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Majorité ou Unanimité?

Majorité ou Unanimité?

Majorité ou Unanimité?

« L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle se propage et se multiplie;   la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit. »
– Mahatma Gandhi –
« Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison. »
– Un célèbre humoriste –
«Vitam impendere vero» – « Consacrer sa vie à la Vérité » –
– Devise de Jean-Jacques Rousseau –
Présentement, sur Terre, nous vivons sous la domination de ce que la majorité a déterminé comme étant convenable et conforme. Cela s’appelle la démocratie – le supposé « pouvoir du peuple », alors que – trop souvent – ce n’est que celui de la foule (« Le peuple est en haut, la foule est en bas » – Victor Hugo).
La démocratie – c’est-à-dire concrètement la pratique du vote –  est basée sur la domination de l’intellect. Trop souvent, c’est juste une dictature de la majorité au détriment de la minorité. Sans domination de l’intellect il n’y aurait pas de démocratie. Il y aurait juste la reconnaissance du Juste.
A noter, à ce sujet, que le mot « élection » a été dévoyé. Car élire quelqu’un signifie non pas le sélectionner intellectuellement dans une liste de divers prétendants à un poste ou une fonction mais – ce qui est bien différent! – le reconnaître intérieurement comme un Élu. Cela change tout!
Si l’on veut édifier sur le Nouveau et non plus sur l’ancien, l’on doit d’abord reconnaître ce qui est intrinsèquement juste, et cela n’est pas une question de majorité, mais c’est juste une question de conscience.
Que ce soit à 51%, à 66,6% ou à 99% n’y change pas grand chose: La majorité c’est « démocratique » et donc intellectuel, cela n’est pas spirituel. Le seul principe spirituellement juste est et demeure l’Unanimité.

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Wokisme, le courant ténébreux

Wokisme, le courant ténébreux

Wokisme, le courant ténébreux

Ce mot est issu de l’anglais “woke” pour “awake”, signifiant “éveillé”. Comme courant de pensée, il apparaît aux États Unis au début des années 2000, se répand en Occident, puis dans le monde entier. Le wokisme est à la fois hybride et tentaculaire. Il se définit comme un concept culturel postmoderne fondé sur la diversité et l’inclusion. Il met en exergue les injustices sociales et politiques, lutte contre les inégalités en tous genres, dénonce les discriminations envers les minorités: femmes, LGBT, immigrés, d’autres encore…
Mais, en tous ces sujets, le wokisme développe une culture de victimisation et de non responsabilité, en créant un contre-courant de nouvelles discriminations. Stricte pensée matérialiste et athée, il promeut l’écriture inclusive avec le noir dessein d’influencer la vie dans ce qu’elle a de plus fondamental et de plus traditionnel. Elle s’impose, en réalité, comme une forme dangereuse de lavage de cerveau. Aujourd’hui, ce danger est si grave qu’il a infiltre l’éducation nationale jusqu’à ses ministres, les universités et les grandes écoles. Parmi la jeunesse intellectualisée, il a trouvé un écho puissant comme tête de pont pour gagner les entreprises et s’y implanter. Certaines entreprises se sont d’ailleurs converties…
Plaçons devant nos yeux l’image d’une balance avec ses deux plateaux et son aiguille centrale.
Le wokisme est un phénomène ténébreux qui déstructure la pensée, la parole, la nature humaine, l’équilibre yin-yang, qui idolâtre le corps, démembre la société, se faisant le chantre des théories psychanalytiques. Il prône un athéisme matérialiste redoutable. Il libère un indescriptible chaos ontologique, culturel et socio-économique. Est-ce le dernier coup (?) dévastateur de l’intellect – de la bête apocalyptique – avant l’effondrement de l’homme et de la femme?

