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Le syndrome du spectateur

Le syndrome du spectateur

Le syndrome du spectateur

Soyez des Acteurs et non seulement des spectateurs!

Le « syndrome du spectateur », c’est quoi? C’est la maladie de l’âme de celui ou celle qui reste, là, indifférent(e), les bras ballants, à regarder en simple spectateur, sans rien dire ni rien faire.

Par exemple, un visiteur vient sur un site Internet, prend connaissance d’une page, y trouve peut-être de l’intérêt, voire davantage, par exemple une nourriture pour son intériorité. Peut-être même y revient-il plusieurs fois, ou même régulièrement…?

Mais, à chaque fois, il repart – totalement ignorant de la Loi du Donner et du Recevoir – sans jamais laisser quelque trace que ce soit, pas le moindre commentaire, aucune prise de contact, rien.

Il ne prend pas part à un échange, n’apporte pas son concours à la recherche d’une vérité difficile à établir, comme cela se passe sur cette page…

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Le Huitième Commandement

Le Huitième Commandement

Le Huitième Commandement

Énonce exact du Commandement
Quel est l’énoncé exact du Huitième Commandement? Beaucoup répondront: « Tu ne dois pas mentir » ou – autrement formulé -: « Tu ne mentiras pas ». Là réside notamment l’influence de l’église. Certes, que l’on ne doive pas mentir, beaucoup seront d’accord avec cela, et nous aussi! Mais si l’on se réfère à la Bible (sans parle de la possible confusion du huitième Commandement avec le neuvième, du fait de la différence de numérotation), l’énoncé précis du Huitième Commandement est quelque peu différent. Il dit: « Tu ne dois pas faire de faux témoignage contre Ton prochain. » (Exode XX, 16).
Alors, bien sûr, faire un faux témoignage c’est mentir, mais « Tu ne dois pas mentir. » c’est plus vaste que « Tu ne dois pas faire de faux témoignage contre Ton prochain. ». Car il y a, bien sûr, beaucoup d’autres manières de mentir que de faire un faux témoignage. Alors, cela pose la question: Est-ce que seul le faux témoignage serait prohibé par le Commandement Divin mais pas les autres formes de mensonge?
Déjà, au sujet du mensonge, que dit la Bible?

La Bible et le mensonge

« Celui qui marche dans l’intégrité, pratique la Justice et dit ce qu’il pense vraiment. Il ne calomnie pas avec sa langue, il ne fait pas de mal à son semblable, et il ne jette pas le déshonneur sur son prochain. »
– Psaume XV : 2-3 –

« Alors préserve Ta langue du mal et Tes lèvres des paroles trompeuses. »
– Psaume XXXIV : 14 –

« Il dit encore: «C’est ce qui sort de l’homme qui le rend impur. En effet, c’est de l’intérieur, c’est du cœur des hommes que sortent les mauvaises pensées, les adultères, l’immoralité sexuelle, les meurtres, les vols, la soif de posséder, les méchancetés, la fraude, la débauche, le regard envieux, la calomnie, l’orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans et rendent l’homme impur.». »
– Marc VII: 20-23 –

« Ne vous mentez pas les uns aux autres, car vous vous êtes dépouillés du vieil homme et de ses pratiques, pour revêtir l’Homme Nouveau qui se renouvelle pour parvenir à la vraie Connaissance, conformément à l’Image de Celui Qui l’a créé. »
Colossiens III : 9-10 –

