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« Ne nous induis pas en tentation! »

« Ne nous induis pas en tentation! »

« Ne nous induis pas en tentation! »

Jésus parlait – à ce que l’on croit savoir – en araméen. Donc le Notre Père aussi fut exprimé, par Jésus, en araméen. Cette langue a naturellement son propre alphabet.
Le « Notre Père » en araméen
L’expérience de la Prière donnée par Jésus dans la Langue même utilisée par Jésus est naturellement une expérience incontournable.
Par la suite l’Enseignement de Jésus, dont le « Notre Père », fut, depuis l’araméen, traduit en différentes langues, à commencer, bien sûr, par l’hébreu et le grec biblique.
La Bible principalement connue en Occident est celle qui fut ensuite traduite en latin par Jérôme de Stridon, plus connu sous le nom de « Saint Jérôme », né à Stridon, vers l’an 347 et mort à Bethléem le 30 Septembre 420. L’on appelle cette traduction historique en latin de la Bible – depuis l’hébreu et le grec – « La Vulgate ». Dans la Basilique de la Nativité à Bethléem, l’on peut encore voir la Chapelle Saint Jérôme, où il aurait traduit la Bible (et où se trouverait aussi son tombeau, mais, selon d’autres sources, il aurait plutôt été enterré à Jérusalem).

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Famille et Foyer

Famille et Foyer

Famille et Foyer

La Famille, lieu d’accueil pour les esprits de l’Au-delà
La famille est le lieu normal et naturel pour l’accueil sur Terre d’une ou plusieurs âmes en provenance de l’Au-delà.
Si un couple, composé d’un homme et d’une femme spirituellement libres, s’unit corporellement, cela implique que cet acte puisse éventuellement aboutir à une procréation. Cela n’est pas certain mais c’est possible et – si les conditions pour cela exigibles sont toutes réunies – c’est même probable.
Cela signifie qu’en ce cas les deux parents (s’ils ont déjà un ou plusieurs enfants) ou – pour le moins – parents potentiels sont prêts à accueillir comme hôte-durable (21 ans, selon les Lois), au sein de leur famille, un (ou même plusieurs en cas de jumeaux, triplés, quadruplés, quintuplés, etc.) esprit humain étranger, dans le but de lui – ou de leur – offrir une occasion de, sur Terre, se racheter et de mûrir.
Si le couple – donc l’homme et la femme – ne sont pas prêts pour cela, alors ils ne doivent pas fournir l’occasion d’une procréation. Dans la notion d’être prêts il y a, d’abord, le fait d’être spirituellement prêt. Naturellement, il faut aussi qu’ils soient terrestrement prêts. Donc, les conditions doivent être réunies, à tous points de vue.
La famille, le royaume de la femme
La famille est le royaume de la femme. Dans son foyer et dans sa famille, la devient, tout naturellement, la reine de la maison, grâce à ses Facultés. Ce foyer n’est pas obligatoirement le sien, parce qu’une vraie femme possède la capacité de transformer tout lieu en Foyer. La caractéristique fondamentale d’une femme authentique c’est que, partout où elle se trouve, elle entretient la vie.
Foyer et famille
Si le foyer et la famille sont le royaume de la femme, l’on pourrait penser que, pour accomplir le but de sa vie, une femme doit se marier et fonder un foyer avec un homme en tant que son époux. Ce n’est pourtant pas le cas. Même sans famille un Foyer peut exister. Même chez une femme célibataire il peut aussi y avoir un Foyer.
Même si elle est sacrée, la maternité n’est pas la Tâche première de la féminité. La maternité n’est qu’une tâche secondaire de la féminité, et pas pour toutes les femmes mais seulement pour certaines. Même si toutes les femmes ont – en tant que Gardiennes de la Flamme de l’Aspiration vers les Hauteurs de Lumière – le devoir de transformer leur cadre de vie en Foyer, la famille n’est pas le but premier de la vie d’une femme.
Certes, le lieu idéal pour la famille c’est le Foyer. Mais le rôle premier de la femme c’est le Foyer, lequel ne se réduit pas à la famille. Le Foyer se tient donc plus haut que la famille. Le Foyer c’est l’âtre ou brûle la Flamme qui vient de la Lumière. Le rôle premier de la femme – qu’elle soit ou non mère de famille – c’est d’entretenir la Flamme.

