Ecole de l'art de vivre

Enigmes

  1. Ce conte de Noël - Noël, 9 mois plus tôt - je viens de le relire... Moi aussi "ce conte…

  2. "La Vigilance" Merci pour ce texte qui englobe toutes les bonnes conséquences qu'un esprit vigilant peut récolter. J'ajouterai que le…

  3. "LE SILENCE" Si les êtres humains, dans leurs nombreuses discussions parfois plus ou moins inutiles, s'efforçaient de placer des plages…

Philosophie et Quête de la Vérité

Philosophie et Quête de la Vérité

Philosophie et Quête de la Vérité

Philosophie – un concept issu de la Grèce antique – veut dire « Qui aime la Sagesse ». Un philosophe est donc, en principe, un ami de la Sagesse. Étant donné qu’il ne peut y avoir de Sagesse en dehors de la Vérité et que la découverte de la Vérité ne peut conduire qu’à une vie sage, naturellement, l’on pourrait penser que les deux démarches devraient avoir le même objectif et conduire au même But, mais l’expérience vécue montre que, dans les faits, à notre époque, c’est loin d’être toujours le cas.
Alors comment se fait-il? En réalité, la Quête de la Vérité et la philosophie ne peuvent pas se tenir sur le même plan. La Quête de la Vérité est fondamentalement une Démarche spirituelle de l’esprit humain reconnaissant sa place dans la Création et recevant avec Humilité un Savoir supérieur, alors que, dans la philosophie, l’être humain veut investiguer et tout évaluer avec son intellect et se place au centre.
Dans la démarche philosophique le philosophe épris de pensée rationaliste, – particulièrement bien incarné par le philosophe français René Descartes – énonce ainsi sa maxime fondamentale « Je pense donc je suis », alors que c’est exactement l’inverse! En effet, du point de vue des Lois de la Création, la maxime correcte est, au contraire: « Je suis, donc je pense! ». Le problème est donc que – alors que la Vérité ne peut jamais être trouvée par l’intellect, la plupart des philosophes – sauf, peut-être Henri Bergson, le « philosophe de l’Intuition » – ont succombé, eux aussi, à la domination de l’intellect et ne croient qu’en lui.
Ce problème, déjà existant lors de la naissance de la philosophie à l’époque de Socrate, « le père et le patron de tous les philosophes », n’a fait que s’accentuer au fil des siècles Toute la philosophie – dont se réclament les philosophes – porte donc maintenant la même limitation que l’intellect étroitement lié à l’espace et au temps terrestres.
La Vérité authentique est porteuse d’une évidence naturelle. L’on ne sait pas pourquoi l’on sait, mais l’on sait que l’on sait.

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Les êtres entéalliques parlent

Les êtres entéalliques parlent

Les êtres entéalliques parlent

Partie 1
Les êtres de la terre et du feu

Bartosz Mikołaj Ryszka
Tobiasz Adam Ryszka

Nous avons déjà vu que « Les arbres parlent ». Cette fois-ci, grâce aux mêmes intermédiaires clairaudients – Tobiasz et Bartosz -, nous découvrons que les êtres de la Nature – appelés êtres entéalliques -, eux aussi, parlent et, à l’occasion, aussi aux êtres humains. Que nous disent-ils? A découvrir ci-dessous…

Table des matières
Introduction.
1.1.       Préface de Tobiasz.
1.2. Préface de Bartosz.
Les Êtres de la Terre.
2.1.       Premier Contact avec les Gnomes.
2.2.       Deuxième Conversation.
2.3. Iljan.
2.4. Aljan.
2.5. Questions et Réflexions.
2.6. Réunions des Familles de Gnomes.
2.7. Le Gnome de la Terre.
2.8. Le Gardien Sectoriel du Gnome de la Terre.
2.9. Les Gardiens des Espèces de Gnomes.
2.10. Le Départ des Gnomes de la Matérialité Grossière et Fine.
2.11. L’Apparence des Gnomes.
2.12. Message du Gardien des Mines.
2.13. Capacités et Dons des Gnomes.
2.14. Les Lois des Gnomes.
2.15. Le Travail des Pierres et Minéraux.
2.16. La Puissance de Soutien des Cristaux et des Gnomes.
2.17. Irmin.
2.18. Autres Capacités des Gnomes.
2.19. La Loi de l’Invariabilité des Espèces.