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La vingt-cinquième heure

La vingt-cinquième heure

La vingt-cinquième heure

Introduction
Sur le site de l’École de L’Art de Vivre nous avons déjà souvent fait ressortir la catastrophe que constitue l’hyperdomination de l’intellect de nos jours largement prégnante dans le monde. Pour ceux qui cela ne serait pas encore devenu une évidence, il est frappant de voir comment certains auteurs avaient déjà parfaitement compris le processus, il y a déjà trois quarts de siècle ou davantage. C’est, par exemple, le cas de l’écrivain roumain Constant Virgil Gheorghiu avec son célèbre roman « La Vingt-Cinquième Heure ».
Présentation
La « vingt-cinquième heure », c’est celle qui vient après la dernière heure (donc la vingt-quatrième!), celle où même la Venue d’un Messie ne résoudrait rien; une société complètement bureaucratique et bureaucratisée ne peut tolérer la présence de l’esprit, car elle est pratiquement livrée aux monstres que sont devenus les êtres « humains » hyperdominés par leur propre intellect.
C’est aussi et d’abord – avant d’être un film (un film d’Henri Verneuil, sorti en 1967) –
un incroyable livre écrit par le pope roumain Constant Virgil Gheorghiu. Attention, chef d’œuvre!
Les paroles du pope Koruga à son fils Traian…
« La vie n’a jamais de but objectif, à moins qu’on ne désigne ainsi la mort: tout but réel et véritable est subjectif.
La Société technique veut offrir à la vie un but objectif. C’est le meilleur moyen de l’anéantir. Ils ont réduit la vie à une statistique. Mais: «Toute statistique laisse échapper le cas unique en son genre, et plus l’humanité évolue, plus ce sera, précisément, l’unicité de chaque individu et de chaque cas particulier qui comptera.» (Comte H. de Keyserling).
La Société technique progresse exactement dans le sens inverse: elle généralise tout. «C’est à force de généraliser et de chercher, ou de placer toutes les valeurs dans ce qui est général, que l’humanité occidentale a perdu tout sens pour les valeurs de l’unique, et partant de l’existence individuelle. D’où l’immense danger du collectivisme, qu’on le comprenne à la russe ou à l’américaine.»
Et c’est à cause de cela même, que nous pouvons avoir la certitude que cette Société s’écroulera. Tu en parlais d’ailleurs, toi-même, certain soir à Fântâna. La Société de la civilisation technique est devenue incompatible avec la vie de l’individu. Elle étouffe l’homme. Et les hommes meurent de la même mort que les lapins blancs de ton roman. Nous mourrons tous asphyxiés par l’atmosphère toxique de cette Société où ne peuvent se mouvoir que les Esclaves techniques, les Machines et les Citoyens, exactement comme tu voulais le raconter dans ton livre. Les hommes pèchent ainsi gravement et sont coupables envers Dieu.
De toute notre force, nous agissons contre notre propre bien, et surtout contre Dieu. C’est le dernier degré de déchéance jamais atteint par une Société humaine. Et cette Société périra, comme ont péri jusqu’à présent tant et tant de Sociétés au cours de l’histoire, et avant même que l’histoire commence. Les hommes essaient de sauver cette Société par un ordre logique, alors que c’est cet ordre même qui la tue.
Voilà le crime de la Société technique occidentale. Elle tue l’homme vivant – le sacrifiant à la théorie, à l’abstraction, au plan. C’est là, la forme moderne du sacrifice humain. Le bûcher et les autodafés ont été remplacés par le bureau et la statistique – les deux mythes sociaux actuels dans les flammes desquels est consommé le sacrifice humain.
La démocratie, par exemple, est une forme d’organisation sociale nettement supérieure au totalitarisme, mais elle ne représente que la dimension sociale de la vie humaine. Arriver à confondre la démocratie avec le sens même de la vie, c’est tuer la vie de l’homme et la réduire à une seule dimension. C’est la grande faute, commune aux nazis et aux communistes.
La vie humaine n’a de sens que prise et vécue dans son ensemble. Et pour pénétrer le sens ultime de la vie, il faut employer les mêmes outils dont nous nous servons pour comprendre l’art et la religion: les outils de la création artistique, les outils de toute création. Dans la découverte de ce sens ultime de la vie, la raison n’a qu’un rôle secondaire. Les mathématiques, la statistique et la logique ont le même effet, pour la compréhension et l’organisation de la vie humaine, que pour celle d’un concert de Beethoven ou de Mozart.
Mais la Société technique s’entête à arriver à la compréhension de Beethoven et de Raphaël par des calculs mathématiques. Elle s’entête à comprendre la vie humaine et à l’améliorer par des statistiques. Cette tentative est également absurde et dramatique.
Avec ce système, l’homme peut atteindre, dans le meilleur des cas, l’apogée de la perfection sociale. Mais cela ne lui est d’aucun secours. La vie même de l’homme cessera d’exister du moment où elle sera réduite au social, à l’automatique, aux lois de la machine. Ces lois ne pourront jamais donner un sens à la vie humaine. Et si on enlève à la vie son sens – l’unique sens qu’elle possède et qui est totalement gratuit et dépasse la logique – alors, la vie même finit par disparaître. Le sens de la vie est absolument individuel et intime.
La Société contemporaine a rejeté depuis longtemps déjà ces vérités et elle se dirige à une vitesse vertigineuse, avec la force du désespoir, vers d’autres chemins. Et c’est pourquoi les flots du Rhin, du Danube et de la Volga roulent en ce moment des larmes d’esclaves. Ces mêmes larmes empliront le lit de tous les fleuves de l’Europe et de tous les fleuves de la Terre, jusqu’à ce que les mers et les océans débordent de toute l’amertume des hommes esclaves de la Technique, de l’État, de la Bureaucratie, du Capital.
À la fin, Dieu prendra pitié de l’homme – comme Il l’a déjà fait maintes fois. Ensuite – telle l’Arche de Noé sur les flots – les quelques hommes demeurés vraiment hommes [NDLR: donc des êtres humains d’esprit] flotteront par-dessus les remous de ce grand désastre collectif. Et c’est grâce à eux que la race humaine sera sauvée, comme elle l’a déjà été à plusieurs reprises au cours de l’histoire.

