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Le Mystère du Tombeau vide

Le Mystère du Tombeau vide

Le Mystère du Tombeau vide

«Et si {le} Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés, et, par conséquent, aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus.»
(Apôtre Paul – «Première Épître aux Corinthiens» – Chapitre XV – Versets 17-18)

La Résurrection du Christ – comme le souligne pertinemment l’Apôtre Paul, dans sa première épître aux Corinthiens – est donc absolument centrale dans la Foi chrétienne.
Normal, Jésus n’a-t-Il pas dit?:
 «Détruisez ce Temple, et, en trois jours, Je le relèverai.».
(Jean II, 19)
Au sujet de cette Parole Jean précise juste après: «20 Les Juifs dirent: Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce Temple, et Toi, en trois jours, Tu le relèveras! 21 Mais Il parlait du Temple de Son corps. 22 C’est pourquoi, lorsqu’Il fut ressuscité des morts, Ses Disciples se souvinrent qu’Il avait dit cela, et ils crurent à l’Écriture et à la Parole que Jésus avait dite.» (Jean II, 20-22).
Et Jésus n’a-t-Il pas aussi dit?:
«Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie,
  nul ne vient au Père que par Moi.».
(Jean XIV, 6)
Si Jésus est, entre autres, la Vie, Il est, par conséquent, bien sûr, à même de vaincre la mort!
«Je suis la Résurrection et la Vie.
 Celui qui croit en Moi,  fût-il mort, vivra.»
(Jean XI, 25)
Et, en plus, celui qui croit en Jésus et, de ce fait, met Sa Parole en pratique, peut, lui aussi, vaincre la mort!
«En Vérité, en Vérité, Je vous le dis, celui qui écoute ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle et ne vient point  en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» (Jean V, 24)
Celui Qui a envoyé Jésus, c’est, bien sûr, Son Père, Dieu, le Créateur de tout ce qui existe. Cette Parole est la confirmation que croire en Jésus c’est écouter Sa Parole, et que écouter Sa Parole c’est la mettre en pratique. C’est cela qui permet de passer de la mort à la Vie, et donc de ressusciter.

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Le tempérament, le caractère, la personnalité

Le tempérament, le caractère, la personnalité

Le tempérament, le caractère, la personnalité

Introduction
Le tempérament, le caractère, la personnalité… De nombreux êtres humains utilisent ces notions sans trop savoir ce que, en réalité, elles recouvrent précisément… Beaucoup s’accommodent de la superficialité et peu cherchent à aller au fond des choses…
Des expressions courantes existent. L’on dit souvent de quelqu’un qu’il ou elle a un « fort tempérament », un bon ou un « mauvais caractère », une « personnalité affirmée », mais cela concerne qui ou quoi en elle? Faute d’y réfléchir, la plupart de gens mélangent tout.
A titre d’exercice spirituel – avant de lire la suite de cet article – vous pouvez, peut-être déjà essayer de définir ce que signifient ces concepts pour vous.
En réalité, c’est très simple: Le tempérament concerne le corps gros-matériel terrestre (le corps physique), le caractère concerne – au sens large – l’âme (plus précisément, le corps fin-matériel), et la personnalité – au sens strict – concerne l’esprit, le Noyau éternel impérissable de l’être humain.
Cela implique que le tempérament, lié à la nature du sang, ne vaut que pour la vie terrestre, que le caractère ne vaut que pour l’âme et donc que pour la vie animique fin-matérielle (la vie psychique), et la personnalité ne vaut que pour l’esprit, même lorsqu’il est incarné.
Lors de l’incarnation terrestre d’un germe d’esprit, l’être humain montre à l’extérieur diverses manifestations de ce qu’il est et de ce qu’il a.

