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Une volonté libre et consciente uniquement dirigée vers le Haut

par | 15 Fév 2024 | Moralité et comportement, Autres Articles, Exercices Spirituels, Santé et Spiritualité | 0 commentaires

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Une volonté libre

et consciente

uniquement dirigée

vers le Haut

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Montagne

Montagne

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Tel est le haut Objectif auquel le présent écrit souhaite concrètement commencer à apporter sa contribution.

Cet Objectif vous semble-t-il déjà atteint pour vous, ou vous semble-t-il encore désirable?

Beaucoup d’êtres humains s’imaginent être libres, mais, en réalité, ne le sont pas; il y en a peu qui le soient vraiment. Des fois, même pour qui le veut vraiment, une vie entière ne suffit pas pour le récupérer, pour le désenfouir.

La plupart des gens s’imaginent qu’être libre signifie pouvoir accomplir tous ses désirs terrestres sans restriction. Mais est-ce qu’un drogué, un buveur, un fumeur, un goinfre, un obsédé sexuel, etc., sont libres? Non, ils sont juste esclaves de leurs convoitises par trop terrestres, de leurs bas instincts, ils sont, tout au contraire, fortement dépendants. Et pourtant, paradoxalement, ils se considèrent – à tort – comme «libres» d’accomplir tout ce qu’ils désirent, puisqu’ils le font!

D’autres êtres humains, qui ne sont pas affligés de tares aussi rédhibitoires liées à des instincts par trop dominants, croient aussi être libres, alors que, chez eux, ce n’est pas fondamentalement l’instinct qui les opprime mais leur propre intellect, leur mental.

Le processus d’entrave est ici plus subtil et il est plus difficile de s’en rendre conscient, mais le ligotage n’en est pas moins fort pour autant, car leur volonté est constamment entravée par l’intellect terrestre.

Cela se manifeste de bien des manières.

L’une d’entre elles, et pas la moindre, ce sont les faux concepts et – en dérivant – les fausses conceptions, donc les fausses croyances, les préjugés, les idées reçues, etc.

L’impact de tous ces fausses pensées dans la vie de l’être humain, est considérable, car cela crée, devant lui, des barrières et toutes sortes de limitations, qui impriment leurs effets jusque dans les cellules de leur corps et exercent leurs effets négatifs dans toutes sortes de domaines.

C’est ainsi qu’il existe une «biologie des croyances». La science quantique montre – prouve même – que nos croyances sont capables de modifier nos gènes. Il n’y a donc pas de réel déterminisme. Ce qui nous est renvoyé par notre hérédité c’est juste le résultat de ce que nous avons déjà développé au cours de nos vies antérieures.

Le principe est toujours le même: L’être humain a, certes, la liberté de décision, mais il est toujours intégralement soumis aux conséquences de ses propres choix, jusqu’à ce que ces conséquences soient entièrement répercutées et que, par de nouveaux choix, il ait généré de nouvelles conséquences capables, par des croisements de fils, d’infléchir les anciennes dans de nouvelles directions.

D’où le proverbe:

«Change en Toi, et cela changera {aussi} autour de Toi!».

Lorsque l’on a compris et accepté ce qui précède, la porte devient ouverte à des changements.

Comment l’être humain asservi par son propre intellect peut-il, intégralement, re-devenir libre?

Certes, déployer pour cela lui-même, en partant du haut ou de l’intérieur, un fort vouloir, mais c’est précisément ce qui, le plus souvent, fait défaut!

Alors, qu’est-ce qui peut, en partant du bas – ou de l’extérieur -, aider un être humain à retrouver l’intégralité de son libre vouloir (aussi appelé, en concepts philosophiques: «libre arbitre»)?

Un être humain se doit d’être clair.

Il doit d’abord prendre conscience, s’efforcer de savoir si sa personnalité est ou non cohérente et unifiée.

C’est là un Chemin à parcourir, une Démarche consistant à gravir une Échelle Ascensionnelle.

