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Je n’ai pas peur!

Je n’ai pas peur!

Je n’ai pas peur!

Je n’ai pas peur des maladies, des voleurs, de la nuit noire de la rue (ni de la nuit noire de mon âme).

Je n’ai pas peur de quitter les relations qui ne me permettent pas de grandir et {je n’ai pas peur} d’être seul(e).

Je n’ai pas peur de défendre et de faire entendre ma vérité, même si certaines personnes ne l’aiment pas.

Je n’ai pas peur de rencontrer et d’apprendre des nouvelles personnes qui entrent dans ma vie et de parcourir le monde avec seulement une petite valise et peu d’argent dans mon portefeuille, mais avec un esprit plein de curiosité et d’enthousiasme.

Je n’ai pas peur de demander pardon, de changer de look et d’essayer de nouvelles choses.

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La Rédemption

La Rédemption

La Rédemption

Nécessité de la Rédemption
Étant donné que – à part les très peu nombreux Missionnés – « les gens bien ne sont pas/plus sur Terre », pratiquement tous les êtres humains actuellement présents sur la Terre ont besoin, oui, de … Rédemption! Oui, tous les êtres humains, vous, les autres … et moi!
Mais comment cette Rédemption peut-elle s’effectuer? Concernant la Rédemption il y a l’aspect collectif et l’aspect individuel. L’aspect collectif est surtout théologique; la Rédemption serait essentiellement le fait du Rédempteur. A part croire en Lui, les bénéficiaires n’auraient quasiment rien à faire pour être rachetés. Leur Salut serait assuré par un Autre qu’eux…
La Doctrine de la Justification
C’est ainsi qu’est née, par exemple, la « Doctrine de la Justification ». La Justification signifie ici: Comment se justifier devant Dieu. Naturellement, il ne s’agit pas ici de tenter de s’auto-justifier soi-même avec des mots surgis de l’intellect, dans le sens de s’auto-disculper vis-à-vis de ses fautes. Devant le Juge Suprême, cela ne marche pas!
Il s’agit donc de se justifier spirituellement devant Dieu, autrement dit de pouvoir paraître devant Lui en qualité de Juste. Au sujet de cette « Doctrine de la Justification » il existe, dans une tentative de rapprochement doctrinal inter-églises chrétiennes, une « Déclaration conjointe de la Fédération Luthérienne Mondiale et de l’Église Catholique ». Il existe même une « Science du Salut » appelée la Sotériologie, rien que cela!
Jésus comme Rédempteur
Étant donné que cela déjà été fait, nous n’approfondirons pas ici en détails cette Doctrine de la Rédemption entièrement centrée sur le Sacrifice de Jésus. Un faux sens lui a été donné. L’assassinat du plus Innocent qui soit ne pouvait racheter personne, bien au contraire! Cela ne pouvait que charger encore bien davantage le karma des pécheurs.
Question: Mais si Jésus n’est pas mort sur la croix dans le but d’expier nos péchés à notre place, peut-Il toujours être désigné comme étant le Rédempteur? La réponse à cette question est clairement oui. Il suffit juste de comprendre que la Rédemption ne réside pas dans le fait d’expier nos péchés à notre place – ce que l’Omni-Justice Divine ne permet clairement pas! – mais dans le fait – avec tous les risques que cela comporte! – d’apporter jusque sur la Terre largement enténébrée la Parole de la Vérité Divine seule capable de montrer aux êtres humains profondément déchus le Chemin du Salut, qui, pour eux, déjà à cette époque, était déjà perdu.
En effet, les paroles des Prophètes déjà envoyés par Dieu ne suffisaient plus à ramener les êtres humains perdus vers la Lumière. Il fallait – venu d’En Haut – un Secours plus incisif que Seule une vivante Partie de DIEU Inentéallique (= Inqualifiable, sans nature propre ni attributs, totalement Indépendant) pouvait encore apporter. Ce fut une Mission d’urgence. Si Jésus n’était pas alors venu, plus aucun être humain de la Terre encore sur Terre ne pouvait plus être sauvé!

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Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Dans son livre « Le Grand Virage », Jean Choisel écrit:
« Nous ne voudrions donner qu’un seul exemple des conséquences de la disparition progressive de l’«Idée directrice» du Christianisme, qui «informa» les peuples dits chrétiens. On sait que le premier Commandement du Décalogue dit: «Je suis le Seigneur, Ton Dieu! Tu n’auras pas d’autres dieux devant Ma Face!». Ce bref Commandement est donc une condamnation formelle de toute idolâtrie.

