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Liberté – Égalité – Fraternité – Par August Manz

par | 22 Mar 2024 | Autres Articles, Regards sur le Monde | 0 commentaires

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Liberté, Égalité, Fraternité

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Par August Manz

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– Extraits –

 

Ce fut lors de la Révolution française qu’a été forgée cette formule devenue célèbre. Cette devise, celle d’un formidable mouvement renversant tout l’ancien monde, promettant à l’humanité un bonheur perpétuel sur Terre, semblait résoudre un vieux problème de l’humanité, la problématique du vivre ensemble en communauté, dans la famille et la nation.

Car l’être humain asservi devait désormais jouir de la liberté, liberté de toute contrainte et de tout carcan. Chacun devait pouvoir vivre comme il le voulait. Et aucune distinction de statut ni de naissance ne devait exister à l’avenir, personne ne devait plus être subordonné à un autre. Tous les êtres humains devaient être équivalents et jouir de mêmes droits. Mais, pour couronner ce nouvel ordre des choses, l’humanité toute entière devait embrasser un lien unificateur d’amour fraternel.

Est-ce qu’une situation idéale serait ainsi atteinte? Les révolutionnaires de l’époque le croyaient et, pour autant qu’ils furent animés de cet idéal, ils espéraient parvenir également à cet objectif. Mais rien que le cours des événements de cette époque-là a manifestement démontré que c’étai{en}t des revendications insensées, dont la mise en œuvre était impossible et qu’elles étaient obligées de se briser sur la puissance de la réalité de l’existence, les Lois de la Création, comme sur un rocher de granite, dévoilant ainsi la vacuité de leur contenu.

Mais, bien que l’histoire de la Révolution française ait déjà enseigné que cette devise évoque une utopie absurde, elle hante pourtant toujours les pensées de rêveurs nébuleux, qui se laissent séduire par le clinquant extérieur de cette rhétorique, sans reconnaître le contenu chargé de ténèbres, le véritable visage de cette tentation de Lucifer.

À la tentative fragile pour concrétiser ces idées, succéda alors, en France, le régime de terreur de tyrans sanguinaires. Puis un régime militaire imposant l’ordre avec violence et coercition, provoquant une période de guerre dans une totale confusion et une totale dévastation.

Mais l’humanité apprend bien peu des répercussions des Lois Divines, qui se manifestent dans de tels développements! Car les historiens, quand ils ne connaissent pas les Lois Divines (…), ne pouvaient pas clarifier toutes les corrélations que ce puissant événement met en fait en évidence. Et les guides et les dirigeants des peuples n’étaient pas en situation de tirer des conclusions et des enseignements corrects de l’histoire de la Révolution, puisqu’ils n’ont tout examiné que du point de vue de l’intellect.

Or, comme ce problème a justement une importance pour l’humanité et qu’il trouve même encore aujourd’hui des adeptes croyant en la conception erronée de ce temps-là, il me semble tout indiqué de faire la lumière sur ce diabolique et mensonger tissu d’idées fausses et déformées.

Ceux qui, en ce temps-là, avaient créé cette devise, avaient aboli en France le Christianisme et ils rendaient hommage à la déesse Raison, s’égarant même au point qu’ils en vinrent à vénérer une femme nue en tant que déesse, dans la cathédrale Notre Dame de Paris.

Ne reconnaissons-nous pas ici déjà la source de tous les maux, l’intellect humain dévoyé, qui, dans sa forme la plus extérieure, était élevé à la nature divine et qui était également fautif, nécessairement fautif de toutes les horreurs qu’entraînait l’effet de cette devise ? Rien que cela seul pourrait fournir la preuve définitive que les revendications sous-jacentes sont fausses et trompeuses, car nous savons parfaitement comment apprécier l’intellect et son activité.