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Franchezzo – Un voyageur au pays des esprits

Franchezzo – Un voyageur au pays des esprits

Franchezzo – Un voyageur au pays des esprits

Les jours de l’obscurité

« Je suis allé en pèlerinage dans un lointain pays, à travers des régions qui, chez vous, sur Terre, n’ont ni nom, ni espace. Je désire maintenant mettre par écrit les étapes de mes voyages, afin que ceux qui ont pris la même direction de marche que moi puissent savoir ce qui les attend à l’intérieur de ces frontières.
Dans mon existence terrestre, je vivais comme tous ceux qui ne font que s’épuiser à se procurer au plus haut degré les jouissances du monde. Si je n’étais pas désobligeant envers ceux que j’aimais, cela se passait cependant, toujours, avec le sentiment qu’ils devaient être utiles à me satisfaire et que, par mes cadeaux et mon penchant pour eux, je pouvais leur acheter l’amour et les hommages qui m’étaient nécessaires dans ma vie.
Tant sur le plan physique qu’intellectuel, j’étais très doué. En mon âme, l’idée d’un don de soi-même capable de se perdre complètement dans l’amour pour les autres ne m’était jamais venue. Parmi toutes les femmes que j’ai aimées, d’un sentiment qualifié trop souvent à tort d’amour par les hommes de la Terre, alors qu’il n’est tout simplement que passion, il ne s’en trouva aucune pour me faire éprouver ce qu’est le véritable amour, l’idéal vers lequel j’aspirais secrètement. En chacune, je trouvais toujours quelque chose pour me décevoir. Elles m’aimaient ainsi que je les aimais. La passion que je leur vouais ne me gagnait qu’un sentiment conforme de leur part. Ainsi vivais-je là-bas, insatisfait d’un désir que j’ignorais moi-même.
Je fis beaucoup de fautes et commis beaucoup d’erreurs. Le monde se tenait toutefois à mes pieds pour me louer, me trouver bon, noble et doué. Je fus fêté, courtisé, et le chéri gâté de toutes ces dames de la société. Pour obtenir, je n’avais qu’à désirer, mais aussitôt que j’avais gagné, tout se transformait en amertume.
Puis vint le temps où je commis la faute la plus néfaste en ruinant deux vies. Je me sentis comme attaché par des chaînes de fer qui me serraient et me blessaient jusqu’à ce que je pus enfin les briser et me retirer, à première vue, en homme libre. Mais jamais plus je ne serais réellement libre. Car jamais, même un instant – que ce soit dans cette vie ou dans l’autre -, nos fautes et nos erreurs passées ne peuvent cesser de suivre nos traces et d’accabler nos vibrations, et cela tout le temps qu’elles n’ont pas été expiées l’une après l’autre et rayées ainsi de notre passé.
Lorsque je croyais enfin avoir tout appris de ce que l’amour peut enseigner, et tout connaître de ce qu’une femme peut donner, il advint alors que je fis la rencontre d’une dame. Ah! Comment dois-je la nommer? À mes yeux, elle était plus qu’une femme mortelle et je l’appelai « le bon ange de ma vie ».

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L’influence des pensées et des intuitions sur la vie humaine – Par Roselis von Sass

L’influence des pensées et des intuitions sur la vie humaine – Par Roselis von Sass

L’influence des pensées et des intuitions sur la vie humaine

Les intuitions et les pensées acquièrent tout d’abord des formes non-reconnaissables à l’œil terrestre et influencent alors les destinées tant des individus que des peuples entiers.
A travers leurs facultés d’intuition et de pensée iI est donné aux êtres humains un pouvoir qui provoque des choses bonnes ou mauvaises et qui, dans la majorité des cas, détermine aussi les nombreuses relations humaines.
Ce pouvoir est dû a une irradiation qui, vivifiée par les ondes des intuitions et des pensées, entre en action. L’af­firmation qu’un être humain ou un autre « irradie quelque chose » a réellement sa justification. Malheureusement la ma­jorité des êtres humains, aujourd’hui, n’irradient plus rien, si ce n’est des choses mauvaises. Ils abusent des forces qui leur sont concédées en instaurant l’hostilité, la méfiance et la haine dans le monde, alors que ne devraient régner que la paix, la sécurité et la véritable confiance en Dieu.
Les intuitions et les pensées sont les messagères de la Lumière ou des ténèbres. En tant que messagères lumineu­ses, elles établissent la paix, répandent la légitime confiance en Dieu, aidant et fortifiant tous ceux qui portent en eux le même genre. Elles agissent en aidant, dispersant des bénédictions.
Non seulement la volonté mais aussi nos intuitions et nos pensées, comme, par exemple, le mensonge, la méfiance, l’envie, le mécontentement, la brutalité, et tout ce qui existe encore comme formes néfastes de ce genre, conti­nuent aussi d’agir, renforçant ainsi le mal dans le monde entier. Elles constituent les messagères de la tristesse et de l’infortune qui déchainent destruction et inimitiés pour toute la partie de la Terre ou elles résident. Ce sont elles qui sont la cause des guerres et des révolutions et de toutes sortes d’hostilités sur cette planète maltraitée. En cela réside aussi l’explication du fait que tant d’êtres humains qui se disent in­nocents, soient enrôlés dans des guerres et doivent passer par des souffrances et des injustices.
Nul ne souffre sans motifs! Les si nombreuses vic­times de la guerre supposées « innocentes » qui existent aujourd’hui et qui, pour une bonne partie, continueront d’exister pour encore un moment, ont contribué, par leur dis­position intérieure négative, a ce que les hostilités puissent faire irruption dans le domaine visible. Probablement ils se chargèrent de fautes à cet égard au cours de différentes vies terrestres antérieures.

