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La pièce de monnaie

La pièce de monnaie

La pièce de monnaie

La leçon de la pièce de monnaie

 Lorsqu’un objet tout simple peut nous apprendre beaucoup…

Depuis la Venue de Jésus, tous les Chrétiens savent qu’une simple pièce de monnaie peut être un magnifique support pour un Enseignement fondamental. C’est, en effet, par le truchement d’une pièce de monnaie que Jésus a donné son célèbre Enseignement sur le Devoir de rendre à chacun ce qui lui appartient. Voici – ici, juste en passant – l’histoire, en bref:

Des émissaires des pharisiens et des sanhédrites viennent trouver Jésus et tentent de Le piéger en Lui demandant s’il faut ou non payer l’impôt réclamé par l’empire romain, c’est-à-dire la puissance d’occupation. Percevant immédiatement le caractère sournois de leur question, Jésus les qualifie d’«hypocrites», puis leur demande de montrer l’une des pièces de monnaie servant – justement – à payer l’impôt réclamé par Rome et de lui dire qui s’y trouve représenté. Ils répondent qu’il s’agit de César, c’est-à-dire, en l’occurrence, de l’empereur Tibère, qui – comme tous les empereurs romains depuis Jules César – portait aussi le surnom [« cognomen »] de «Caesar». Au vu de l’effigie de celui qui figure sur la pièce, Jésus leur répond alors la célèbre Parole: «Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.».

Considérons donc  une pièce de monnaie. C’est un objet simple et banal. Beaucoup – si ce n’est tous – en ont dans les poches, dans leur porte-monnaie ou dans leur tire-lire. Pour le moins, « tout le monde » en a déjà vu! Quel que soit ce qui figure dessus (par exemple, l’effigie de César ou celle de Napoléon), que peut-elle encore nous enseigner?
Une pièce de monnaie. A-t-elle – fondamentalement – une, deux ou trois parties? Bien qu’elle soit triple, la réponse est toute simple:
La pièce de monnaie – n’importe laquelle – a, à la fois, une partie (si l’on peut dire, lorsque la « partie » équivaut au tout!), deux parties et même trois parties!

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La Légalité Universelle – Par André Fischer

La Légalité Universelle – Par André Fischer

La Légalité Universelle

André Fischer

 

Une première Réalité Cosmique

Cher lecteur! Qui peut se targuer d’avoir en lui une image claire du fonctionnement de l’Ordre dans l’Univers?

Tout comme il ne nous est jamais possible de vivre utilement et sûrement dans une ville dont nous ne connaîtrons pas suffisamment les rues, les places, les magasins, les lieux administratifs, ainsi nous serons toujours des étrangers dans le monde et nous nous y heurterons douloureusement, tant que nous ne connaissons pas réellement ses chemins, ses forces et ses Lois.

Il en résulte que nous ne  devons jamais attendre d’un espoir aveugle qu’il nous conduise à un bonheur sensé et sûr, mais qu’il nous faut tout d’abord nous efforcer de bien connaître l’ordre cosmique qui nous entoure et qui nous porte.

En un mot: Il existe au-dessus de nous un Ordre Cosmique supérieur, agissant par:

 Une Légalité significative!

Comment se fait-il qu’il existe une Légalité universelle et significative? Il est, aujourd’hui, facile de comprendre ce fait, car la science moderne nous dit clairement que rien autour de nous n’est fait de  »matière » ou d’une  »substance » quelconque, mais exclusivement d’ENERGIE!

Toutes les substances que nous connaissons et utilisons, les gaz, les liquides ou les solides, ne sont rien d’autre qu’un ensemble d’atomes, dont chacun est:

Un merveilleux système d’énergies!

