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Famille et Foyer

Famille et Foyer

Famille et Foyer

La Famille, lieu d’accueil pour les esprits de l’Au-delà
La famille est le lieu normal et naturel pour l’accueil sur Terre d’une ou plusieurs âmes en provenance de l’Au-delà.
Si un couple, composé d’un homme et d’une femme spirituellement libres, s’unit corporellement, cela implique que cet acte puisse éventuellement aboutir à une procréation. Cela n’est pas certain mais c’est possible et – si les conditions pour cela exigibles sont toutes réunies – c’est même probable.
Cela signifie qu’en ce cas les deux parents (s’ils ont déjà un ou plusieurs enfants) ou – pour le moins – parents potentiels sont prêts à accueillir comme hôte-durable (21 ans, selon les Lois), au sein de leur famille, un (ou même plusieurs en cas de jumeaux, triplés, quadruplés, quintuplés, etc.) esprit humain étranger, dans le but de lui – ou de leur – offrir une occasion de, sur Terre, se racheter et de mûrir.
Si le couple – donc l’homme et la femme – ne sont pas prêts pour cela, alors ils ne doivent pas fournir l’occasion d’une procréation. Dans la notion d’être prêts il y a, d’abord, le fait d’être spirituellement prêt. Naturellement, il faut aussi qu’ils soient terrestrement prêts. Donc, les conditions doivent être réunies, à tous points de vue.
La famille, le royaume de la femme
La famille est le royaume de la femme. Dans son foyer et dans sa famille, la devient, tout naturellement, la reine de la maison, grâce à ses Facultés. Ce foyer n’est pas obligatoirement le sien, parce qu’une vraie femme possède la capacité de transformer tout lieu en Foyer. La caractéristique fondamentale d’une femme authentique c’est que, partout où elle se trouve, elle entretient la vie.
Foyer et famille
Si le foyer et la famille sont le royaume de la femme, l’on pourrait penser que, pour accomplir le but de sa vie, une femme doit se marier et fonder un foyer avec un homme en tant que son époux. Ce n’est pourtant pas le cas. Même sans famille un Foyer peut exister. Même chez une femme célibataire il peut aussi y avoir un Foyer.
Même si elle est sacrée, la maternité n’est pas la Tâche première de la féminité. La maternité n’est qu’une tâche secondaire de la féminité, et pas pour toutes les femmes mais seulement pour certaines. Même si toutes les femmes ont – en tant que Gardiennes de la Flamme de l’Aspiration vers les Hauteurs de Lumière – le devoir de transformer leur cadre de vie en Foyer, la famille n’est pas le but premier de la vie d’une femme.
Certes, le lieu idéal pour la famille c’est le Foyer. Mais le rôle premier de la femme c’est le Foyer, lequel ne se réduit pas à la famille. Le Foyer se tient donc plus haut que la famille. Le Foyer c’est l’âtre ou brûle la Flamme qui vient de la Lumière. Le rôle premier de la femme – qu’elle soit ou non mère de famille – c’est d’entretenir la Flamme.

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Leidenschaft schafft Leiden!

Leidenschaft schafft Leiden!

Leidenschaft schafft leiden!
La passion engendre la souffrance!

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Le mot [« Leidenschaft »] lui-même l’indique: « La passion engendre la souffrance ». Dans un monde où continuellement la passion est exaltée, où il faut absolument être « passionné », il est bon de se le rappeler. Un être humain en proie à la passion subit passivement quelque chose qui le dépasse; il a perdu la maîtrise de lui-même. Toutes ces passions, en réalité, ne sont que des passions de soi!

La passion est certes de l’amour,  mais c’est comme l' »amour-confiture » (j’aime la confiture) qui n’apporte rien à la confiture, mais tout à soi-même, c’est de l’amour de soi, c’est un amour égoïste! Par exemple, un homme, esclave de ses instincts, va dire à une femme: « Je vous aime ». En réalité, il ne cherche qu’à assouvir son désir sexuel, comme pour la confiture, il n’aime que … lui-même!

