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  7. Au sujet de la réponse de Francisco de Castro ci-dessus: Il me semble que cette contribution - que je salue…

  8. En ce qui me concerne, les Lois de la Création sont incorruptibles. Un mensonge doit être considéré comme une tromperie,…

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Le déclin du Courage

Le déclin du Courage

Le déclin du Courage

Alexandre Soljenytsine: Un regard lucide et courageux

Lorsqu’une grande Conscience s’exprime…

« Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne ou Soljénitsyne (en russe: Александр Исаевич Солженицын: Aleksandr Isaevič Solženicyn), né le 28 novembre 1918 (11 décembre dans le calendrier grégorien) à Kislovodsk et mort le 3 août 2008 à Moscou, est un écrivain russe et un des plus célèbres dissidents du régime soviétique durant les années 1970 et 1980.
Né dans le nord du Caucase, il fait de brillantes études de mathématiques et de littérature. Il adhère alors à l’idéologie du régime communiste. Mobilisé en 1941 lorsque commence la guerre contre l’Allemagne, il suit à sa demande une formation d’officier d’artillerie à partir de 1942. Au front, il fait preuve d’une conduite exemplaire qui lui vaut d’être décoré. Il est cependant arrêté en 1945 pour avoir critiqué Staline dans une correspondance personnelle et est condamné pour «activité contre-révolutionnaire» à huit ans de détention dans un camp de travail pénitentiaire. Libéré en 1953, il est placé en relégation dans un village du Kazakhstan et ne pourra rentrer en Russie qu’en 1959, réhabilité par la Cour suprême.
À la faveur de la déstalinisation et de l’adoucissement du régime sous Nikita Khrouchtchev, il publie un premier roman en 1962, Une journée d’Ivan Denissovitch, première œuvre littéraire témoignant de l’existence de camps en URSS, qui fait l’effet d’une bombe. Alors que le régime se durcit sous la direction de Brejnev et que la police saisit certains de ses manuscrits, il parvient à publier quelques ouvrages en samizdat (Le Pavillon des cancéreux) ou à l’étranger (Le Premier Cercle). Ils lui valent une renommée mondiale, jusqu’à obtenir le prix Nobel de littérature en 1970.
En 1973, il donne l’ordre de publier à Paris L’Archipel du Goulag. Cette chronique minutieuse du système de répression politique en Union soviétique, nourrie de nombreux témoignages de rescapés des camps, connaît un retentissement mondial. Elle est considérée comme l’un des ouvrages majeurs du XXe siècle sur le système concentrationnaire.
Arrêté en 1974, il est expulsé d’Union soviétique et déchu de sa citoyenneté. D’abord réfugié en Europe de l’Ouest, il s’installe ensuite aux États-Unis, dans le Vermont, où il passe vingt années d’exil, au cours desquelles il écrit sa monumentale Roue rouge. Réhabilité par Mikhaïl Gorbatchev, il rentre en 1994 à Moscou, où il termine sa vie.
Figure de proue de la dissidence soviétique, il s’en démarque cependant par une vive critique du matérialisme occidental, exprimée notamment dans son « Discours de Harvard » sur le déclin du Courage (1978). »

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Le monde d’hier

Le monde d’hier

Le monde d’hier

Vers quel monde allons-nous? L’extrait du livre « Le monde d’hier » de l’écrivain autrichien Stefan Zweig est une occasion de réfléchir au genre de monde terrestre que nous désirons pour nous et nos enfants: Le totalitarisme numérique ou le respect de la liberté de l’esprit.
Stefan Zweig place l’époque-charnière en 1914. Pour lui il y a avant la première guerre mondiale et après. Autant dire que le mondialisme avec toutes ses outrances a commencé à ce moment-là.
Après avoir lu le texte ci-dessous, partagez vos aspirations et vos réflexions en commentaires en bas de la page… (Rappel: Il n’est pas nécessaire d’être enregistré pour pouvoir poster. Il est possible de poster un commentaire avec le nom de son choix. Il est possible de dialoguer entre commentateurs…)

