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Une dangereuse secte comprenant
des centaines de millions de membres
tue régulièrement dans le monde!!!
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De nos envoyés spéciaux en divers points de la planète
Cette terrible secte, particulièrement dangereuse du fait que presque personne ne se méfie d’elle – bien que l’on repère, grâce à des signes distinctifs très caractéristiques, très fréquemment, ses membres dans la rue ou les lieux publics -, provoque, dans notre pays, chaque année, par suicide collectif depuis longtemps programmé, la mort de pas moins de dizaines de milliers d’adeptes!
Cette secte multinationale, qui ne ressemble à aucune autre et semble, en de nombreux pays – bien que de nombreux courageux citoyens s’efforcent de lutter contre elle et d’en libérer les membres -, largement jouir de l’appui des pouvoirs publics – lesquels s’efforcent de tirer profit de son honteux trafic -, rassemble des êtres humains de tous bords et de tous horizons, – parfois même aussi des religieux – et souvent même des adolescents, voire des enfants, et possède de puissantes protections aux plus hauts niveaux des États.
La secte – dite de la mort lente – incite ses adeptes particulièrement soumis – de véritables esclaves volontaires, en fait! – à régulièrement s’adonner à de bien curieuses pratiques, en groupes ou même seuls – souvent ils commencent ensemble, puis, par la suite, ils le font aussi en solitaire. Autrefois, principalement les hommes adhéraient à cette secte, mais, à présent – égalité des sexes oblige! -, les femmes sont en passe de dépasser les hommes dans le nombre des adhérents et l’intensité de la pratique.
Les membres, même lorsqu’ils ne s’adonnent pas à la pratique de base préconisée par la secte, se repèrent facilement, rien qu’à l’odeur nauséabonde dont ils sont imprégnés, surtout leurs cheveux, ainsi que leurs vêtements, mais qui ne semble pas les déranger outre mesure. Certains prétendent qu’ils ne la sentent plus. Autres signes distinctifs, ils ont les doigts jaunes, l’haleine fétide, et sont parfois même en proie à de légers tremblements.
Il s’agit, en fait, de consommer, si possible plusieurs fois par jour – des fois cela va même, pour les plus atteints, jusqu’à vingt ou trente fois par jour! -, à petites doses, principalement par inhalation directe, un poison particulièrement nocif et dangereux pour soi-même et pour l’entourage, lequel provoque souvent la mort par cancer ou encore par infarctus en quelques dizaines d’années, et parfois même en quelques années seulement.
Selon des biologistes compétents, les fœtus eux-mêmes, au cours de leur développement dans le sein maternel – ce qui, hélas, ne diminue pas pour autant le nombre des adeptes du sexe féminin – ne seraient nullement épargnés par les néfastes conséquences de l’ingestion du produit toxique par leur mère…
Il s’agit, selon les chimistes qui ont étudié le produit, d’un mélange complexe de nicotine, de goudrons et d’autres substances hautement cancérigènes.
Lorsque l’on parle avec les adeptes des effets particuliers de ces substances sur eux-mêmes, la plupart semblent tellement anesthésiés par le produit inhalé qu’ils ne semblent pas se rendre compte du terrible destin que bon nombre d’entre eux se préparent…
Lorsque quelqu’un de bien intentionné les avertit sérieusement en leur disant: «Le tabac t’abat aussi sûrement que la tempête terrasse les plus gros arbres», le plus souvent ils lui rient au nez, car, du fait que la mort n’arrive pas tout de suite, mais seulement de façon différée, ils pensent que seulement les autres seront terrassés par le produit, et non pas eux-mêmes. Dans l’état d’hébétude où ils sont parvenus, ils disent: «il faut bien mourir de quelque chose!» ou bien, croyant faire preuve d’«esprit»: «le produit tue lentement; je ne suis pas pressé, et j’ai donc encore du temps devant moi!»…
La secte est tout à fait consciente de ce qu’elle fait ainsi sur ses membres, puisqu’en certains pays comme le nôtre, elle a fait écrire son affligeant programme – ce qui, de façon fort surprenante, ne dissuade pas les adeptes -, en grosses lettres, sur de petites boîtes en carton d’une dizaine de centimètres de haut sur six de large, contenant le produit qui est consommé par ses membres: FUMER TUE.
Curieusement, c’est de cette manière qu’elle semble se dédouaner auprès des pouvoirs publics, car, ainsi, l’affaire paraissant tellement grosse, le message, pourtant écrit en grosses lettres, n’est plus perçu par aucun des adeptes. Certains affirment même que, sous l’effet du poison, les adeptes seraient devenus tellement hagards et intoxiqués que, soit ils ne sauraient plus lire soit ils ne comprendraient plus un message aussi simple et vital.