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La Nostalgie de la Lumière

La Nostalgie de la Lumière

La Nostalgie de la Lumière

Dans notre découverte du lyrisme et du romantisme nous nous sommes déjà penché sur le poème « L’enfant » du poète romantique Alphonse de Lamartine.
Dans le sujet « Qu’est-ce que le Temps? » nous avons aussi cité le célèbre poème « Le Lac » du même Alphonse de Lamartine.
Cette fois-ci, dans le cadre de notre évocation du thème « La Nostalgie de la Lumière », nous examinons (les enrichissements sont de nous) un autre poème de Lamartine…:

L’isolement

Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.

Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes;
Il serpente, et s’enfonce en un lointain obscur;
Là le lac immobile étend ses eaux dormantes
Où l’étoile du soir se lève dans l’azur.

Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,
Le crépuscule encor jette un dernier rayon;
Et le char vaporeux de la reine des ombres
Monte, et blanchit déjà les bords de l’horizon.

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Le lyrisme et le romantisme

Le lyrisme et le romantisme

Le lyrisme et le romantisme

«Le lyrisme est le développement d’une exclamation!»
– Paul Valéry –

Introduction
Comme toujours, sur le site de l’École de L’Art de Vivre, précisons, pour commencer, que notre propos, ici, n’est fondamentalement pas littéraire ou même philosophique, mais bien spirituel. Ce qu’il faut comprendre par là, c’est que ce qu’il nous intéresse de savoir c’est si les notions ici examinées aident à l’Ascension spirituelle ou, au contraire, la freinent.
Le lyrisme
Le lyrisme  se définit comme l’expression passionnée de sentiments personnels. Plus précisément, la définition courte sur Wikipédia est celle-ci: « Le lyrisme est une tonalité, un registre artistique, qui privilégie l’expression poétique et l’exaltation des sentiments personnels, des passions. ».
En plus développé:
« Le mot «lyrisme» s’applique dans son sens général à la mise en avant des sentiments intimes dans l’expression artistique, particulièrement en poésie.
Le mot est dérivé de la lyre, instrument de musique à cordes qui est l’attribut d’Apollon (dont l’inventeur légendaire est Hermès), mais aussi d’Orphée, ou d’Érato, muse antique de la poésie lyrique et érotique représentée couronnée de roses et de myrtes et portant une lyre à la main droite.
L’adjectif «lyrique» apparaît en premier au XVème siècle en relation avec la poésie grecque antique et garde longtemps un lien avec la musique qui existe encore dans l’expression «art lyrique». Attaché cependant à une forme plus mineure de la poésie dès le XVIème, le mot va, en opposition à la poésie épique ou la poésie dramatique qui incluait la tragédie comme la comédie, définir une expression subjective qui concerne en particulier le domaine des sentiments privés.
Le substantif «lyrisme» n’est attesté qu’en 1829 sous la plume d’Alfred de Vigny et il va s’appliquer à l’un des aspects dominants du romantisme: la place faite au «Moi». Il se définit dès lors communément comme une «Tendance poétique et plus généralement artistique privilégiant l’expression de la subjectivité». » (Source)
A partir de cette définition nous pouvons déjà relever quelques mots-clefs tels que: « passion », « sentiment », « personnel », « subjectivité », « romantisme ». Cela nous indique déjà clairement de quoi il s’agit. Cela nous permet déjà de voir que le lyrisme ce n’est pas spirituel mais sentimental.