Parce qu’ils n’adorent plus depuis longtemps d’idoles taillées dans la pierre ou le bois, la plupart des Chrétiens croient y obéir! Et pourtant…! Dans un chapitre de son très beau livre déjà cité, qui contient un nombre impressionnant de vérités premières, Claude Tresmontant écrit:
«L’idolâtrie est un processus, intellectuel, mental, ou affectif, qui consiste à attribuer à quelque chose de relatif une valeur d’absolu.»
«Pour comprendre, ou réaliser, ce que c’est que l’idolâtrie, et en quoi a pu consister le syncrétisme religieux que les prophètes d’Israël ont combattu, prenons un exemple contemporain. Prenons l’exemple du nationalisme intégral, tel qu’il a fleuri en France et en Allemagne au XIXème et au XXème siècles. C’est une doctrine selon laquelle la Nation, la Patrie, est la valeur absolue. À vrai dire, elle est l’absolu, le critère absolu, car aucun critère, aucune valeur ne lui est supérieure. La Vérité? La Justice? Ce ne sont que des abstractions à côté de cette valeur qu’est la Patrie, la Nation. (…) Ce qui compte, et cela seul compte, c’est l’intérêt supérieur de la Nation, et donc de l’Armée.»

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En finir avec son mauvais karma

En finir avec son mauvais karma

En finir avec son {mauvais} Karma:

Se libérer de tout ce qui nous alourdit

L’être humain n’a pas de plus grand ennemi que lui-même. Il pourrait, sagement co-régner sur la Création et au lieu de cela il se comporte, vis-à-vis de son Créateur en perpétuel mendiant, et, en plus, il appelle cela «prier»!
Les sages de nombreuses traditions spirituelles parlent de la Loi de Cause à Effet qui, avec d’autres, contribue à régenter notre Univers. Ce principe est décrit de différentes manières selon les religions et les cultures. L’on parle aussi de Loi des Semailles et des Moissons, de Loi du Boomerang, de Loi du Choc en Retour, ou encore de Loi de l’Effet de Réciprocité.
L’on en retrouve l’enseignement dans toutes sortes de légendes et des mythes, qui, de génération en génération, servaient à transmettre la Sagesse. Aujourd’hui, c’est le mot sanskrit «karma» qui est le plus couramment utilisé pour désigner ce processus. La Loi du Karma régit l’ensemble de nos vies. Le karma interagit sur notre vie tout entière. Si notre genre est semblable à celui de quelqu’un d’autre, c’est que nos vibrations respectives sont proches.
Par définition, tout ce qui n’est pas éternel est éphémère ou «impermanent». En tant qu’êtres momentanément incarnés dans la matière grossière, notre libre vouloir réside donc dans le fait de nous accrocher ou pas à ce monde de la matière la plus grossière, étroitement lié à l’espace et au temps terrestres, dans laquelle nous ne faisons, en fait, que temporairement séjourner, car là n’est pas notre vraie Patrie!
Lorsque nous voulons changer, nous rencontrons souvent des résistances. Pourquoi? Parce que tout ce que nous avons fait dans nos vies antérieures, ayant modelé notre karma, conditionne la façon dont nous considérons aujourd’hui notre présente existence.
Un phénomène terrestrement peu ou mal connu: Les âmes liées à la Terre
Les spirites et médiums, qui communiquent avec les âmes des «morts», ont souvent parlé des «âmes en peine». Certaines âmes, en proie à trop de chagrin, de colère, de regrets ou de convoitises, hantent les régions correspondantes de l’astral inférieur. Le phénomène des maisons hantées est notamment dû à ce genre d’errances. Mais ce que l’on sait moins, c’est que ce phénomène est en constant accroissement, même sur le plan terrestre.
Si, par un quelconque penchant, nous sommes trop accrochés à quelque chose, cela nous enferme dans le champ vibratoire sur le niveau où se trouve cette chose, même si l’on a un corps gros-matériel terrestre. L’on dit familièrement d’une telle personne qu’elle «pédale à côté du vélo». Si cela dure trop longtemps, le décalage entre la réalité terrestre et la vie intérieure d’une personne peut être tel qu’elle deviendra une âme errante.
En dehors des cas de possession avérés – ce qui est encore autre chose -, beaucoup d’êtres humains, parmi ceux qui sont placés en hôpital psychiatrique, sont ainsi décrochés du réel.
À partir de l’incarnation dans le plan gros-matériel terrestre (aussi appelé «plan physique»), donc à partir de la naissance, l’être humain est, de toutes façons, prisonniers du monde de la matière grossière. C’est ce que l’on appelle l’«emprise terrestre». Une excellente pièce de théâtre, précisément appelée «Emprise terrestre» (en langue allemande «Erdennbann»), permet de mieux comprendre de quoi il s’agit.

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La communion des saints

La communion des saints

La communion des saints

Introduction

Tous les Dimanches, lors de la messe, dans le Credo, les Chrétiens catholiques affirment croire à la « communion des saints », mais, déjà, combien savent précisément de quoi il s’agit exactement, et – surtout – selon les Lois de la Création, existe-t-il réellement une « communion des saints »?

