Ecole de l'art de vivre
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La Hiérarchie dans la Création

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« Devant Dieu tous les êtres humains sont égaux. »
– Proverbe –

« Renonçons à vouloir être égaux! »

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Hiérarchie ou égalité?

Souvent, dans les milieux anarchistes – alors que la devise de l’anarchisme est « Ni Dieu ni maître » – l’on entend des phrases du genre « La hiérarchie c’est comme les étagères, plus c’est haut, moins ça sert! ». La pensée unique actuelle s’accommode mal de la notion de « Hiérarchie ». Mais, selon les Lois de la Création, qu’en est-il vraiment?

Liberté, Égalité, Fraternité

Ainsi que c’est bien connu en France et même dans le « monde » entier, la devise de la France c’est « Liberté, Égalité, Fraternité ». Cette devise a volontiers été présentée par des penseurs « progressistes » comme une « lumière » pour le monde entier. Ce sujet a déjà été abordé en profondeur sur le site de l’École avec l’article éponyme « Liberté, Égalité, Fraternité » de August Manz, qui – rappelons-le rapidement ici – au sujet de cette devise, écrit ceci:

« Mais, bien que l’histoire de la Révolution française ait déjà enseigné que cette devise évoque une utopie absurde, elle hante pourtant toujours les pensées de rêveurs nébuleux, qui se laissent séduire par le clinquant extérieur de cette rhétorique, sans reconnaître le contenu chargé de ténèbres, le véritable visage de cette tentation luciférienne. ».

Par conséquent, une condamnation sans appel non de la devise elle-même, mais de tout ce qu’elle contribue à véhiculer comme idées fausses. Bien sûr, que la Liberté, en soi, c’est très bien, de même (à condition de bien comprendre ce que cela veut dire!) que l’Égalité, de même que la Fraternité, mais à quoi pensent, en réalité, lorsqu’ils s’y réfèrent, ceux qui s’en réclament?

Lorsque, avec des doigts crochus, une jolie musique est exécutée avec une harpe céleste, la séduction marche à fond. « Oh que c’est joli! », se disent beaucoup d’auditeurs, sans voir les doigts crochus qui pincent les cordes ni s’interroger au sujet des véritables motivations et des véritables objectifs de celui qui produit une si charmante mélodie.

C’est que, derrière des Notions en elles-mêmes spirituelles, se cache un poison conceptuel appelé « démocratie », faussement présentée comme la lumière du monde. Ce sujet a, jusqu’ici, juste été effleuré dans l’article consacré à  la maîtrise de soi.

Car qui a alors promu cette devise et avec quel objectif? A ce sujet August Manz apporte aussi la réponse:

« Ceux qui, en ce temps-là, avaient créé cette devise, avaient aboli en France le Christianisme et ils rendaient hommage à la « déesse Raison », s’égarant même au point qu’ils en vinrent à vénérer une femme nue en tant que déesse, dans la cathédrale Notre Dame de Paris. ».

La « déesse Raison » c’est clairement le culte de l’intellect. Un tel culte est évidemment une idolâtrie au sens premier du terme, une évidente transgression du Premier Commandement. Le fait que des mots fondamentalement spirituels comme « sacre », « consécration », « culte » soient maintenant couramment utilisés à propos du football ou des carrières des idoles de vanité de la chanson, du cinéma ou de la télévision, en dit long sur le stade d’idolâtrie avancé dans lequel est tombé l’ensemble de la société.

Comme nous l’avons déjà vue, l’intellect ne peut fondamentalement pas contribuer à l’Ascension spirituelle. Or il se trouve que c’est le Spirituel uniquement qui a la capacité de reconnaître la Volonté Divine. La conséquence en est que la soumission volontaire à l’intellect terrestre, de nos jours fièrement confessée par toutes les sciences et toute la société de façon générale, n’est, tout bien considéré, rien d’autre qu’une déclaration de guerre ouverte à Dieu!

Dans une telle devise « Liberté – Égalité – Fraternité » s’exprime beaucoup – pour la plupart des gens –  le « vouloir-être-bon », contrôlé par l’intellect et sous l’emprise du seul sentiment, bien loin et bien différent du réel « Bon Vouloir ».

Qu’en est-il de la démocratie?

L’approche de l’École de l’Art de Vivre est clairement et uniquement spirituelle. Elle ne fait donc aucune considération d’ordre politique. Ce n’est clairement pas son domaine. Cela ne l’empêche nullement  d’examiner aussi ce que doivent être les justes Notions et le juste comportement à suivre dans le domaine de la vie sociale des êtres humains, mais uniquement sur le plan conceptuel.

Le principe de base de la démocratie, à l’époque moderne, semble avoir été défini par le philosophe René Descartes, initiateur du cartésianisme.