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Esprit de Conciliation

Esprit de Conciliation

Esprit de Conciliation

Eva-Margret Stumpf

La Paix, vous devez la porter  en vous, elle ne vient pas de l’extérieur.

Clarifiez en vous ce qui vous préoccupe! Ne ressassez pas, ne vous révoltez pas, ne gardez pas de ressentiment dans votre cœur!

Ayez confiance en la Justice de DIEU. Elle est parfaite, comme Lui-même. Abandonnez-LUI la Rétribution!

Gardez-vous libres de l’agitation intérieure, ordonnez votre vie de pensée et d’intuition, et vous {vous} se{nti}rez mieux!

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La Maternité

La Maternité

La Maternité

« Tu dois honorer Père et Mère. » – Quatrième Commandement –

La Maternité! Exaltée par les poètes, célébrée par les artistes, encensée par les moralistes, chantée par les musiciens, magnifiée par les peintres et les sculpteurs!
Certes, la Paternité est aussi une belle chose, mais la Maternité! Synonyme de bienveillance, de protection, de douceur, de soins attentifs:
« Ô l’Amour d’une mère! Amour que nul n’oublie!
Pain merveilleux qu’un Dieu partage et multiplie!
Table toujours servie au paternel foyer!
Chacun en a sa part et tous l’ont tout entier! »
– Victor Hugo –

Ce qu’ils ont dit de l’amour maternel:
Sur ce sujet comme sur bien d’autres, difficile de s’exprimer mieux que Victor Hugo, mais, avec plus ou moins de justesse, de nombreux {autres} auteurs se sont exprimés avec enthousiasme au sujet de l’amour maternel:
«L’amour d’un père est plus haut que la montagne.
L’amour d’une mère est plus profond que l’océan.»
– Proverbe japonais –
«Il n’y a qu’un amour profond, sincère, inaltérable, c’est l’amour maternel.»
– Alexandre Dumas, fils –
«L’amour maternel est le seul amour qui se rapproche un peu
de l’Amour Divin.»
– Henri-Frédéric Amiel –
«Dans l’amour de la femme pour l’homme,
il reste toujours quelque chose de l’amour maternel.»
– André Maurois –
«L’amour maternel naît avec l’enfant lui-même, c’est un instinct pur.»
– André Maurois –
«L’amour maternel, c’est un amour sans réserve
qui ne demande aucune récompense.»
– André Maurois –
«L’amour maternel est la plus haute figure de l’Amour vrai.»
– Christian Bobin –
«L’amour maternel ne connaît point de bornes.»
– Charles Dubois –
“Rien n’orne une femme comme la maternité.” 
– Alexandre Kazantsev –
«L’amour maternel, il n’y a rien de plus beau ni de plus grand.»
–  Benoît Lacroix –
Etc., etc.

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Le Grand Secret

Le Grand Secret

Le Grand Secret

Le Grand Secret! Oui quel est-il ce grand Secret qui permet à un être humain de commencer son Ascension spirituelle?