Pour les catholiques, la « communion des saints » est un dogme, c’est-à-dire « une vérité incontestable » (sic!). Mais qui sont les « saints » dont on parle? Et comment être en « communion » avec eux? Croire à la la « communion des saints », c’est croire qu’il y a un lien entre les morts et les vivants, ce serait, en quelque sorte, une forme de « solidarité », ce qui, déjà, pose la question de savoir si la solidarité est une valeur spirituelle. Il semble bien que la réponse soit non.

La solidarité est-elle une Valeur chrétienne?
La solidarité fait partie du militantisme, en vue d’un objectif commun à atteindre. De prime abord, l’on pourrait – sur l’axe horizontal de l’Amour – l’associer à la générosité, mais – en fonction de l’axe vertical de la Justice – elle trouve rapidement ses limites. Par exemple, le Bien ne peut pas être solidaire du mal ou de la fausseté. La Vertu ne peut pas être solidaire du vice.

Célébration de la « communion des saints »
L’église célèbre les « saints » à l’occasion de la Fête de la « Toussaint », le 1er novembre de chaque année, et commémore les « fidèles » défunts, le lendemain, donc le 2 novembre de chaque année. C’est l’époque des traditionnels chrysanthèmes déposés sur les tombes, dans les cimetières. C’est l’occasion de se souvenir de ses « chers disparus ».

Origine première du dogme de la « communion des saints »
Cette doctrine, aussi appelée « dogme du ‘corps mystique' », repose sur l’enseignement de l’Apôtre Paul de Tarse dans son Épitre aux Corinthiens, lorsqu’il parle des Dons spirituels.

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Le pouvoir de l’argent – Par Eva-Margret Stumpf

Le pouvoir de l’argent – Par Eva-Margret Stumpf

Le pouvoir de l’argent

Par Eva-Margret Stumpf

Tous ceux qui vivent aujourd’hui l’adorent, les uns plus, les autres moins. Mais combien éphémère est sa puissance, combien incertain {est} son fondement! Vous ne devriez pas construire dessus! Il passe, comme tout ce qui est sur la Terre: il ne reste rien {d’autre} que de la poussière.

« Amassez des Trésors qui soient impérissables », vous a déjà dit JÉSUS. IL voulait dire par là: Trésors de l’esprit, Trésors du Cœur, expériences vécues en tous genres. Seulement cela reste, comme possession impérissable de l’âme lorsqu’elle passe de l’autre côté dans le royaume fin-matériel. Riche d’expériences…, riche de connaissances, {c’est ainsi que} vous devriez partir de cette Terre – alors vous ne reviendriez pas pauvre comme un mendiant dans l’Au-delà.

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Le Pouvoir de la Lumière – Par Eva-Margret Stumpf

Le Pouvoir de la Lumière – Par Eva-Margret Stumpf

Le Pouvoir de la Lumière

Par Eva-Margret Stumpf

Dans aucune détresse intérieure vous n’êtes seul!

Toujours quelqu’un est à côté de vous, qui ressent avec vous.

Votre détresse l’appelle, car c’est précisément par celle-ci que lui aussi est passé.

Il peut mieux vous aider que n’importe quel autre être humain: il connaît votre âme, il ressent avec vous, il connaît les chemins et le conseil.

Confiez-vous à lui, il est le meilleur ami {que vous ayez}!

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Le hasard ou la Providence?

Le hasard ou la Providence?

Le hasard ou la Providence?

Tout être humain sans exception a eu l’occasion, dans sa vie, d’être confronté, sans qu’il s’y attende, à des événements extrêmement favorables pour sa destinée. Parfois, il a pu également être confronté à une situation qu’il souhaitait éviter mais qui s’est révélée, par la suite, très utile dans la poursuite de son parcours terrestre. Or, pour tous ceux qui considèrent ces événements comme un pur hasard, il n’y a aucune explication rationnelle, le mot « hasard » leur convient parfaitement.

Heureusement, bon nombre d’humains considèrent ces soi-disant « hasards » avec un regard différent, sans pour cela être en mesure d’en donner une explication cohérente, capable d’encourager l’être humain à faire confiance à la richesse positive de la Vie.

Ce qui est sûr, c’est que l’être humain animé d’un réel bon vouloir bénéficie sans cesse d’accompagnements bienveillants pour aplanir son chemin évolutif, à condition qu’il ne mette pas sa volonté en travers.

A l’occasion de ces événements aux dénouements extrêmement positifs est employé le mot « providentiel » pour désigner un secours inattendu mais très bénéfique.

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Libre … mais … responsable!

Libre … mais … responsable!

Libre … mais … responsable!