«Le monde d’hier»
«Nous avons joui de plus de libertés publiques que la génération d’aujourd’hui» (celle de l’après Première Guerre mondiale), «soumise au service militaire, au service du travail, dans beaucoup de pays à une idéologie de masse, et dans tous, en réalité, livrée sans défense à l’arbitraire d’une politique mondiale stupide».
«Nous pouvions nous consacrer à notre art, à nos inclinations spirituelles, perfectionner notre vie intérieure, d’une manière plus personnelle et plus individuelle, en étant moins dérangés. Une existence cosmopolite nous était possible, le monde entier nous était ouvert. Nous pouvions voyager sans passeport ni visa partout où il nous plaisait, personne n’examinait nos opinions, notre origine, notre race ou notre religion.
Et de fait, rien ne rend peut-être plus palpable l’énorme régression dans laquelle est entrée l’humanité depuis la Première Guerre mondiale, que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et à leurs libertés. Avant 1914, la Terre appartenait à tous ses habitants. Chacun allait où il voulait et y restait aussi longtemps qu’il voulait. Il n’y avait pas de permissions, pas d’autorisations, et cela m’amuse toujours de voir l’étonnement des jeunes lorsque je leur raconte qu’avant 1914, je voyageais en Inde et en Amérique sans avoir de passeport et même n’en avais jamais vu aucun.

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La Loi de l’Adaptation

La Loi de l’Adaptation

La Loi de l’Adaptation

Bien qu’elles soient sœurs, la Loi de l’Adaptation  ne doit pas être confondue avec la Loi de l’Évolution, quelque peu différente.
C’est en raison de la Loi de l’Adaptation que l’être humain terrestre a perdu toute capacité d’appréhender la matière fine de l’Au-delà. Pour cela il aurait fallu qu’au lieu de se limiter à l’intellect il utilise avec vigueur son Intuition spirituelle.
De ce fait, les ailes des esprits humains se sont atrophiées et les êtres humains ont perdu toute possibilité d’Envol. Comme des serpents, ils ne peuvent plus que misérablement ramper sur le sol, tandis que leur force d’élan vers les Hauteurs s’est depuis longtemps détachée d’eux, parce qu’ils ne l’utilisaient plus, ne s’en servaient plus depuis leur soumission à l’intellect étroitement lié au terrestre.
Les êtres humains, de ce fait, sont tombés sous le coup de la Loi de l’Adaptation, qui agit auto-activement dans la matière.
Seuls persistent les organes utilisés
C’est comme pour les oiseaux, dont les ailes s’atrophient d’abord lentement pour finir par complètement disparaître par la suite, s’ils ne les emploient jamais. C’est la même chose pour les poissons dont la vessie natatoire, nécessaire à l’ascension et au maintien à une certaine hauteur, à cause de courants trop forts, disparaît avec le temps, s’ils se tiennent constamment au fond.
Même si cela prend des millénaires pour se produire, cela finit par arriver. Or, pour l’être humain, c’est déjà arrivé!

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Un bon gouvernement pour de bons sujets

Un bon gouvernement pour de bons sujets

Un bon gouvernement pour de bons sujets

Réflexions sur l’Art de Gouverner

« Le meilleur gouvernement est celui où chacun se gouverne lui-même. »
– Goethe –

