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Un Exemple d’HumilitĂ©

Un Exemple d’HumilitĂ©

Élisabeth de Thuringe

Avec Lucien Siffrid nous avons dĂ©jĂ  appris Ă  mieux connaĂ®tre la Vertu de l’HumilitĂ©. Nous voudrions maintenant nous intĂ©resser Ă  un cas concret en donnant un exemple cĂ©lèbre.
Une Princesses hongroise devenue Reine de Thuringe
Il s’agit ci d’Élisabeth de Thuringe  – initialement appelĂ©e, en tant que princesse hongroise, Élisabeth de Hongrie, nĂ©e à  Presbourg, le 7 juillet 1207 –  dĂ©cĂ©dĂ©e à Marbourg (oĂą son enveloppe terrestre a sa châsse), le 17 novembre 1231.
FiancĂ©e Ă  quatre ans et mariĂ©e Ă  quatorze ans au Landgrave Louis IV de Thuringe, Élisabeth de Hongrie a vĂ©cu de 1211 Ă  1228 au Château de la Wartburg auprès de son Ă©poux, de ses quatre enfants (le dernier n’Ă©tait pas encore nĂ© au dĂ©cès de son mari – survenu peu après son dĂ©part pour la croisade -, lorsqu’elle doit quitter le château, parce qu’elle ne voulait pas se re-marier) et de sa belle-mère, la landgravine douairière Sophie de Bavière.
Étant donnĂ© que Élisabeth n’avait pas le profil habituel des femmes de la cour, l’entourage du roi Louis 4 fut d’abord hostile Ă  sa prĂ©sence au château de la Wartburg en tant qu’Ă©pouse du roi et reine de la Thuringe. Alors le roi Louis IV de Thuringe leur rĂ©pondit:
– « Voyez-vous, leur dit-il, cette grande montagne en face de nous? Eh bien, quand même vous me donneriez une quantité d’or plus considérable que cette masse gigantesque, je ne renverrais pas Elisabeth. ».
Le roi Ă©tait conscient du TrĂ©sor qu’en la personne d’Élisabeth il avait dans son royaume, son château et son foyer.
Élisabeth disait:
– « Je ne veux pas faire peur Ă  Dieu par une mine sinistre. Ne prĂ©fère-t-Il pas me voir joyeuse? Puisque je L’aime et qu’Il m’aime? ».
Un Ă©vocateur et admirable personnage fĂ©minin – une sorte de Mère ThĂ©rĂ©sa du Moyen Ă‚ge – suscitant, encore aujourd’hui, l’admiration des habitants non seulement de sa Hongrie natale mais aussi de ceux de sa Thuringe d’adoption, sans parler des innombrables Ă©trangers, ChrĂ©tiens ou non…

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La véritable Autorité

La véritable Autorité

 « Celui (ou celle) qui s’efforce de dominer les autres avec son intellect,
  montre simplement qu’il est lui-mĂŞme dominĂ© par son propre intellect. »

La vĂ©ritable AutoritĂ© ne peut ĂŞtre que spirituelle. Avec cette simple phrase tout est dit ou Ă  peu près. Dans un monde ou une sociĂ©tĂ© oĂą, tout au contraire, l’autoritĂ© est basĂ©e quasi exclusivement sur les seules compĂ©tences de l’intellect dominateur, cela permet facilement de comprendre comment s’effectuent de nombreuses dĂ©rives tyranniques.

Lorsqu’il ne se tient pas sous la maĂ®trise de l’esprit, en effet, l’intellect qui, volontiers, prend « toute la place », est facilement dominateur. Il est comme une bĂŞte sauvage qui, sous la maĂ®trise de son dompteur, va pouvoir se comporter d’une façon agrĂ©able et non dangereuse, mais qui – si le dompteur « lâche la bride » et se laisse dĂ©passer – va pouvoir, sans mĂ©nagement, dĂ©vorer tout ce qui se trouve autour de lui, y compris son dompteur!

La véritable Autorité

L’AutoritĂ© spirituelle, c’est ce qui aide Ă  grandir. Elle rayonne mais ne s’impose pas. Ou – si elle s’impose -, elle s’impose naturellement. Sans exercer de pression arbitraire sur autrui. C’est toute la diffĂ©rence entre rĂ©gner et assujettir. RĂ©gner signifie non pas commander mais servir.