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L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’après-midi était bien avancée et la conversation très animée. Je me trouvais en compagnie de quatre amis. Motivés par le plaisir de se rencontrer, ils avaient répondu à mon invitation. Depuis le début du repas, nous avions évoqué plusieurs sujets professionnels, politiques et culturels. L’un de mes amis évoqua le devenir des personnes célèbres (artistes, sportifs, hommes politiques). Il expliquait l’étonnement qu’il éprouvait chaque fois qu’une “vedette” voyait son existence bouleversée par un événement inattendu. Tel numéro un du tennis avait perdu toute sa fortune, tel boxeur mondialement connu avait tué sa femme, tel pilote de formule 1 avait été brûlé sur tout le corps, tel chanteur disparaissait à la fleur de l’âge. Les exemples ne manquaient pas.
La discussion s’orienta vers la destinée qui hisse certaines personnes vers les sommets du vedettariat ou de la célébrité. Monter si haut dans l’échelle sociale et se retrouver, un jour, confronté à la réalité de Monsieur ou Madame “tout le monde”! Pris dans le feu de la conversation et ne voulant pas être en reste de propos, je rappelai, à mon tour, le cas de ce boxeur noir, âgé de 19 ans, qui, au début des années 60, remporta le titre de champion du monde de la catégorie poids lourd.
Je le revoyais crier sa joie à la face du public, tout gonflé du sentiment de sa puissance, qu’il pensait inaltérable. Je demandai à mes amis s’ils se remémoraient ce que ce boxeur – aujourd’hui atteint d’une maladie inguérissable – avait hurlé à la foule. Aucun ne s’en souvenait.
Je mimai alors le comportement du boxeur en me redressant et en levant les bras au ciel comme lors d’une invocation et me mis à crier: «Je suis le dieu de la boxe!». Chose étrange, en formulant cette phrase, je me sentis gagné par le plaisir de paraître, et cela uniquement parce que mes amis ignoraient cette information.
Cette impression orgueilleuse qui m’avait échauffé le cerveau l’espace de quelques instants disparut, bien vite remplacée par un frisson glacé qui me parcourut toute la moelle épinière. Simultanément, je fus envahi par une puissante intuition: je sus que je venais de commettre un sacrilège en abusant du Saint Nom.

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Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

L’Assomption existe-t-elle?

Le 15 Août de chaque année, l’église catholique fête l’ « Assomption » de la Vierge Marie dans le Ciel. Le mot « Assomption » a ici sensiblement le sens de « Ascension » mais appliqué à Marie, au lieu que ce soit à Jésus.
Dans le cadre du « culte des saints » cela fait partie du culte rendu à Marie, considérée comme la « Mère de Dieu ». L’église orthodoxe promeut une croyance similaire appelée « Dormition ». Parfois, le mot « Dormition » ne désigne que la croyance dans une mort béatifique.
Cette conception d’un corps terrestre pouvant s’élever dans les Cieux est également présente dans la croyance en la résurrection charnelle de Jésus de même que, de façon générale, dans la croyance en la résurrection de la chair, croyances faisant l’objet de dogmes et également présentes dans l’église catholique.
La croyance dans l’Assomption de la Vierge est fondée non sur la Bible mais seulement sur des écrits apocryphes tardifs, comme celui du Pseudo-Jean, intitulé « Sur la mort de Marie » (remontant  au IVème siècle, voire au Vème siècle).
Selon la tradition, la Vierge, alors été âgée de cinquante-neuf ans, serait décédée onze ans après la crucifixion de Jésus. Son enveloppe charnelle aurait alors été enterrée non loin du lieu où Jésus aurait vécu son agonie, donc juste à côté du Jardin de Gethsémani, à l’Est de Jérusalem.
Son tombeau vide est toujours visible dans le lieu appelé Sépulcre de la Vierge Marie. D’autres affirment, cependant, que la Vierge serait décédée dans un lieu correspondant à l’emplacement de l’Abbaye de la Dormition, également à Jérusalem.