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Le monde d’hier

Le monde d’hier

Le monde d’hier

Vers quel monde allons-nous? L’extrait du livre « Le monde d’hier » de l’écrivain autrichien Stefan Zweig est une occasion de réfléchir au genre de monde terrestre que nous désirons pour nous et nos enfants: Le totalitarisme numérique ou le respect de la liberté de l’esprit.
Stefan Zweig place l’époque-charnière en 1914. Pour lui il y a avant la première guerre mondiale et après. Autant dire que le mondialisme avec toutes ses outrances a commencé à ce moment-là.
Après avoir lu le texte ci-dessous, partagez vos aspirations et vos réflexions en commentaires en bas de la page… (Rappel: Il n’est pas nécessaire d’être enregistré pour pouvoir poster. Il est possible de poster un commentaire avec le nom de son choix. Il est possible de dialoguer entre commentateurs…)

«Le monde d’hier»
«Nous avons joui de plus de libertés publiques que la génération d’aujourd’hui» (celle de l’après Première Guerre mondiale), «soumise au service militaire, au service du travail, dans beaucoup de pays à une idéologie de masse, et dans tous, en réalité, livrée sans défense à l’arbitraire d’une politique mondiale stupide».
«Nous pouvions nous consacrer à notre art, à nos inclinations spirituelles, perfectionner notre vie intérieure, d’une manière plus personnelle et plus individuelle, en étant moins dérangés. Une existence cosmopolite nous était possible, le monde entier nous était ouvert. Nous pouvions voyager sans passeport ni visa partout où il nous plaisait, personne n’examinait nos opinions, notre origine, notre race ou notre religion.
Et de fait, rien ne rend peut-être plus palpable l’énorme régression dans laquelle est entrée l’humanité depuis la Première Guerre mondiale, que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et à leurs libertés. Avant 1914, la Terre appartenait à tous ses habitants. Chacun allait où il voulait et y restait aussi longtemps qu’il voulait. Il n’y avait pas de permissions, pas d’autorisations, et cela m’amuse toujours de voir l’étonnement des jeunes lorsque je leur raconte qu’avant 1914, je voyageais en Inde et en Amérique sans avoir de passeport et même n’en avais jamais vu aucun.

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Le suivisme

Le suivisme

Le suivisme

Le suivisme

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Cet article pourrait aussi s’appeler « Les moutons de Panurge » ou « Paresse d’esprit », car tout cela c’est la même chose.

