Karma ou pas karma?
Tout ce qui arrive dans la destinée des êtres humains n’est pas karmique. C’est là une chose que l’on s’accorde généralement à reconnaitre. Bien sûr, il est dit: « Ce que l’être humain sème, il le récoltera. ». Et nous sommes assurés qu’il en est bien ainsi. Mais n’arrive-t-il pas que l’on récolte aussi ce que l’on n’a pas semé?
Sans doute est-il très utile pour un être humain de reconnaitre dans « ce qui lui arrive » (de bon comme de mauvais) ce qui est karmique et ce qui ne l’est pas. Il faut, cependant, que chacun soit conscient que les événements de sa vie sont rarement (presque jamais) entièrement bénéfiques ou entièrement maléfiques.
Bien au contraire, le plus souvent, dans le même événement résident simultanément la joie et la souffrance. L’événement est alors a la fois le fruit d’actes justes (les actes englobant intuitions, pensées, paroles et actions proprement dites) et d’autres qui le sont moins.
Parfois, l’on entendra des réflexions du genre: « Si quelqu’un souffre, c’est de sa faute, c’est donc qu’il a péché. », et l’on considère toute souffrance comme étant nécessairement répercussion, choc en retour [« Rückwirkung »]. Certains pousseraient même volontiers la « grandeur d’âme » jusqu’à se faire l’instrument volontaire et conscient du destin vengeur, chargé d’infliger à leurs prochains, les justes châtiments que – à leur avis – ces derniers méritent pour leur comportement.
Heureusement pour nous, l’Éternel a dit: « A Moi la Vengeance, à Moi la Rétribution! » (Éphésiens V, 6), car si elles devaient appartenir aux êtres humains, il faudrait que le mot « justice » soit rayé du dictionnaire, une fois pour toutes.
Toute souffrance est-elle donc méritée? Non. Il semble bien que les Incas n’avaient pas mérité ce qui leur arriva au temps de Hualkar le Grand. Et dans les destins individuels, c’est assurément la même chose. Il faut bien que le karma ait un commencement lui aussi et il arrive, bien souvent, que la souffrance que nous (pas le Ciel!) infligeons à notre prochain soit gratuite, c’est à dire sans raison d’être, ni par rapport a lui, ni par rapport à nous,- ni par rapport aux Lois.
Comment pouvons-nous donc reconnaitre ce qu’il en est? Lorsque nous sommes mêlés à des événements en lesquels notre prochain – avec qui nous sommes liés d’une manière ou d’une autre – est pour nous une cause de souffrance, comment reconnaitre ce qui est juste? Comment savoir la part qui – si elle existe – selon les Lois, nous revient et celle qui serait « en plus »?











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