Mais je voudrais également apporter la preuve de cela dans le détail. (…) Le changement spirituel exigé permettra d’organiser ces relations et ces rapports selon les Lois Divines naturelles, et grâce à cette concrétisation de la Volonté de Dieu, celui-ci permettra aussi de créer de véritables situations de Bonheur sur Terre. Ainsi devront apparaître, à l’avenir, des conditions par lesquelles chaque être humain individuel, en œuvrant avec les Lois Divines et en s’insérant volontairement dans leur Activité, ennoblira et élèvera également la vie de l’ensemble.

Une simple réflexion nous montre déjà que Liberté et Égalité, prises dans le sens humain et terrestre, s’excluent mutuellement. Voilà l’horrible dérision: La devise de la Raison est donc déraisonnable par nature. La liberté en tous domaines, ainsi que l’entendaient les pères de cette idée, conduit les êtres humains instinctifs et menés par l’intellect dévoyé à une lutte acharnée de tous contre tous. Et cette lutte a pour conséquence inévitable l’inégalité entre les êtres humains. Car, pour que le choix de ses moyens ne connaisse aucune restriction, ainsi que le garantit la liberté, le plus fort est obligé de prévaloir sur le plus faible, l’expérimenté sur le novice, le prompt à se servir sur le circonspect, le sans égards ni scrupules sur celui qui a le sens de la responsabilité. Et, indubitablement, cela entraîne, par conséquent, une inégalité matérielle et sociale – à tous les points de vue.

Mais, à l’inverse, si l’égalité de tous est imposée par des dispositions gouvernementales, un peu comme le tente le bolchevisme en Russie, où donc se trouve la liberté recherchée? Elle devient une chimère, une expression creuse. Est-ce que, par cette incompatibilité, le leurre de Lucifer ne devient pas évident, lequel tire ainsi vers le bas l’évolution de l’humanité dans la confusion et la corruption?!

Mais examinons plus avant! L’humanité, telle qu’elle a évolué jusqu’à maintenant, ne peut appliquer correctement une absolue liberté dans aucun domaine. L’expérience l’a déjà clairement prouvé déjà à l’époque. Et elle le prouve toujours de nouveau, là où l’on en fait la tentative, que ce soit à petite échelle, dans l’éducation, dans la famille, ou à grande échelle, dans une nation, dans un État.

L’être humain, qui a perdu contact au cours des millénaires avec sa Patrie spirituelle, dont l’Intuition est ensevelie, dont la voix intérieure est muette, cet être humain abusera toujours de la liberté. Elle représente, de ce fait, un immense danger pour la collectivité. Elle dégénérera en débordements licencieux, en caprices, en un défoulement qui entraîne l’être humain toujours davantage vers le bas sur la pente du péché et le livrera, en définitive, à l’anéantissement spirituel. Là où, dans un couple, dans une famille, chacun ne fait que ce qu’il veut, lorsque l’on y revendique – comme on {le} dit si complaisamment – le droit à la libre personnalité, il sera plus exact de dire que l’on en abuse sans égards pour les personnes avec qui l’on vit, et là, aucune harmonie, aucune cohabitation paisible ne sont plus possibles. Les antagonismes sont obligés de s’entrechoquer. Car la personne qui ne pense qu’à jouir de sa liberté, qu’à faire ce qui lui plaît, ce qui lui fait plaisir, ne peut y parvenir qu’au détriment de la liberté et du bonheur de l’autre partie. Par conséquent, au lieu du bonheur espéré, l’inverse se produira par interaction: discorde, conflit, malheur.

Or, dans l’État, dans la vie des peuples et des nations entre elles, il en va de même que pour le couple et la famille. La liberté de profiter de la vie à tous points de vue conduit toujours à la discrimination, au préjudice, et aussi à l’esclavage physique ou à l’anéantissement de ceux au seul détriment desquels ce prétendu idéal est mis en pratique. Où se trouve donc le bonheur pour tous promis?

