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 L’œuf ou la poule?

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C’est une question « vieille comme le monde »… Qu’est-ce qui est apparu en premier? L’œuf ou la poule? Évidemment, l’on conçoit qu’une poule ne peut apparaître « d’un coup » sans avoir, auparavant, émergé d’un œuf, mais qui a pondu l’œuf d’où est sortie la poule?

Mais d’où allons-nous partir? Lorsque nous considérons un corps vivant et que nous nous efforçons de savoir ce que le maintient en vie nous devons arriver à prendre conscience du fait que, partout dans la Création, tout ce qui est fondamental, propulsif, édificateur, tout ce qui maintient et entretient, est Radiation!

Autrement dit, la vie ne réside pas dans le corps lui-même, elle réside plutôt dans la radiation qui anime ce corps. Si la radiation qui le maintient lui était lui soudainement retirée, alors ce corps s’effondrerait aussitôt inanimé sur le sol. Et c’est bien ce qui se passe lors de la mort: Privé de la radiation qui le maintenant en vie, le corps cesse de vivre.

Pour bien comprendre cela il nous faut remonter à l’Origine de Tout, c’est-à-dire jusqu’à la Lumière Originelle Elle-même, qui est aussi la Force et qui est aussi la Vie. La Vie est à l’origine de la Pression, qui engendre le Mouvement, lequel pulse constamment de manière cyclique… Rien ne s’arrête jamais. Un arrêt serait synonyme de mort.

Et dans le Mouvement se façonne la forme. Jamais autrement. Sans mouvement pas de formation. Sans formation pas de forme. Pour tout être et toute chose, le genre conditionne la forme.

A partir de là où part l’Irradiation initiale se forment, en allant vers le bas, dans l’éloignement de la Source Originelle et le refroidissement, les différents grands Plans fondamentaux de la Création: le Spirituel-Originel ou Pur-Spirituel, le Spirituel à partir du bas duquel le germe d’esprit humain a commencé son périple vers le bas, et ce que l’on appelle le Seul-Entéallique, qui est le Plan où prennent naissance les grands et petits entéaux ainsi que les âmes animales.

En arrivant tout en bas (encore plus bas que le Seul-Entéallique), l’on atteint le grand Plan fondamental de la matière, lequel, lui aussi, se subdivise en deux parties: le Plan fin-matériel (Plan de la matière fine) et le Plan gros-matériel (plan de la matière grossière).

Après qu’aient pris forme l’eau, l’air et la terre, à un certain niveau de refroidissement les roches gros-matérielles (lesquelles sont le matériau de base pour la construction des différents corps cosmiques gros-matériels) ont, à leur tour, la possibilité de se former…

C’est le domaine de cette catégorie de petits entéaux appelés êtres élémentaux ou êtres de la Nature, dans le cas des roches: les gnomes.

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C’est précisément en travaillant à la formation des roches que les gnomes développent leur conscience et leur forme – laquelle est aussi fondamentalement une forme humaine. A cette époque existe donc sur la Terre, comme éléments, l’air, l’eau, la terre et le roc. Si cela existe maintenant, sur la Terre, tout en bas de la matière grossière, cela veut dire qu’au départ cela existait déjà potentiellement dans l’Irradiation Divine originelle.

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Comme tout le reste, ces potentialités, toutefois, ne pouvaient commencer, grâce au Mouvement, à se façonner en tant que réalités gros-matérielles terrestres que lors d’un refroidissement tout à fait déterminé. C’est ainsi que les roches sont apparues et sont devenues terrestrement visibles. Cela signifie qu’une partie de la radiation initiale s’est transformée en matière, mais pas la totalité, car, pour maintenir sa cohésion, dans la roche la radiation doit toujours exister.

Arrivés là, plusieurs lecteurs demanderont peut-être: Oui, d’accord, mais quel rapport avec l’œuf et la poule? Patience, nous y arrivons…. Cette roche – qui a conservé une partie de la radiation qui lui a donné naissance – est naturellement soumise à l’influence des éléments, autrement dit des intempéries: le vent, la pluie, le gel, les effets du Soleil, etc., autrement dit à l’érosion.

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Mais, au fur et à mesure que l’érosion progresse, la radiation résiduelle spécifique de la roche qui, en direction de l’extérieur, traverse la couche érodée, du fait de la modification de cette couche, se modifie, elle aussi. Cela veut dire que ses propriétés sont, elles aussi modifiées. Et cette irradiation modifiée permet, désormais, sur cette roche, l’implantation de plantes rudimentaires qui, jusque-là, ne pouvaient pas s’y trouver.

Et ces plantes rudimentaires assurant la transition entre le minéral et le végétal s’appellent, par exemple, « lichens » et « mousses ».. Comment, maintenant, ces plantes rudimentaires peuvent-elles apparaître à la surface de roches érodées? Comme tous les processus de la Création, c’est tout simple: Les roches érodées – comme tout ce qui existe – baignent dans la radiation générale invisible.

Les germes de lichens et de mousses sont attirés par le genre de radiation modifiée maintenant émis par la roche érodée, à la suite de quoi de petits entéaux (êtres élémentaux) en prennent soin, de sorte à assurer leur implantation, leur croissance et leur développement.

Lorsque ces petites plantes se fanent et se décomposent, à leur tour, semblablement, leur irradiation se modifie, ce qui, de nouveau, avec le concours d’autres êtres entéalliques d’un genre un peu différent, permet une nouvelle jonction, cette fois avec les graines d’autres plantes, un peu plus élaborées. Et ainsi de suite… Là reposent les germes de l’Évolution…, laquelle se fait toujours par l’union nouvellement agencée d’élément pré-existants.

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Avec ce processus se manifestant dans des modifications successives d’irradiations toujours plus « sophistiquées » prennent vie de nouvelles plantes de genres toujours plus diversifiés, allant jusqu’aux arbres les plus majestueux, mais pas seulement.

Car, à la suite du minéral, grâce à l’union des radiations des roches, des végétaux en décomposition, de l’eau, ainsi que de l’air et de la terre, apparaissent alors aussi, dans la Conformité aux Lois, les premiers animaux dont la semence gros-matérielle existe, elle aussi, de manière invisible, dans la Radiation Universelle ambiante.

Avec les modifications d’irradiations successives il se produit un mélange de radiations approprié qui attire magnétiquement les parties de genre semblable concernées hors de la Radiation principale qui englobe, en effet, toujours tout. Et c’est alors que se forme, en tant que précipité, en premier, le germe de l’animal, et non pas l’animal lui-même, lequel ne peut se développer qu’ensuite, à partir du germe préalablement attiré par le mélange de radiations.

C’est ainsi que la question posée au début du présent texte trouve tout naturellement sa solution: Qui était, en premier, sur la Terre, la poule ou l’œuf? Sans devoir tirer à pile ou face, vous aviez deviné? La réponse … c’est l’œuf!

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