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La médialité

La médialité

La médialité

Introduction
Beaucoup s’imaginent que la mĂ©dialitĂ© – ou mĂ©diumnitĂ© – rime avec ÉlĂ©vation spirituelle ou Illumination spirituelle. Ce n’est pourtant pas le cas. A quoi sert-il spirituellement Ă  un ĂŞtre humain de voir ou percevoir ce qui – dans la matière fine (ou le plus souvent, seulement mĂŞme dans la matière grossière moyenne [aussi communĂ©ment appelĂ©e « plan astral »] – ou fine [le plan des formes-pensĂ©es]) – se tient Ă  la mĂŞme hauteur (et souvent mĂŞme bien en-dessous!) que lui? La rĂ©ponse est simple et irrĂ©futable: A rien! Cela ne peut que nourrir sa curiositĂ© intellectuelle, rien d’autre. Comme de trop se pencher au bord du vide pour voir ce qu’il y a « en bas », cela comporte aussi, en outre, de très graves dangers.
Cela ne signifie pas pour autant que la mĂ©dialitĂ© n’ait aucune raison d’ĂŞtre et que les ĂŞtres humains de la Terre doivent complètement se dĂ©sintĂ©resser de la matière fine, mais, pour une pratique salutaire, naturelle et saine, il y a de rigoureuses conditions Ă  respecter. Des pratiques comme la « transcommunication instrumentale » – oĂą le moteur est, Ă  l’Ă©vidence, la curiositĂ© intellectuelle et la « soif du mystère », ne font pas partie de ce qui est recommandable. Si un ĂŞtre humain doit fin-matĂ©riellement entrer en contact avec l’Au-delĂ , cela doit se faire d’une manière entièrement naturelle, sans rien de forcĂ© ni de contraint, donc sans l’avoir intellectuellement cherchĂ©. Uniquement Ă  partir d’une aspiration animique, cela arrive, c’est tout.
Cela exclut donc des pratiques comme les tables tournantes, la Table-Girardin,  le oui-ja, le pendule, etc., et cela pour une raison toute simple: Toutes ces pratiques utilisent des supports {gros-}matĂ©riels. Or, du fait de la Loi d’Attraction du Genre Semblable (le genre semblable est plus important entre les tĂ©nèbres et la matière grossière qu’entre la Lumière et la mĂŞme matière grossière), lorsqu’il s’agit de contrĂ´ler un objet gros-matĂ©riel, les tĂ©nèbres ont toujours la prĂ©sĂ©ance, car – afin de ne pas devoir se souiller Ă  leur contact – un esprit lumineux est obligĂ© de se retirer et de leur laisser le contrĂ´le de l’objet gros-matĂ©riel.
C’est la raison pour laquelle, par exemple, si des participants Ă  un oui-ja ayant posĂ© leur doigt sur un verre, un chapeau haut de forme, une boĂ®te en carton, ou tout autre objet gros-matĂ©riel, et ayant obtenu un dĂ©but de phrase provenant authentiquement d’une personne dĂ©cĂ©dĂ©e s’Ă©tant prĂ©sentĂ©e comme telle, un bas esprit de l’au-delĂ , usurpant son identitĂ©, peut tout Ă  fait finir une phrase commencĂ©e par elle Ă  sa place! C’est pourquoi la tromperie et l’illusion sont les compagnons habituels de tels investigateurs de l’au-delĂ , suffisamment crĂ©dules pour accorder un quelconque crĂ©dit Ă  de telles « communications »!

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L’IdĂ©al

L’IdĂ©al

L’IdĂ©al

Aspirer Ă  un IdĂ©al! Combien sont nombreux les ĂŞtres humains, sur la Terre – et certainement aussi ailleurs dans l’Univers! – Ă  aspirer Ă  un IdĂ©al! Mais des idĂ©aux il en est de toutes sortes! L’idĂ©al de beaucoup n’est tournĂ© que vers le terrestre, vers la matière! Par exemple, le communisme a Ă©tĂ© (et est encore pour certains), pour beaucoup, un idĂ©al, mais beaucoup en sont revenus, car cet idĂ©al a gĂ©nĂ©rĂ© – comme de grands auteurs comme Alexandre Soljenitsyne l’ont dĂ©noncĂ© avec vigueur -d’incroyables atrocitĂ©s! Au nom du bien thĂ©orique supposĂ© de la collectivitĂ©, l’on n’Ă©tait capable d’infliger les pires souffrances Ă  des centaines des milliers ou mĂŞme des millions d’ĂŞtres humains! Certains « idĂ©aux » peuvent donc facilement dĂ©gĂ©nĂ©rer dans l’intolĂ©rance et le fanatisme. Ce n’est pas Ă  ce genre d' »idĂ©al » que nous voulons ici nous intĂ©resser.