Dans les passions, il n’y a pas que l’ivresse des sens, l’immoralité, le jeu ou la boisson ou autres addictions. Un autre exemple de passion est la passion de la puissance terrestre et de la quête des avantages et des trésors terrestres. La passion brûlante gaspille la force corporelle (la force sexuelle), ainsi que la force spirituelle, laquelle n’est, en un tel cas, plus disponible pour la créativité et l’Essor de l’esprit dans la matière grossière.

Naturellement, ce genre de passions n’a rien à voir avec la « passion du Christ » en laquelle le mot « passion » a le sens – complètement différent – de « souffrance entièrement subie ».
Alors, s’il ne faut pas être passionné, que faut-il être?

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Avant de donner vos organes,  lisez ceci!

Avant de donner vos organes, lisez ceci!

Avant de « donner vos organes », lisez ceci!

Avant de “donner vos organes”, prenez conscience de ce que cela signifie vraiment!

Introduction
La question des « transplantations d’organes » en regard des Lois de la Création a déjà été examinée (NDLR: article privé – nécessite, pour être vu/lu, d’être enregistré(e) et connecté(e)). Pour l’intellect et le sentiment, hyperdominants dans les sociétés actuelles « modernes » et « progressistes » (sic!), c’est « tout bien ». Mais qu’en est-il au regard des Lois spirituelles?

Quand les morts sont … anesthésiés!
Saviez-vous que, pour pouvoir prélever des organes, le soi-disant «mort» doit souvent être … anesthésié?!? Eh oui, incroyable, c’est une réalité qui est rarement révélée aux “donneurs” et à leur famille. Des fois que, apprenant cela, ils changeraient d’avis et refusaient de donner leur accord pour que {le corps de} leur proche soit charcuté et ainsi rendu définitivement inutilisable par son seul légitime propriétaire….
C’est une simple question de simple bon sens: Ou un présumé mort est effectivement mort ou bien il ne l’est pas! S’il est réellement mort, il ne sent physiquement plus rien et ne sentira jamais plus rien dans ce corps qui fut le sien! Et par conséquent, il n’a pas besoin d’être anesthésié!!! Par contre, si, lorsqu’on commence à le découper, il est encore susceptible de sentir certaines choses, cela veut dire qu’en réalité il n’est pas mort et que le soi-disant “prélèvement d’organes”, en fait, est un crime! C’est, en effet, alors qu’il n’est qu’endormi (dans un coma plus ou moins profond), à ce moment-là qu’on lui prend la vie, c’est à ce moment-là que, même animé des meilleures intentions, on le tue!
A l’évidence, le principe de précaution n’est ici pas appliqué!
Qui peut affirmer – “en mettant sa main à couper” (c’est la cas de dire!) – qu’un être humain en état de “mort cérébrale” (une invention conceptuelle récente!) ne ressent plus rien? Les préleveurs d’organes sont-ils prêts à sacrifier leurs mains disséqueuses sur l’autel de leur “conviction”?
Mais – heureusement! – tous les médecins n’ont pas la même conception matérialiste de la vie et de la mort. Par ses recherches le Dr Jean-Jacques Charbonnier, par exemple, a démontré que, d’un point de vue scientifique (ce n’est donc pas seulement une question de croyance!), la conscience survit à la mort du corps…

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La Nostalgie de la Lumière

La Nostalgie de la Lumière

La Nostalgie de la Lumière

Dans notre découverte du lyrisme et du romantisme nous nous sommes déjà penché sur le poème « L’enfant » du poète romantique Alphonse de Lamartine.
Dans le sujet « Qu’est-ce que le Temps? » nous avons aussi cité le célèbre poème « Le Lac » du même Alphonse de Lamartine.
Cette fois-ci, dans le cadre de notre évocation du thème « La Nostalgie de la Lumière », nous examinons (les enrichissements sont de nous) un autre poème de Lamartine…:

L’isolement

Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.

Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes;
Il serpente, et s’enfonce en un lointain obscur;
Là le lac immobile étend ses eaux dormantes
Où l’étoile du soir se lève dans l’azur.

Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,
Le crépuscule encor jette un dernier rayon;
Et le char vaporeux de la reine des ombres
Monte, et blanchit déjà les bords de l’horizon.

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Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Dans son livre « Le Grand Virage », Jean Choisel écrit:
« Nous ne voudrions donner qu’un seul exemple des conséquences de la disparition progressive de l’«Idée directrice» du Christianisme, qui «informa» les peuples dits chrétiens. On sait que le premier Commandement du Décalogue dit: «Je suis le Seigneur, Ton Dieu! Tu n’auras pas d’autres dieux devant Ma Face!». Ce bref Commandement est donc une condamnation formelle de toute idolâtrie.

Parce qu’ils n’adorent plus depuis longtemps d’idoles taillées dans la pierre ou le bois, la plupart des Chrétiens croient y obéir! Et pourtant…! Dans un chapitre de son très beau livre déjà cité, qui contient un nombre impressionnant de vérités premières, Claude Tresmontant écrit:
«L’idolâtrie est un processus, intellectuel, mental, ou affectif, qui consiste à attribuer à quelque chose de relatif une valeur d’absolu.»
«Pour comprendre, ou réaliser, ce que c’est que l’idolâtrie, et en quoi a pu consister le syncrétisme religieux que les prophètes d’Israël ont combattu, prenons un exemple contemporain. Prenons l’exemple du nationalisme intégral, tel qu’il a fleuri en France et en Allemagne au XIXème et au XXème siècles. C’est une doctrine selon laquelle la Nation, la Patrie, est la valeur absolue. À vrai dire, elle est l’absolu, le critère absolu, car aucun critère, aucune valeur ne lui est supérieure. La Vérité? La Justice? Ce ne sont que des abstractions à côté de cette valeur qu’est la Patrie, la Nation. (…) Ce qui compte, et cela seul compte, c’est l’intérêt supérieur de la Nation, et donc de l’Armée.»

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La Sainte Colère

La Sainte Colère

La Sainte Colère

La colère fait partie des 7 péchés capitaux. Mais l’on parle aussi de la « Sainte Colère ». Qu’est-ce que la Sainte Colère? La Sainte Colère serait une appellation pour désigner la Colère Divine, le Courroux Divin. Celui-ci se manifesterait, en particulier lors du « Dies Irae » – Jour de Colère, Jour du Jugement Dernier.
A ce sujet dans le Livre d’Isaïe, dans la Bible, il est possible de lire: «Oui, il arrive implacable, le Jour du Seigneur, jour d’emportement et de violente Colère, qui réduira la Terre en solitude et en exterminera les criminels.» (Isaïe XIII – 9).
La Notion de « Sainte Colère » se rapporte donc fondamentalement à la Colère Divine. Mais un simple être humain peut-il aussi, parfois, éprouver une « Sainte Colère »?
A cette question il semble que la réponse soit oui, mais sous certaines conditions. Une « Sainte Colère » doit, en effet, provenir d’une juste indignation et ne rien contenir de personnel. Celui qui est, sous l’effet d’une Sainte Colère doit être un simple instrument – personnellement complètement neutre – entre les « Mains » de la Lumière.

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Regardez votre vie! – Reçu par André Fischer

Regardez votre vie! – Reçu par André Fischer

Regardez votre vie!