L’on voit aussi, chose proprement incroyable, dans certains pays, que le poison est vendu, par les agents de la secte, non pas à la sauvette au coin de rues obscures mais dans les mêmes officines ayant pignon sur rue que celles qui servent, par ailleurs, aux États à vendre, par exemple, leurs timbres fiscaux ou postaux…
Pour convaincre ses disciples d’absorber ce produit mortel (généralement par inhalation, parfois par mastication – les initiés appellent cela «chiquer» -, certains vont même jusqu’à s’en mettre dans le nez, ce qui est, paraît-il, très prisé), les dirigeants de la secte, agissant dans l’ombre, avancent une idéologie hautement pernicieuse, laquelle donne subtilement à croire que l’absorption d’un tel poison susciterait le respect des autres, témoignerait de l’assurance de l’adepte et lui donnerait une capacité accrue à affronter les difficultés de la vie, lui permettant même de briller avec aisance en société, et, surtout, stimulerait le travail intellectuel, voire la création artistique. Un plan qui, par sa ruse et son efficacité, force l’admiration.
Les jeunes, tout particulièrement, trop souvent trop moutonniers, sont littéralement subjugués par de telles croyances et, par effet de masse, tombent par millions dans le piège mortel. Ils ont, en effet, en cela, très peur de ne pas «faire comme les autres». Il n’est que de voir les abords et même souvent l’intérieur des collèges (où cela se fait, en général, en cachette) et de nombreux lycées (où cela se fait ouvertement, lorsque cela n’est pas même encouragé).
Cette pernicieuse idéologie d’une extrême pauvreté, qui ne renvoie à aucun Idéal supérieur, ne se réfère à aucune croyance spirituelle, n’offre à ses adeptes, malgré la mort tôt ou tard provoquée (même lorsque le cancer, l’infarctus ou d’autres maladies ne surviennent pas rapidement, la vie est, en particulier par affaiblissement du foie, quand même, toujours abrégée), aucun espoir pour leur vie future dans l’Au-delà.
Au moins, sans pour autant les défendre, certaines petites sectes, dites à tort ou à raison apocalyptiques (qui ne provoquent, dans le pire des cas, la mort que de quelques personnes par an, mais que l’on accuse volontiers, elles, de tous les maux) offrent-elles en justification de leurs exigences à l’égard de leurs adeptes, un idéal de vie et la perspective d’une libération, au-delà de la mort, vers un monde espéré meilleur, ce qui n’est nullement le cas de cette fort polluante secte, dont la principale raison d’être ne semble être que la volonté de corruption de l’Air pur, lequel est pourtant, comme tout le reste, un Cadeau du Créateur, qui devrait être maintenu propre et sain par toutes les créatures.
Cette secte, sans aucun objectif spirituel, donc complètement matérialiste, à ses adeptes, en dehors de quelques instants d’illusoire plaisir, ne propose rigoureusement rien d’autre que la perspective assurée de la maladie et de la mort prématurée.
Ce produit est un piège réellement effroyable, car il s’avère finalement être une redoutable drogue, qui – sauf au prix de très grands efforts, que la plupart des adeptes, à leur stade de dépendance, ne sont plus capables de fournir – ne lâchera plus jamais, jusqu’à la mort et même après, le pauvre consommateur de cette substance psychotrope. Sa dépendance à l’égard des poisons ingérés est telle qu’elle nuit non seulement au corps physique, qu’elle pousse à la ruine et à la mort, mais subsiste même, chose attestée par de réels voyants, après la mort.
Les âmes errantes des membres de la secte, loin de pouvoir s’élever vers les plans de la Lumière, sont, du fait qu’elles sont liées à la Terre par leur irrésistible penchant vers ce produit qui continue à les attirer, condamnées à rester dans l’ambiance la plus proche de la Terre, et, pour être précis, dans la proximité des fumeurs terrestres, car ce n’est que là où des êtres humains (si on peut encore appeler ainsi les pauvres créatures devenues aussi dépendantes) incarnés fumeurs s’adonnent au même vice, qu’elles peuvent encore espérer, par leur truchement, éprouver quelque illusion de satisfaction hallucinatoire.
Comme toute secte, la secte de la mort lente est l’œuvre de dirigeants cupides, qui tirent avantage de leur pouvoir sur les adeptes de leur idéologie tout aussi fumeuse que leur produit. Son trafic leur rapporte chaque année, dans notre pays, une dizaine de milliards d’€uros! Cet honteux profit est directement blanchi dans les caisses de l’État. Une véritable mafia au pouvoir s’ingénie à maintenir cette situation en bloquant les poursuites judiciaires des gourous de la secte ainsi que la recherche scientifique relative à son poison, en tentant de contrer ceux qui s’efforcent de dénoncer le mal ainsi que ceux qui le perpétuent, et en mettant en place des actions en trompe-l’œil destinées à berner encore davantage les adeptes et les futurs adeptes que sont les jeunes.