Ni celui au détriment duquel on jouit de liberté n’y participera, ni celui qui fait mésusage de la liberté de cette façon, en raison de l’inévitable effet de réciprocité qui au semblable rend semblable. L’on doit récolter ce que l’on sème. (…)

C’est donc dans le domaine spirituel que l’être humain se doit de gagner la Liberté. Il doit se libérer de toutes les entraves qui freinent son Ascension spirituelle. Peu importe que ce soient la contrainte exercée par les dogmes des confessions sur sa conscience qui ligote l’esprit humain libre, asservissant l’Étincelle divine résidant en l’être humain, ou bien la domination fallacieuse de son propre intellect, auquel il s’est jusqu’ici soumis, au lieu de le maîtriser en se basant sur son Intuition. L’être humain doit intérieurement se libérer de tout ce qui lui est étranger, de tout ce qui est imposé, de toutes les convictions ou l’expérience dictées par autrui. Et s’il se libère de tout cela, alors il pourra trouver le Chemin vers la Lumière, Chemin qu’il doit découvrir et parcourir par lui-même, en toute indépendance de pensée et d’action. Et cette liberté-là est alors une vraie liberté. Et elle conduit, dans le cours graduel de l’Ascension spirituelle, également vers le vrai Bonheur. (…)

Non pas en étant délié de tout dans le concret, mais par une Libération intérieure qui transforme l’être humain dans toute son existence, dans son état d’esprit et ses aspirations, le ramenant aux prémices de son arrivée dans la matérialité grossière, lorsqu’il n’obéissait qu’à son Intuition et qu’il se tenait en étroit contact avec le monde fin-matériel, entéallique et spirituel.

Il va de soi que l’être humain purifié et libéré selon cette acception façonnera tout autrement le vivre-ensemble en famille et dans la collectivité, et, du même coup, rendra véritablement possible ce Bonheur après lequel les tenants d’une liberté terrestre absolue ne font que courir, mais qui reste inatteignable. Et comme l’État est composé d’individus, sa nature et ses aspirations se modifieront complètement lorsque ces individus – les citoyens – eux-mêmes se transformeront et s’amenderont. Ainsi, partout, y compris au niveau gouvernemental et dans les relations entre les peuples, seront remplies les conditions d’un véritable Bonheur, si les êtres humains accomplissent vraiment, complètement, et dans le sens exact, l’Exigence (…): Se libérer spirituellement. (…)

(…) L’interprétation correcte de {la maxime} «Vivez au présent» conduit (…) à savourer chaque minute, mais intérieurement et non pas dans la superficialité et les apparences. Et cela ne peut que reconduire les êtres humains vers la vraie Liberté intérieure.

(…) Se trouvent mises en relief avec vigueur les conséquences dévastatrices de la notion de liberté mal comprise. Il y est révélé combien, en réalité, sont faux et funestes l’abolition de toutes les barrières, l’affranchissement des ultimes réserves considérées comme des opinions révolues et à dénigrer, et l’arrachement au sentiment de pudeur extérieure et intérieure. L’on serait sensé parvenir ainsi à une humanité libre et autonome… et c’est exactement le contraire qui se produit ! Il en résulte {que} «Le plus grand fléau qui ait jamais affligé l’humanité, {c’est} la contamination de chaque intuition élevée chez l’être humain.».

L’humanité toute entière est entraînée dans le tourbillon empoisonné de la corruption; en lieu et place du bonheur humain espéré, la décadence totale est inévitable. Ici, il n’y a plus qu’une Intervention violente qui puisse apporter un Secours, une rigoureuse Opération qui, d’un scalpel acéré, ôte toute tumeur et la jette au feu. C’est-à-dire, pas de liberté illimitée (…). Ensuite, le vivre-ensemble des êtres humains s’établira correctement selon la Volonté de Dieu, s’édifiant sur la pensée pure et l’activité pure des êtres humains de Noblesse.