Reçu par André Fischer

Hommes, regardez votre vie sur Terre! Où que vous portiez votre regard, vous voyez misère et peine, persécution, guerre, torture, crime, inquiétude, terreur, soumission par la force, destruction de la nature, désespoir des cœurs, etc. Vos médias vous annoncent-ils autre chose, l’espérance, la beauté, l’édification? Vous-mêmes, êtes-vous contents s’ils ne vous apportent pas, chaque jour, de nouveaux messages sensa­tionnels, dans lesquels culminent la bêtise et le crime? Le désordre répugnant, n’en avez-vous pas déjà pris l’habitude? Lorsque la télévision présente le journal, qu’attendez-vous? Une nouvelle réjouissante ou bien la relation de nouveaux méfaits? Votre travail quotidien vous vaut-il joie et satisfac­tion ou stress et abattement? Vos chemins journaliers vous offrent-ils de la beauté? Trouvez-vous dans votre vie familiale la paix et la force pour faire face à la lutte tracassière? Vos fêtes, vos rencontres, vos voyages, sont-ils source de récon­fort? Vous-mêmes, regardez-vous au delà des étroites limites de votre pensée pour aller à la rencontre de buts élevés?

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Karma ou pas karma?

Karma ou pas karma?

Karma ou pas karma?

Tout ce qui arrive dans la destinée des êtres humains n’est pas karmique. C’est là une chose que l’on s’accorde généralement à reconnaitre. Bien sûr, il est dit: « Ce que l’être humain sème, il le récoltera. ». Et nous sommes assurés qu’il en est bien ainsi. Mais n’arrive-t-il pas que l’on récolte aussi ce que l’on n’a pas semé?

Sans doute est-il très utile pour un être humain de reconnaitre dans « ce qui lui arrive » (de bon comme de mauvais) ce qui est karmique et ce qui ne l’est pas. Il faut, cependant, que chacun soit conscient que les événements de sa vie sont rarement (presque jamais) entièrement bénéfiques ou entièrement maléfiques.

Bien au contraire, le plus souvent, dans le même événement résident simultanément la joie et la souffrance. L’événement est alors a la fois le fruit d’actes justes (les actes englobant intuitions, pensées, paroles et actions proprement dites) et d’autres qui le sont moins.

Parfois, l’on entendra des réflexions du genre: « Si quelqu’un souffre, c’est de sa faute, c’est donc qu’il a péché. », et l’on considère toute souffrance comme étant nécessairement répercussion, choc en retour [« Rückwirkung »]. Certains pousseraient même volontiers la « grandeur d’âme » jusqu’à se faire l’instrument volontaire et conscient du destin vengeur, chargé d’infliger à leurs prochains, les justes châtiments que – à leur avis – ces derniers méritent pour leur comportement.

Heureusement pour nous, l’Éternel a dit: « A Moi la Vengeance, à Moi la Rétribution! » (Éphésiens V, 6), car si elles devaient appartenir aux êtres humains, il faudrait que le mot « justice » soit rayé du dictionnaire, une fois pour toutes.

Toute souffrance est-elle donc méritée? Non. Il semble bien que les Incas n’avaient pas mérité ce qui leur arriva au temps de Hualkar le Grand. Et dans les destins individuels, c’est assurément la même chose. Il faut bien que le karma ait un commencement lui aussi et il arrive, bien souvent, que la souffrance que nous (pas le Ciel!) infligeons à notre prochain soit gratuite, c’est à dire sans raison d’être, ni par rapport a lui, ni par rapport à nous,- ni par rapport aux Lois.

Comment pouvons-nous donc reconnaitre ce qu’il en est? Lorsque nous sommes mêlés à des événements en lesquels notre prochain – avec qui nous sommes liés d’une manière ou d’une autre – est pour nous une cause de souffrance, comment reconnaitre ce qui est juste? Comment savoir la part qui – si elle existe – selon les Lois, nous revient et celle qui serait « en plus »?