La Liberté de l’esprit
La Liberté! La libre volonté! Elle fait partie de la nature – ou du genre – même de l’esprit humain lui-même! Ne cherchez pas la liberté ni la libre volonté dans la volonté intellectuelle, elle n’a rien à voir avec elle. Nous l’avons déjà vu, l’intellect humain est conditionnable, mais pas son esprit!
Libre volonté ou libre arbitre?
Les philosophes parlent de « libre arbitre », mais c’est une notion philosophique théorique, donc intellectuelle. Comme l’a dit le grand écrivain allemand Goethe: « Toute théorie est grise, mais l’Arbre de la Vie est vert et florissant! ». Spirituellement parlant, il n’y a pas vraiment de « libre arbitre », il y a juste une volonté libre ou une volonté entravée par l’intellect ou par le karma.
Les deux genres de créatures dans la Création
Dans la Création il y a, fondamentalement, deux types de créatures: Les créatures dotées du libre vouloir, qui sont de genre spirituel, et les créatures sans libre vouloir personnel, et qui, fondamentalement, ne font donc qu’accomplir la Volonté Divine, qui sont de genre entéallique. Ce sont les deux genres fondamentaux existant dans la Création.
Comme leur nom l’indique, par exemple, les esprits humains de la Terre – dotés du libre vouloir – sont, bien évidemment, de genre spirituel, tandis que, par exemple, les êtres de la nature – les entéaux – sans libre vouloir personnel, sont de genre entéallique. Les grands entéaux n’obéissent qu’à la Volonté Divine, tandis que certains petits entéaux, très liés à la matière (comme, par exemple, les gnomes des roches et de la terre), peuvent être influencés par les esprits humains pour eux d’un genre plus élevé.
Le Bon Vouloir
Là où il est possible de choisir son chemin il n’y a que deux directions fondamentales: Celle qui monte et celle qui descend. Autrement dit, le choix est à effectuer entre Lumière ou ténèbres, Bien ou mal, Vérité ou mensonge. Un être humain faisant preuve de bon vouloir, choisira toujours le Chemin ascendant. Ainsi et pas autrement s’exprimera sa libre volonté.
Un esprit réellement libre – c’est-à-dire non ligoté par les conséquences d’actes erronés – choisira toujours le Chemin ascendant. C’est là que l’intellect raisonneur va dire: « Mais si un esprit soi-disant libre, pour rester libre, est obligé de choisir le chemin ascendant, cela prouve bien qu’il n’est pas libre! ». Même à l’intellect voulant-savoir-mieux il n’est pourtant pas difficile de comprendre qu’un esprit qui s’élève se libère toujours plus, tandis qu’un esprit qui s’enfonce s’enchaîne toujours plus.

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Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

« Je pense avoir les opinions bonnes et saines; mais qui n’en croit autant des siennes? »
– Michel Eyquem de Montaigne –

Omniprésence de l’erreur
Il est fréquent que nous rencontrions l’erreur sur notre chemin… Dans un monde enténébré comme le monde actuel, c’est pratiquement inévitable. Mais comment nous comportons-nous face à elle? Bien sûr, nous avons tous, à un moment ou un autre de notre vie, sous l’influence de différents conditionnements, plus ou moins et plus ou moins longtemps, adhéré à une idée fausse. 
Est-ce que c’est grave? Pas forcément. Car, déjà, pour nous aider à répondre à cette question, existe le proverbe latin bien connu « Errare humanum est, perseverare … diabolicum! » [« L’erreur est humaine’ – ou bien « se tromper est humain » -, « {mais} persévérer {dans l’erreur est} … diabolique! ».
La force de vérité de ce proverbe ne s’est jamais démentie et ne se démentira probablement jamais. Aujourd’hui encore, il constitue une ligne directrice de premier choix sur laquelle nous pouvons et devons nous appuyer: Oui, se tromper est humain, mais persévérer en connaissance de cause dans l’erreur est proprement … diabolique!
Se tromper de bonne foi n’est pas automatiquement adhérer à la fausseté
Se tromper n’est, en effet, pas, en soi, un (gros) problème. Car l’erreur peut aussi être considérée comme une étape ou même une marche – sur laquelle il est possible de s’appuyer, -, dans sa progression vers la Vérité. Ce qui est grave c’est, une fois que l’on a eu l’occasion de se détromper et de reconnaître la vérité, de s’obstiner dans l’erreur ou de ne pas vouloir la reconnaître comme telle.
A ce propos, beaucoup de lecteurs connaîtront déjà les quatre étapes d’une idée nouvelle. Ce n’est, hélas, que trop vrai! Car la plupart des gens, malheureusement, agissent exactement comme « L’opportuniste » de la chanson certes capable de « changer d’opinion » et donc de « retourner sa veste » mais seulement à chaque fois qu’il a l’impression que « le vent a tourné ».

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