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Qui a tué Jésus?

Qui a tué Jésus?

Qui a tué Jésus? – Qui est responsable de la mort du Christ?

« Le Christ n’est pas venu pour mourir,
Il est venu pour dire un certain nombre de choses! »
– Henri Guillemin –

Qui a tué Jésus? Qui est – aujourd’hui encore – responsable de Sa crucifixion?
Répondre à de telles questions requiert plusieurs éclairages. Car il y a les meurtriers physiques (ceux qui L’ont cloué à la croix) et les meurtriers moraux (ceux qui voulaient Sa mort, ceux qui L’ont condamné, ).
Tout d’abord, il ne fait aucun doute que les chefs religieux d’Israël furent responsables de la mort de Jésus. A ce sujet, dans son Évangile, Matthieu, chapitre XVI, versets 3-4 affirme:
«Alors les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple se réunirent dans la cour du souverain sacrificateur, appelé Caïphe; et ils délibérèrent sur les moyens d’arrêter Jésus par ruse, et de le faire mourir.».
Ils ne pouvaient pas continuer à Le laisser accomplir des signes et des prodiges, car cela menaçait leur position et leur place dans la société religieuse qu’ils dominaient (Jean XI, 47-50), alors: «Dès ce jour, ils résolurent de Le faire mourir.» (Jean XI, 53).
D’un point de vue factuel, ce sont les Romains qui L’ont effectivement crucifié (Matthieu XXVII,27-37). La crucifixion était une méthode d’exécution romaine, autorisée et exécutée par les Romains, à l’époque, sous l’autorité de Ponce Pilate, le gouverneur romain qui a condamné Jésus. Les soldats romains ont planté les clous dans ses poignets (dans les mains, les tissus se seraient déchirés et le corps n’aurait pas tenu sur la croix!) et ses pieds, les troupes romaines ont érigé la croix et un soldat romain – selon la Tradition Longinus, considéré comme un « saint » par l’église catholique (il a même sa statue en tant que « saint Longinus » dans la Basilique « Saint Pierre » de Rome) – lui a transpercé le côté (Matthieu XXVII, 27-35).
Le peuple d’Israël a également été complice de la mort violente de Jésus. Ce sont eux qui ont crié: «Crucifie-le! Crucifie-le!», alors qu’il était jugé par Pilate (Luc XXIII, 21). Ils ont également crié pour que le brigand de grands chemins Barabbas soit libéré à la place de Jésus (Matthieu XXVII, 21). Pierre l’a confirmé dans Actes II, 22-23 lorsqu’Il a dit aux êtres humains d’Israël: «Vous L’avez crucifié, vous L’avez fait mourir par la main des impies.».
En fait, le meurtre de Jésus était une conspiration impliquant Rome, Hérode, les dirigeants juifs et le peuple d’Israël, un regroupement tout à fait disparate d’individus qui, auparavant ou depuis lors, n’avaient encore jamais collaboré ensemble à quoi que ce soit, mais qui, cette fois-là, se sont réunis pour comploter et réaliser l’impensable: le meurtre du Fils de Dieu!