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La richesse en tant que facteur de l’évolution spirituelle

La richesse en tant que facteur de l’évolution spirituelle

La richesse en tant que facteur de l’évolution spirituelle

De l’usage spirituel des valeurs matérielles
Le but de la vie humaine est l’évolution spirituelle. La réflexion qui va suivre s’adresse à ceux qui sont déjà convaincus de la vérité de cet axiome et qui sont désireux d’en faire base de leur existence. Lorsque le mot « spiritualité » n’est pas un vain mot pour l’être humain, lorsque le concept « vie spirituelle » a pour lui tout son sens, lorsqu’il a compris que le séjour terrestre, l’est que provisoire et qu’il sait que la vie périssable n’est que l’antichambre de l’immortalité, alors il a trouvé la réponse à la question posée par Jésus: « Que sert à l’être humain de gagner l’Univers, s’il vient à perdre son âme? ».
La pauvreté est-elle une vertu?
La lecture de l’Évangile offre aux chercheurs des indications très nettes: L’être humain doit choisir:
« Nul ne peut servir deux maîtres: Ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’argent. » (Matthieu VI-24).
« En Vérité, je vous le dis, il sera plus difficile à un riche d’entrer dans le Royaume des Cieux. Oui, je vous le répète, il est plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille qu’à un riche d’entrer dans le Royaume des. Cieux. » (Matthieu XIX, 23-24).
« Ne vous amassez point de trésors sur la Terre, où la mite et le ver consument, où les voleurs perforent et cambriolent. Mais amassez-vous des trésors dans le Ciel. Là point de mite ni de ver qui consument, point de voleurs qui perforent et cambriolent. Car là où est Ton trésor, là aussi sera Ton cœur. » (Matthieu VI,19).
La richesse serait-elle donc une malédiction et l’absence de liens la condition sine qua non pour entreprendre une démarche spirituelle? Nombreux sont ceux qui, depuis deux mille ans, l’ont sincèrement cru au fil de l’histoire religieuse des êtres humains en général et celle du Christianisme en particulier. Beaucoup le croient toujours…

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La responsabilité cosmique de l’être humain – Par André Fischer

La responsabilité cosmique de l’être humain – Par André Fischer

La responsabilité cosmique de l’être humain

Par André Fischer

Le but de ces paroles est de donner aux hommes et aux peuples, aussi ébranlés qu’éprouvés, un espoir et un allégement de leur destin, puis de leur montrer un chemin de la sécurité et de la paix.
Immense est la détresse extérieure et intérieure de la plupart des humains, immenses sont aussi les dangers qui nous menacent tous.
Où est la cause de cette misère?
Il faut nous occuper de cette cause si nous désirons arrêter le renouvellement incessant des malheurs qui frappent les hommes!
Cette cause, se cacherait-elle derrière un faux comportement?
Au cours des siècles, bien des valeurs ont été données à chaque peuple pour son bien-aller terrestre et son ascension spirituelle vers un véritable humanisme.

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Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

« Je pense avoir les opinions bonnes et saines; mais qui n’en croit autant des siennes? »
– Michel Eyquem de Montaigne –

Omniprésence de l’erreur
Il est fréquent que nous rencontrions l’erreur sur notre chemin… Dans un monde enténébré comme le monde actuel, c’est pratiquement inévitable. Mais comment nous comportons-nous face à elle? Bien sûr, nous avons tous, à un moment ou un autre de notre vie, sous l’influence de différents conditionnements, plus ou moins et plus ou moins longtemps, adhéré à une idée fausse. 
Est-ce que c’est grave? Pas forcément. Car, déjà, pour nous aider à répondre à cette question, existe le proverbe latin bien connu « Errare humanum est, perseverare … diabolicum! » [« L’erreur est humaine’ – ou bien « se tromper est humain » -, « {mais} persévérer {dans l’erreur est} … diabolique! ».
La force de vérité de ce proverbe ne s’est jamais démentie et ne se démentira probablement jamais. Aujourd’hui encore, il constitue une ligne directrice de premier choix sur laquelle nous pouvons et devons nous appuyer: Oui, se tromper est humain, mais persévérer en connaissance de cause dans l’erreur est proprement … diabolique!
Se tromper de bonne foi n’est pas automatiquement adhérer à la fausseté
Se tromper n’est, en effet, pas, en soi, un (gros) problème. Car l’erreur peut aussi être considérée comme une étape ou même une marche – sur laquelle il est possible de s’appuyer, -, dans sa progression vers la Vérité. Ce qui est grave c’est, une fois que l’on a eu l’occasion de se détromper et de reconnaître la vérité, de s’obstiner dans l’erreur ou de ne pas vouloir la reconnaître comme telle.
A ce propos, beaucoup de lecteurs connaîtront déjà les quatre étapes d’une idée nouvelle. Ce n’est, hélas, que trop vrai! Car la plupart des gens, malheureusement, agissent exactement comme « L’opportuniste » de la chanson certes capable de « changer d’opinion » et donc de « retourner sa veste » mais seulement à chaque fois qu’il a l’impression que « le vent a tourné ».

