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Le Miracle de Cokeville

Le Miracle de Cokeville

Le Miracle de Cokeville

Parfois, la Loi de l’Effet de Réciprocité ou Loi du Karma s’accomplit instantanément. C’est un cas de genre qu’illustre l’événement dit « Le Miracle de Cokeville ».
Par ailleurs, qui sont ces entités vues comme des « silhouettes blanches » qui circulaient dans la salle de classe? Certains ont parlé d' »anges », mais s’agissait-il réellement d’anges? Peut-être des « anges gardiens »? Ou, plutôt, des aides ou guides spirituels?
Le Miracle de Cokeville – USA – Année 1986
Le vendredi 16 mai 1986, à l’école primaire de Cokeville (Wyoming – USA), 96 enfants (ou 136?) et 18 adultes ont été pris en otage par un ancien policier de la ville, David Young, 43 ans, et son épouse Doris Young, 47 ans.
Avec sa femme, David Young est entré dans l’école avec une bombe artisanale remplie d’essence, ainsi que des fusils et des pistolets. Le couple a rassemblé un grand groupe d’enfants et d’enseignants dans une seule salle de classe. L’ancien policier a attaché la gâchette de la bombe à son poignet et a menacé le groupe qu’il pourrait, à tout moment, bouger son bras et déclencher l’explosion de la bombe.
Young voulait demander une audience avec le président  des États-Unis de l’époque, Ronald Reagan, ainsi que 2 millions de $ par otage (soit 230 millions de $ de l’époque).
Après plus de deux heures de prise d’otages, les enfants devenaient agités, alors les enseignants ont essayé – ce qui faisait partie de leur rôle! – de les distraire avec des jeux, des livres, mais cela ne suffisait manifestement pas. Il fallait quelque chose de plus…

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Le karma et et la réincarnation selon le voyant Edgar Cayce et la psychologue Gina Cerminara

Le karma et et la réincarnation selon le voyant Edgar Cayce et la psychologue Gina Cerminara

Le karma et et la réincarnation selon le clairvoyant Edgar Cayce et la psychologue Gina Cerminara

EDGAR CAYCE (1877-1945) – Clairvoyant américain

Les guérisons dues au pouvoir étrange de diagnostic que possédait Edgar Cayce, après s’être mis en état de transe médimnique, ainsi que sa faculté de découvrir les causes karmiques des troubles dont souffraient ceux qui le consultaient, en déchiffrant, à l’état de transe, leurs vies antérieures, ont soulevé un immense intérêt pour la réincarnation. Fervent chrétien, Cayce fut tout d’abord très perturbé en se découvrant cette faculté de lire les incarnations passées de ses patients, et ce n’est qu’après une longue recherche et une étude suivie de la Bible qu’il finit par accepter le concept de la renaissance. En réalité, la carrière d’Edgar Cayce n’a pas commencé par des voyances de vies antérieures. Pendant plus d’une vingtaine d’années, ses voyances ont été purement médicales.
«Dans sa jeunesse, Cayce fut aussi surpris que son patient d’apprendre qu’au cours de son sommeil magnétique il avait donné des conseils médicaux à un Italien, dans un italien parfait et sans accent. La terminologie médicale compliquée qui de sortait ses lèvres ne lui était pas plus intelligible lorsqu’il était sorti de son état de transe que ne l’était l’italien». Un jour, un homme nommé Arthur Lammers vint voir Cayce. Un récit de cette visite qui lui fut faite en octobre 1923 est rapporté dans le livre de Thomas Sugrue, «There is a River» («Il existe un fleuve»):
« Lammers posa des questions à Edgar, qui ne les comprit pas: Quels sont les mécanismes du subconscient, la différence entre l’âme et l’esprit? Pourquoi certaines personnes ont-elles plus de personnalité ou sont-elles plus douées que d’autres? Il se mit à parler de sujets tels que la cabale, les religions des Mystères en Égypte et en Grèce, les alchimistes du Moyen Âge, les mystiques du Tibet, le yoga, Mme Blavatsky et la Théosophie, la Grande Fraternité Blanche, le monde éthérique. Edgar était abasourdi.
Lammers dit alors: «Vous devriez essayer de faire des découvertes sur ces choses… Il existe des centaines de systèmes philosophiques et des milliers de systèmes théologiques. Qui a tort et qui a raison?… Quelle est la vraie nature de l’âme et quel est le but de l’existence sur Terre? D’où venons-nous?… Qu’avons-nous fait avant d’être ici-bas? Avez-vous jamais cherché à répondre à de telles questions?».
— «Non», répondit Edgar. Il ne parvenait pas à répondre. Il n’osait avouer la vérité, c’est-à-dire qu’il avait toujours considéré ce genre de questions comme sacrilège; puisque Dieu était révélé dans la Bible, le fait de supposer que, par ses voyances, il pourrait répondre à ces mystères de l’univers aurait été selon lui, une invitation évidente faite à Satan à parler par son intermédiaire. Telle était du moins son impression, mais, après avoir entendu Lammers parler ainsi, il s’en trouva libéré. »
Lorsque Cayce exerça sa croyance en faveur de Lammers, les paroles étonnantes qu’il prononça furent: «Antérieurement, il a été moine.». Dès lors, ses voyances firent souvent mention de vies antérieures. De plus, des mots sanskrits que Cayce n’avait jamais entendus auparavant, tels que karma ou akasha, firent alors partie de son vocabulaire habituel en état de transe.