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La Maîtrise de soi

La Maîtrise de soi

La Maîtrise de soi

 « Sois le capitaine de Ton âme! »

La Maîtrise de soi ne peut être que spirituelle. Dans un être humain normal, tel que voulu par son Créateur, seul l’esprit, en tant que noyau constitutif de l’être humain, peut être le maître.
La constitution de l’être humain
L’être humain n’est, en effet, rien d’autre qu’un esprit entouré de différentes enveloppes ou corps (en partant du bas, une enveloppe de matière grossière lourde, une enveloppe de matière grossière moyenne ou corps astral en tant que modèle du corps gros-matériel lourd, une enveloppe fin-matérielle, deux enveloppes entéalliques, et une très légère enveloppe de nature spirituelle autour du Noyau, soit six en tout). Un être humain incarné a donc sept constituants.
Que cela plaise ou non, toute la Création – laquelle ne se compose que de scissions de l’Irradiation Originelle – est basée sur une hiérarchie naturelle. C’est dire si la Création n’est pas « démocratique »! La « république paradisiaque » ou la « démocratie céleste », cela n’existe pas! De par sa nature, de par son genre, l’esprit doit régner. C’est là que réside sa naturelle maîtrise: le genre supérieur doit toujours dominer le genre inférieur.
La maîtrise – ou la souveraineté – sur les genres inférieurs et sur le monde autour de lui est ainsi, de façon toute naturelle accordée au Spirituel. C’est triste si celui-ci l’utilise mal ou faussement! Le véritable équipement de l’esprit pour son évolution dans la matière, est fourni par les irradiations des différentes enveloppes mentionnées ci-dessus.
Le terrain pour l’évolution de l’esprit est, avant même sa plongée dans la matière, par le genre entéallique se tenant au-dessus du genre matériel, déjà, soigneusement préparé. protectrices, toutes ses enveloppes se referment auto-activement autour de lui. Son Devoir est de correctement utiliser l’équipement à lui ainsi confié pour son Ascension.

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La Rédemption – Simplicité Naturelle de la Vérité – Par Jean Choisel

La Rédemption – Simplicité Naturelle de la Vérité – Par Jean Choisel

La Rédemption – Simplicité naturelle de la Vérité – Complexité des explications théologiques