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Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

“La seule chose qui vaille, c’est l’intuition.”
– Albert Einstein –

Mais de quoi parle-t-on, enfin?
Infiniment nombreuses sont les personnes qui considèrent les actions de la vie quotidienne comme le fruit unique du cerveau qui produit l’intellect, d’où découlent les pensées, les sentiments et l’imagination. Avec son concours, nous agissons et combinons habilement techniques et outils pour élaborer, construire et bâtir les divers domaines de la science. Journellement, nous transformons nos “œuvres“ mentales en réalisations pratiques privées ou professionnelles. Le cerveau est donc grandement appréciable et sa valeur est jugée indiscutable. Il aura fallu tout le vingtième siècle et des recherches considérables entrecoupées de tâtonnements incertains et de nombreuses contradictions pour apprendre à mieux connaître cet instrument remarquable. Au vingt et unième siècle, les hommes voient en lui le sommet, l’achèvement de ce qu’est l’homme. Ils en sont désormais convaincus, leur cerveau est l’esprit, et ils font tout ce qu’il est scientifiquement possible pour s’en persuader. Ainsi, un formidable engouement fébrile pour les neurosciences et les biotechnologies s’est emparé de milliers de chercheurs qui espèrent voir, en ce domaine, l’aboutissement et la consécration de leurs travaux. Sous l’emprise des découvertes technologiques, de la curiosité et du sensationnel médiatiques, de la mise en avant des personnes et l’appât démesuré du gain, des entreprises investissent à fond dans le créneau des sciences du cerveau, dans l’espoir, à terme, d’une fusion cyborgienne, apothéose de toutes leurs ambitions.
Ce cerveau est une masse organique. Il est composé de cent milliards de neurones interconnectés entre eux par des synapses. Il occupe environ un volume de 1200 cm3 et son poids avoisine 2,2% du poids total du corps, c’est-à-dire en moyenne 1400 grammes pour un cerveau masculin et 1280 grammes pour un cerveau féminin. Il atteint 90% de son poids définitif entre 4 et 6 ans. C’est un gros consommateur d’oxygène absorbant plus de 18% de la consommation totale du corps et il utilise 15% du débit cardiaque. Dotée d’une extraordinaire complexité, il fonctionne selon un codage réalisé par une succession plus ou moins irrégulière de signaux chimiques appelés neurotransmetteurs qui produisent des tensions électriques faibles de l’ordre du millivolt. L’appellation “matière grise” provient de la couleur de ses deux hémisphères. Le cortex cérébral se développe vers la 25e semaine de la grossesse. Du point de vue physique, le développement du cortex associatif et l’épanouissement du lobe frontal sont des spécificités de l’homme qui marquent nettement la différence qui existe entre les humains et les primates. Des découvertes physico-chimiques successives laissent à croire que tous les secrets du cerveau seront bientôt percés, en particulier ce que sont l’esprit et l’intuition. S’ajoutant à ces découvertes, de nouvelles connaissances en informatique et en électronique ont permis de concevoir l’“intelligence artificielle” connue sous le sigle I.A. Certains experts disent même qu’avec l’IA ils sont ainsi parvenus à extraire du cerveau un « modèle d’intelligence désincarnée”.
Puissant outil, désormais présent partout. Si certains craignent ses effets, d’autres, par contre, promettent d’atteindre, grâce à elle, le sommet de ce que le cerveau véhicule. Ils affirment pouvoir prouver la réalité du phénomène intuitif, qu’ils situent dans le cerveau. “Et bientôt, on va parler de logique intuitionniste, de manière à apporter par la preuve et la vérification la réalité de l’intuition humaine”, expliqua en son temps le professeur Maurice Trévoux, qui fut chef de service au groupe hospitalier Henri Mondor/Albert Chennevier.