Les dirigeants de cette secte (à côté de laquelle d’autres organisations, présumées telles, font figure de sympathiques lilliputiens) sont passés maîtres dans l’«art» du cynisme, de l’hypocrisie et du double langage. D’un côté, sous la pression de ceux – heureusement encore nombreux – qui leur résistent, ils se soumettent maintenant à l’interdit prohibant toute propagande ouverte pour leur ignoble substance et vont même, parfois, jusqu’à laisser passer des lois – pouvant, en cas de besoin, leur servir d’alibi – dites «antitabac», mais, de l’autre, ils poursuivent la culture, le séchage, l’exportation ou l’importation et la commercialisation de la plante Nicotiana Tabacum qui leur sert de matière première, le raffinage du produit et la préparation des doses pour la revente.
Malgré les centaines de milliers de suicidés à petit feu tous les ans, le honteux trafic est maintenu et sur les milliards d’€uros que ce trafic rapporte à la secte, celle-ci, en tant qu’autre alibi bienvenu, n’en consacre qu’une somme infime pour la prévention et la recherche. Mieux, elle met au point, soi-disant par souci de santé publique mais, en réalité, pur pharisianisme, des produits comportant moins de poison, afin de séduire davantage les jeunes, qui non seulement en consommeront, de ce fait, davantage, mais, par la suite, passeront, inévitablement, aux produits plus forts…
Face à un tel fléau, face à l’envahissement de millions d’adeptes consommateurs du poison, l’on ne peut que comprendre l’émoi et même l’indignation qui se saisissent des êtres humains qui, malgré la pression du milieu ambiant, réussissent à échapper à l’endoctrinement et au naufrage…
La secte du poison est donc doublement dangereuse, certes pour ses adeptes qu’elle empoisonne directement, mais aussi pour ceux qui n’en font pas partie qu’elle empoisonne indirectement, en les obligeant aussi à respirer, dans les lieux publics, par l’inévitable fréquentation des nombreux adeptes de la secte, un air notablement vicié, même en plein air. Elle en pousse aussi beaucoup au mortel désespoir face à un monde sali et perverti par le matérialisme crasseux, tout en les empoisonnant par pollution passive. Le poison, sous forme de fumée carbonisée, se répand, en effet, tout autour des adeptes, souvent regroupés – ce qui accroît la puissance du nuage destructeur -, attaque alors les poumons de n’importe quelle personne innocente se trouvant à proximité, en particulier ceux des jeunes enfants et des bébés, qui, du fait de leur jeunesse et de leur inconscience, se trouvent ainsi contaminés et habitués à l’odeur du poison dès leur plus jeune âge, les conditionnant ainsi à devenir, plus tard, aussi des adeptes à leur tour, et diminuant la résistance de leur foie !
Que faire face à une secte aussi tentaculaire? Quel «insecticide» pourrait venir à bout de l’enfumante secte de la mort lente? Beaucoup craignent de n’avoir actuellement aucune réponse satisfaisante à une telle question. Ils se demandent même, parfois, s’il ne vaudrait pas mieux devenir eux-mêmes adeptes de la dite secte et ainsi étouffer, une fois pour toutes, leur conscience, pour ne plus avoir à se poser de questions, ni à ce sujet ni, du reste, à aucun sujet, tant ce produit apparaît comme le morne endormeur des consciences définitivement anesthésiées.
Qui résistera encore au simoun destructeur et à ses vapeurs délétères, et pour combien de temps? Voilà la question désormais posée.
La résistance, toutefois, s’organise, et retentit le cri d’appel:
«Amateurs d’Air frais et sain,
et enfumés involontaires de tous les pays,
unissez-vous dans le Combat pour l’Air pur!
Vous rendez ainsi Gloire à Celui Qui vous l’offrit gratuitement,
pour le plus grand bienfait de vos poumons ainsi que celui de votre corps terrestre tout entier!».
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L’air pur est un Don merveilleux de Dieu. Tous ceux ou celles qui le souille ne savent assurément pas ce qu’ils font. Ils ruinent leurs corps et leur âme sans même s’en rendre compte.
Qu’une lumière, même encore au dernier moment, puisse leur ouvrir les yeux.
Il est vrai que chacun d’entre nous doit prendre individuellement la décision de se libérer des poisons physiques et psychologiques. La cigarette est un fléau pour notre santé et notre porte-monnaie, sans parler de l’alcool et du cannabis, dont la vente est pratiquement légale. Ce sont nos enfants qui sont les plus touchés. Merci!