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Le tempérament, le caractère, la personnalité

Le tempérament, le caractère, la personnalité

Le tempérament, le caractère, la personnalité

Introduction
Le tempérament, le caractère, la personnalité… De nombreux êtres humains utilisent ces notions sans trop savoir ce que, en réalité, elles recouvrent précisément… Beaucoup s’accommodent de la superficialité et peu cherchent à aller au fond des choses…
Des expressions courantes existent. L’on dit souvent de quelqu’un qu’il ou elle a un « fort tempérament », un bon ou un « mauvais caractère », une « personnalité affirmée », mais cela concerne qui ou quoi en elle? Faute d’y réfléchir, la plupart de gens mélangent tout.
A titre d’exercice spirituel – avant de lire la suite de cet article – vous pouvez, peut-être déjà essayer de définir ce que signifient ces concepts pour vous.
En réalité, c’est très simple: Le tempérament concerne le corps gros-matériel terrestre (le corps physique), le caractère concerne – au sens large – l’âme (plus précisément, le corps fin-matériel), et la personnalité – au sens strict – concerne l’esprit, le Noyau éternel impérissable de l’être humain.
Cela implique que le tempérament, lié à la nature du sang, ne vaut que pour la vie terrestre, que le caractère ne vaut que pour l’âme et donc que pour la vie animique fin-matérielle (la vie psychique), et la personnalité ne vaut que pour l’esprit, même lorsqu’il est incarné.
Lors de l’incarnation terrestre d’un germe d’esprit, l’être humain montre à l’extérieur diverses manifestations de ce qu’il est et de ce qu’il a.

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Le Jour est Ton Ami

Le Jour est Ton Ami

Le Jour est Ton Ami – Mets à profit chaque instant!

