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Le Secret Magnifique

Le Secret Magnifique

Le Secret Merveilleux

« Que Ta main gauche ignore ce que fait Ta main droite! »
– Matthieu VI, 3 –

Voilà le merveilleux Secret, le Secret du Bonheur: « Mais lorsque Tu fais l’aumône, que Ta main gauche ne sache pas ce que fait Ta {main} droite, afin que Ton aumône se fasse en secret; et Ton Père, Qui voit dans le secret, Te le rendra. ».

C’est ce qui est éloquemment montré dans un merveilleux film, basé sur le roman du pasteur Lloyd C. Douglas, les deux intitulés (en français):

Le Secret Merveilleux
Synopsis du film

Voici le synopsis du film: Bob Merrick a hérité de l’entreprise et de la fortune de son père et, en tant que un jeune millionnaire, depuis la mort de son père, dilapide sa vie et sa fortune en plaisirs futiles et sports violents, notamment la course en bolide nautique. Cette folie de la vitesse sur un lac américain (280 kms/heure) provoque bientôt un grave accident (le bateau se retourne). Suite à ce drame, Bob ne doit son salut qu’à un respirateur artificiel appartenant au Docteur Philips. Peu après cela, il rencontre fortuitement sa jeune et jolie veuve, Helen Phillips, dont, à deux reprises, il provoque involontairement le malheur…

Le film décrit la marche de Bob vers la Rédemption, grâce au conseil d’un ami du Docteur et d’Helen, Edward Randolph, qui lui enseigne « Le Secret merveilleux », qui va révolutionner la vie de Bob et faire de lui un autre homme… Sous le nom de Robert Stevenson, Bob tente d’adoucir la vie d’Helen et reprend ses études de médecine. Amoureux d’Helen depuis leur première rencontre, en dépit de sa répugnance initiale (c’est lui qui est la cause involontaire de la mort de son mari), Helen finit, elle aussi, par l’aimer d’amour…

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Le voyage dans le temps

Le voyage dans le temps

Le voyage dans le temps

Est-il possible de voyager dans le temps? Quel que puisse être son intérêt, ce n’est pas la question principale à examiner ici. Nous nous pré-occupons ici plutôt de savoir à quoi pourrait spirituellement nous servir la connaissance de l’avenir, si, d’une manière ou d’une autre, sur la base d’une ligne temporelle donnée, il pouvait parfois nous être révélé.
Prenons le cas d’un homme animé d’un projet voulant être bon mais qui, en réalité – sans qu’il en ait conscience -, est détourné de la Lumière.
Nous avons, par exemple, une histoire comme celle-là avec le célèbre scientifique Albert Einstein qui, prenant conscience du fait que la réalisation de la première bombe atomique (ayant débouché sur les horribles massacres d’Hiroshima et de Nagasaki) était une mise en application concrète de ses travaux sur la matière et l’énergie (« E = MC2 »), aurait ensuite déclaré: « Si j’avais su, je me serais fait plombier! ».
Il en va exactement de même dans le domaine purement spirituel. Par exemple, un théologien qui – dans le but d’adapter un Message spirituel à l » »air du temps » et de le rendre ainsi « plus accessible » aux êtres humains de la Terre tels qu’ils sont – en retire une part importante, voire fondamentale, peut, dans la durée, générer une catastrophe spirituelle. Assurément, il est bien intentionné, mais avec l’une de ces « bonnes intentions » (sic!) dont l’enfer est pavé!
Lorsqu’un être humain ne prend pas comme base de son action uniquement la Volonté Divine mais y substitue ou y mêle la sienne propre (c’est-à-dire une volonté humaine, entravée par son intellect et ses sentiments), il peut générer des résultats à long terme très éloignés de ceux qu’il avait de prime abord imaginés!
Sous l’effet de son ressenti de culpabilité et de la honte et du remords associé, il voudrait ensuite n’avoir jamais eu de si « brillantes idées »!

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L’être humain face à son karma

L’être humain face à son karma

L’être humain face à son karma

Victor Hugo à Villequier

Demain dès l’aube…

La vidéo ci-dessous raconte brièvement l’histoire, mais l’interprétation chantée manque singulièrement … de vie! (Normal, c’est de l’IA!).