Et (…) quelles répercussions mauvaises et pernicieuses génère le manque d’égard pour autrui, l’inconscience sans bornes, qui, également à cause de cet idéal de liberté erroné, pousse fréquemment les personnes et les nations à poursuivre leurs buts égoïstes au détriment {l’une} de l’autre! Le droit de l’être humain, la subsistance et l’auto-défense – voilà les excuses que l’être humain donne comme prétextes pour justifier ses pratiques.

Mais c’est en vain, car il ne peut se soustraire aux conséquences, que ce soit ici-bas ou dans l’Au-delà, puisque les fils insécables du karma se sont noués à lui. Ses relations dans le couple et la famille deviendront dissonantes; et les États ne pourront empêcher l’effondrement final, auquel mène leur comportement.

Mais là où les relations entre les individus se règlent selon la Volonté de Dieu, là où ne règnent ni la liberté sans frein et le caprice, ni le manque de respect, mais où, au lieu de cela, un joyeux don de soi devient une évidence, il y naîtra l’Harmonie et la Paix, et le Bonheur en découlera.

L’abandon de l’arbitraire outrancier et du manque total de considération pour autrui placera du même coup les relations entre les peuples sur une toute autre base, une base promotrice et fructueuse – établissant ainsi la Paix et le Bonheur sur toute la Terre.

Voilà en ce qui concerne la vraie Liberté et la fausse liberté.

L’égalité?

Et maintenant, nous allons examiner ce qu’il en est de la très alléchante promesse d’égalité. Pour cela, nous sommes obligés de partir du principe que cette égalité générale ne se réalisera, ou du moins que l’on ne tendra vers elle, qu’en abandonnant l’exigence de liberté illimitée. Car, autrement, elle serait d’emblée totalement irréalisable. Mais, même alors, peut-elle être concrétisée? Il ne fait aucun doute que, dans certains de leurs rapports mutuels au cours de leur vie sociale, les êtres humains peuvent être considérés comme égaux. Cela concerne, avant tout, l’égalité devant la loi. Et aussi l’égalité en ce qui concerne certaines fonctions civiques comme, par exemple, le droit de vote, le mariage civil, l’accès à l’éducation, etc.

Mais même en tout cela, jusqu’à un certain degré seulement, car la mise en œuvre d’une totale égalité ne peut qu’échouer à cause de l’entière disparité des êtres humains. Et cette disparité, cette inégalité entre les êtres humains est quelque chose de naturel, un facteur qui ne peut être ni outrepassé, ni éliminé. Il se fera sentir toujours et partout, il empêchera absolument et constamment la réalisation d’une égalité parfaite. Et donc également la mise en œuvre de la satisfaction et du bonheur visés, sensés découler de l’égalité.

Nous ne mentionnerons pas ici le fait que les instigateurs révolutionnaires ayant fait valoir cette exigence d’égalité comme leurre se sont toujours personnellement placés hors de l’uniformisation générale – et pas plus du fait qu’ils aient oublié ou qu’ils n’aient pas dit que les mêmes droits doivent tout d’abord entraîner les mêmes devoirs. Car, par conséquent, ils auraient déçu leurs partisans s’il s’était avéré que ces devoirs devaient être exigés. Nous voulons constater, de surcroît, que les dogmes de l’Église, conscients de la réelle inapplicabilité de l’égalité terrestre entre les êtres humains par rapport à l’évidence de leur disparité terrestre, ont établi la doctrine selon laquelle les êtres humains seraient tous égaux devant Dieu, sans pour autant avoir obtenu ainsi ni satisfaction ni bonheur chez les êtres humains.

À présent, examinons ce (…) qui concerne la question de l’égalité.

Les germes d’esprit venant du Royaume spirituel sont semblables entre eux, ils proviennent d’un seul Esprit et chacun porte en lui les mêmes capacités. Mais, par la progression du germe d’esprit lors de son cheminement au travers de tous les Royaumes et des plans jusqu’à son entrée dans la matérialité grossière en tant qu’âme humaine incarnée, il s’établit déjà une inégalité, laquelle se manifeste par la suite de plus en plus nettement. Car le germe d’esprit, doué du libre vouloir, a le choix de se laisser entraîner ça et là, de s’ouvrir à telles ou telles vibrations. Ces vibrations peuvent être nobles ou pas, et il en va selon son désir. Et c’est ainsi que, tout naturellement, la disparité apparaît au cours de l’évolution.