Chaque jour vécu dans l’École de la Vie qu’est la Terre est une petite incarnation. Nous ne nous réveillerions pas le matin si la journée qui vient ne nous réservait pas quelque chose à régler. Les journées se manifestent à nous dans différentes situations, dans des événements, des conversations, des sensations, des pensées, des paroles et des actes.
La journée se manifeste également à nous à travers notre prochain, nos collègues, nos con-naissances et amis, les membres de notre famille. Celui qui est éveillé, qui vit l’instant, peut en retirer, en apprendre beaucoup et ainsi aiguiller correctement sa vie future.
Les quelques exemples suivants montrent comment nous pouvons être guidés par l’énergie du jour…
Je marche dans la ville et croise beaucoup de monde. Tout à coup, un visage m’interpelle. Je ressens une joie intérieure. Pourquoi? Ce visage me rappelle un ami. Il y a peu de temps, je lui ai demandé pardon pour me réconcilier avec lui, mais je n’étais pas encore sûr qu’il m’ait pardonné. Cette joie intérieure éprouvée m’a montré que la paix règne maintenant entre nous.
Dans un groupe de personnes, mon regard se pose sur un homme. Son visage me met mal à l’aise. Je m’examine: Ses traits me semblent figés et sévères. Un mot me vient à l’esprit: inquisiteur. Non, je ne suis pas comme ça! Peut-être autrefois?
Le lendemain, en cours, un élève arrive avec deux heures de retard sans s’excuser, et d’une façon agressive commence une dispute. J’interviens et j’ai vite fait, en quelques mots bien acérés, de calmer le trouble-fête. J’en suis satisfaite.
Soudain je repense au visage de la veille et reconnais maintenant: je suis moi-même ce que je croyais voir dans le visage de cet homme. Je demande alors pardon à l’élève et prends la résolution de développer la compréhension envers mon prochain.
En rentrant chez elle, une femme trouve une petite branche de sapin. Elle s’arrête et la ramasse. Une partie en est cassée, mais est encore restée accrochée au reste de la branche. Elle se demande alors si elle doit l’arracher complètement ou essayer de la remettre en place. Elle l’arrache et a maintenant deux branches qu’elle met chez elle dans un vase. Quel message veut lui livrer cette situation? Sa vie de couple lui vient à l’esprit et elle se demande: en quel point suis-je encore liée à mon compagnon? Que dois-je encore travailler sur moi-même pour me libérer? Elle repense à cette loi: Ce que Tu attends du compagnon, de la compagne, développe-le Toi-même et apporte-le dans le couple.
Dans une rue étroite, deux voitures se croisent. Les rétroviseurs se touchent et le miroir est cassé. L’homme se demande: « Qu’est-ce que cela veut me dire? ». Tout d’abord, il ne trouve pas d’explication. Il demande alors de l’aide au Christ, l’Esprit Intérieur. Plusieurs heures après, il lui vient à l’esprit: « Ne regarde pas en arrière. ». Il comprend aussitôt: le passé réglé doit être laissé en paix, il doit reposer en Dieu. Il se souvient alors de cette strophe d’un chant de randonnée: « Celui qui veut avancer sur son chemin ne doit pas s’arrêter ni regarder en arrière. ». Si je regarde en arrière avec mélancolie, je succombe rapidement aux souvenirs illusoires. Ah, c’était si bien! Si cela avait été si bien que ça, je ne me serais pas mis en chemin. Maintenant, Je suis mon chemin sans détour et je ne regarde plus en arrière.
Chacun a connu des exemples similaires dans sa propre vie. Les avons-nous mis à profit? Quel est leur message commun? Sois éveillé et vis consciemment Ta journée, Tu pourras ainsi recevoir les impulsions qu’elle T’apporte. C’est l’énergie du jour qui amène à chacun les tâches qu’il doit surmonter en ce jour. Il est dit: « Ne remets pas au lendemain ce que Tu peux faire le jour même. ».

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La Maîtrise de soi

La Maîtrise de soi

La Maîtrise de soi

 « Sois le capitaine de Ton âme! »

La Maîtrise de soi ne peut être que spirituelle. Dans un être humain normal, tel que voulu par son Créateur, seul l’esprit, en tant que noyau constitutif de l’être humain, peut être le maître.
La constitution de l’être humain
L’être humain n’est, en effet, rien d’autre qu’un esprit entouré de différentes enveloppes ou corps (en partant du bas, une enveloppe de matière grossière lourde, une enveloppe de matière grossière moyenne ou corps astral en tant que modèle du corps gros-matériel lourd, une enveloppe fin-matérielle, deux enveloppes entéalliques, et une très légère enveloppe de nature spirituelle autour du Noyau, soit six en tout). Un être humain incarné a donc sept constituants.
Que cela plaise ou non, toute la Création – laquelle ne se compose que de scissions de l’Irradiation Originelle – est basée sur une hiérarchie naturelle. C’est dire si la Création n’est pas « démocratique »! La « république paradisiaque » ou la « démocratie céleste », cela n’existe pas! De par sa nature, de par son genre, l’esprit doit régner. C’est là que réside sa naturelle maîtrise: le genre supérieur doit toujours dominer le genre inférieur.
La maîtrise – ou la souveraineté – sur les genres inférieurs et sur le monde autour de lui est ainsi, de façon toute naturelle accordée au Spirituel. C’est triste si celui-ci l’utilise mal ou faussement! Le véritable équipement de l’esprit pour son évolution dans la matière, est fourni par les irradiations des différentes enveloppes mentionnées ci-dessus.
Le terrain pour l’évolution de l’esprit est, avant même sa plongée dans la matière, par le genre entéallique se tenant au-dessus du genre matériel, déjà, soigneusement préparé. protectrices, toutes ses enveloppes se referment auto-activement autour de lui. Son Devoir est de correctement utiliser l’équipement à lui ainsi confié pour son Ascension.