Pour cela existent différentes aides possibles sous forme d’outils, comme le sont, pour un Pèlerin, un Bâton (pour frayer la voie, prendre appui, se défendre, etc.) et une Lanterne (pour voir clair devant soi, surtout quand il fait sombre).

Le But est déjà, comme toujours, de se connaître soi-même. Pour cela existent des outils d’aide à la reconnaissance.

L’un de ces outils a déjà été présenté dans le texte «Un corps en résonance». On peut l’appeler «Test musculaire», «Bio-Test Universel», «Kinésiologie» ou encore d’autres appellations similaires. Pour notre part, nous l’appellerons présentement, simplement, ici «Bio-Résonance».

Ce principe est illustré par le proverbe:

«Ainsi que cela crie dans la forêt cela résonne
aussi
à l’extérieur»
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C’est, en ce cas, l’âme elle-même qui, par son irradiation, dans le corps, provoque des modifications, et, en retour, le corps rétro-agit sur l’âme.

Ainsi que cela résonne, à l’intérieur, dans le Noyau Spirituel, cela résonne aussi, à l’extérieur, dans les enveloppes, d’abord les plus fines (celles de l’âme), puis, jusqu’à, pour finir, la plus grossière, le corps physique gros-matériel lui-même!

La Bio-Résonance est donc un précieux indicateur; elle permet de vérifier la cohérence interne des êtres.

Comment cela fonctionne-t-il?

Dans un premier temps, il convient, d’abord, déjà, d’éliminer les faux concepts.

L’on peut, par exemple, demander à la personne d’énoncer l’une de ses croyances théoriques fondamentales. Et, par la Bio-Résonance, à ce sujet, tester sa cohérence interne.

Si, juste après avoir énoncé sa croyance fondamentale, la personne est «testée faible», ce qui veut dire que, bien qu’ayant des implications « négatives », le test est «positif» – cela veut tout simplement dire qu’elle ne croit pas réellement ce qu’elle affirme pourtant être son «credo». De ce fait, si elle veut vraiment re-devenir libre, elle devra, librement, abjurer sa fausse croyance, qui, sans même parler des autres, l’entrave et lui nuit.

Supposons qu’un homme politique ou que quelqu’un de socialement engagé soit volontaire pour effectuer une vérification de ses croyances, ou bien de se laisser tester par rapport à la sincérité de ses discours politiques.

Et c’est ainsi, qu’afin de re-devenir libre, une par une, il est radicalement possible de les éliminer

Prenons une personne qui a un engagement idéologique quelconque. Par exemple, s’il s’agit d’un communiste, il pourra être testé par rapport à la phrase: «{Je suis convaincu que} l’avènement du communisme universel va apporter le bonheur à l’humanité».

L’objectif n’est pas ici de déterminer si une telle assertion (le fait que le communisme puisse apporter le vrai bonheur aux êtres humains) est juste en elle-même – encore que -, mais de déterminer déjà le degré de sincérité, non seulement par rapport aux autres mais aussi et surtout par rapport à lui-même, de celui qui la prononce.

Soit dit entre parenthèses, s’il apparaît qu’en réalité celui qui affirme publiquement cela n’y croit pas vraiment lui-même, la probabilité que la chose arrive réellement devient, bien évidemment, infime.

Mais ce qui est ici important pour la personne elle-même c’est d’arriver à prendre conscience si, oui ou non, sa vie est en conformité avec ce qu’il prétend. De façon générale, les politiciens, les leaders syndicalistes, les responsables d’entre prises ou d’administrations ou de corps professionnels, etc. font de beaux discours, mais croient-ils vraiment, déjà eux-mêmes, à ce qu’ils racontent?

Poser la question c’est déjà y répondre; bien souvent, la réponse est, bien évidemment, non.

Ces personnes ne vivent pas en cohérence avec elles-mêmes.

Mais qu’est-ce que Vivre en Cohérence?

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Une volonté libre et consciente

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