«Dieu créa l’homme à Son Image, mais nous le Lui avons bien rendu.»
– Voltaire –

Vis-à-vis de la Simplicité naturelle de la Vérité… (…) Quelle différence avec les recherches compliquées et trop souvent aberrantes de tant de théologiens «professionnels» d’hier et d’aujourd’hui! Précisément parce que les cogitations intellectuelles de ces théologiens sont trop souvent dépourvues de logique, de clarté et de simplicité naturelle, en vue de les faire malgré tout paraître profondes, il leur faut les présenter de manière compliquée. Si fâcheusement compliquée que le lecteur est obligé de se prendre la tête à deux mains en se demandant: «Mais qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire?». Et lorsque, après mûre réflexion, il a enfin compris, il s’aperçoit que leurs explications sont parfaitement incohérentes, parce qu’elles sont illogiques. Or, la Vérité ne saurait évidemment pas se passer de logique ni de cohérence.
Voici seulement quelques exemples caractéristiques de ce qu’il y a d’inintelligible, et, par conséquent, d’inacceptable, dans la dogmatique de la Rédemption de toutes les églises chrétiennes.
Dans un livre récent intitulé «Le meurtre de Jésus, moyen de Salut?» (*)[1] – titre dont le point d’interrogation final montre que les théologiens chrétiens ne peuvent plus éviter de remettre en question les réponses qu’eux-mêmes prétendent apporter au problème de la Rédemption – dans ce livre, donc, l’auteur, Nathan Leites, établit un véritable recensement de l’évolution des conceptions successives des théologiens relatives à la Rédemption. Tout au long de son livre, il cite, en effet, à ce sujet, page après page, l’opinion des plus éminents théologiens d’hier et d’aujourd’hui.
Citant un passage de l’ouvrage du théologien Karl Barth, ouvrage intitulé «La Doctrine de la Réconciliation» (tome I, édition «Labor et Fides» – Genève 1966), à la page 131 de son propre ouvrage, Nathan Leites rapporte ainsi la pensée de Karl Barth:
«Notre péché est le sien, le péché de Jésus-Christ. En tant que Fils obéissant du Père, c’est Dieu Lui-même qui l’a fait Sien. Luther n’est pas allé trop loin en posant cette alternative: il faut que notre péché devienne le propre péché du Christ, ou bien nous périrons à jamais. Le commentaire de Luther est juste d’après lequel Dieu le Père a dit à Son Fils: «Sois Pierre le renégat, Paul le persécuteur, le blasphémateur et le violent, David l’adultère, le pécheur qui mangeait le fruit du Paradis, le brigand sur la Croix; en somme, c’est Toi qui a commis les péchés de tous les hommes.». Ainsi, le Christ a dû alors, et a voulu, Se tenir en posture de coupable, le plus grand de tous: brigand, homicide, adultère, voleur, sacrilège, blasphémateur, etc.» (Karl Barth. 1960, pages 261-262.)
Citant encore d’autres théologiens, Nathan Leites rapporte (p. 132): «Pour le pécheur, il ne peut pas y avoir de plus grande Grâce que d’être délivré de son péché». (B. Steffen in «Das Dogma von Kreuz», 1920.)
«Je puis être sûr que le péché n’habite plus en moi, car je sais bien où il réside maintenant: en Jésus. Notre péché n’est plus le nôtre, car il est le péché de Jésus-Christ.» (Karl Barth, opus cit., page 261.)
Celui qui est abandonné est entièrement déterminé par la Volonté du Père qui le charge de cette réalité qu’est «le péché du monde» (Urs von Balthazar, 1969, b. traduction: «La Gloire et la Croix», collection «Théologie», Paris. Aubier. 1975.)
«Celui qui montre du doigt le monde et pense: «Là est le péché!», celui-là indique la mauvaise direction. Celui qui veut savoir où se tient le péché, mon péché et le tien, doit montrer le Christ… Le Christ et le péché vont ensemble  (sic!). Le Christ n’est pas l’homme «pieux» par excellence, mais celui qui porte le péché (*)[2]. Il le porte et nous en sommes libérés «Du fait qu’Il (Jésus)… est allé à la mort, il a mis fin à notre condition de pécheurs, et par là, il a aboli le péché…» (K. Barth), etc.
Pitié pour Lui!

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La Loi du Donner et du Recevoir

La Loi du Donner et du Recevoir

La Loi du Donner et du Recevoir

Avec la Triade des trois Lois Fondamentales de la Création, la Loi du Donner et du Recevoir forme comme la quatrième Loi pour transformer cette Triade en Quatuor.
Elle s’énonce par la simple phrase: « Il faut donner pour recevoir ». L’on pourrait dire aussi: « Il faut donner pour pouvoir prendre. ». Et elle intervient absolument dans tous les domaines, dans toute la Création.
Par conséquent, dans le cadre de cette présentation nous ne pourrons évoquer que quelques exemples parmi les plus significatifs: La respiration, la digestion, la formation des pensées.
Nous soulèverons aussi des questions vitales en relation avec cette Loi comme la mendicité, le « don » d’organes, etc. Cela est-il juste? Cela est-il conforme aux Lois de la Création?
Comment savoir qu’une Loi de la Création est juste? D’une manière très simple; elle parle à l’Intuition. De plus, personne ne peut la réfuter. Qui peut discuter le fait qu’il faille donner pour recevoir? Personne! De même, qui peut contester que la Loi de la Pesanteur existe? Celui qui voudra le faire n’a qu’à se jeter par la fenêtre du dixième étage pour tenter de prouver le contraire! De même, qui peut contester que les genres semblables s’attirent et que l’on récolte ce que l’on sème? Là encore, personne!
Donner ou recevoir, quel est le plus fondamental?
D’abord, une importante prise de consience pouvant résulter de la question posée par l’Apôtre Paul de Tarse  « Qu’as-Tu que Tu n’aies reçu? » [En latin: « Quid habes quod non accepisti? »]. La réponse est simple et irréfutable: Rien! Lié à cette prise de conscience, le constat que l’être humain n’est qu’une créature. Jamais il ne sera le Créateur! Par conséquent, tout ce qu’il est et tout ce qu’il a, il l’a reçu!
Il est une créature dépendante. Il n’est pas l’Être [en allemand « Sein » – Seul Dieu l’est! -, il est un « être créé », une « entité » [en allemand « Wesen »]. Dieu Seul – Qui S’est présenté à Moïse comme « Je Suis » – est l’Être, la Vie, la Lumière, la Force. DIEU est le « SEIN » mais IL est « wesenlos », sans être créé.
Par conséquent, même si l’être humain doit d’abord donner pour pouvoir recevoir, pour pouvoir exister, il doit d’abord recevoir pour pouvoir ensuite donner. De ce point de vue, seul l’authentique savoir-recevoir fait du potentiel être humain un véritable être humain. Un jour, provenant de l’Irradiation Divine, un germe d’esprit inconscient a supplié pour pouvoir exister consciemment.