Comme base de la démocratie, il a dit:

«Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée: car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils en ont. En quoi il n’est pas vraisemblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d’avec le faux, qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses. Car ce n’est pas assez d’avoir l’esprit bon, mais le principal est de l’appliquer bien. Les plus grandes âmes sont capables des plus grands vices, aussi bien que des plus grandes vertus; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuvent avancer beaucoup d’avantage, s’ils suivent toujours le droit chemin, que ne font ceux qui courent, et qui s’en éloignent.» (Source).

Cette déclaration, présentée par beaucoup comme le fondement moderne (la base initiale remonte, bien sûr, à la Grèce antique!) de la démocratie, contient pourtant plusieurs dommageables sophismes:

– Il n’est déjà pas exact que « le bons sens » (déjà, il faudrait correctement le définir!) soit « la chose du monde la mieux partagée », parce que le fait de ne pas en désirer plus que l’on en a ne peut absolument pas être considéré comme une preuve d’en avoir!

– Il n’est pas non plus exact de dire que « la puissance de bien juger, et {de} distinguer le vrai d’avec le faux, soit naturellement égale en tous les hommes ». C’est, naturellement, le contraire qui est vrai!

C’est d’autant plus vrai qu’il est aussi faux de dire que « la puissance de bien juger, et {de} distinguer le vrai d’avec le faux est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison ». Car la faculté de distinguer le vrai d’avec le faux – de même que le vrai « bon sens » – n’a que peu à voir avec la raison – donc avec l’intellect – et beaucoup à voir avec l’Intuition, donc l’esprit.

– Il est encore faux de dire que « les plus grandes âmes sont capables des plus grands vices ». Seule la suite est vraie: « Les plus grandes âmes sont capables (…) des plus grandes vertus« .

L’on peut donc voir ici comment un système mondial peut facilement s’édifier sur un tissu de faussetés. Et tout cela n’a qu’une seule cause: l’hyperdomination de l’intellect.

Dans la présente contribution nous parlons principalement de l’Égalité.

Les concepts « frères » de la « démocratie »

La majorité

Tout le système démocratique est basé sur le principe du vote (élections) et de la majorité devant imposer son point de vue à la minorité.

Toutefois – comme l’a dit un célèbre humoriste – « ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison« . Dans un monde sérieusement enténébré, la majorité n’est pratiquement jamais un critère de justesse et de vérité.

Déjà, à ce sujet, il y a deux mille ans, Jésus disait:

« Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la Porte, resserré le Chemin qui mènent à la Vie, et il y en a peu qui les trouvent. » (Matthieu, VII, 13).

Par conséquent, obtenir la majorité à un vote ne peut et ne devrait jamais être considéré comme une preuve de la justesse du chemin suivi.

Le vote – Les « élections »

Depuis toujours les sociétés sont confrontées à la question de comment parvenir à déterminer une ligne directrice au sein d’une collectivité, lorsque – ce qui est pratiquement toujours le cas! -, d’emblée, tout le monde n’est pas « d’accord ».

C’est ainsi que, dans une « démocratie » basée sur le principe des élections et du vote majoritaire, l’on se retrouve dans un système où (après un où plusieurs tours éliminatoires) 51% des électeurs se trouvent en situation d’imposer leur volonté aux 49% autres, soit presque la moitié de frustrés.

Concernant la démocratie, bien conscient de ses limites, le bien connu Winston Churchill – en son temps premier ministre du Royaume Uni – aurait déclaré que la démocratie était … « le pire des régimes … à l’exception de tous les autres! ».

Certes, une démocratie imparfaite peut sembler un moindre mal, beaucoup plus « enviable », par rapport à une dictature tyrannique et sanguinaire (d’où la déclaration de Churchill), mais l’on reste quand même loin du Royaume de Dieu.

L’autogestion

Alors, certains pensent avoir trouvé le bon « système » et pouvoir éviter les dérives autoritaires avec l’autogestion et la « collégialité ».

Qu’en est-il de l’autogestion?

Voici, par exemple, la définition de l’autogestion sur Wikipédia:

« L’autogestion (du grec autos, «soi-même», et «gestion») est le fait, pour une structure ou un groupe d’individus, de confier la prise des décisions à l’ensemble de ses membres. L’autogestion n’impliquant pas d’intermédiaire gouvernemental ou décisionnel, elle s’inscrirait de fait dans la philosophie anarchiste, libertaire ou conseilliste. ».

Donc l’autogestion a aussi recours au vote et aux élections, donc rien de bien différent. C’est toujours – et peut-être même encore plus! – un fonctionnement « démocratique ».

Et qu’en est-il, oui, de la « collégialité »?

