Ecole de l'art de vivre

La masculinisation de la femme

par | 2 Fév 2025 | Famille et Foyer, Vivre en Conscience | 0 commentaires

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  4. "Un enfant" Merci pour ce joli poème. Chaque enfant est une promesse d'évolution pour toute une famille, dès que l'Amour…

  5. Quelques développements pour les femmes voulant devenir ou redevenir (plus) féminines: https://www.instagram.com/ecoledelartdevivre/ https://www.instagram.com/femmevoulueparlalumiere/ https://www.facebook.com/people/%C3%89cole-de-LArt-de-Vivre/61570793612328/ https://www.facebook.com/people/Redevenir-la-femme-voulue-par-la-Lumi%C3%A8re/61572301649111/ https://ecoledelartdevivre.net/echelle-de-la-feminite/ https://ecoledelartdevivre.net/redevenir-la-femme-voulue-par-la-lumiere/

  6. Oui, Hannah Gas m'a beaucoup touchée, car c'est le nœud du problème féminin de notre siècle. Pour parler de tous…

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La masculinisation de la femme

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« Les filles d’Ève semblent toutes souffrir de la même malédiction.
Prenez une femme
jouissant de toutes les richesses de ce monde et au sommet de sa beauté.
De plus, même
si elle jouit de l’attention de nombreux hommes, observez là, quelques instants,
devant
un miroir. Il ne suffit que de quelques moments et elle fera la moue. Comment?…
Eh
bien, elle vient de se trouver un défaut physique, là où il n’y en a pas.

Et sur le plan relationnel, avec son homme, il en est de même.
Le cœur des filles d’Ève est constamment agité et ne peut trouver de contentement véritable ici-bas,
dans ce monde déchu,
sinon pour de très brefs moments, car il subsiste toujours,
gravé dans leurs cœurs, un
souvenir souterrain, subconscient, du Jardin et de la Perfection originelle.
Il en résulte
que le moment présent ne sera jamais à la hauteur, ne peut jamais les satisfaire.

Malheur à elles (et à leur entourage) lorsqu’elles se mettent
en tête de vouloir à tout prix
recréer leur jardin d’Éden,
car elles sont alors capables de déclencher l’enfer

John Milton« Le Paradis perdu »

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Introduction

Elle est probablement évidente de la plupart, si ce n’est de tous, en Occident et aussi beaucoup partout ailleurs, la masculinisation de la femme depuis un siècle est-elle inéluctable? Pratiquement personne ne s’en préoccupe, la plupart considère{nt} cette « évolution » comme une appréciable manifestation du « progrès ». Mais l’on peut progresser de deux manières: vers le haut ou vers le bas. Qu’en est-il ici? Jusqu’où ira cette frénésie de masculinisation? Presque personne ne le sait. Un retour à l’Ordre naturel est-il possible? Difficile à dire…

Précisons d’emblée qu’une masculinisation de la femme ne peut s’ensuivre que lorsque la femme est dominée par son propre intellect. Cela ne peut jamais arriver à une femme intuitive, chez laquelle l’Intuition – et, en ce cas, en particulier, l’Intuition féminine – règne.

Dans le cadre de cet article nous nous limiterons principalement au constat: Pour celles et ceux pour qui cela ne serait pas encore évident, quels sont les signes évidents et incontestables de la masculinisation de la femme?

Passons-les en revue…

L’habillement

En une cinquantaine d’années la plupart des femmes ont complètement abandonné l’habillement traditionnel de la femme depuis des siècles et même des millénaires – la robe ou la jupe – pour le pantalon, traditionnellement le vêtement de l’homme. Cet habillement jusque là traditionnel est-il aussi l’habillement naturel de la femme? Même si l’intellect et le sentiment de certains voudront argumenter pour discuter cela, la réponse donnée par l’Intuition est indubitablement oui.