La politique est l’art et la science de gouverner la cité ou l’état. Seul celui qui se gouverne lui-même peut prétendre gouverner autrui. A vrai-dire, celui-là n’a aucune prétention, c’est le Ciel qui l’appelle et le charge d’une mission. Mission qu’il accepte volontairement, par Amour et aspiration à servir.
Au cours de l’histoire, les êtres humains ont conçu ou expérimenté diverses formes de gouvernement. Nous allons passer en revue les plus significatifs pour notre propos.
Classification des systèmes de bas en Haut
La démocratie
La démocratie est la puissance souveraine du peuple se gouvernant par lui-même ou tout au moins choisissant ses représentants et gouvernants.
La république (« res publica »: la « chose publique ») s’apparente à la démocratie; elle regroupe les formes de gouvernement où le pouvoir est réparti au maximum parmi le peuple.
Les systèmes démocratiques ou républicains s’appuient sur le postulat que – ainsi que l’affirme Descartes: « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée » et il ajoute: « Chacun pense en être si bien pourvu que ceux-mêmes qui sont les plus difficiles à contenter en toutes choses n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils n’en ont. » (ce qui ne prouve rien!).
Mais le « bon sens » suffit-il pour bien gouverner? Et, d’abord, qu’est-ce que le bon sens? Est-ce le « sens commun », le sens de tout le monde? Si, pour ceux qui utilisent cette expression, c’est essentiellement de cela qu’il s’agit, alors il n’est pas forcément une référence.
La démocratie est donc un pari sur la masse. Mais si « le peuple est en haut » – ainsi que le dit Victor Hugo -, « la foule est en bas », et la loi des masses, au lieu d’être la stimulation vers le haut, est, presque toujours, le nivellement par la base où le plus grand nombre calque son comportement, non sur les meilleurs mais, le plus souvent, sur les pires.
Ce système n’est donc point le système idéal; en définitive « démocratie » est trop souvent synonyme de « démagogie »; le « démocrate » au sommet est le plus souvent un « démagogue » et le démocrate à la base – nous parlons de celui qui est sincère – est quant à lui, dans la plupart des cas, un naïf.
Le véritable « démophile » (celui qui aime véritablement le peuple) n’est pas « démocrate ».

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La Hiérarchie dans la Création

La Hiérarchie dans la Création

La Hiérarchie dans la Création

« Devant Dieu tous les êtres humains sont égaux. »
– Proverbe –

« Renonçons à vouloir être égaux! »

Hiérarchie ou égalité?
Souvent, dans les milieux anarchistes – alors que la devise de l’anarchisme est « Ni Dieu ni maître » – l’on entend des phrases du genre « La hiérarchie c’est comme les étagères, plus c’est haut, moins ça sert! »‘. Mais, selon les Lois de la Création, qu’en est-il vraiment?
Liberté, Égalité, Fraternité
Ainsi que c’est bien connu en France et même dans le « monde » entier, la devise de la France c’est « Liberté, Égalité, Fraternité ». Cette devise a volontiers été présentée par des penseurs « progressistes » comme une « lumière » pour le monde entier. Ce sujet a déjà été abordé en profondeur sur le site de l’École avec l’article éponyme « Liberté, Égalité, Fraternité » de August Manz, qui – rappelons-le rapidement ici – au sujet de cette devise, écrit ceci:
« Mais, bien que l’histoire de la Révolution française ait déjà enseigné que cette devise évoque une utopie absurde, elle hante pourtant toujours les pensées de rêveurs nébuleux, qui se laissent séduire par le clinquant extérieur de cette rhétorique, sans reconnaître le contenu chargé de ténèbres, le véritable visage de cette tentation luciférienne. ».
Par conséquent, une condamnation sans appel non de la devise elle-même, mais de tout ce qu’elle contribue à véhiculer comme idées fausses. Bien sûr, que la Liberté, en soi, c’est très bien, de même (à condition de bien comprendre ce que cela veut dire!) que l’Égalité, de même que la Fraternité, mais à quoi pensent, en réalité, lorsqu’ils s’y réfèrent, ceux qui s’en réclament?
Lorsque, avec des doigts crochus, une jolie musique est exécutée avec une harpe céleste, le séduction marche à fond. « Oh que c’est joli! », se disent beaucoup d’auditeurs, sans voir les doigts crochus qui pincent les cordes ni s’interroger au sujet des véritables motivations et des véritables objectifs de celui qui produit une si charmante mélodie.
C’est que, derrière des Notions en elles-mêmes spirituelles, se cache un poison conceptuel appelé « démocratie », faussement présentée comme la lumière du monde. Ce sujet a, jusqu’ici, juste été effleuré dans l’article consacré à  la maîtrise de soi…

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L’Ascension

L’Ascension

L’Ascension

Chaque année, le Jeudi de l’Ascension, nous commémorons et fêtons … l’Ascension de Jésus.