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Les arbres parlent

Les arbres parlent

Les arbres parlent

1. Introduction
1.1. Préface de Tobiasz
Nous avons commencé à écrire ce livre avec Bartosz, à mon initiative. J’ai tout simplement pensé que, puisque Bartosz dialogue avec les arbres depuis des années, nous pourrions consigner ces conversations. L’idée a beaucoup plu à Bartosz, et nous avons ensuite reçu un signe que ce projet était agréable à Dieu, et que la Lumière soutiendrait sa réalisation.
Il convient de préciser que ces dialogues sont absolument authentiques. Les arbres, ou plus précisément les esprits des arbres, ont répondu à nos diverses questions. À beaucoup de ces questions, nous connaissions déjà les réponses, mais nous étions curieux de découvrir la perspective des arbres. Ce livre montre comment les esprits des arbres perçoivent l’humanité contemporaine et leur profond désir de redevenir nos frères.
Les êtres de la nature, comme les esprits des arbres, autrefois bien connus de l’humanité, incarnent l’activité de la nature et son influence. La connaissance de ces esprits est une étape essentielle dans le développement spirituel de chaque être humain. Dès leur plus jeune âge, les enfants devraient être initiés aux forces de la nature et, par leurs expériences avec elle, acquérir un socle essentiel pour l’éveil futur de leur esprit au cours de l’adolescence. Or, comme nous le savons, il manque aujourd’hui à notre humanité ce lien…
Nous avons appris beaucoup sur leur vie, sur ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas accomplir. Ce livre contient sans doute de nombreuses informations que le lecteur ne trouvera nulle part ailleurs. Je t’invite, cher lecteur, à ce voyage, dans la forêt, et que ce livre soit comme une promenade en forêt : merveilleuse, apaisante, révélant de nouvelles vérités et offrant des aperçus profonds sur l’homme et les arbres. Cher lecteur, imprègne-toi de la bonne énergie des arbres, et que ton cœur s’ouvre à l’amour ! Bonne lecture !
1.2. Préface de Bartosz
Le livre que vous tenez entre vos mains est le fruit de l’amitié que Tobias et moi entretenons avec les arbres. Depuis des années, je dialogue avec eux, ou plutôt avec les esprits des arbres. Ce don de clairaudience, dont je suis reconnaissant envers le Créateur, m’a permis de nouer de véritables amitiés fondées sur la confiance et le soutien mutuel. Je sais pertinemment que les relations que Tobias et moi avons tissées avec nos amis arbres ont eu un impact considérable sur notre développement personnel et notre vie future. Les mots d’encouragement et les conseils que nous avons reçus de nos amis forestiers sont innombrables, et j’en suis infiniment reconnaissant.
Dans le monde moderne, l’homme a oublié le contact avec la Nature. Dans sa quête d’une vie meilleure et plus confortable, il néglige la présence d’une vie foisonnante qui l’entoure et qui se manifeste à travers les êtres de la nature. Le fait qu’il ne puisse ni les voir ni les entendre avec les sens physiques ne peut constituer une preuve incontestable de leur inexistence. Il existe des personnes capables d’entrer en contact avec ces êtres, et persister à les ignorer relève de l’entêtement et de l’étroitesse d’esprit.
Tout être humain, lorsqu’il change d’environnement — comme un nouvel emploi par exemple — doit apprendre à le connaître pour pouvoir y évoluer avec plus de liberté et d’efficacité. Pour être performant dans un nouveau travail, il doit comprendre les divers départements, savoir quelles responsabilités incombent à chacun, qui est chargé de quoi, quelles sont ses propres missions et celles des autres employés, et comment collaborer pour que ses actions contribuent au bien de l’entreprise. Il en va de même dans la Création. L’homme est censé connaître la Création, comprendre les lois qui la régissent, et partager la beauté de la vie avec les êtres qui y habitent. Ce processus graduel de connaissance apportera non seulement un accroissement de savoir, mais aussi une mobilité spirituelle accrue et plus libre, essentielle pour la maturation et l’Ascension progressive à travers les niveaux de la Création.
Je suis convaincu que ce témoignage aidera beaucoup à entrevoir une parcelle de ce qui se cache derrière le terme « êtres de la nature ». Les arbres font partie intégrante de notre quotidien. Je crois qu’après avoir lu ce livre, le lecteur ne les regardera plus de la même façon. Je crois également que cette lecture permettra non seulement de mieux comprendre les êtres évoqués, mais aussi de se rapprocher d’eux et de les aimer davantage. C’est ce que je souhaite à chacun.