La tenue

Très liée au vêtement, la tenue de la femme est automatiquement, elle aussi, devenue plus négligée. Même s’il peut toujours y avoir des exceptions, une femme en robe soigne plus naturellement sa tenue qu’une femme en pantalon. La tenue de nombreuses femmes de l’époque contemporaine en grossier « blue-jean » laisse souvent beaucoup à désirer et témoigne d’un relâchement évident. Une femme en robe, si elle est consciente de porter une robe, a naturellement la tenue et la démarche appartenant au charme féminin qui vont avec!

La démarche

La démarche d’une femme masculine et dominée par son propre intellect (cela va de pair!) est anguleuse souvent saccadée et disharmonieuse. La caractéristique fondamentale de l’intellect est, en effet, qu’il ne peut concentrer son attention que sur une seule chose à la fois. L’harmonie des mouvements ne peut exister que lorsque l’esprit règne sur toute la personnalité, c’est-à-dire occupe la première place.

Une vraie femme – qui devrait être la couronne de cette Création – a le devoir d’utiliser toute sa force pour faire s’épanouir ce qui lui est confié jusqu’à la Beauté la plus grande. Notamment elle a le Devoir de placer – ce qui en fait partie – sa façon de marcher sous la maîtrise de son esprit. Cela requiert uniquement un sérieux vouloir spirituel et un peu de peine, rien d’autre.

Il suffit de regarder les « défilés de mode », totalement dépourvus de Grâce, avec ces mannequins déhanchés, aux visages et aux regards vides d’expression, pour comprendre où se trouve ici la perte de la vraie féminité, précisément dans un domaine où la féminité est supposée jouer un rôle déterminant!

La chevelure

Depuis des décennies la longueur des cheveux des femmes n’a fait que raccourcir, jusqu’à finir par aboutir à des coiffures dites « à la garçonne » ou « de petit chéri » (« Bubbykopf »).

Au sujet du « Bubbykopf » voilà ce qu’il est possible de lire sur Wikipédia:

Sur cette page: « l’autre coiffée du Bubbykopf à la mode chez les nouvelles femmes «Neue Frau», soit les féministes de l’époque, et portant le pantalon ».

Sur cette page: « ou dans le costume glamour du Weimar, la «nouvelle femme» moderne de l’époque portant le bubbykopf à la mode ».

Souvent, des femmes ayant porté les cheveux longs dans leur jeunesse les coupent courts (comme de nombreux hommes), arrivées à un certain âge. Perte de féminité évidente. Même une femme âgée peut porter les cheveux longs, sinon libres du moins ramassés en chignon. Même en chignon l’impression produite est toute différente. Même si l’âge est là, l’impression de féminité demeure.

Une femme à cheveux courts (très « pratiques » pour la vie « moderne »!) est-elle une femme féminine? Laissez votre intellect raisonnement) et votre sentiment de côté et laissez votre intuition parler et répondre…

La voix

Depuis environ la fin de la deuxième guerre mondiale la voix de la femme ne cesse de devenir toujours plus grave, se rapprochant de celle de l’homme. Est-ce grave? Oui, car c’est l’un des signes indubitables de la disparition de la vraie femme.

Ce phénomène de la voix des femmes devenant toujours plus grave – que certains féministes n’hésitent pas à présenter comme une « bonne nouvelle » (sic!) – est indubitable et bien documenté:

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/pourquoi-les-femmes-ont-la-voix-de-plus-en-plus-grave-7793890519

https://www.aufeminin.com/news-societe/pourquoi-femmes-voix-plus-grave-s2861220.html

https://www.hellowork.com/fr-fr/medias/carriere-femmes-reussite-voix-grave.html

Il arrive même que des femmes se voulant être des « femmes d’autorité » comme l’ancienne première ministre du Royaume Uni Margaret Thatcher (1925-2013), par un entraînement (coaching) fassent exprès d’abaisser leur voix (dans son cas une différence de 60 Hz!), afin d’avoir « plus d’autorité » et de paraître « plus sérieuse »

 

 