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Liberté de l’esprit

Liberté de l’esprit

Liberté de l’esprit

Des esprits libres, voilà ce que le SEIGNEUR {DIEU} a voulu  – en vous aussi, êtres humains sur la Terre -, chacun libre en lui-même, d’agir au mieux de son Savoir et de sa conscience! Reposant sur lui-même, édifiant à partir de sa propre expérience en tout genre, animiquement sain, inébranlable face aux irritations qui arrivent de l’extérieur, – ainsi  l’esprit humain droit doit se tenir debout dans la Création.

A l’esprit {qui est} en vous a été, dès le début, donnée l’indépendance: {C’est} votre propre décision {qui} vous a amené à la vie, {c’est} votre propre choix {qui} a déterminé votre particularité et votre direction, {c’est} votre propre désir {qui} vous a attiré vers les expériences vécues dont vous avez besoin pour votre évolution. Plus vos expériences s’accumulent, d’autant plus vous reconnaissez comment vous devez vous insérer dans l’Ordre cosmique pour atteindre un réel bien-être et pouvoir vivre sans fausse pression.

{Et} aussi sans fausse  pression de la conscience, qui vous a souvent été inculquée par d’autres et qui vous pèse toute votre vie sous la forme de l’opinion d’autres êtres humains. Défendez-vous contre cela! Défendez fermement votre niveau de reconnaissance, tel qu’il correspond à votre degré respectif d’évolution intérieure – vous n’avez rien à craindre! C’est la Volonté de DIEU que chaque être humain agisse librement selon sa meilleure reconnaissance. En tant qu’être humain aspirant, il s’efforcera toujours en vue d’une pénétration plus profonde dans toute la sagesse qui lui est donnée.

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L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean est le dernier Livre de la Bible.
L’Apocalypse, ou Livre de l’Apocalypse, ou Apocalypse de Jean, (en grec ancien: Ἀποκάλυψις Ἰησοῦ Χριστοῦ) suivant les premiers mots du texte1, est le dernier livre du Nouveau Testament. Dans les pays de culture anglophone, il est appelé  Livre de la Révélation.
L’Apocalypse de Jean dévoile à Jean «quel est le sens divin de son époque et comment le peuple de Dieu sera bientôt délivré».
L’œuvre aurait été terrestrement rédigée vers la fin du 1er siècle après Jésus-Christ par un dénommé Hélos ou par une femme selon Roselis von Sass. Mais, selon le préambule, l’auteur spirituel de l’Apocalypse est nommé Jean. Celui-ci se trouve dans l’Île de Patmos sur un Plan spirituel, lorsqu’il reçoit plusieurs visions, qu’il raconte en détails.
Au XXème siècle l’Apocalypse de Jean a été redonnée par lui-même:
« JEAN, le Serviteur de DIEU, vous appelle, vous les êtres humains, ainsi qu’il vous a appelés au temps où il était parmi vous dans la chair.
Faites pénitence, car le Royaume du Ciel est près d’arriver!
Et il a appelé encore une fois, car il ne séjournait plus sur Terre. Il vous a annoncé ce que DIEU lui a révélé, ce qu’il a dû voir avec les nouveaux yeux de son esprit. De cela vous devez apprendre, vous devez chercher à améliorer votre vie. » (…)
« À présent, je vous appelle pour la dernière fois. Je vous apporte la Révélation de DIEU, ainsi que je vous l’apportai il y a plus de 2000 ans. La comprendrez-vous et l’accueillerez-vous? Puisse-t-il en être ainsi, de telle sorte que quelques âmes puissent encore être sauvées. » (…)
“Qu’avec vous soient la Grâce et la Paix de Celui Qui Est, Qui Était et Qui Vient. » (…)
« Qu’avec vous soit la Grâce du DIEU TRI-UNITAIRE. Que la Force de DIEU vous soit accordée, à vous qui lisez ceci. ».
Apocalypse de Jean
Donné pour le Salut de ceux qui n’entendent pas se laisser circonvenir dans la bravade et l’infatuation.
Reçu par des êtres humains servant la Lumière et doués à cette fin.

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