L’Enseignement de Siddharta Bouddha sur le Silence
Dans le livre « Bouddha», Siddharta, dans le cadre de son Discours sur l’«Octuple Sentier», nous met sur la piste:
«Siddharta commença à parler:
– «Mes Amis, vous les élèves, vous les hôtes, et aussi vous les entéaux qui êtes rassemblés avec nous, je vous salue tous!»
«Voici le premier Discours, prononcé sur l’Enseignement au sujet de l’Éternel, que je vous tiens. Faites-s-y attention et prenez-le à cœur! J’espère que d’autres suivront, mais ce premier {Discours} est important.»
«Longuement, j’ai là-dessus réfléchi, alors m’est advenue l’Aide d’En-Haut. J’ai trouvé le Chemin pour la complète Transformation de l’être humain. Il se compose de huit sections, dont chacune veut être parcourue sans répit, avant qu’ensuite nous puissions marcher sur la suivante. Nous ne pouvons, non plus, en sauter aucune, car l’une naît de l’autre.».
En ce cas, nous nous intéressons uniquement à l’Enseignement donné dans la huitième section intitulée:
«La Plongée en Soi».
«Lorsque vous en serez arrivés jusqu’à ce point, alors il vous sera donné la Faculté d’aller écouter-attentivement à l’intérieur de vous-même. Du Grand vous sera alors révélé. Rien de ce que vous pensez, mais {ce sera} tel que l’Éternel vous {le} fera annoncer! Dans le Silence Il laisse Ses Serviteurs nous parler. Celui qui peut se plonger en lui-même, que ce soit dans la Méditation ou dans la Prière, entendra les Voix et saura qu’il est dès ici{-bas} lié à l’Au-delà.»
«Avec cela, toutefois, il est devenu un être humain nouveau. Avec cela il a surmonté toutes les convoitises, toute la souffrance!»».
Faut-il conclure de ce qui précède que le Grand Secret – le Silence – rendant possible l’écoute à l’intérieur de soi-même ne devrait être mis à profit qu’au cours de la huitième Étape? Non, car le Grand Secret peut et doit aussi être mis à profit dès la première…

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Qu’est-ce que le Temps?

Qu’est-ce que le Temps?

Qu’est-ce que le Temps?

Le Temps! Qu’est-ce que le Temps? « Le temps passe vite », dit « tout le monde ». Trop vite! Devant ce sentiment de la « fuite du temps » (« Tempis fugit »: « Le temps fuit », « Le temps passe vite! »), depuis des siècles les poètes disent « Carpe diem » [« Profite du jour! »], la vie est si courte!
L’expression « Carpe diem » provient, en fait, d’un vers latin extrait d’un poème d’Horace (Quintus Horatius Flaccus): « Carpe diem, quam minimum credula postero », signifiant, dans son sens général: «Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain», mais si l’on traduit plus littéralement: «Cueille le jour, et {sois} la moins crédule {possible} pour le {jour} suivant».
A noter que « postero » = « postero die »: «le jour suivant» (Odes, I, 11, 8). Horace s’y adresse à une femme (credula est au féminin).
Dans la logique du « Carpe diem », au XVIème siècle, le poète Pierre de Ronsard a écrit le célèbre poème:
Mignonne, allons voir si la rose
Pierre de Ronsard

A Cassandre
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las!, voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las! las!, ses beautez laissé cheoir!
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir!
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse:
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
Pierre de Ronsard, Les Odes

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Avec quel corps Jésus est-Il ressuscité, le Matin de Pâques?

Avec quel corps Jésus est-Il ressuscité, le Matin de Pâques?

Avec quel corps Jésus est-il ressuscité, le Matin de Pâques?