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La féminité est un trésor

La féminité est un trésor

La féminité est un trésor

 « L’Éternel-Féminin nous entraîne vers les Hauteurs. »
– Johann Wolfgang von Goethe –

« Je conviendrai bien volontiers que les femmes nous sont supérieures, si cela pouvait les dissuader de se prétendre nos égales. »
– Sacha Guitry –

« Si l’on éduque un homme, l’on éduque un individu, si l’on éduque une femme, l’on éduque un Peuple.
– Mère Térésa –

En soi, la féminité {authentique} est un trésor. Ou – devrait-on dire? – était un trésor. Déjà un appel à la féminité a été lancé. La question de l’habillement des femmes a aussi été examinée. La pudeur est un sujet en soi. Pourquoi certaines femmes éprouvent-elles le besoin intérieur de se voiler? Quelle est la raison d’être profonde de la « galanterie »? Quelle est la plus grande Vertu de la femme? Quelle est la Mission de la femme?
Mais où sont donc passées les femmes? Il semble qu’en à peine un demi-siècle elles aient quasi-complètement disparu de la surface de la Terre. N’y a-t-il plus que des androgynes? S’il n’y a plus de femmes, il n’y a plus d’hommes, non plus. A moins qu’au contraire, sur la Terre, il n’y ait plus que des hommes? S’agit-il de travestissement ou de quoi d’autre? Que se passe-t-il?
L’habit fait-il le moine? D’après le célèbre proverbe « L’habit ne fait pas le moine », la réponse est non, mais il est clair qu’il y contribue. La robe fait-elle la femme? Non, mais elle y contribue. La robe longue fait-elle la pudeur? Non, mais cela contribue à lui permettre d’exister. Le voile fait-il la femme? Non, mais, pour celles qui le ressentent, cela peut y contribuer. Un langage châtié fait-il la femme? Non, mais il sera toujours une marque de distinction et de raffinement.
Que voit-on aujourd’hui autour de nous? Des mi-hommes mi-femmes? Non, plutôt des ni-hommes ni-femmes. Une indifférenciation sexuelle voulant non seulement abolir toutes les frontières entre les sexes mais même complètement les nier en allant jusqu’à inventer de toutes pièces le genre ou le sexe soi-disant « neutre ».  Lorsque le simple bon sens ne suffit plus à reconnaître l’évidence naturelle de la Vérité, où va-t-on?
Où mène la surenchère actuelle? Si l’homme fume la cigarette, la femme avide d' »égalité » ou de « parité » doit-elle, pour faire ses preuves, fumer le cigare? Si l’homme boit du whisky la « nouvelle femme émancipée » doit-elle carburer à la vodka? Si l’homme se laisse aller dans son langage, la femme doit-elle « jurer comme un charretier » et faire de la surenchère dans la grossièreté et le cynisme? Jusqu’où l’imitation de l’homme par la femme ira-t-elle?