Le vĂ©ritable IdĂ©al ne doit pas ĂŞtre orientĂ© vers le bas, vers le matĂ©riel, vers le terrestre. Il doit, au contraire, ĂŞtre orientĂ© vers le Haut, vers la VĂ©ritĂ©, vers la Lumière! En fait, il est une VĂ©ritĂ© très peu connue – et surtout reconnue -, pourtant d’une extrĂŞme simplicitĂ©, c’est celle-ci: Il n’est rien de Beau, de Juste, de Grand, sur la Terre, dans tout l’Univers, et dans les Cieux, qui ne s’accomplisse …, oui, Ă  la Gloire de Dieu. C’est tellement simple, c’est tellement vrai, et c’est tellement beau, et, par surcroĂ®t, c’est tellement rĂ©jouissant! LĂ  est le vrai Bonheur et nulle part ailleurs.

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La Guidance

La Guidance

La Guidance

Qu’est-ce que la Guidance?

Au sujet de la Guidance existe la croyance que les ĂŞtres humains incarnĂ©s sur Terre bĂ©nĂ©ficient de l’existence de guides spirituels qui les guident depuis l’Au-delĂ , voire depuis les Plans Spirituels. Globalement, cette croyance, existant dans de nombreuses religions, est juste et correspond donc aux Lois de la CrĂ©ation. Toutefois, dans cette croyance fondamentale juste, sous l’afflux des dĂ©sirs de l’intellect et du sentiment se sont aussi insinuĂ©es beaucoup de fausses conceptions. C’est pourquoi, afin de ne pas tomber dans le mysticisme et l’illusion, il est important de s’efforcer de voir clair en ce si important domaine.

Les enfants ont-ils des « anges gardiens »?

En particulier, la croyance – très rĂ©pandue dans l’iconographie – que les enfants bĂ©nĂ©ficieraient d' »anges gardiens » est très rĂ©pandue, notamment dans le catholicisme. S’il est vrai que les enfants – dans leur supposĂ©e « innocence » – peuvent bĂ©nĂ©ficier – notamment grâce au BaptĂŞme – d’une Protection particulière de la Lumière, ce ne sont pourtant pas – Ă  proprement parler – des anges qui assurent leur protection mais plutĂ´t des ĂŞtres entĂ©alliques d’un genre particulier correspondant Ă  la nature, elle aussi, entĂ©allique de l’enfant jusqu’Ă  ce qu’ils aient atteint l’âge de la maturitĂ© sexuelle. Il y en a plusieurs sortes en fonction de l’âge de l’enfant. Roselis von Sass les appelle notamment des « Toc Toc ».

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L’Admiration

L’Admiration

L’Admiration

L’Admiration: une Aide pour l’Ascension vers la Lumière?

Si elle est pure et dirigĂ©e vers la Lumière, l’Admiration peut spirituellement aider les admirateurs pour leur Ascension spirituelle, mais seulement dans ce cas!
Admiration vis-Ă -vis des enfants
Par exemple, l’Admiration devant un Enfant particulièrement lumineux:
Admiration devant le BĂ©bĂ© – Gerrit van Honthorst
De façon gĂ©nĂ©rale, l’Admiration maternelle est naturelle et rĂ©jouissante…:
Elle ne peut, toutefois, parfois – et mĂŞme souvent! – ne vibrer que dans l’EntĂ©allique.
Par contre, il est des admirations nettement plus équivoques et des « admirateurs » possiblement beaucoup plus discutables:
Souvent des hommes admirent des femmes, mais avec quelles pensĂ©es et quels desseins? C’est toujours ce qu’il convient de reconnaĂ®tre, tant pour les femmes que pour les hommes, et tant pour eux que pour les observateurs…
Par exemple, dans l’illustration ci-dessus, bien que la Dame Ă©lĂ©gante et distinguĂ©e au premier plan soit d’apparence modeste, pudique et rĂ©servĂ©e, le regard de l’homme, Ă  l’arrière-plan, qui la contemple avec son lorgnon semble goguenard et sarcastique. Certes, il l' »admire », mais il la regarde comme une « chose »; son regard n’est pas respectueux.
Dans l’image ci-dessus, lĂ  encore le regard de l’homme avec la cigarette Ă  la main sur la femme semble manquer de ChastetĂ©.