La maturité des germes d’esprit pris individuellement, puis celle des êtres humains, en sera donc toute différente. Ensuite, au fil des incarnations, le poids du karma devient évidemment bien différent d’un être humain à l’autre, et c’est ainsi que l’inégalité entre les maturités spirituelles s’accroît de plus en plus.

Ceci nous permet de voir également que l’affirmation selon laquelle les êtres humains seraient tous enfants de Dieu, et donc égaux devant Dieu, est entièrement fausse. Tout être humain n’est pas {d’emblée} {un} enfant de Dieu, mais il le devient seulement s’il a pour cela évolué. La possibilité de se développer dans ce but, chaque germe d’esprit en a bel et bien disposé au départ. Chacun peut évoluer et devenir un enfant de Dieu personnellement conscient, mais il est obligé pour cela d’éveiller et de cultiver les capacités appropriées, et il ne doit pas les laisser s’atrophier. Sinon, il perd tout simplement cette possibilité, et il est entraîné vers l’anéantissement.

La disparité spirituelle dans la maturité des êtres humains est donc un fait solidement établi. Et ainsi s’évanouit aisément et de soi-même l’éventualité de parvenir à imposer l’égalité par la force. (…) Les êtres humains ayant des idées de communisme idéal sont nuisibles à l’humanité, parce que la mise en œuvre de ces idées ne pourrait apporter que du malsain. L’édifice qu’ils prétendent bâtir – au sens figuré – serait de travers et précaire, puisque la base, les êtres humains, ne s’y prête pas du tout, étant donné que l’on ne peut pas parvenir sur Terre à une maturité uniforme chez tous. Il régnera toujours une grande différence dans les maturités respectives, puisque les individus sont et restent spirituellement des personnalités totalement individuelles.

Et l’inégalité des conditions, des circonstances extérieures, si souvent ressentie comme une injustice qu’il faut compenser, ne provoquera plus de mécontentement lorsque les êtres humains auront correctement intégré l’Enseignement du Message du Graal au sujet du karma et de son rachat, alors ils prendront conscience que cette inégalité est nécessaire et que, au contraire, elle contribue à rendre possible le rachat karmique – ainsi que nous l’avons déjà vu en détail dans l’exposé «Le rachat du karma» [1] –. Ceci jette les bases de la solution de la question sociale qui, actuellement, échauffe tant les esprits. (…)

Et maintenant, il nous reste encore à évoquer la troisième revendication, la fraternité.

Cette exigence correspond, en fait, au Commandement d’aimer son prochain dont nous avons récemment parlé [2]. Je peux donc me contenter aujourd’hui de donner quelques indications.

Que cette exigence de fraternité n’ait jamais été réellement satisfaite par les êtres humains, l’Histoire de tous les temps nous le confirme, quelle que soit la page que nous y consultons. Même le Christianisme n’a, jusqu’ici, guère été en mesure de correctement satisfaire à cette exigence.

(…) L’Amour, conjugué avec une juste Rigueur, résout ce problème dans le Sens de la Volonté de Dieu.

Si, pour conclure, nous résumons succinctement, une nouvelle fois, la totalité de la question pour en retirer ce que nous pouvons en apprendre pour notre propre Ascension spirituelle, ne subsiste, devant notre œil spirituel, en tant que principale Exigence, que cette Parole (…):

 «Devenez spirituellement libre».

La base de toute Ascension spirituelle s’y trouve contenue. Elle nous conduit vers la vraie Connaissance et nous permet de reconnaître la Lumière (…) ….

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Notes:

[1] Exposé de August Manz n°84.

[2] Exposés de August Manz n°s 9 et 10.

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Liberté - Égalité - Fraternité

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