à Dieu l’Honneur de la Perfection!
Dolorisme et Rédemption
Alors, comment une idée aussi fausse que la supposée réjouissance de Dieu au vu de la souffrance humaine a-t-elle pu naître et se développer? Il semble que cette conception doloriste en vogue (de moins en moins quand même, en notre époque particulièrement hédoniste!) chez les croyants les plus dogmatiques soit intimement liée à la fausse conception au sujet de la Mission de Rédemption du Fils de Dieu Jésus.
En effet, pour tous ceux qui croient – et ils sont nombreux! – que la Mission de Rédemption de Jésus résidait dans Sa mort martyrisante sur la croix plutôt que dans Son Enseignement montrant aux êtres humains égarés le Chemin de la Lumière, il y a une certaine logique à penser que la souffrance pourrait avoir une valeur devant Dieu.
Le sophisme (faux raisonnement) pour parvenir à une telle conception est le suivant: Les êtres humains ont péché et Dieu exige une expiation. Mais, comme Son Amour est infini, Il décide de ne pas exiger une expiation de la part des pécheurs. Il préfère que, à la place des coupables, elle soit subie par le plus Innocent qui soit: Son propre Fils, Incarnation de l’Amour! Et ainsi – croit-on – Sa Justice sera satisfaite!
Ceux qui, pour leurs vaines tentatives d’auto-disculpation, pensent cela oublient juste de considérer que s’il est parfaitement exact de dire que Dieu est l’Amour, il ne doit pas être oublié qu’il est tout autant la Justice et aussi la Pureté. Et que la Base de l’Amour c’est la Justice, de même que la Base de la Justice c’est l’Amour! Les deux et même les trois sont tout à fait inséparables!
La théorie de la Rédemption-expiation et les Évangiles
Il est, toutefois, à noter que cette fausse théorie de la Rédemption basée sur le sacrifice de la croix s’appuie sur certains passages des Évangiles, par exemple: «Car le Fils de l’Homme est venu (…) pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de plusieurs.»  (Marc X, 45). Il s’agit, bien sûr, d’une Parole de Jésus, rapportée par Marc. Mais l’on trouve à peu près la même chose dans Matthieu:
« C’est ainsi que le Fils de l’Homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de beaucoup. » (Matthieu XX, 28).
Alors, questions: Jésus a-t-Il vraiment dit exactement cela? Comment comprendre cette Parole? Cela a-t-il le sens que veulent lui donner les partisans du rachat des péchés des êtres humains effectué, à leur place, par Jésus sur la croix? Ou bien cela peut-il être compris autrement?

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Leidenschaft schafft Leiden!

Leidenschaft schafft Leiden!

Leidenschaft schafft leiden!
La passion engendre la souffrance!

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Le mot [« Leidenschaft »] lui-même l’indique: « La passion engendre la souffrance ». Dans un monde où continuellement la passion est exaltée, où il faut absolument être « passionné », il est bon de se le rappeler. Un être humain en proie à la passion subit passivement quelque chose qui le dépasse; il a perdu la maîtrise de lui-même. Toutes ces passions, en réalité, ne sont que des passions de soi!

La passion est certes de l’amour,  mais c’est comme l' »amour-confiture » (j’aime la confiture) qui n’apporte rien à la confiture, mais tout à soi-même, c’est de l’amour de soi, c’est un amour égoïste! Par exemple, un homme, esclave de ses instincts, va dire à une femme: « Je vous aime ». En réalité, il ne cherche qu’à assouvir son désir sexuel, comme pour la confiture, il n’aime que … lui-même!

Dans les passions, il n’y a pas que l’ivresse des sens, l’immoralité, le jeu ou la boisson ou autres addictions. Un autre exemple de passion est la passion de la puissance terrestre et de la quête des avantages et des trésors terrestres. La passion brûlante gaspille la force corporelle (la force sexuelle), ainsi que la force spirituelle, laquelle n’est, en un tel cas, plus disponible pour la créativité et l’Essor de l’esprit dans la matière grossière.

Naturellement, ce genre de passions n’a rien à voir avec la « passion du Christ » en laquelle le mot « passion » a le sens – complètement différent – de « souffrance entièrement subie ».
Alors, s’il ne faut pas être passionné, que faut-il être?

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Qu’est-ce que le Karma?

Qu’est-ce que le Karma?

Qu’est-ce que le Karma?