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La transcommunication, une variante du spiritisme

La transcommunication, une variante du spiritisme

La transcommunication, une variante du spiritisme

La salle de la conférence était comble pour ce congrès sur le thème de la transcommunication, car les organisateurs avaient invité plusieurs auteurs connus spécialisés dans la communication avec les morts. Quatre cents personnes venues de tous les coins du pays écoutaient avec une certaine religiosité les propos des expérimentateurs. Les explications et les expériences des uns et des autres mettaient en évidence les progrès de la transcommunication sur le plan de la connaissance de l’au-delà, des rapports avec les défunts et des différentes techniques utilisées. Les amateurs et les spécialistes de cette parascience puisent leurs ressources dans le spiritisme et la technique. Ils jurent d’avoir un mobile puissant et louable pour justifier leur action: apporter la preuve que l’au-delà existe parce que les morts parlent et, simultanément, parvenir à démontrer que la vie continue autrement après la mort. Les intervenants assuraient qu’ils abordaient cette pratique avec beaucoup d’humilité et d’amour. Un tel discours ne pouvait que recevoir l’approbation générale du public, par ailleurs déjà acquis. Un orateur évoqua les problèmes et les peurs vécus, quelques auditeurs témoignèrent aussi de quelques dangers. Ces témoignages étaient accueillis avec une grande attention par le public. Mais la force d’attraction du sensationnel l’emportait sur le bon sens et sur l’intuition. C’est un peu comme pour les accidents de la route. Ces histoires n’arrivent qu’aux autres… pourquoi s’y attarder !
Il régna un moment pathétique lorsqu’une dame témoigna de sa terrible expérience expliquant qu’elle était hantée par la voix de son mari qui l’implorait de venir le rejoindre dans la mort, il exigeait d’elle qu’elle se donne la mort, tout comme il l’avait fait quelque temps auparavant. Au fil des mois, continua-t-elle à raconter, d’autres voix étaient venues la perturber. Elle sentait comme un trou à l’arrière de sa tête (elle désigna son cervelet avec sa main droite). Elle sentait que par ce trou, des voix s’engouffraient dans son cerveau. Réduite à ne dormir que deux à trois heures par nuit, elle en était venue, à son corps défendant, à vivre un horrible calvaire tant elle était soumise, à chaque heure du jour et de la nuit, à ces voix venues d’outre-tombe. Certains auditeurs, fort attentionnés, lui conseillèrent de prier, ce qu’elle semblait ne jamais faire ou ne pas savoir faire. Un intervenant proposa au public de réaliser une prière collective silencieuse, dans l’espoir de pouvoir libérer cette femme de ses liens nocifs avec l’au-delà.
Plus tard, lors de son intervention, un expérimentateur affirma avec le sourire qu’il était un “drogué” de la transcommunication, qu’il était accoutumé et que, pour rien au monde, il n’arrêterait sa pratique. Il en connaissait en partie les dangers en ayant déjà subi un préjudice qu’il n’osa pas décrire. Mais rien n’y ferait, c’était devenu sa folle passion, même si pourtant, quelque chose le mettait en garde, il continuerait…
Face à l’attitude et au comportement d’un certain public, il y a nécessité de faire œuvre salutaire en expliquant quels sont les phénomènes réellement en jeu dans le processus de la transcommunication. Commençons en précisant qu’il s’agit d’une variante moderne du spiritisme.

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La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise, aussi appelée « Prière pour la Paix », est communément attribuée à François d’Assise, mais ce serait – comme l’a montré l’historien Christian Renoux dans son livre consacré au sujet –  de façon erronée.
Quel qu’en soit l’auteur – cela pourrait, en particulier, être l’Abbé Esther Bouquerel (855-1923) l’ayant appelée « Belle Prière à faire pendant la Messe » -, c’est, assurément, en effet, une très belle Prière.
La première version connue de cette célèbre prière est publiée dans le numéro de décembre 1912 de la revue « La Clochette » (Bulletin de la Ligue de la Sainte Messe) par le prêtre normand Esther Bouquerel.
Une bonne raison de penser que cela pourrait être lui l’auteur, c’est le fait que sa revue eucharistique contenait essentiellement des textes issus de sa plume.
Mais l’habitude étant prise de l’appeler « prière de Saint François d’Assise, il est peu probable qu’elle s’appelle prochainement « Prière de l’abbé Esther Bouquerel »…
Quoi qu’il en soit, la voici…