Exercice spirituel: Que ressentez-vous à l’écoute de l’ « ancienne » (première partie de la vidéo) et de la « nouvelle » Margaret Thatcher (deuxième partie de la vidéo)? A-t-elle gagné ou perdu quelque chose? Une femme avec une voix plus grave est-elle une femme plus forte ou plus faible? Plus féminine ou plus masculine? Le « féminisme » ne serait-il pas, en réalité, un « masculinisme »? Répondez, svp, en commentaires ci-dessous. [Rappels: Il n’est pas nécessaire de créer un compte sur le site pour pouvoir poster un commentaire. Les pseudonymes sont admis.]

Au niveau des faits il ressort que les hommes ont, de manière générale, une voix plus grave, liée à « la testostérone qui allonge les cordes vocales à l’adolescence ». La tonalité de la voix des femmes a baissé de manière significative depuis soixante-dix ans.

À la fin des années 1990, une étude de l’University of South Australia avait constaté une chute de 23 Hz de la «fréquence fondamentale» entre deux groupes de femmes australiennes âgées de 18 à 25 ans: les chercheurs avaient comparé des archives audio de voix datant de 1945 et des enregistrements pris au début des années 1990, en prenant soin de vérifier que toutes les femmes étaient étudiantes, qu’aucune ne fumait, et en écartant celles prenant la pilule contraceptive, ce qui aurait pu affecter les cordes vocales. La baisse d’une moyenne de 229 Hz à 206 Hz sur cinq décennies traduisait déjà une différence «significative et audible». (Source)

De nos jours, la situation est certainement bien pire encore: En effet, en février 2017, une nouvelle étude réalisée sur un panel de 5000 adultes et enfants allemands a démontré que les Allemandes s’exprimeraient sur une fréquence moyenne de 186 Hz contre 220 Hz auparavant, la moyenne des hommes étant à 110 Hz. (Source)

Une voix plus grave serait considérée comme « dramatique, sensuelle et mondaine » (Source). D’où vient l’idée que « Dans l’imaginaire collectif, les voix aiguës sont considérées comme enfantines et fluettes, alors qu’une voix grave fera penser à la puissance et à la force »? En tant qu’élément de réponse à cette question, une chercheuse a proposé à un petit groupe de personnes de débattre afin de prendre une décision collective, avant de demander à chacun, à l’issue de ce processus, de décrire la hiérarchie du groupe et de classer les membres selon leur autorité. Tout en ayant enregistré les discussions.

La majorité du panel (probablement dans le but que sa parole ait plus de poids!) avait changé la tonalité de sa voix dès les premières minutes. Le résultat était sans appel: à voix plus grave, meilleur rang! Tandis que ceux qui avaient «élevé leur voix dans les tons aigus étaient considérés comme plus soumis, et obtenaient un moins bon classement» (Source).

Dans toutes les explications données par les spécialistes pour tenter d’expliquer le phénomène plusieurs frisent le ridicule. Par exemple: « Pour expliquer ce phénomène, les chercheurs avancent le fait que la télévision et la radio présentent de plus en plus de modèles féminins ayant baissé leur voix, pour paraître plus sensuelles. Influencées par les médias, les femmes les auraient copiées. » (Source). Une telle explication – si elle contient une part de vérité – voudrait tout simplement dire que, une fois de plus, c’est, tout simplement, la vanité qui est à l’origine de la masculinisation de la femme.

Autre explication des « chercheurs »: « Dans les pays « plus égalitaires », comme la Norvège, les femmes auraient une voix plus grave que dans les autres États. » Parlant des femmes, un médecin affirme: « elles réussissent leur carrière et gagnent plus d’argent. Cela se reflète dans la voix profonde. » (Source).