La Fête de l’Ascension – qui est une Fête mobile, « tombe » toujours un Jeudi, parce que l’Ascension a toujours lieu exactement 40 jours après Pâques – qui est aussi une Fête mobile (fixée en fonction du calendrier lunaire) – et qui, bien sûr, a tours lieu un Dimanche … le Dimanche de la Résurrection!

Les Rogations
En fait, la Célébration de la Fête de l’Ascension commence trois jours plus tôt, avec les Rogations (37ème, 38ème et 39ème jours après Pâques). Le mot « Rogations » vient du verbe latin « rogare » qui signifie  «demander». Demander quoi? Eh bien, c’est une époque de l’année appropriée pour demander la protection des cultures et de bonnes récoltes, car l’Évangile du Dimanche précédent comprend la Parole: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.» (Jean XV, 7).
Quoi que les Rogations – notamment à cette époque de l’année – ne soient, pour les catholiques, plus systématiques depuis le Concile Vatican II, il est à remarquer que, trop souvent, l’attention des êtres humains s’est portée sur la deuxième partie de la Phrase, sans trop prêter attention à la première partie, qui est pourtant la condition de la deuxième. Pourtant, tous devraient savoir que « Tout ce qui est unilatéral est malsain. »!
A quel moment l’Ascension a-t-elle eu lieu?
Après Pâques, certes, mais pourquoi exactement 40 jours plus tard? Après Sa Résurrection, le Matin de Pâques, Jésus devait attendre que la Porte du Ciel soit ouverte – ce qui n’a lieu qu’une fois par an – pour pouvoir ré-intégrer Sa Place, à la Droite de Dieu.
L’Ascension est donc célébrée au quarantième jour à partir de Pâques, il s’agit d’une Fête mobile, dont la date est fonction du calcul de la date de Pâques et elle est donc, de façon générale, différente entre le calendrier liturgique catholique et le calendrier liturgique orthodoxe.
Cette Fête de l’Ascension est aussi la dernière des cinq Fêtes cardinales de l’année liturgique catholique. Et, bien sûr, elle tombe toujours un Jeudi (ce qui, en fait, ipso facto le 40ème jour à partir du Dimanche de Pâques), soit entre le 30 avril et le 3 juin inclus pour les Églises occidentales et entre le 13 mai et le 16 juin pour les Églises orthodoxes.

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La féminité est un trésor

La féminité est un trésor

La féminité est un trésor

 « L’Éternel-Féminin nous entraîne vers les Hauteurs. »
– Johann Wolfgang von Goethe –

« Je conviendrai bien volontiers que les femmes nous sont supérieures, si cela pouvait les dissuader de se prétendre nos égales. »
– Sacha Guitry –

« Si l’on éduque un homme, l’on éduque un individu, si l’on éduque une femme, l’on éduque un Peuple.
– Mère Térésa –