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La Galanterie

La Galanterie

La Galanterie

La Galanterie! La galanterie n’est fondamentalement pas une notion spirituelle. Dès le début, elle est teintée d’ambiguïté. C’est pourquoi il est difficile et même impossible d’en faire l’éloge inconditionnel. Donc, prudence, En France, pays de la galanterie, c’est surtout au XVIIème siècle que l’on voit éclore puis s’imposer la galanterie, laquelle souhaite simultanément régir les relations entre femmes et hommes, mais aussi les comportements à adopter dans la bonne société et même la littérature.
D’un point de vue étymologique le mot «galanterie» serait indirectement dérivé du vieux verbe «galer», signifiant «se réjouir», «prendre du bon temps». C’est donc, à la base, un concept que l’on pourrait qualifier d’épicurien. On n’est donc pas fondamentalement dans la progression spirituelle.
Selon l’article « Galanterie » sur Wikipédia:
«La galanterie est un code de conduite autour de l’être aimé, souvent sous la forme de propos ou compliments flatteurs à l’égard des femmes. Vécue par beaucoup comme une forme de politesse et de savoir-vivre, elle est aussi considérée comme un moyen de séduction.».
L’ambivalence de la notion est donc ici confirmée. La politesse et le savoir-vivre, c’est très positif, alors que la séduction c’est clairement ténébreux.

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Comment maîtriser sa fécondité

Comment maîtriser sa fécondité

Comment maitriser sa fécondité de manière spirituellement juste?

Quel est le but de l’union corporelle? Assurément, presque tout le monde répondra: la procréation, mais est-ce le seul but? Par Il ne viendrait plus, aujourd’hui, à l’idée de beaucoup de moralistes de soutenir que l’acte sexuel a pour but exclusif la procréation.
Ces conceptions limitant l’acte sexuel à la seule procréation ont pourtant existé dans un passé pas si lointain notamment au sein de certaines églises et dans des milieux dits puritains.
De prime abord, il est réjouissant de constater, par exemple, que l’époque victorienne anglaise (en laquelle, par « pudeur » – ou plutôt pudibonderie! -, l’on en arrivait, de crainte de déclencher des pensées équivoques, jusqu’à cacher les pieds des tables ou des pianos!) est passée – et même dépassée – et que des idées plus saines ont, à cet égard, progressivement émergé, remplaçant les représentations étroites du XIXème siècle.
Toutefois, par effet de « balancier », d’un abus l’on passe souvent sans transition à un autre, qui peut parfois, ou même souvent, se révéler pire que l’état ancien
Par l’union corporelle, dans l’intimité de la fusion des corps, se produit aussi un échange réciproque de fluides dont le but est un épanouissement accru des forces.
Du point de vue qui nous occupe ici – celui de savoir si oui ou non en semblable circonstance un nouvel être humain de la Terre va ou même seulement peut se trouver engendré – il nous faut examiner le cas d’un couple qui a uniquement pour but d' »échanger ses fluides » et qui va se trouver avec la responsabilité d’avoir, sans l’avoir consciemment voulu, déclenché le processus de mise en route de la venue au monde d’un enfant.. 
A ce sujet, en regard des Lois de Dieu, toute possibilité (de procréation) offerte équivaut à une sollicitation. Comment donc s’étonner ensuite d’avoir obtenu ce que I’on avait, vis_à-vis des Lois, soi-même demandé?

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