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L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

Questions préalables
Nous avons déjà approfondi l’importante question « Comment reconnaître ce qui est supérieur? ». Nous nous sommes aussi posé la question de savoir si – comme certains semblent le croire – l’être humain est divin ou bien – conformément au nom « homme » – simplement humain?
Nous avons aussi déjà vu que – en fonction de son genre limité (l’esprit humain ne prend pas forme immédiatement mais, initialement, avant de devenir un esprit à part entière, en tant que germe d’esprit, est soumis à une évolution) – « L’être humain ne peut pas voir Dieu en Face ».
L’être humain peut-il réellement connaître – ou  reconnaître – ce qui se tient plus haut que lui?
En relation avec ces questions déjà examinées se pose maintenant une nouvelle question: L’être humain peut-il réellement connaître ce qui se tient plus haut que lui? Et la réponse à cette question est clairement non. En effet, « con-naître » signifie « naitre avec ». Il s’agit donc d’une expérience vécue spirituelle personnelle.
Par conséquent, « avoir entendu parler de » ou « avoir lu que » ou « avoir vu à la télévision ou sur Internet que » n’est pas du tout la même chose que connaître ou que savoir, car le véritable Savoir vient uniquement de l’expérience vécue, laquelle ne peut être que spirituelle.
Ce qui est seulement appris par l’intellect n’est pas du Savoir mais seulement de l’érudition. Or l’érudition – seulement enregistrée dans le cerveau terrestre – s’arrête d’exister à la mort. Alors que le Savoir vivant s’attache à l’âme et à l’esprit et continue de perdurer, même après la mort du corps gros-matériel.
Alors, demandera-t-on peut-être, comment est-il possible de savoir que Dieu existe si l’être humain n’est pas capable de voir Dieu en Face?

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Le Secret de la Sainte Lance

Le Secret de la Sainte Lance

Le Secret de la Sainte Lance

« L’être humain n’est qu’un roseau, le plus fort de la Nature, mais c’est un roseau pensant. »
– Blaise Pascal –

– « Prends la Lance! Prends la Lance! » C’est l’injonction intérieure que reçoit, pendant la guerre de cent ans, Marguerite, une frêle jeune fille – une « pastourelle » gardienne de moutons – seule pour défendre le Château du Puy du Fou – alors que les Chevaliers sont partis soutenir Jeanne d’Arc au siège d’Orléans – contre l’invasion bourguignonne, alors que les Bourguignons ont fait alliance avec les Anglais.
Cette histoire se passe dans le cadre du spectacle médiéval « Le Secret de la Lance » présenté au Puy du Fou.
La Sainte Lance est souvent présentée comme la lance de soldat romain Longinus (consédérée comme un saint par l’église catholique; il a même – sculptée par Le Bernin (« le second Michel-Ange ») – sa statue dans la Basilique Saint Pierre de Rome) ayant percé le côté droit de Jésus sur la croix.
Sainte Lance – Longin au pied de la croix – Jan Provoost – Groeningemuseum de Bruges
Mais la lance de Longinus avait-elle – outre celui de percer le flanc de Jésus – un pouvoir spécial? Rien ne l’indique si ce n’est quelques films d’aventure très imaginatifs comme, par exemple, « Les aventures de Flynn Carson – Le Mystère de la Lance Sacrée » ou « Indiana Jones et le Cadran de la Destinée » ou encore « A la poursuite de la Lance Sacrée ».
Alors, c’est quoi le Secret de la Lance? Dans le spectacle du Puy du Fou « Le Secret de la Lance » une chanson, chantée sur une magnifique musique de type celtique de Carlos Núñez, apporte la réponse: « Le Secret de la Lance … c’est … la Lumière »!

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L’être humain peut-il voir Dieu en Face?