Suivre un « gourou » ou une « église », c’est rassurant. Beaucoup de croyants – c’est très frappant à constater! – accordent plus d’importance à l’appartenance à leur église, groupement, ordre, association, mouvement, etc., qu’à l’Enseignement dont ceux-ci se réclament.

C’est même le cas lorsque l’Enseignement en question enseigne, en premier lieu, l’indépendance d’esprit et la nécessité absolue de la Conviction personnelle… C’est peut-être pourquoi il est possible de dire: Les Adhérents d »une Cause sont souvent plus préjudiciables à la Cause dont ils se réclament que ses adversaires eux-mêmes.

C’est souvent ce qui explique le comportement de beaucoup d’êtres humains face à l’erreur, une erreur qui rassure – même lorsqu’il s’agit d’un mensonge – est plus prisée qu’une vérité qui dérange…

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Le conditionnement collectif

Le conditionnement collectif

Le conditionnement collectif

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Mode d’emploi qui marche super bien

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Introduction

L’être humain est-il conditionnable? Le sujet a déjà été examiné. La réponse – tout au moins en ce qui concerne les êtres humains ayant perdu leur libre volonté – est, hélas, oui. En réalité, toutefois, un esprit humain vivant est absolument inconditionnable.

Le texte ci-dessous « Le conditionnement collectif » est tout d’abord présenté par Michel Dogna en ces termes:

Ce texte visionnaire est souvent attribué à Aldous Huxley, auteur du Meilleur des mondes ou à Gunther Anders (1956), Extrait de « L’obsolescence de l’homme ». En fait, il date de 2007 et c’est Serge Carfantan, philosophe et professeur de philosophie qui en est l’auteur (Leçon 163: « Sagesse et révolte »).

Le conditionnement collectif

Et – concernant, cette fois, le conditionnement collectif, voici le texte en question:

«Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

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L’être humain n’a pas d’autre juge que lui-même

L’être humain n’a pas d’autre juge que lui-même

L’être humain n’a pas d’autre juge que lui-même

Lorsque l’être humain de la Terre meurt, en réalité seul son corps terrestre meurt. Au moins jusqu’au Jugement Dernier lui-même ne meurt « jamais ». Ce que nous appelons « mort » c’est juste le fait que son âme quitte le corps terrestre pour pénétrer dans ce que nous appelons l’Au-delà. Le mot « au-delà » est lui-même discutable, parce qu’en réalité rien n’est au-delà: Entre le soi-disant « au-delà » et le soi-disant « en-deça » il n’y a pas de réelle séparation. En-deça comme Au-delà, tout est un monde unitaire transpénétré par les mêmes Lois.
Avec la « mort » le corps terrestre périt et, avec lui, l’un de ses organes les plus importants, celui qui sert d’indispensable outil ici sur Terre à l’esprit humain pour comprendre le monde gros-matériel qui l’entoure: le cerveau. Les pensées, qui forment finalement l’intellect, prennent naissance dans une partie du cerveau, le cerveau antérieur ou grand cerveau. Par conséquent, l’intellect, jugé si important sur Terre, disparaît complètement, lui aussi, avec la mort.
Il est, par nature, éphémère, car l’organe qui le produit — le cerveau — est, par nature, périssable. En effet, que ce soit sur le plan gros-matériel terrestre ou sur un autre plan, rien dans la Création ne peut franchir les limites de son propre genre, dans son être ou dans son activité. Par exemple, il n’est pas question qu’un être humain devienne un animal, pas plus que – inversement – il n’est question qu’un animal devienne un être humain ou qu’il manifeste des caractéristiques spécifiques à l’être humain.
Par exemple – même si la science a pu observer certaines formes, plus ou moins rudimentaires, de langage dans le monde animal, de façon générale, les animaux ne parlent pas un langage articulé, comme le font les êtres humains. Même le perroquet, capable, par instinct d’imitation, de répéter des paroles humaines, ne comprend pas les sons qu’il entend et qu’il répète, et n’interagit pas avec l’être humain ou d’autres animaux par le langage.
L’humain reste humain et l’animal reste animal, parce qu’il y a une différence d’origine (l’être humain est originaire du spirituel, tandis que l’animal est originaire du seul-entéallique) et que ces deux genres de la Création sont fondamentalement différents.
Une conclusion extrêmement importante découle de la constatation du fait que l’intellect, produit par le cerveau terrestre, est périssable. Cela implique, en effet, que l’intellect ne peut saisir et comprendre que ce qui, comme lui, est éphémère et périssable, donc le terrestre. Au-delà de cette limite séparant le genre gros-matériel et le genre fin-matériel il ne peut plus rien appréhender.
Ce qui est fin-matériel et ce qui est spirituel – a fortiori ce qui est éternel comme le Divin – lui échappe donc complètement, tout simplement parce qu’il s’agit là de genres complètement différents. Il ne peut, de ce fait, comprendre et agir au-delà de la matière grossière avec laquelle son cerveau est constitué. Ce serait comme vouloir creuser dans de l’eau avec une bêche ou bien de vouloir s’élever dans les airs en marchant sur l’air avec ses pieds.