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La vie monastique

La vie monastique

La vie monastique

Depuis des siècles s’est épanouie la vie monastique. Dans la Chrétienté beaucoup de monastères, de couvents, d’églises, d’abbayes, d’abbatiales en témoignent. Qu’est que le monachisme?
« Le monachisme est l’état et le mode de vie de personnes qui ont prononcé des vœux religieux et font partie d’un ordre dont les membres vivent sous une règle commune, séparés du monde. Cela concerne les moines, au masculin, et les moniales, au féminin. Le mot vient du grec ancien monos qui signifie «solitaire» et plus particulièrement «célibataire». La première institution connue du monachisme est celle du bouddhisme theravada, il y a vingt-cinq siècles. Dans le bouddhisme, le monachisme est l’un des trois refuges, particulièrement propice à la méditation qui constitue le cœur de la pratique. »
En Occident se développe principalement un Monachisme chrétien. D’un point de vue spirituel – qui est toujours le nôtre -, ce qui nous intéresse ici n’est fondamentalement pas l’histoire du Monachisme, très longue et très complexe, mais plutôt d’essayer de discerner ce en quoi la vie monastique peut – encore aujourd’hui – aider ou, au contraire, contrarier le développement d’une authentique vie spirituelle…
Ce qui est bon dans la vie monastique:
– La pratique du Silence, le Grand Secret. Au sujet du Silence l’Enseignement de Siddharta Bouddha est le suivant:
« Lorsque vous en serez arrivés à ce point, alors il vous sera donné la Faculté d’aller écouter-attentivement à l’intérieur de vous-même. Du Grand vous sera alors révélé. Rien de ce que vous pensez, mais ce sera tel que l’Éternel vous le fera annoncer! Dans le Silence Il laisse Ses Serviteurs nous parler. Celui qui peut se plonger en lui-même, que ce soit dans la Méditation ou dans la Prière, entendra les Voix et saura qu’il est dès ici-bas lié à l’Au-delà. Avec cela, toutefois, il est devenu un être humain nouveau. Avec cela il aura surmonté toutes les convoitises, toute la souffrance! ».
– La mise en place d’une discipline de vie. Par exemple, « Devenir un Disciple du Christ exige une très grande … Discipline! ».
– La vie en communauté. Même si – du fait de l’aplatissement spirituel ambiant – une retraite passagère peut avoir sa pleine raison d’être, l’être humain n’est fondamentalement pas fait pour durablement vivre en solitaire. La vie en commun permet la révélation des défauts et le polissage mutuel. Un être humain seul peut faussement s’imaginer être dépourvu de défauts.
Les vœux religieux
Les vœux religieux sont des préceptes particuliers de la religion chrétienne. Pour devenir un meilleur Chrétien ou une meilleure Chrétienne, un Chrétien ou une Chrétienne peut, par un engagement public ou privé, s’engager à les suivre.
Les trois principaux vœux sont:
Le vœu de pauvreté
Certes, Jésus a dit: « Il est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le Royaume des Cieux. ». Certes, l’attachement aux richesses matérielles terrestres n’est pas bon et peut détourner de nombreux êtres humains de leur Salut éternel, mais cela suffirait-il  pour faire de la pauvreté une vertu? La réponse est non. Le culte de la pauvreté pour elle-même peut facilement conduire à des excès comme l’ascétisme, le martyre volontaire, ou même le fanatisme religieux.
Ce que la Lumière attend des Aspirants à la Lumière ce n’est pas le complet renoncement à la richesse, aux biens matériels et aux jouissances c’est juste la maîtrise et la juste attitude vis-à-vis des biens matériels. C’est, dans l’ordre des priorités, de placer Dieu et Sa Volonté à la première place.
Le vœu d’obéissance
Obéir, oui, mais à qui? Obéir au Pape ou au Supérieur du couvent n’est pas la même chose qu’obéir à Dieu. Or l’Apôtre Pierre a dit: « Il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes. » (Actes des Apôtres V, 29).
C’est ce qui est illustré dans le roman « Trois amours » de A.J. Cronin, où l’héroïne Lucy Moore, après avoir connu l’échec dans son amour conjugal et dans son amour maternel, soumise au vœu d’obéissance en vigueur dans son couvent, se heurtera à l’étroite rigidité intellectuelle de la vie monastique.
Le vœu de Chasteté
La Chasteté est une grande Vertu, mais elle ne se confond nullement avec l’abstinence sexuelle. Faire un vœu de Chasteté pourrait avoir du sens, si la Chasteté était correctement comprise. Faire vœu de renonciation à aimer une femme pour un religieux ou un homme pour une religieuse ne rapproche pas forcément de son Dieu. Il n’est pas demandé à l’être humain de renoncer à l’amour humain, mais juste, dans l’ordre de priorité, de placer Dieu et Sa Volonté à la première place.
A quoi sert-il, à un prêtre ou à un moine, de faire « vœu de {soi-disant} chasteté » et de renoncer à se marier avec une femme, si c’est pour ensuite tomber dans la pédophilie? La Chasteté ce n’est pas s’abstenir de relations charnelles, c’est garder le foyer de ses pensées pur.

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De l’effronterie causée par l’avarice