Il est même affirmé que « les politiques avec une voix grave ont plus de chance d’être élus », comme l’ont montré les universités de Duke et de Miami en 2015, ou encore celle selon laquelle « un PDG est d’autant mieux payé qu’il a la voix grave. ». (Source)

Il est frappant de constater que – comme dans le conte « Les habits neufs de l’empereur »personne ne veut voir l’évidence, c’est-à-dire remonter jusqu’à la cause véritable: Le faux vouloir de masculinisation de la femme visant à imiter l’homme et à vouloir l’affronter sur son propre terrain conduit inéluctablement à des modifications se répercutant de l’intérieur vers l’extérieur. Dans le corps gros-matériel (le corps physique) – probablement pour des raisons hormonales (testostérone) – les cordes vocales finissent par se modifier en s’allongeant et toujours plus ressembler à celles des hommes.

A ce sujet une présentatrice TV déclarait, déjà il y a plusieurs décennies, avec un grand sourire que cette voix altérée vers le grave était celle de la « nouvelle femme » moderne (sic!)…

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La "nouvelle femme" est déjà arrivée!

La « nouvelle femme » est déjà arrivée!

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Le langage

Les femmes sont maintenant aussi grossières et blasphématrices que les hommes et utilisent les mêmes jurons qu’eux, même – aussi incroyable que cela puisse paraître – lorsque celui-ci désigne … un certain genre de femme, en l’occurrence … une prostituée! Devenir grossière « comme un charretier » est aussi une moyen, pour les femmes, de se masculiniser (dans le plus mauvais sens!), tout en s’enfonçant, encore plus, vers l’abîme…

De façon générale, il n’y a déjà aucune excuse pour tout être humain si, notamment dans sa façon de parler, il se laisse aller au point de se montrer grossier et offensant. Même un être humain pauvre peut le faire. Mais c’est encore plus vrai pour une femme, laquelle devrait aussi montrer l’exemple en ce domaine!

Un être humain qui se montre grossier et mal éduqué, offense ainsi tout Sens de la Beauté et méprise les Dons de Dieu, encore plus – parce que c’est elle qui a le plus reçu! – si c’est une femme! Que doit-il, à l’avenir – en fonction de la Loi de l’Effet de Réciprocité, – advenir de telles femmes qui avaient pourtant été dotées par leur Créateur de tout le nécessaire pour devenir la Couronne de cette Création?

Les hanches

A partir de la puberté et au moins jusqu’à la ménopause les hanches d’une femme féminine sont larges. Des hanches étroites, peu propices à la maternité, sont un signe évident de masculinisation de la femme. Des hommes virils ont des hanches étroites. Des hanches larges chez un homme sont le signe d’un homme efféminé.

Il existe de plus en plus de femmes qui portent, dans leur être, des traits de caractère masculins. Précisément à notre époque, il y en a plus que jamais. Beaucoup du monde féminin semble vraiment contaminé par ce masculinisme; chez une telle femme, ou une telle jeune fille, quelque chose de déformé existe dans son être, ne peut être que déformé, parce que, conformément à la Nature, une femme ne peut, ni ne doit, être un homme.

Même lorsque le corps a toujours une apparence nettement féminine, il arrive souvent que les hanches, dans la plupart des cas de caractéristiques masculines, par leur étroitesse, rappellent le masculin, ce qui, par conséquent, en réalité, est aussi non-féminin.

La baisse de la fertilité

Toujours moins de bébés, c’est un constat mondial. Étant donné que nous avons déjà examiné et approfondi ce sujet, nous y renvoyons donc les lecteurs et lectrices et n’y revenons pas dans le détail ici. Ce qu’il faut ici retenir, c’est que l’une des conséquences lointaines de la masculinisation des femmes c’est – outre une baisse flagrante de la qualité des âmes en instance d’incarnation -, d’abord, des difficultés croissantes à procréer finissant par aboutir à une stérilité complète, dont la conséquence ultime est l’extinction complète d’un peuple ayant étourdiment laissé sa féminité se masculiniser

La profession

Alors que – selon les Lois de la Création – la profession fondamentale de la femme est de conduire et éveiller un homme à accomplir de grandes Actions, et rien d’autre, la masculinisation de la femme dans la profession est, cent fois hélas, elle aussi, devenue une évidence absolue. Tellement évidente que rien n’est ici à démontrer. Que dire de ces femmes « camionneuses », « déménageuses », « adjudantes », « policières », « catcheuses » ou « footballeuses » « professionnelles »?

