Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ
Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas du tout le cas.
La première, c’était la Parole prononcée par Jésus, le soir du Jeudi-Saint, lors de Sa première agonie au Jardin des Oliviers à Gethsémani, lorsqu’Il a dit à Son Père: « Père, s’il est possible, que ce calice s’éloigne de moi » (Matthieu XXVI, 39). Il parlait, bien sûr, du calice de douleurs qui L’attendait, s’Il Se laissait arrêter (jusque-là, malgré diverses tentatives antérieures, personne n’avait jamais pu y parvenir!) le soir même, peu après par les sbires de Caïphe et les soldats envoyés pour cela.
Aurait-Il prononcé cette Parole si la crucifixion avait automatiquement fait partie de Sa Mission de Rédemption? Autrement dit, s’Il était venu sur Terre pour S’y faire crucifier? Bien évidemment, absolument pas! Cela montre bien, par conséquent, que s’Il avait pu l’éviter et quand même pleinement remplir Sa Mission, Il aurait grandement préféré éviter de devoir vivre l’épouvantablement – à tous points de vue – douloureuse passion.
La deuxième (dans l’ordre chronologique) Parole prononcée par Jésus qui nous permet d’être sûrs que la passion et la crucifixion n’étaient pas voulues ni de Dieu ni de Jésus c’est la Parole prononcée par Jésus sur la croix, lorsque, en parlant des êtres humains en général et de Ses bourreaux en particulier, Il dit: « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font! » (Luc XXIII, 34).
Cette Prière d’Intercession de Jésus à Son Père aurait-elle donc été sensée – ou même nécessaire – si la mort sur la croix avait été un sacrifice indispensable à la Réconciliation? Lorsque Jésus affirme « Ils ne savent pas ce qu’ils font! », cela indique clairement que « ce qu’ils font » est non seulement un complet non-sens mais aussi un crime qualifié, un meurtre, un assassinat.
C’est bien la plus grande Accusation qui puisse se concevoir. L’incontestable Indication que « ce qu’ils font » est faux. Que cet acte n’était voulu ni de Dieu ni du Christ, ni de la Lumière, de façon générale. Par conséquent, un vulgaire crime envers le Plus-Saint qui, à cette époque, ait jamais foulé la Terre. Confronté à la haine des êtres humains dominés par les ténèbres, Jésus avait Lui-même pressenti et annoncé cette catastrophe spirituelle avec Sa Parabole des vignerons homicides.
Très instructif comme approfondissement! Pour moi je trouve que chaque fois que je dois me retrouver en situation pareille, les…
Absolument ! 🥰
Ce que je retiens face à l'IA: Vu la transposition de la demande - exprimé en image -, cela reste…
Je trouve cette histoire intéressante, ainsi que la morale. Reste juste à réussir à l'appliquer.
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Belle expérience, en tout cas! 👌
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