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Les transplantations d’organes

vues de plus haut

 

Du fait du constant accroissement du matérialisme, le « don d’organes » est « à la mode ». C’est ainsi que l’on voit de plus en plus (en général sans consultation de la population) fleurir, ici ou là, des communes auto-proclamées « ambassadrices du don d’organes ».

S’il y avait plus de conscience de ce que, en termes de douloureux préjudices, cela signifie vraiment pour les âmes des personnes dont les corps encore vivants (sinon, pourquoi les anesthésier?) sont ainsi « prélevés » et, en termes de karma, pour ceux qui transgressent ainsi les Lois de la Création, il y aurait probablement moins d’exaltation à encourager d’aussi préjudiciables pratiques.

A ce sujet, déjà en l’année 1970, dans son ouvrage « Die Welt wie sie sein könnte » [« Le monde comme il pourrait être »], l’auteur allemand Herbert Vollmann écrivait:

« C’est uniquement sous cette optique que doivent être envisagées les transplantations d’organes qui se pratiquent de plus en plus fréquemment. Si l’on prélève ces organes sur le corps d’êtres qui viennent de trépasser pour les greffer sur des êtres vivants, on porte incontestablement atteinte à l’intégrité personnelle de l’être humain, qui se trouve ainsi livré sans défense aux médecins, puisqu’il ne lui est plus possible de se faire entendre.

Le respect dû au prochain — et ceci comprend également le corps gros-matériel — ainsi que le Commandement qui interdit de lui porter des préjudices de cet ordre ne valent pas seulement pour la période d’existence que représente la vie terrestre; ils s’appliquent également au-delà de la mort.

A quoi peut bien servir un « consentement » donné dans l’ignorance des conditions de l’au-delà! La réalité du monde de matière fine, dont l’on a donné ici [NDLR: Dans le livre « Die Welt wie sie sein könnte »] un court aperçu, éclairera bien vite et douloureusement l’âme du défunt.

C’est pourquoi il faut que cessent de telles expériences pratiquées sur des êtres humains pour la simple raison qu’aucun être humain, y compris le chirurgien, ne peut répondre des conséquences qu’aura son intervention dans l’au-delà: en effet, ne les connaissant pas, il ne peut par conséquent les évaluer.

De plus, la nature elle-même met le plus souvent une limite à cela grâce à la diversité et à l’incompatibilité des groupes de tissus différents, même lorsque l’on tente de briser ces barrières naturelles.

Les interventions pratiquées sur les corps gros-matériels d’êtres humains décédés, y compris les dissections et la crémation, ne devraient, de façon générale, sous nos latitudes, jamais être tentées au cours des trois jours bien connus qui suivent le décès.

L’on admet, en effet, que, passés ces trois jours, l’âme s’est, dans les cas normaux, libérée du corps [NDLR: Selon certains auteurs – comme, par exemple, Roselis von Sass, le délai de détachement pour les âmes des matérialistes peut toutefois être encore beaucoup plus long…]. Ceci exclurait alors, au premier chef, le prélèvement de tout organe en vue d’une greffe, puisque, pour que l’opération soit médicalement possible, le prélèvement doit se faire immédiatement après la mort clinique.

Quoi qu’il en soit, les praticiens intéressés devraient tenir compte des processus de l’au-delà, avant de prendre une décision. Il n’en va pas autrement pour ceux qui ont l’intention de faire don de certains organes après leur mort et pour ceux qui, étant parents d’une personne morte subitement, doivent donner à sa place leur consentement, sans oublier, bien entendu, les récepteurs de ces organes.

Le problème est naturellement quelque peu différent pour ceux qui prétendent — et ils sont nombreux — qu’avec la mort «tout est fini». Avec une telle façon d’envisager les choses, on ne réfléchit pas qu’à la mort gros-matérielle quelque chose de vivant et d’invisible se sépare également du corps et que ce «quelque chose» pourrait être douloureusement atteint lors d’une intervention sur le corps gros-matériel qui vient de mourir.

Dans ce cas, le corps n’est considéré que comme un objet matériel, en lequel l’on vient, en fonction des besoins, puiser des pièces de rechange.

Mais la responsabilité de ceux qui partagent cette façon de voir ne saurait pas non plus leur être enlevée en regard des Lois de la Création, que ce soit ici-bas ou «de l’autre côté».

Car l’ignorance des Lois de la Création ne protège pas des conséquences qu’elles entraînent.

Cependant, pour ceux qui portent en eux la conviction d’une survie, la mort terrestre est la naissance dans le royaume de matière fine. De la même façon que le cordon ombilical est coupé à la naissance dans le monde de matière grossière terrestre, le cordon d’argent se détache à la naissance dans le monde de matière fine de l’Au-delà.

Nul ne doit craindre la mort s’il porte en lui le vivant et ferme vouloir pour le Bien, même si cette résolution ne naît que peu de temps avant sa mort terrestre. Cette aspiration l’aide assurément à franchir le seuil. De l’autre côté, des mains secourables le conduisent avec précaution plus loin encore vers ce Savoir qui lui est nécessaire pour s’élever vers la Lumière. ».

.

– Extrait de l’exposé «Le cordon d’argent» –
– Extrait du livre «Die Welt wie sie sein könnte»
[«Le monde comme il pourrait être»]
,

d’Herbert Vollmann. –

– Traduit de l’allemand –

.

Le cauchemar

Le cauchemar

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1 Commentaire

  1. Deh Assy

    « Les transplantations d’organes, vues de plus haut. »

    Œuvres de savants sans conscience spirituelle, la transplantation d’organes peut être considérée comme une abomination.

    Il faudra avoir renié toutes sensibilité spirituelle pour pouvoir pratiquer de tels actes diamétralement opposés à la Volonté parfaite de l’Éternel.

    Réponse

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