En soi, la féminité {authentique} est un trésor. Ou – devrait-on dire? – était un trésor. Déjà un appel à la féminité a été lancé. La question de l’habillement des femmes a aussi été examinée. La pudeur est un sujet en soi. Pourquoi certaines femmes éprouvent-elles le besoin intérieur de se voiler? Quelle est la raison d’être profonde de la « galanterie »? Quelle est la plus grande Vertu de la femme? Quelle est la Mission de la femme?
Mais où sont donc passées les femmes? Il semble qu’en à peine un demi-siècle elles aient quasi-complètement disparu de la surface de la Terre. N’y a-t-il plus que des androgynes? S’il n’y a plus de femmes, il n’y a plus d’hommes, non plus. A moins qu’au contraire, sur la Terre, il n’y ait plus que des hommes? S’agit-il de travestissement ou de quoi d’autre? Que se passe-t-il?
L’habit fait-il le moine? D’après le célèbre proverbe « L’habit ne fait pas le moine », la réponse est non, mais il est clair qu’il y contribue. La robe fait-elle la femme? Non, mais elle y contribue. La robe longue fait-elle la pudeur? Non, mais cela contribue à lui permettre d’exister. Le voile fait-il la femme? Non, mais, pour celles qui le ressentent, cela peut y contribuer. Un langage châtié fait-il la femme? Non, mais il sera toujours une marque de distinction et de raffinement.
Que voit-on aujourd’hui autour de nous? Des mi-hommes mi-femmes? Non, plutôt des ni-hommes ni-femmes. Une indifférenciation sexuelle voulant non seulement abolir toutes les frontières entre les sexes mais même complètement les nier en allant jusqu’à inventer de toutes pièces le genre ou le sexe soi-disant « neutre ».  Lorsque le simple bon sens ne suffit plus à reconnaître l’évidence naturelle de la Vérité, où va-t-on?
Où mène la surenchère actuelle? Si l’homme fume la cigarette, la femme avide d' »égalité » ou de « parité » doit-elle, pour faire ses preuves, fumer le cigare? Si l’homme boit du whisky la « nouvelle femme émancipée » doit-elle carburer à la vodka? Si l’homme se laisse aller dans son langage, la femme doit-elle « jurer comme un charretier » et faire de la surenchère dans la grossièreté et le cynisme? Jusqu’où l’imitation de l’homme par la femme ira-t-elle?

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La victimite, la fatalité et la révolte

La victimite, la fatalité et la révolte

La victimite, la fatalité et la révolte

Trois maladies très répandues

La « victimite » et la fatalité sont deux maladies sœurs très répandues. La victimite est la {fausse} croyance que l’on peut être victime d’une quelconque injustice; la fatalité est la {fausse} croyance que l’on ne peut rien – ou seulement très peu – à son destin: « Je me livre en aveugle au destin qui m’entraîne » dit Oreste dans l' »Andromaque » du célèbre dramaturge français Jean Racine.
De la victimite à la révolte aveugle – laquelle est une troisième maladie faisant un triplé avec les deux premières -, il n’y a pas loin. Par exemple, la personne malade pense qu’elle est malade à cause de la fatalité ou à cause des autres. Jamais elle ne pensera être malade à cause d’elle-même; toujours c’est la faute à la génétique, à ses parents, aux microbes, à l’environnement, à la nourriture, à la malchance, aux autres, etc.
Elle ne voit pas la Grâce qui, pour le réveil de l’esprit, réside dans la maladie (lui permettant d’entendre ce que le « mal-a-dit ») et la souffrance, mais, trop souvent, par obstination, s’enfonce encore davantage dans l’erreur, ce qui, bien évidemment, à un degré encore plus élevé, lui occasionnera encore de nouveaux maux et de nouvelles souffrances.

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Vivre en Harmonie avec son support de vie

Vivre en Harmonie avec son support de vie

Vivre en Harmonie avec son support de vie

La nature, comme un palais magnifique et l’être humain comme un prince. 
Voilà le tableau idéal que devrait donner la créature humaine  dans son support de vie ici sur Terre.
Tout avait été préparé et pris en compte dès le début avec soin et amour par les bâtisseurs et les guides de ce monde afin que tout se passât bien. La Terre était effectivement ce paradis dans lequel l’esprit humain fut installé pour son cheminement terrestre. Et le début fut effectivement magnifique comme tous les peuples de la Terre le savent et l’ont conservé dans leur mémoire collective.
Mais le constat aujourd’hui est lamentable et très triste.
On peut l’affirmer avec force et désolation: L’homme en destructeur irréfléchi et insensé de son support de vie court inéluctablement à sa perte.
Rien qu’à voir l’effet de tout ce que nous produisons et qui est contre nature dans notre support de vie gros-matériel et qui rétroagissent sur nous et notre environnement extérieur; nous pouvons dire que nous creusons  notre propre tombe.

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