Fragilité des témoignages humains
Comme nous allons le voir ci-dessous, les quatre Évangiles ne disent pas exactement la même chose. Ces différences, les exégètes ne les interprètent généralement pas comme une marque de mensonge ou de falsification, au contraire, c’est plutôt, pour eux, un signe d’authenticité, accroissant leur crédibilité. Cela leur aurait, au contraire, plutôt paru suspect si les quatre Évangiles avaient – sans aucune contradiction – tout raconté exactement la même chose, car – en tant qu’historiens et exégètes – ils savent que « l’erreur est humaine » et que le témoignage humain est – par définition – peu fiable.
Pour illustrer cette idée du peu de fiabilité du témoignage humain, la plupart des lecteurs de cette page auront – pendant leur enfance, et peut-même même après avec leurs propres enfants et petits enfants – joué au jeu de société appelé le « téléphone arabe » (qui, en arabe, se dit, en fait, plutôt: « téléphone cassé »). Dans ce jeu – qui requiert un certain nombre de joueurs (par exemple, de cinq à une dizaine, c’est parfait) – un message initial, chuchoté de bouche à oreille, de voisin à voisin, entre les différents joueurs, arrive à destination copieusement déformé, par comparaison avec le message initial.
Dans le détail:
« Les joueurs forment une ligne; le premier joueur arrive avec un message et le murmure à l’oreille de la deuxième personne dans la ligne. Le deuxième joueur répète le message au troisième joueur, et ainsi de suite. Quand le dernier joueur est atteint, celui-ci annonce à voix haute le message qu’il a entendu. La première personne de la liste compare ensuite le message original avec la version finale (et éventuellement avec les versions intermédiaires).
Bien que l’objectif du jeu soit de faire passer le message sans le déformer en cours de route, une partie du plaisir est que, quoi qu’il en soit, celui-ci finit généralement par être déformé. Les erreurs s’accumulent généralement dans les retouches à chaque transmission du message, de sorte que la déclaration annoncée par le dernier joueur diffère significativement de celle du premier joueur, généralement avec un effet amusant ou humoristique. » (Source: Wikipédia).
Naturellement, la bonne foi des Évangélistes n’est ici nullement en cause. Ils sont animés des meilleures intentions, et il ne sont pas {vraiment} conscients que ce que – bien des années après -, issu de leurs propres souvenirs, ils consignent par écrit (« Les paroles s’envolent (sic!), les écrits restent! ») en tant que simples rapports à l’usage des toutes premières communautés chrétiennes, sera, par la suite, pendant des siècles et même des millénaires durant (au moins deux!), dans toute la Chrétienté, considéré comme … « Parole d’Évangile » (C’est le cas de dire!)!
La raison fondamentale pour laquelle la mémoire humaine est peu fiable est généralement peu connue. Même lorsqu’il ne s’agit que de rapporter des faits, les écrits d’un être humain, ses paroles, ou, de façon générale, ce que produit son cerveau antérieur, ne sont pas exprimés sans qu’il n’y ajoute encore quelque chose d’autre, de son cru. En particulier, les témoignages de seconde main (même pas la peine de parler ici des témoignages de troisième ou de quatrième main, ou même davantage…!) ne sont jamais des preuves sur lesquelles la postérité pourrait ou devrait se baser.
Il convient d’être conscient du fait que la compréhension correcte de toutes les Paroles qui parlent d’autre chose que de ce qui se passe dans la matière grossière – donc les réalités fin-matérielles et spirituelles – n’est possible qu »avec la collaboration sans faille du cerveau pouvant être qualifié d’intuitif – donc du cervelet -. Cependant, le cervelet, même il y a deux mille ans, à l’époque terrestre de Jésus, était déjà, chez la plupart des êtres humains de la Terre – si ce n’est tous -, fort rabougri pour cause de non-utilisation et était ainsi déjà devenu notablement atrophié, de sorte qu’il n’était plus capable de fournir une activité de réception intuitive normale.
Conserver des souvenirs inaltérés, seul le cerveau d’intuition de l’être humain en est capable, donc le cerveau postérieur (appelé ainsi du fait de sa place à l’arrière de la boîte crânienne), aussi appelé (du fait – ironie de l’histoire! – de sa petite taille!) « cervelet » (ou « petit cerveau »), mais non l’intellect produit par le cerveau antérieur (appelé ainsi du fait de sa place à l’avant de la boîte crânienne) ou « grand cerveau »!
Le cervelet – ou petit cerveau est seul capable d’enregistrer et de conserver comme tels, en images et en Intuition, tous les événements et expériences vécues, de telle façon qu’ils puissent plus tard, à tout moment, exactement re-surgir, tels qu’ils étaient réellement au moment où ils se sont produits, sans être modifiés, altérés ou atténués. Les êtres humains de l’époque de Jésus – même les Disciples! – avaient, alors, déjà, avec insouciance, laissé leur cerveau postérieur tellement s’atrophier qu’il n’était plus capable de correctement enregistrer les événements de la Vie de Jésus, ainsi que Ses Paroles!

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