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Un homme qui se respecte ne donne pas
son sperme
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Le «don de sperme» en regard des Lois de la Création
«Jamais poète n’a interprété la nature aussi librement qu’un juriste la réalité.»
– Giraudoux –
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Introduction
Le corps humain serait-il une réserve de pièces détachées? De prime abord, aux yeux de beaucoup, tout comme « donner ses organes », « donner son sperme » pourrait paraître un acte des plus généreux, mais, tout bien considéré, au regard des Lois de la Création, qu’en est-il vraiment?
Des situations toujours plus absurdes et même ubuesques!
Par exemple:
Un « donneur de sperme » condamné à payer … une pension alimentaire
Voici un cas: Une lesbienne est «en couple» (en réalité, deux lesbiennes ne font pas un couple mais une paire) avec une autre femme lesbienne. Cette femme lesbienne décide d’avoir un enfant par insémination artificielle, à la suite de quoi un enfant naît de cette insémination artificielle.
Puis cette mère lesbienne rompt avec sa copine lesbienne, ou la copine lesbienne rompt avec elle. L’ex-copine lesbienne lui dit qu’elle n’a aucune obligation légale envers l’enfant et ne payera donc pas de pension alimentaire, car l’enfant conçu par insémination artificielle avec le sperme d’un «donneur» n’est pas le sien.
« Abandonnée », la mère lesbienne assigne en justice le donneur du sperme pour qu’il paye une pension alimentaire, car – après tout – c’est lui le père biologique! Et la « justice » lui donne raison!
Une telle décision de justice – et l’on ne peut que s’en réjouir! – est donc la négation même du principe du «don du sperme». En réalité, il n’y a pas de «don de sperme», mais seulement une paternité responsable, à laquelle, selon les Lois de la Création, il est impossible d’échapper. Alors, quand la loi humaine se conforme aux Lois de la Création (c’est loin d’être toujours le cas!), c’est tant mieux!
Pour un homme, un tel soi-disant «don de sperme» (une expression faisant partie de la «langue de plomb») n’est, selon la Loi Divine, en réalité, qu’une tentative de fuir sa responsabilité paternelle. Et même si le souci principal de la justice humaine est ailleurs (pourvoir aux besoins de l’enfant en dispensant la société d’avoir à le faire), c’est une bonne chose si la justice humaine rappelle aux pères inconscients leur impossibilité à fuir leur responsabilité.
Par exemple, le droit allemand de la famille est très clair: Dès lors où la paternité est établie – quand bien même cette paternité est le résultat d’un don de sperme réalisé « dans les règles » -, un père – même s’il se considère comme un simple « donneur » – doit pourvoir aux besoins de sa progéniture.
Un « donneur de sperme » n’endosse théoriquement aucune responsabilité par son « don », mais il arrive maintenant qu’il soit rattrapé par la réalité!
Et quand bien même la justice et la société humaines ne s’en chargeraient pas, cela ne changerait rien à la responsabilité des hommes qui s’imaginent à tort pouvoir être des donneurs sans être des pères!
Liens:
https://l-express.ca/un-donneur-de-sperme-force-de-payer-une-pension-alimentaire/
https://www.lessentiel.lu/fr/story/un-donneur-piege-par-un-couple-de-lesbiennes-360842997887
https://www.dailymotion.com/video/x8ihkzg
Mais il y a encore «mieux» ou pire (ou encore plus délirant!):
Séparée de « sa femme », une mère lesbienne perd l’autorité parentale… au profit du … donneur de sperme!
https://www.dailymotion.com/video/x8ihkzg
Là aussi une telle situation montre, à l’évidence, le non-sens du soi-disant «don de sperme». Là aussi un concept issu de la nouvelle « novlangue » qu’est la « langue de plomb ».
Ce fait est encore confirmé par la notion de «droits parentaux» attribués à des «donneurs»:
Un donneur de sperme retrouve ses droits parentaux
Si un «donneur de sperme» a des droits parentaux, là encore c’est juste la négation pure et simple du concept de «donneur de sperme». En réalité, cela prouve bien – s’il en était besoin – qu’il n’y a pas de «donneurs de spermes» irresponsables, mais qu’il n’y a que des pères, avec toute la responsabilité qui va avec!