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Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes, vues de plus haut

Du fait du constant accroissement du matérialisme, le « don d’organes » est « à la mode ». C’est ainsi que l’on voit de plus en plus (en général sans consultation de la population) fleurir, ici ou là, des communes auto-proclamées « ambassadrices du don d’organes ».
S’il y avait plus de conscience de ce que, en termes de douloureux préjudices, cela signifie vraiment pour les âmes des personnes dont les corps encore vivants (sinon, pourquoi les anesthésier?) sont ainsi « prélevés » et, en termes de karma, pour ceux qui transgressent ainsi les Lois de la Création, il y aurait probablement moins d’exaltation à encourager d’aussi préjudiciables pratiques.

A ce sujet, déjà dans les années 1990, dans son ouvrage « Die Welt wie sie sein könnte » [« Le monde comme il pourrait être »], l’auteur allemand Herbert Vollmann écrivait:

« C’est uniquement sous cette optique que doivent être envisagées les transplantations d’organes qui se pratiquent de plus en plus fréquemment. Si on prélève ces organes sur le corps d’êtres qui viennent de trépasser pour les greffer sur des êtres vivants, on porte incontestablement atteinte à l’intégrité personnelle de l’être humain, qui se trouve ainsi livré sans défense aux médecins puisqu’il ne lui est plus possible de se faire entendre.
Le respect dû au prochain — et ceci comprend également le corps gros-matériel — ainsi que le Commandement qui interdit de lui porter des préjudices de cet ordre ne valent pas seulement pour la période d’existence que représente la vie terrestre; ils s’appliquent également au-delà de la mort.
A quoi peut bien servir un « consentement » donné dans l’ignorance des conditions de l’au-delà! La réalité du monde de matière fine, dont l’on a donné ici [NDLR: Dans le livre « Die Welt wie sie sein könnte »] un court aperçu, éclairera bien vite et douloureusement l’âme du défunt.
C’est pourquoi il faut que cessent de telles expériences pratiquées sur des êtres humains pour la simple raison qu’aucun être humain, y compris le chirurgien, ne peut répondre des conséquences qu’aura son intervention dans l’au-delà: en effet, ne les connaissant pas, il ne peut par conséquent les évaluer.
De plus, la nature elle-même met le plus souvent une limite à cela grâce à la diversité et à l’incompatibilité des groupes de tissus différents, même lorsque l’on tente de briser ces barrières naturelles.
Les interventions pratiquées sur les corps gros-matériels d’êtres humains décédés, y compris les dissections et la crémation, ne devraient, de façon générale, sous nos latitudes, jamais être tentées au cours des trois jours bien connus qui suivent le décès.
L’on admet, en effet, que, passés ces trois jours, l’âme s’est, dans les cas normaux, libérée du corps. Ceci exclurait alors, au premier chef, le prélèvement de tout organe en vue d’une greffe, puisque, pour que l’opération soit médicalement possible, le prélèvement doit se faire immédiatement après la mort clinique.

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