De l’effronterie causée par l’avarice

De l’effronterie causée par l’avarice

L’avarice fait partie des 7 péchés capitaux. C’est un penchant grave. Un penchant – comme le mot l’indique – donne à comprendre que celui qui en est affligé penche … – comme la Tour de Pise – du côté où il va tomber!
Un penchant c’est le fait d’être accroché à une chose terrestre quelconque. Il y en a de fort nombreux. Mais celui qui succombe régulièrement à un penchant, celui-là « est accroché », comme le mot allemand [« Hang »], l’indique. Il est, de ce fait, accroché à la matière grossière terrestre. Il est lié à la Terre.
C’est cela qui lie le plus gravement une âme humaine. Parce qu’il ne s’agit pas seulement d’une faute passagère, mais que c’est devenu une caractéristique de l’âme faisant partie de son  caractère.
La mort elle-même ne met pas fin à un penchant. Par conséquent, lorsque, après la mort, une âme humaine arrive dans l’Au-delà pour y poursuivre son évolution, elle ne peut pas si facilement se libérer de son péché, elle est donc entravée, retenue! C’est comme une malédiction (sauf qu’elle n’est prononcée par personne d’autre que par elle-même) qui pèse sur elle.
En tant que caractéristique de l’âme, le penchant est ancré dans le corps fin-matériel. Quelque part, c’est encore pire lorsque cette âme n’est plus recouverte d’un corps gros-matériel, car la densité n’est plus là pour freiner le penchant qui peut alors être vécu sans aucune retenue. Même si cela concerne de l’argent gros-matériel se trouvant sur Terre!
De plus, du fait de la convoitise dirigée vers quelque chose d’inférieur, le corps animique fin-matériel devient plus dense et donc plus lourd, ce qu’il fait que, du fait de la Loi de la Pesanteur Spirituelle, il sombre jusqu’au niveau de sa propre densité, là où, aussi en fonction de la Loi d’Attraction du Genre Semblable se trouvent toutes les autres âmes affligées du même penchant, elles aussi liées à la Terre.

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Le péché fondamental – La superficialité

Le péché fondamental – La superficialité

Le péché fondamental – La superficialité

C’est peut-être un point de vue en partie subjectif, mais dans la panoplie de tous les manquements possibles il est vraisemblable que – bien que, à proprement parler, la superficialité ne soit – encore que – ni un vice ni même un péché – la superficialité constitue une sorte de « péché fondamental ». Et la nature de ce péché fondamental c’est de constamment s’abstenir d’aller au fond des choses. Ce faisant, c’est ainsi que la plus grande partie des êtres humains passent à côté de la raison fondamentale pour laquelle ils existent et sont sur Terre.
En fait, la racine profonde de la superficialité n’est autre que la paresse d’esprit, dont elle est l’une des principales manifestations. Oui, la paresse d’esprit, qui, elle, est bien l’un des sept péchés capitaux. Dans les Enseignements dispensés par l’École de L’Art de Vivre revient souvent la référence aux ravages causés par l’hyperdomination de l’intellect.
Mais il est très important de se rendre conscient du fait que l’intellect – aussi puissant puisse-t-il se montrer – ne peut jamais dominer un esprit vivant! Aussi même s’il y a lieu de déplorer la domination de l’intellect, encore bien davantage y a-t-il lieu de déplorer la paresse de l’esprit, car jamais l’intellect n’est capable de contraindre un esprit fort et conscient de lui-même! Jamais il n’aurait pu prendre le sceptre si l’esprit humain ne s’était pas montré d’une incroyable paresse! De là vient aussi la superficialité!
Une manière de rester à la surface des choses sans jamais aller jusqu’au fond, c’est, par exemple, de refuser l’échange volontaire. Si quelqu’un propose l’échange volontaire à quelqu’un d’autre qui préfère la superficialité, il suffit à ce dernier – pour demeurer dans son état de superficiel – de ne pas répondre, de faire comme s’il n’avait rien vu, lu ou entendu, et ainsi l’échange s’arrête avant même d’avoir commencé! C’est tellement facile!
Une autre manière de rester à la surface des choses c’est de se complaire dans le syndrome du spectateur. Celui qui préfère être un spectateur de la vie des autres plutôt que d’être un acteur de sa propre vie. Qui préfère être confortablement installé sur les gradins plutôt que de descendre dans l’arène prendre part au combat. Êtres humains, soyez des acteurs de votre vie et non des spectateurs!

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Le syndrome du spectateur

Le syndrome du spectateur

Le syndrome du spectateur

Soyez des Acteurs et non seulement des spectateurs!

Le « syndrome du spectateur », c’est quoi? C’est la maladie de l’âme de celui ou celle qui reste, là, indifférent(e), les bras ballants, à regarder en simple spectateur, sans rien dire ni rien faire.

Par exemple, un visiteur vient sur un site Internet, prend connaissance d’une page, y trouve peut-être de l’intérêt, voire davantage, par exemple une nourriture pour son intériorité. Peut-être même y revient-il plusieurs fois, ou même régulièrement…?

Mais, à chaque fois, il repart – totalement ignorant de la Loi du Donner et du Recevoir – sans jamais laisser quelque trace que ce soit, pas le moindre commentaire, aucune prise de contact, rien.

Il ne prend pas part à un échange, n’apporte pas son concours à la recherche d’une vérité difficile à établir, comme cela se passe sur cette page…

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