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La fine Intuition – Reçu par Eva-Margret Stumpf

La fine Intuition – Reçu par Eva-Margret Stumpf

La fine Intuition – Reçu par Eva-Margret Stumpf

Reçu par Eva-Margret Stumpf

Encore aujourd’hui, peu de chose vous différencie de l’animal! Vous avez laissé s’étioler tout le précieux de l’Intuition que vous devez avoir en votre qualité d’être humain à chaque tentative de vous rendre plus grossier et à chaque encouragement de vous laisser aller à vivre sans la maîtrise de soi. Peu importe que cela soit arrivé volontairement ou en méconnaissant {le fait} que ces tentations ne pouvaient émaner que de sombres esprits humains voulant vous attirer sur leur bas échelon, au royaume de la détresse et de l’horreur. Pourquoi ne pas avoir tenu compte à tout moment des avertissements qui vous ont été si abondamment prodigués?
Vous voilà aujourd’hui dans la détresse parce que, de votre plein gré, vous avez tendu la main à tout le mal. Il vous sera toujours plus difficile de vous libérer encore de telles influences, surtout que, pour la plus grande part, vous ne le voulez déjà plus du tout! Vous ne voyez pas le danger et, là où vous le pressentez, vous êtes déjà devenus trop paresseux pour vous en affranchir délibérément. Ainsi y avez-vous déjà trouvé une satisfaction à vous mouvoir dans tout ce que vous faites en-dessous de l’humain authentique et de laisser ainsi libre cours à vos faiblesses.
Pour un œil initié, votre état, sur la Terre, est quelque chose d’épouvantable! Les difficultés apparentes et les situations de détresse ne sont jamais que les derniers aspects évidents de votre comportement intérieur erroné. Votre comportement intérieur est, en effet, à l’origine de tout le bien et de tout le mal dans votre vie communautaire.
Même si la foule ne veut plus entendre parler du lieu où elle s’est laisser glisser, combien sont erronées ses idées et ses mœurs, qui se sont implantées avec le naturel le plus éhonté. Écoutez, cependant, les quelques-uns, parmi eux, qui, le cœur saignant, éprouvent cette décadence générale et ne parviennent pas à l’enrayer de leur propre force.
Maintenant le moment est venu de vous lever dans la force morale pour vivre d’abord, dans tout ce que vous faites, le comportement digne d’un être humain. Face à l’entêtement de tous les autres, vous recevrez de grands Secours, car Dieu le veut ainsi. Sa Longanimité est à son terme. Il a assez longtemps toléré ce que vous vouliez faire. Mais, désormais, l’être humain ne nuit plus seulement à lui-même par son comportement erroné mais à toutes les autres créatures et à tous les conditionnements de la Nature, qui étaient répartis pour la richesse, l’abondance et le bien-être général. Cela vous frappera en retour effroyablement et terriblement!
Dieu ne laisse pas railler les Siens et vous, vous avez raillé Amour qu’Il nourrit pour toutes Ses créatures. Vous avez raillé Sa Sagesse et Sa Bonté infinies. Sans avoir consulté personne, vous déclariez tout mieux savoir et cela sans demander et sans vous insérer dans l’Ordre fondamental régnant dans la Création. Désormais une limite est mise à votre libre vouloir: Jusqu’ici et pas plus loin!
Vous avez mal géré votre fief. Vous avez universellement causé d’énormes dommages par votre dureté de cœur et votre goût du lucre. De nombreuses créatures vous accusent et ne peuvent plus longtemps supporter ce que vous faites. Croyez-vous que tout ce tourment va rester sans écho? Tout ce que vous avez fait et ce à quoi vous avez tendu la main vous reviendra. Ne vous plaignez pas qu’il vous faille l’endurer! Supportez-le avec compréhension et ensuite réparez patiemment là où vous avez fauté.
Commencez, toutefois, à appeler immédiatement au réveil tout ce qui est bon en vous. Rappelez-vous votre dignité en tant qu’homme et femme. Ne vous ralliez pas à tout! Examinez soigneusement à quelle opinion vous voulez vous rallier et à quelle direction vous voulez aspirer pour votre évolution en tant qu’être humain! Tout ce qui vous a paru bon jusqu’ici ne l’est pas. Écoutez en vous: votre conscience parlera haut et plus fort qu’à l’ordinaire. Vous récolterez la Bénédiction en agissant d’après cela! Vous trouverez de nouvelles normes. Un nouveau comportement vous deviendra naturel.
Il faut que tout exprime désormais votre dignité humaine: votre langage, votre type caractériel ou votre phénotype, bref tout ce qui part de vous désormais doit porter obligatoirement la marque de votre noblesse d’âme parcourue de Bonté et d’Amour, perceptible et compréhensible à chaque créature. Dieu vous bénira et vous devez être une bénédiction!

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