Bien qu’il s’agisse de voix féminines (là où l’on attendrait, une voix d’homme (celle de Victor Hugo!), l’interprétation des « Frangines » ci-dessous est nettement plus convaincante:

Mais, étant donné que Victor Hugo a écrit: « Défense de déposer de la musique le long de mes vers », voici, maintenant, une version uniquement parlée:

Et voici maintenant une version « animée », version « manga »:

Maintenant, c’est comme si c’était Victor Hugo lui-même qui prononçait son poème:

Cette vidéo explique l’histoire plus en détails…:

Et celle-ci donne encore plus de détails…:

Certes, le poème « Demain dès l’aube » est très beau, mais il n’exprime que la douleur paternelle face au manque de sa fille. D’un point de vue spirituel, il y a, toutefois – sur le même sujet -, un autre poème de Victor Hugo, d’une bouleversante profondeur, simplement intitulé: « A Villequier ».

Le voici…

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Le Misanthrope

Le Misanthrope

Le Misanthrope

« Quelle mâle gaieté, si triste et si profonde
 Que lorsque l’on vient d’en rire l’on devrait … en pleurer! »
– Alfred de Musset au sujet du « Misanthrope » de Molière –

« Le Misanthrope » est une comédie de Molière en cinq actes et en vers, créée le 4 juin 1666 sur la scène du Palais-Royal. Le sous-titre en est: «L’Atrabilaire amoureux». Le texte complet de la pièce est, par exemple, lisible ici.

Le sujet de la pièce est un personnage nommé Alceste qui méprise l’humanité tout entière. Il en dénonce l’hypocrisie, la couardise et la compromission. La couardise est le comportement méprisable de ceux qui se laissent dicter leur comportement par la peur. La compromission est le comportement de ceux qui transigent avec la Loi, la Vérité, l’Honneur. Paradoxalement, alors qu’il est aimé d’Arsinoé, la prude (la pruderie est une caricature intellectuelle de la vraie pudeur, qui est un ressenti spirituel), et d’Éliante, la sincère (la sincérité est une qualité consistant à exprimer franchement ce que l’on ressent intérieurement), il aime passionnément Célimène, une veuve de 20 ans, coquette, superficielle et médisante.

En soi la misanthropie – c’est-à-dire le fait de détester les êtres humains et donc le contraire de la philanthropie – n’est guère recommandable, cela semble être le contraire de l’Amour. Mais c’est le talent de Molière d’arriver ici à rendre sympathique un homme qui, en apparence, déteste le genre humain. Au-delà de son apparence de « misanthrope », Alceste recèle, en fait, en lui une exigence de vérité et de sincérité dans les relations humaines qui, elle, est certainement à saluer…

En réalité, ce n’est pas qu’Alceste déteste les êtres humains ou le genre humain en tant que tel(s), ce qu’il déteste véritablement, c’est l’hypocrisie, les faux-semblants, les compromissions, les apparences, la fausseté très répandus dans la société qui l’entoure, d’une façon générale. C’est largement vrai dans la société actuelle, cela l’était déjà à son époque. En ce sens il ressemble à Cyrano de Bergerac, tel qu’il se décrit, juste avant sa mort, dans la dernière scène du dernier acte.

La pièce commence par une dispute entre Alceste et son ami Philinte (nom qui veut dire « qui aime »). Alceste semble chercher le conflit avec tout le monde, alors que Philinte est bien plus conciliant et même accomodant. Aux autres il cherche plutôt des excuses. Alceste et Philinte sont amis (leur amitié est réelle), mais – pour désigner leur relation – Alceste refuse ce mot. Reprochant à son ami Philinte de se livrer à la flatterie, Alceste condamne les faux-semblants de la société mondaine. Refusant le faux « esprit de conciliation » invoqué par Philinte, il déclare que tous les êtres humains sont haïssables.