L’être humain peut-il voir Dieu en Face?

L’être humain peut-il voir Dieu en face?

Souvent, lors des cérémonies d’inhumation, l’on entend le prêtre célébrant dire que le défunt (par ailleurs souvent encore affligé de quelques défauts) est maintenant assis « à côté de Dieu ».

La naïveté d’une telle croyance peut surprendre, elle est pourtant encore assez fréquente, par exemple dans les milieux catholiques traditionnels.

De la même manière – même sans parler de « voir Dieu en Face », beaucoup de croyants pensent que leurs proches s’en vont immédiatement au Paradis après leur décès, même si – par ailleurs – ils leur {re}connaissent quelques défauts.

Un exemple. Un témoin ayant assisté à l’inhumation de sa mère raconte:

« Le lendemain de la cérémonie d’inhumation, lors d’un conseil tenu par les enfants, frères et sœurs, l’une de mes sœurs, religieuse, a déclaré être convaincue que notre mère était maintenant au Paradis. Aussitôt, une autre de mes sœurs a affirmé qu’elle avait une conviction identique.

Pourtant, quelques jours plus tôt, les mêmes personnes, évoquant leurs souvenirs d’enfance et de jeunesse, se rappelaient volontiers – outre d’indéniables solides qualités – quelques mémorables colères de la défunte. ».

Alors, que penser d’une telle situation? L’on peut, par exemple, envisager que la défunte, coléreuse dans sa jeunesse, se soit, avant de passer dans l’Au-delà, totalement libérée de son penchant à la colère. Un être humain qui, au cours de sa vie terrestre, se libère ne serait-ce que d’un seul défaut n’a certes point perdu son existence.

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Bienheureux les pauvres en esprit car le Royaume des Cieux est à eux!

Bienheureux les pauvres en esprit car le Royaume des Cieux est à eux!

Bienheureux les pauvres en esprit car le Royaume des Cieux est à eux!

« Bienheureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux! ». Cette Béatitude appartenant au Sermon sur la Montagne de Jésus a souvent été mal comprise, car « pauvres en esprit » n’est certes pas la même chose que « pauvres d’esprit » ou encore que « simples d’esprits » (= « niais » ou « simplets »).
Cette Béatitude a, en effet, donné lieu à plusieurs traductions différentes, allant de «pauvres d’esprit» à «pauvres en esprit», en passant par «pauvres de cœur», «pauvres par l’esprit», etc. Une chose sûre, cela ne veut nullement dire « Heureux les imbéciles »! Il est aussi possible de trouver la mention «Pauvres en esprit» dans les Manuscrits de la mer Morte.
Il est intuitivement évident que par cette expression il ne s’agit pas de « simples d’esprit » au sens de déficients intellectuels ou de débiles mentaux, mais plutôt des humbles, de ceux qui respectent la Loi de Dieu et font preuve de vivacité spirituelle.
Pratiquée par divers ordres monastiques, la pauvreté évangélique, aussi appelée pauvreté spirituelle, – bien qu’elle ne soit pas réellement une Vertu – peut, au sens large, éventuellement être qualifiée de « Vertu évangélique ».
Elle est notamment basée sur:
Le Septième Commandement «Tu ne dois pas voler.» (Exode XX, 15, repris en Deutéronome V, 19).
La Béatitude «Bienheureux les pauvres en esprit, car le Royaume de Dieu est à eux.» (Matthieu V, 3).
Certains comprennent aussi cette Parole ainsi: «Bienheureux ceux qui sont dans le besoin de l’Esprit, car c’est à eux qu’est le Royaume des Cieux». Pour notre part, nous comprenons plutôt ainsi: « Bienheureux ceux qui ont un esprit de simplicité, de sobriété, d’humilité, de modestie, bref un esprit de pauvreté.
Pour bien comprendre le sens de cette Béatitude il suffit, en effet, de comprendre que « pauvre en esprit » ne signifie nullement manquer d’esprit mais plutôt être pauvre selon l’esprit. Cela signifie simplement non pas être dépourvu de biens terrestres mais être détaché vis-à-vis des biens terrestres. Un tel détachement peut être qualifié de Simplicité naturelle.

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