« Naître, mourir, renaître encore, et progresser sans cesse, telle est la Loi. » – Allan Kardec –

Définition du Karma
Le Karma! Au sens le plus élevé, avec un « K » majuscule, il peut s’agir de la Volonté et de la Justice de Dieu, c’est-à-dire du Saint Esprit Lui-même!
Plus communément, le karma désigne le compte créditeur ou débiteur de chaque être humain vis-à-vis des Lois de la Création. En ce sens la Loi du Karma est autre nom de la Loi de l’Effet de Réciprocité.
D’un point de vue étymologique le mot « karma » – ou « karman » – dérive du sanscrit (ancienne langue sacrée de l’Inde, encore un peu oralement utilisée aujourd’hui et un peu plus par écrit par les érudits).
Au départ il désigne l’action au sens large, sous toutes ses formes, puis, au sens religieux, l’action rituelle. Puis, au sens le plus large, l’action avec toutes ses conséquences et répercussions.
Enfin, par extension, il finit par désigner le cycle complet des causes et des conséquences lui-même. L’on peut dire que le karma est la somme de ce qu’un être humain fait, a fait ou fera.
La Roue du Karma
D’où sa représentation traditionnelle sous forme de « Roue », la « Roue du Karma »..

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Pureté – Par Romain Doulys

Pureté – Par Romain Doulys

Pureté

Par Romain Doulys

 PURETÉ. Devant elle on s’incline en silence,
 Car Son Nom à lui seul fait vibrer dans le cœur
 L’écho de Son Sommet et de son Éminence,
 Où l’Amour est vivant, dans sa Justice en chœur.

PURETÉ. Sa valeur toujours ennoblissante
Est le Joyau surfin de la féminité.
C’est pourquoi sur la Terre elle est resplendissante
Chez la femme authentique en sa fidélité.

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De l’Humilité – Par Lucien Siffrid

De l’Humilité – Par Lucien Siffrid

De l’Humilité

Bien que l’on accorde généralement plus de prix à d’autres Qualités qu’à l’Humilité, celle-ci possède, néanmoins, le rang le plus élevé dans la Couronne de toutes les Vertus. Et si l’on estime que d’éminentes Qualités comme: la Grandeur d’Âme, la Bonté de Cœur, le Tact, la Pudeur, etc. – qui toutes découlent de l’Humilité – ne peuvent pas être apprises ou acquises mais qu’elles doivent être des Facultés innées, combien plus ne devrait-on pas penser qu’il en est de même pour l’Humilité.
Cependant, en réalité, il n’en est rien! Comme toutes les autres Vertus, l’Humilité peut être acquise par la pratique. Elle demande même à être pratiquée. Elle n’est accordée à personne sans efforts. Lorsqu’il arrive (rarement, hélas!) qu’un être humain paraisse naturellement doué de véritable Humilité, il n’en bénéficie cependant que parce qu’elle est le juste retour, dans l’accomplissement de la Fonction de Réciprocité, de son bon vouloir dans une existence antérieure. Cependant, lui aussi dut, au cours d’une vie passée, l’acquérir de haute lutte.
Mais nous ne pourrons comprendre entièrement et clairement pourquoi il est si indispensable d’acquérir l’Humilité que si nous nous représentons la rigoureuse manière avec laquelle agissent les Lois Divines dans la Création. Car alors nous réalisons que nous pouvons recevoir d’autant plus d’Aides spirituelles et de Secours d’En-Haut, par l’intermédiaire des Lois, ce qui signifie que nous en sommes d’autant plus bénéficiaires, que nous nous ouvrons plus humblement à leur Bénédiction. Rétroactivement l’Humilité nous permet de parvenir à la connaissance précise de la Volonté Divine, donc des Lois Naturelles et de la perfection de tout événement.

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Les « gros » mots

Les « gros » mots

Les « gros » mots

Qu’est-ce qu’un « gros » mot? En réalité, un mot qui – sauf, probablement, dans le sens de « grossier » – n’a rien de gros mais tout de bas. Un « gros mot » est un mot grossier.
Une possible définition est, par exemple, celle-ci: « Un « gros mot » est une expression jugée crue, offensante et obscène, qui va à l’encontre de la politesse et de la bienséance. ». Une autre possible définition est celle-ci: « Un gros mot est un mot cru, incorrect, indélicat, obscène, scatologique, qui offense la pudeur, la morale, les principes de la politesse. ».
Un gros mot est donc quelque chose de bas et d’avilissant, tant pour celui qui le profère que pour celui qui en est l’éventuelle cible, de même aussi que pour tous ceux qui le voient ou l’entendent, qu’ils s’en offusquent ou non. Et comme le dit le proverbe, l’effet de contagion est catastrophique: « Ce que les vieux chantaient, le gazouillent déjà les jeunes! ».
Mais qu’est-ce qui fait qu’un mot, au départ neutre, reçoit une ainsi une plus ou moins forte charge ténébreuse? Pour bien comprendre cela, il faut connaître les Lois de la Création.
D’abord, il faut savoir que, selon les Lois de la Création, les ténèbres sont tenues de s’exprimer selon un genre qui n’appartient qu’à elles.