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Un vécu inoubliable

Un vécu inoubliable

Un vécu inoubliable

Aujourd’hui, je veux raconter un évènement qui est arrivé au cours de l’une de nos excursions, à l’intérieur du Brésil.
A ce moment-là (…), je ne me préoccupais pas trop de sujets spirituels. Il en était de même pour mon père, avec lequel je faisais plusieurs excursions.
A cette époque, les voyages au Brésil n’étaient pas aussi faciles que maintenant. Le chemin de fer reliait la plupart des villes et localités entre elles, cependant, si nous voulions pénétrer dans la vaste région de l’intérieur du pays, nous devions nous contenter de chevaux et de mules. L’extraordinaire progrès du Brésil a pris place seulement dans les dernières décades. Aujourd’hui, il existe beaucoup de réseaux routiers, un grand nombre de voitures et chaque grande localité et même presque toutes les grandes propriétés ont leur propre aérodrome, où de petits avions peuvent facilement décoller et atterrir.
Cette excursion – d’ailleurs la dernière que j’ai faite avec mon père – nous a amenés dans la région de Minas Gerais, à une haute altitude.
Notre but final était la montagne de Cabral. Cette montagne est un plateau rocheux, riche en eau, et où l’on trouvait beaucoup de grands cristaux de roche à l’état pur. Cependant, ce n’est pas le cristal de roche qui nous a attirés mais plutôt le pied de cette montagne avec ses palmiers aux larges feuillages. De plus, nous espérions trouver l’un des plus grands cobras « sucuri », qui, selon les dires, devait se trouver sur les bords marécageux des ruisseaux. Ainsi avons-nous joyeusement entrepris le voyage.
Après un voyage en train – qui a duré quatre jours -, nous sommes arrivés à la dernière station située dans la région de Minas Gerais. Là, nous avons loué deux chevaux et deux mules à bagages et nous avons engagé un guide de la région, afin de nous montrer le chemin durant une partie du parcours. Nous avons trouvé sans difficulté les animaux, parce qu’il y en avait beaucoup dans la région, à cause des nombreux chercheurs et acheteurs d’or et de pierres précieuses.
Notre but était la vallée du plateau, qui pouvait être escaladée à cheval en une journée. Le guide nous a accompagnés jusqu’à la rivière que nous devions traverser. A ce moment-là, il nous a montré la direction à suivre afin d’arriver, avant la tombée de la nuit, à une cabane où nous devions dormir. Les indicateurs du chemin à escalader étaient des blocs de rocher de forme singulière entre lesquels nous devions passer.
Le chemin – ou mieux dit la piste -, que nous montions à cheval n’était pas très abrupt; de plus, les animaux étaient déjà habitués à monter; plus nous montions et plus les cailloux et l’eau encombraient notre chemin. Principalement l’eau, qui provenait de nombreux petits ruisseaux qui descendaient de la montagne, rendait notre marche difficile. Après une chevauchée de quelques heures, le sol est devenu tellement glissant que nous avons été obligés de faire un détour, sans pour autant perdre de vue les grands blocs rocheux qui nous servaient d’indicateurs de chemin.

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Ars Moriendi

Ars Moriendi

Ars moriendi

L’Art de {bien} mourir

Les cinq tentations de l’âme

 « Memento mori. »
 « Souviens-Toi que Tu es mortel. »

L’Art de {bien} Mourir
Cultiver l’Art de bien mourir c’est tout simplement se préparer à mourir. Ce qui comprend se préparer à affronter ses démons.
Les « Ars Moriendi » au pluriel, autrement dit « Art(s) de {bien} Mourir », sont caractéristiques de l’état d’esprit régnant à la fin du Moyen Âge jusqu’à la fin de la Renaissance. Bouleversés par les douloureuses épreuves traversées par les peuples de l’Europe à cette époque (guerres, épidémies telles que la peste…), les êtres humains placent la mort au cœur de leurs préoccupations. Afin de tenter de contrer l’angoisse, se développent des genres littéraires et artistiques tels que les « danses macabres », les « vanités », et les « Ars Moriendi ».
Les « Ars Moriendi » – dont il est maintenant ici question – sont des illustrations – souvent des gravures sur bois – présentant un homme allongé sur son lit mortuaire et se tenant donc au seuil de la mort. Secourables, des Anges viennent au chevet du mourant pour l’inviter à s’élever vers le Paradis. Mais, à l’inverse, des démons s’efforcent de retenir l’agonisant en bas dans la matière grossière, en lui faisant regretter les richesses matérielles terrestres dont, du fait de sa mort, il se trouve, à regret, contraint de se séparer.
La parfaite compréhension du sens éducatif des gravures nécessite la connaissance des Lois de la Création. Il faut distinguer le monde terrestre (le mourant, son lit mortuaire, ses amis et sa famille) gros-matériellement visible et le monde immatériel, supra-terrestre, spirituel, auquel appartiennent les anges ainsi que celui de l’Au-delà encore proche de la Terre auquel appartiennent les démons. Seul le mourant a accès à cet univers de l’Autre Monde.
En effet, grâce au processus de la « semi-vision » – ou « vision de transition » – (qui – en attendant que les yeux fin-matériels s’ouvrent pleinement (*) – permet de déjà commencer à voir le plan de l’Au-delà le plus proche à l’aide des yeux gros-matériels), il est comme  à califourchon entre deux mondes. Pour lui, le voile entre le monde gros-matériel lourd et le monde gros-matériel moyen et fin a déjà commencé à se déchirer.
La famille – l’entourage – de l’agonisant est dans le monde gros-matériel, et, de ce fait, ne voit pas les démons. Par contre, les démons, eux, voient les vivants de la Terre et se divertissent à leurs dépens, sans même que ceux-ci n’en aient conscience.
Sur les illustrations les parchemins déroulés sur lesquels des mots sont inscrits correspondent aux « bulles » des bandes dessinées modernes. Cela décrit les paroles prononcées par les démons et les anges.
A noter que l’auteur de ces gravures est un certain « Meister [« Maître »] « E.S. » », ainsi appelé parce que l’on ne connaît que ses initiales, avec lesquelles il signait souvent ses œuvres.