Le sport

La masculinisation de la femme dans le sport est également une complète évidence. Que dire de ces « femmes », souvent tatouées et « percées » (piercings), et – au mépris de toute pudeur – en short et débardeur ou même soutien-gorge, boxeuses, haltérophiles ou « rugbywomen »?

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Femme haltérophile

Femme haltérophile

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A quel point la femme se déprécie ainsi, dans le complet mimétisme de l’homme, ne peut ici être décrit. Tout cela conduit assurément – lentement mais sûrement – la femme à la déféminisation et donc à devenir une caricature d’elle-même, donc, en définitive, à sa disparition pure et simple, en tant que telle.

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Femme caricature

Femme caricature

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Ainsi, sur Terre, tout est déjà rapidement devenu fondamentalement désaxé, tout est sorti de l’Équilibre entre l’Actif et le Passif, le Positif et le Négatif, le Masculin et le Féminin. Les conflits et querelles, en constant accroissement, ainsi que les ratages, ne sont à attribuer qu’aux mélanges obstinés entre l’Activité positive et l’Activité négative dans la Création – lesquelles doivent pourtant – si la Paix et l’Harmonie doivent régner (voir, par exemple, le film « La Zizanie ») – absolument demeurer pures, parmi tous les êtres humains de la Terre -, ce qui, du fait de la confusion ainsi provoquée, ne peut entraîner avec soi que décadence et naufrage.

Les Lois de la Création montrent pourtant clairement le Chemin à suivre et, dans leur Logique absolue, sont faciles à respecter, entre l’activité masculine et l’activité féminine il ne doit pas exister de mélange, pas plus qu’il n’en existe entre les deux Branches de la Croix de la Création.

La tabagie, l’alcoolisme et la toximanie

Les femmes fument désormais autant que les hommes, sinon plus. Dans la surenchère pour la « parité » et l’égalitarisme forcené, si un homme fume une cigarette, la femme « moderne » se doit – comme George Sand – de fumer le cigare ou la pipe. Si un homme boit du whisky, la femme « moderne » – même enceinte (et tant pis pour le bébé à naître!) – se doit de carburer à la vodka, etc. Aussi lorsqu’il s’agit de débauches, le « féminisme » n’a pas de limites. Lorsqu’une femme se corrompt, elle devient pire qu’un homme.

La politique

A qui a une once d’intuition, l’association des deux mots « femme » et « politique » est déjà suffisamment éloquent pour qu’il soit besoin d’en dire davantage. La politique n’est certes pas un monde où la féminité puisse réellement s’épanouir. La femme qui aurait dû se tenir à la première place a absolument voulu devenir l’« égale de l’homme » (sic!), ce qui – étant donné qu’une femme ne pourra jamais être un homme! – a pour conséquence que – malgré (ou à cause de!) toutes ses « conquêtes féministes » – elle se tient présentement spirituellement bien en-dessous de lui!

La vraie nature de l’influence féminine

L’influence devant être exercée par la femme est de tout autre nature, beaucoup plus fine, et – bien que largement invisible – elle n’en est pas moins déterminante … à condition, toutefois que la femme occupe volontairement la place qui, selon la Volonté de son Créateur, est la sienne dans la Création, et qui – loin de l’incroyablement stupide vanité qui pousse toujours plus loin les femmes dans une direction diamétralement opposée à leur nature – est indissociable des Vertus d’Humilité, de Modestie, de Chasteté, de Candeur, de Fidélité, etc.

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Y a-t-il encore des femmes?

Dame élégante par Albert Lynch – Y a-t-il encore des femmes?

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