Apparition d’un nouveau concept: la «famille lesbo-parentale» (sic!)
Qu’est-ce qu’une «famille lesbo-parentale»? Apparemment, ce « nouveau concept », également issu de la langue de plomb, désignerait une «famille» dont les « parents » sont deux lesbiennes.
Apparition d’un autre nouveau concept: la «mère sociale» (sic!)
Qu’est-ce qu’une «mère sociale»? Apparemment, ce « nouveau concept », également issu de la langue de plomb, désignerait, dans une paire de lesbiennes, la «mère» non biologique.
Apparition d’un autre nouveau concept: le «parent psychologique» (sic!)
Deux lesbiennes – une mère biologique et une non-mère biologique – en viennent à avoir les mêmes droits sur l’enfant biologique de l’une des deux:
Le rôle du père
Le soi-disant « droit à l’enfant » (sic!) complètement unilatéral (rappel: tout ce qui est unilatéral est malsain!) des lesbiennes nie totalement le droit de l’enfant à avoir son père, et aussi le droit du père à avoir son enfant. Où est la soi-disant « égalité »? Elle est complètement bafouée par la soi-disant « liberté » de celle qui voudrait être « mère » en niant la Loi de la Procréation et le père.
Évidemment – comme on peut le voir -, «Reconnaître l’autorité au « parent social » face au parent génétique, c’est forclore le tiers qui a servi à faire {naître} l’enfant!». Autrement dit, si un enfant peut avoir « deux mères » (une « mère biologique » et une « mère sociale »), comment si la place de celui-ci est prise par une deuxième « mère » – peut-il encore avoir un père?
Après que, dans la société, les droits du père et les droits de l’enfant à avoir son père aient souvent et longtemps été bafoués en cas de divorce de séparation ou d’enfant naturel, ce n’est que depuis relativement peu de temps que le divorce ou la séparation n’ont en soi plus d’incidence sur l’autorité parentale.
Par exemple, en France, dans son article 373, alinéa 2, le Code civil dit maintenant: « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent. ».
Ce n’est aussi que depuis peu que l’on commence enfin à s’intéresser à l’incontournable rôle du père dans l’éducation de l’enfant. Avant que tous les hommes en situation de procréer soient considérés comme des pères et non comme de simples « donneurs de sperme » (en réalité le « don de sperme » ne devrait jamais exister!) beaucoup de chemin reste encore ici à parcourir…
https://www.soreau-avocat.fr/droit-des-peres/droit-des-peres-apres-separation
https://www.soreau-avocat.fr/droit-des-peres/etudes-sur-importance-role-pere
Là encore – contrairement à de possibles apparences encore une fois dues à la domination de l’intellect et du sentiment – le mal fondamental est la sexualité sans pureté et – puisqu’il n’y a pas d’amour sans pureté – donc aussi sans amour.
Le simple fait que les cabines où les « donneurs » doivent fournir leur semence soient remplies d’images pornographiques en dit long sur la nature du « don ». Comment, en effet, en dehors d’une union corporelle suscitée par un véritable amour, fournir du sperme sans auto-excitation sexuelle artificielle?
Lorsque l’on connaît les Lois de la Création – notamment la Loi de l’Attraction du Genre Semblable et la Loi de la Pesanteur Spirituelle – l’on connaît aussi l’importance de la Pureté au moment de la procréation quant à la qualité de l’âme en instance d’incarnation. Or, rien que par le fait même, la Pureté n’est jamais présente en cas de « don de sperme ».
Un homme conscient de lui-même et de sa responsabilité d’homme – donc un homme qui se respecte, qui respecte les femmes et qui respecte les enfants, sous aucun prétexte, ne « donnera » jamais son sperme autrement que de la manière entièrement naturelle prévue par les Lois de la Création, dans le respect du Commandement Divin interdisant la convoitise impure, et dans l’Amour de l’âme le plus chaste.
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« Un homme qui se respecte ne donne pas son sperme! »
Entièrement d’accord avec!
La procréation devrait être ce qu’il y a de plus sérieux dans une relation intime entre hommes et femmes.
L’arrivée par cet acte d’un être humain sur terre devrait être réalisée dans un amour pur pour attirer une bonne âme.
Le don de sperme est tout simplement dégradant et indigne pour un acte plus qu’important.