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L’être humain face à son destin

L’être humain face à son destin

L’être humain face à son destin

Le Testament de Heiligenstadt

Lorsqu’un être humain vit sa vie, il est souvent confronté … à son … destin! Autrement dit, à son … karma! Et celui-ci lui paraît, parfois, bien amer. Comme le dit une sentence semi-humoristique: « La vie est dure, lorsqu’on la boit … sans sucre! ». Alors, la question qui lui vient alors souvent à la bouche … c’est …: Pourquoi? Qu’ai-je fait pour mériter cela?
Oui, qu’a-t-il fait pour mériter cela? C’est, en effet, la bonne question, la seule qui puisse lui permettre de remonter la chaîne des causes pour parvenir jusqu’à la racine du problème: le faux vouloir qui a donné naissance à la chaîne de toutes les préjudiciables conséquences. L’être humain est obligé de se remettre en cause, car les circonstances lui donnent tort. Reconnaître et se changer: Il n’y a pas d’autre chemin!
C’est ainsi que le très justement célèbre compositeur allemand, Ludwig van Beethoven, auteur de l’immortel Hymne à la Joie (d’après Friedrich von Schiller) a dû se poser la question: « Pourquoi, moi, musicien et compositeur, suis-je devenu sourd? » C’est ce qu’il fait à merveille, de très touchante manière, dans le document appelé le « Testament de Heiligenstadt ».
Ce document est, en fait, une lettre écrite à ses deux frères, alors qu’il séjournait – pour y reposer ses oreilles – dans une ville appelée Heiligenstadt, dans la région de Vienne. Apparemment, cette lettre n’a jamais été postée, de sorte qu’elle a été retrouvée, après sa mort, dans un tiroir de son bureau. La lettre « Testament de Heiligenstadt » est reproduite, ci-dessous, en traduction française…

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Un Exemple d’Humilité

Un Exemple d’Humilité

Élisabeth de Thuringe

Avec Lucien Siffrid nous avons déjà appris à mieux connaître la Vertu de l’Humilité. Nous voudrions maintenant nous intéresser à un cas concret en donnant un exemple célèbre.
Une Princesses hongroise devenue Reine de Thuringe
Il s’agit ci d’Élisabeth de Thuringe  – initialement appelée, en tant que princesse hongroise, Élisabeth de Hongrie, née à  Presbourg, le 7 juillet 1207 –  décédée à Marbourg (où son enveloppe terrestre a sa châsse), le 17 novembre 1231.
Fiancée à quatre ans et mariée à quatorze ans au Landgrave Louis IV de Thuringe, Élisabeth de Hongrie a vécu de 1211 à 1228 au Château de la Wartburg auprès de son époux, de ses quatre enfants (le dernier n’était pas encore né au décès de son mari – survenu peu après son départ pour la croisade -, lorsqu’elle doit quitter le château, parce qu’elle ne voulait pas se re-marier) et de sa belle-mère, la landgravine douairière Sophie de Bavière.
Étant donné que Élisabeth n’avait pas le profil habituel des femmes de la cour, l’entourage du roi Louis 4 fut d’abord hostile à sa présence au château de la Wartburg en tant qu’épouse du roi et reine de la Thuringe. Alors le roi Louis IV de Thuringe leur répondit:
– « Voyez-vous, leur dit-il, cette grande montagne en face de nous? Eh bien, quand même vous me donneriez une quantité d’or plus considérable que cette masse gigantesque, je ne renverrais pas Elisabeth. ».
Le roi était conscient du Trésor qu’en la personne d’Élisabeth il avait dans son royaume, son château et son foyer.
Élisabeth disait:
– « Je ne veux pas faire peur à Dieu par une mine sinistre. Ne préfère-t-Il pas me voir joyeuse? Puisque je L’aime et qu’Il m’aime? ».
Un évocateur et admirable personnage féminin – une sorte de Mère Thérésa du Moyen Âge – suscitant, encore aujourd’hui, l’admiration des habitants non seulement de sa Hongrie natale mais aussi de ceux de sa Thuringe d’adoption, sans parler des innombrables étrangers, Chrétiens ou non…