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L’Essence de la Chevalerie

L’Essence de la Chevalerie

L’Essence de la Chevalerie

La plus haute Pureté dans le Spirituel

La plus grande Fidélité masculine dans la Création

Le grand Secret de la relation optimale entre homme et femme

Le RĂ´le des Chevaliers
«Le plus haut Ordre que Dieu ait fait et commandĂ©, c’est l’Ordre de Chevalerie»  – ChrĂ©tien de Troyes -.

L’équipement du Chevalier
« Avec cette ÉpĂ©e que je vous remets, je vous confère l’Ordre le plus haut que Dieu ait créé au Monde. C’est l’Ordre de Chevalier, qui ne souffre aucune bassesse. »
(Réception de l’Épée de Chevalier par Perceval dans le roman médiéval «Perceval le Gallois», de Chrétien de Troyes.)

Le Chevalier a une Épée (ou un Glaive) et aussi une Lance. L’Épée est conçue pour le combat rapproché, la Lance pour le combat à distance. Les deux sont utilisés par les Combattants de Lumière.

La Chevalerie sur Terre
Selon l’opinion courante:
«La Chevalerie est une caste supérieure de guerriers au code moral très strict, et se donnant pour mission de protéger la veuve et l’orphelin.».
Dans «Tristan et Yseult» il est possible de lire une description de l’apprentissage du Chevalier, dont voici un extrait:
«Sous sa tutelle, Tristan apprit Ă  chevaucher, Ă  respecter les règles de la Chevalerie, Ă  sauter, nager, courir, lancer la pierre, manier l’Ă©cu et la lance, les diverses sortes d’art et d’escrime, l’art de vĂ©nerie et de fauconnerie, tous les honnĂŞtes Ă©bats recommandĂ©s pour fuir l’oisivetĂ©, mère des vices, et en mĂŞme temps les usages de la courtoisie et les vertus requises au franc homme: Honneur, FidĂ©litĂ©, hardiesse, dĂ©bonnairetĂ©, dĂ©mener grande largesse, parler avec mesure, ne blâmer personne Ă  la lĂ©gère, Ă©viter les fous et servir les dames.».
Elle pense Ă  son Chevalier
Le Chevalier et la femme
Il existe un grand Secret rĂ©gissant la relation entre femme et homme. Ce Secret est capable d’inciter l’homme Ă  accomplir des actes grands et purs, ici sur Terre, embrase toute pensĂ©e en la purifiant, et rĂ©pand ainsi sur l’existence terrestre entière la Lueur sacrĂ©e de la haute Nostalgie de la Lumière.
Il s’agit, certes, ici du grand Secret de la relation entre femme et homme, de façon générale. Il semble, toutefois, que, parmi les hommes, cela concerne, en tout premier lieu, les Chevaliers.

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La douceur

La douceur

La douceur

« Les forts sont doux. »
– Platon –

« La douceur c’est la conscience de la force intĂ©rieure. »

La Douceur est l’une des 24 Vertus. Comme toutes les Vertus, elle peut, bien sĂ»r, ĂŞtre cultivĂ©e par les deux genres, mais elle est particulièrement prĂ©cieuse pour le genre fĂ©minin. La Douceur peut agir dans la CrĂ©ation avec beaucoup de force.

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L’Illumination

L’Illumination

L’Illumination

L’Illumination est une expĂ©rience vĂ©cue par l’esprit. Seul un Rayon de Lumière partant d’En-Haut et se dirigeant vers le bas peut apporter l’Illumination. Ce qui part d’en bas ne peut pas se libĂ©rer de l’emprise terrestre et ne suffit donc pas pour atteindre l’Illumination. La sagesse humaine ne suffit pas. Il faut une RĂ©vĂ©lation!
De mĂŞme, les ombres des faux dogmes seule l’Illumination peut les mettre en Lumière et donc les faire disparaĂ®tre. Seule l’Illumination permet de reconnaĂ®tre la VĂ©ritĂ©. L’Illumination c’est donc ce qui permet de reconnaĂ®tre la VĂ©ritĂ©!
C’est ainsi que, par exemple, aux Rois Mages fut accordĂ©e l’Illumination pour qu’ils puissent trouver l’Enfant JĂ©sus, dans la crèche Ă  BethlĂ©em. L’Étoile de BethlĂ©em, elle aussi, apporte l’Illumination.
La Nostalgie {Ă  l’Ă©gard} de la Lumière est la condition pour recevoir l’Illumination. Cette Nostalgie se manifeste dans la Prière: « Que Ton Règne arrive! ».
L’Appel de la Lumière peut Ă©veiller beaucoup d’âmes et, Ă  tous les Chercheurs sĂ©rieux, apporter l’Illumination.

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