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Éloge de l’Intuition

Éloge de l’Intuition

Éloge de l’Intuition
Lorsque quelqu’un se sait pas si ce qu’il a ressenti est ou non de l’Intuition, c’est parce que cela n’en est pas ! Rien n’est, en effet, plus fort que l’Intuition. L’Intuition produit un Ressenti d’évidence absolu qui ne peut être confondu avec rien d’autre, de sorte qu’il n’y a aucune place pour le doute!
C’est que, en effet, l’Intuition est la voix de l’esprit, et que l’esprit est le Noyau vivant éternel de l’être humain. L’on peut donc aussi l’appeler la conscience ou encore la voix intérieure. Ce sont différentes appellations qui, toutes, se réfèrent à l’Intuition.
En allemand, l’Intuition se dit généralement «Empfindung». Si l’on consulte les dictionnaires, la traduction ne sera généralement pas «intuition» mais plutôt «sensation», «sensibilité», voire même «sentiment» (en fait, en ce cas, une traduction catastrophique!). C’est «sensibilité» qui correspond le mieux – ou le moins mal – à ce que nous appelons ici l’Intuition. Car il s’agit bien, en effet, de ressentir, mais pas d’une manière sentimentale (sentiment) ni d’une manière corporelle («sensation»).

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Qu’est-ce qu’une forme-pensée?

Qu’est-ce qu’une forme-pensée?

Formes-pensées et égrégores

Qu’est-ce qu’une forme-pensée?
«Je pense donc je suis!» a dit le célèbre philosophe français René Descartes. Même s’il aurait été plus judicieux qu’il dise: «Je suis, donc je pense!» – car c’est bien parce que l’on est que l’on pense et non l’inverse! -, cela n’en est pas moins la reconnaissance du fait que la pensée est une activité fondamentale de l’être humain, et ce d’autant plus qu’il ne peut pas s’empêcher de penser.
La pensée – l’acte de penser – crée des formations qui sont à considérer comme des œuvres de l’être humain.
Une forme-pensée, c’est, tout simplement, la forme que prend une pensée sur l’un des niveaux du plan où se forment les formes-pensées. Ces formes de la pensée ou formes-pensées, bien qu’invisibles aux yeux gros-matériels du corps physique, n’en sont pas moins tout à fait réelles et existantes sur leur plan de réalité, et peuvent être perçues, généralement seulement après la séparation avec le corps terrestre, par les organes des sens correspondants.
Les créations de nos pensées sont donc des œuvres qui nous attendent et que nous aurons à rencontrer, un jour! En fonction de leur nature elles forment, autour de nous, des cercles plus ou moins lumineux ou sombres, et que nous aurons à traverser pour, après la séparation d’avec notre corps terrestre, pénétrer dans le véritable Monde de l’Esprit. Un parcours qui ne doit rien au hasard!

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Éloge de la Grâce

Éloge de la Grâce

Éloge de la Grâce

La Grâce rappelle aux esprits humains incarnés les Hauteurs de leur Origine.
Mais, sur la Terre, où, avant tout, est-il possible de faire l’expérience vécue de la Grâce?
Attention, nous ne parlons pas ici de la Grâce de Dieu (en allemand «Gnade») mais de la Grâce dont fait preuve un être gracieux (en allemand «Anmut»).
La Grâce fait la femme! C’est donc chez la femme qu’elle est perceptible en premier lieu, à condition, bien sûr, qu’il s’agisse d’une vraie femme!
Le Créateur fait passer à travers l’Univers-Cosmique une trame silencieuse de Force invisible. Qui, en premier, peut capter cette Force? Grâce à son Ressenti plus délicat, oui … la femme!
Mais quelle est la principale Tâche d’une vraie femme, ici sur Terre, dans la matière grossière? L’Ennoblissement de son entourage! Elle est l’Ancrage de l’homme avec la Lumière, le Soutien dont celui-ci a besoin pour son Activité dans la Création.

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