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La Grande Pyramide révèle son Secret

La Grande Pyramide révèle son Secret

La Grande Pyramide révèle son Secret

– Extraits –

Considérations sur la Santé
«Le rythme de la vie du corps est troublé par une nourriture mal adaptée! Le sang devient impur, et circule mal dans les veines», tel était l’enseignement de Magog.
Les trois Initiés, capables de voir avec leurs yeux animiques, observaient des petits doigts qui travaillaient assidûment. Ils détachaient les fils presque invisibles dont était constitué le «ruban d’argent» reliant le corps gros-matériel au corps astral. C’étaient ces mêmes petits doigts des entéaux Manen qui avaient tissé autrefois ce lien fin-matériel.
Il y a deux sortes de Manen: Les grands et les petits. Tous portent de longues tuniques vert clair avec des capuchons blancs, serrés sous le menton par des lacets, pareils à ceux des enfants.
Les petits Manen mesurent à peine une cinquantaine de centimètres. Les autres, beaucoup plus grands, sont aussi présents lors de la mort physique d’un humain. Les petits détachent le ruban d’argent reliant le corps gros-matériel au corps astral, pendant que les grands dénouent le cordon de liaison entre le corps astral et l’âme.
Rien ne se noue ni ne se dénoue sans intermédiaire. Partout et au bon moment, des mains laborieuses s’activent pour faire le travail nécessaire.
«Tout ce qu’un être humain fait à autrui, créature humaine ou animale, que ce soit pour le Bien ou pour le mal, il ne le fait qu’à lui-même!»
«La souffrance éveille le cœur! Et les larmes du repentir lavent la faute!» – Thisbé -.
«Vis de telle sorte que nul ne souffre par Ta faute! Et vis de telle façon que nul ne pèche à cause de Toi!» – Thisbé –
«Les maladies surgissent lorsque l’esprit et le cerveau du corps physique ne collaborent plus l’un avec l’autre, mais quand ils agissent l’un contre l’autre.» (Sargon – Suprême-Grand-Prêtre de la Chaldée)
«Des maladies répugnantes, comme celles que Tu vois ici, ne peuvent se former que chez des gens négligents qui pèchent contre la Loi céleste. Le mal surgit lorsque la Foi pure se trouble.» (Sargon)
«Tout dans le monde a une odeur qui lui est propre. A plus forte raison chaque maladie, et surtout la mort. Avant que celle-ci n’ait lieu, une décomposition commence.»

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Le Chemin propre

Le Chemin propre

Le Chemin propre

Cinq Sages se sont égarés dans une vaste forêt, dense et sombre.
Lorsqu’il s’agit d’enfin en sortir….:
– Le premier dit: «Je vais à gauche, c’est mon intuition qui me le dit.».
– Le deuxième dit: «Je vais à droite. Ce n’est pas en vain le mot « droite » dérivé du mot « droit ».».
– Le troisième dit: «Je fais demi-tour. C’est de là que nous venons, c’est de là que je sortirai sûrement des bois.».
– Le quatrième dit: «Je vais de l’avant – il faut avancer, la forêt va sûrement finir par se terminer et quelque chose de nouveau va se présenter.».
– Le cinquième dit: «Aucun de vous n’a raison. Il y a un meilleur moyen. Attendez-moi.».
Il trouve l’arbre le plus élevé de la forêt et l’escalade. Une fois en haut de l’arbre, il voit où il doit aller pour – le plus vite possible – sortir de la forêt.
Maintenant, il peut même dire dans quel ordre les autres sages vont arriver à la lisière de la forêt. Monté le plus haut, il voit le plus court chemin pour sortir de la forêt. Ainsi il se rend compte qu’il se tient au-dessus du problème, de sorte qu’il peut ensuite le résoudre mieux que quiconque! Il est sûr qu’il a tout fait correctement. Mais pas les autres. De son point de vue, ils se montrent têtus à ne pas vouloir l’écouter. Il pense de lui qu’ainsi il s’est montré un vrai sage!
Mais, en fait, oui, il a tort de présomptueusement penser cela…
Et pourquoi donc?

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