La collégialité

Et voici, maintenant, une définition de la collégialité sur Wikipédia:

« La collégialité est un principe qui guide les actions d’un groupe de personnes (le collège, une autorité) ayant le même statut et par lequel ils assument collectivement les décisions prises par la majorité de ses membres. ».

De plus, sur la même page, il est précisé:

« La collégialité a pour objectif de limiter les pouvoirs d’un petit groupe de personnes, en donnant les mêmes pouvoirs à tous ses membres. ».

Assumer collectivement des décisions prises par la majorité des membres. Comment serait-il possible d’assumer des décisions prises par d’autres? Une telle définition pose immédiatement la question de la responsabilité.

La responsabilité peut-elle être collective?

Qu’en est-il de la responsabilité selon les Lois de la Création? Selon les Lois de la Création, la responsabilité ne peut être qu’individuelle.

Chaque être humain est responsable de ses paroles, de ses pensées et de ses actes, mais pas de ceux des autres! (A moins, bien sûr, d’avoir notablement contribué à les façonner, par exemple – s’il s’agit d’enfants – par une fausse éducation ou par la publication d’ouvrages contenant de graves erreurs au sujet du fonctionnement de la Création et susceptibles d’avoir égaré des lecteurs.).

Lorsqu’il s’agit d’une décision collective résultant d’un vote, celui qui a pris part au vote et a voté pour une décision injuste ou non conforme aux Lois de la Création, alors il est co-reponsable du résultat du vote à proportion de sa voix dans la décision collective, ni plus ni moins, et il endosse un karma proportionnel

Mais s’il a voté contre la décision non conforme aux Lois il n’est spirituellement pas responsable des mauvaises conséquences de cette décision, de même qu’il ne doit pas non plus l’être terrestrement. En effet – pour autant que cela soit possible -, la Justice doit toujours être une et les décisions des tribunaux terrestres devraient toujours refléter la Justice Divine.

Un esprit humain conscient de lui-même et de sa responsabilité ne peut pas prendre part à un système de collégialité en lequel l’on essaye de diluer la responsabilité – qui ne peut être qu’individuelle – dans une irresponsabilité collective.

Tant il est vrai que le plus grand nombre – et de loin – de tous les êtres humains de la Terre n’aimeraient que trop volontiers se décharger de toute responsabilité et en charger n’importe qui ou n’importe quoi d’autre, pourvu qu’il ne s’agisse pas d’eux-mêmes. La « collégialité » est parfaite pour cela!

Dans la Création, toutefois, il n’y a pas de communisme!

L’essence de la responsabilité

L’être humain porte seul spirituellement la responsabilité pour tout ce qu’il pense dit et fait. L’être humain se doit donc d’être, constamment, pleinement conscient de cette immense responsabilité qui est la sienne, du fait que – collégialité ou pas – – il est, en réalité, dans toutes ses décisions, réellement indépendant. Par conséquent, d’un point de vue spirituel, la collégialité n’est pas promotrice, parce que tout ce qui dilue la responsabilité de l’esprit entrave son développement.

Nous devons être des esprits vivants et conscients de leur propre responsabilité, selon les Lois de la Création. Chacun doit, tout seul, lui-même et intégralement répondre de tout ce qu’il pense, dit et fait. Nous avons le devoir de nous développer en tant que personnalité propre, avec une haute conscience de notre responsabilité personnelle pour notre vouloir, notre pensée, et notre action. Pour prendre nos décisions, nous devons aussi avoir une complète libre détermination,  laquelle est inséparable de l’exercice de la responsabilité, car là où existe la responsabilité doit aussi exister la libre capacité de détermination.

Qui, en réalité, peut être « élu »?

Le terme – aujourd’hui très courant dans les pays « démocratiques » comme la France – « élections » pose lui-même question. En effet, lorsqu’un candidat à un mandat public – par exemple celui de député – a obtenu plus de voix que ses adversaires, l’on dit qu’il est « élu ». Mais un « Élu » ce n’est pas cela! Il n’y a que Dieu Qui puisse élire, Qui puisse dire qui serait Élu ou pas, ce n’est pas un pouvoir de l’être humain, pas plus qu’un être humain peut désigner qui serait « saint » ou pas.

De même que seuls les Appelés peuvent être de véritables Enseignants, seul celui qui – tel un Prophète – est désigné par Dieu pour accomplir une Tâche à le Pouvoir et la légitimité pour le faire. Le proverbe latin « Vox populi, Vox Dei » [« Voix du peuple, Voix de Dieu »] a, lui aussi, été dévoyé.

Ce n’est pas ce que dit le peuple qui est la Voix de Dieu, c’est lorsque le peuple est suffisamment intuitif pour accueillir en lui la Volonté Divine que Celle-ci peut aussi S’exprimer à travers lui! La légitimité pour exercer une Tâche ou une Fonction ne peut jamais venir des êtres humains, seulement de Dieu Lui-même.

Face à l’erreur

Face au constat de tous ces fonctionnements faux se pose la question:

Comment nous comportons-nous face à l’erreur?

Oui – lorsque nous sommes confrontés à l’erreur, que choisissons-nous?:

  • Faire – par sentimentalité –  comme si elles n’existaient pas, et persévérer dans l’erreur.
  • Rectifier aussitôt la trajectoire pour prendre la bonne direction.

Il est triste de voir de nombreux êtres humains supposés suivre un rigoureux Chemin spirituel être toujours – le plus souvent à leur insu – plus ou moins fortement imprégnés de concepts et de conceptions qui leur viennent non de leur Enseignement spirituel qu’ils s’imaginent pourtant suivre, mais de leur fréquentation quotidienne de la société avec toutes ses déviations et tous ses faux concepts.

C’est probablement ce que Jésus appelait « aimer le monde » ou « venir du monde », lorsque, notamment, Il déclarait:

« N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’Amour du Père n’est point en lui; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde« .… (Jean II, 15).

La Création ne se compose que de scissions.

De même que le Soleil ne peut pas s’empêcher de rayonner parce que cela fait partie de sa nature, Dieu, parce que cela fait partie de Son Inentéallité, ne peut pas S’empêcher d’irradier. L’Irradiation Divine a toujours existé et elle existera toujours, même si la Création devait cesser d’exister.  Elle est donc – tout comme Dieu Lui-même, éternelle.

Le Processus Créateur est un processus de Scissions successives de l’Irradiation Divine par éloignement et refroidissement, avec différents Plans ou Degrés nés – justement – du refroidissement de l’Irradiation. Lorsque l’on a compris cela, l’on a aussi compris pourquoi et comment la Structure de la Création est fondamentalement hiérarchique.

Cette hiérarchie se retrouve partout: Les Plans de la Création sont hiérarchisés. Les couleurs sont hiérachisées, les sons sont hiérarchisés. Même les sexes sont hiérarchisés. La hiérarchie est omniprésente.

Devant Dieu tous les êtres humains sont égaux

C’est ce que dit la Maxime, qui est juste en soi, à condition d’être bien comprise. En effet, beaucoup d’êtres humains se concentrent spontanément sur la fin de la phrase, en oubliant le début. Or le début dit « Devant Dieu », ce qui implique que la maxime n’est juste que pour autant que les êtres humains soient parvenus devant Dieu. – c’est-à-dire dans le Paradis des esprits humains situé au pied des Marches du Trône de Dieu – ils ont retrouvé leur égalité originelle.

Mais sur Terre ce n’est pas le cas! Les êtres humains, pendant leur évolution, ne sont pas égaux. Ils sont, au contraire, très inégaux. Alors, vouloir intellectuellement ou sentimentalement les considérer comme égaux et ainsi créer une égalité artificielle forcée, n’est juste … pas juste!

Partons du Haut!

Lorsqu’une communauté d’êtres humains veulent agir juste en fonction des Lois de la Création, comment doivent-ils se comporter? Ils doivent partir du Haut. En effet, la véritable Harmonie ne peut jamais naître d’une tentative d’harmonisation mutuelle horizontale mais uniquement du juste alignement individuel de chacun vis-à-vis de la Lumière, c’est-à-dire vis-à-vis de la Volonté Divine.

Dieu parle aux êtres humains et exprime Sa Volonté par Sa Création et aussi par les Messages Divins qu’Il leur envoie.

Si un ensemble d’êtres humains veu{lent}t collectivement suivre le bon Chemin, alors ils ne doivent et ne peuvent – quant à leur mode de fonctionnement en commun – s’harmoniser que par la reconnaissance commune de la Volonté Divine. Si, à cet égard, chacun se positionne clairement vis-à-vis de la Lumière, alors il sera aussi clairement positionné vis-à-vis de ses co-êtres humains.

L’Approfondissement en commun de la Parole Divine leur sera un précieux Viatique à cette fin..

En Marche vers le Nouveau

C’est ainsi qu’ils deviendront ensemble capables de définitivement quitter les faux concepts du vieux monde pour résolument se diriger vers les vraies Notions et les Vraies Valeurs de la Vie en vigueur dans le Nouveau Monde

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Hiérarchie chez les cigognes

Hiérarchie chez les cigognes

 

1 Commentaire

  1. Deh Assy

    « La Hiérarchie dans la Création »

    Merci à l’auteur pour ce travail d’éclaircissement apporté à ces notions dévoyées qui sont à la base de cette « religion » (la démocratie) pratiquée et vendue de par le monde terrestre.

    L’article indique la voie juste devant être prise et qui finalement sera imposée par la Volonté Divine au détriment, cette fois, de ces humains adorateurs d’idoles.

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