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Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes, vues de plus haut

Du fait du constant accroissement du matérialisme, le « don d’organes » est « à la mode ». C’est ainsi que l’on voit de plus en plus (en général sans consultation de la population) fleurir, ici ou là, des communes auto-proclamées « ambassadrices du don d’organes ».
S’il y avait plus de conscience de ce que, en termes de douloureux préjudices, cela signifie vraiment pour les âmes des personnes dont les corps encore vivants (sinon, pourquoi les anesthésier?) sont ainsi « prélevés » et, en termes de karma, pour ceux qui transgressent ainsi les Lois de la Création, il y aurait probablement moins d’exaltation à encourager d’aussi préjudiciables pratiques.

A ce sujet, déjà dans les années 1990, dans son ouvrage « Die Welt wie sie sein könnte » [« Le monde comme il pourrait être »], l’auteur allemand Herbert Vollmann écrivait:

« C’est uniquement sous cette optique que doivent être envisagées les transplantations d’organes qui se pratiquent de plus en plus fréquemment. Si on prélève ces organes sur le corps d’êtres qui viennent de trépasser pour les greffer sur des êtres vivants, on porte incontestablement atteinte à l’intégrité personnelle de l’être humain, qui se trouve ainsi livré sans défense aux médecins puisqu’il ne lui est plus possible de se faire entendre.
Le respect dû au prochain — et ceci comprend également le corps gros-matériel — ainsi que le Commandement qui interdit de lui porter des préjudices de cet ordre ne valent pas seulement pour la période d’existence que représente la vie terrestre; ils s’appliquent également au-delà de la mort.
A quoi peut bien servir un « consentement » donné dans l’ignorance des conditions de l’au-delà! La réalité du monde de matière fine, dont l’on a donné ici [NDLR: Dans le livre « Die Welt wie sie sein könnte »] un court aperçu, éclairera bien vite et douloureusement l’âme du défunt.
C’est pourquoi il faut que cessent de telles expériences pratiquées sur des êtres humains pour la simple raison qu’aucun être humain, y compris le chirurgien, ne peut répondre des conséquences qu’aura son intervention dans l’au-delà: en effet, ne les connaissant pas, il ne peut par conséquent les évaluer.
De plus, la nature elle-même met le plus souvent une limite à cela grâce à la diversité et à l’incompatibilité des groupes de tissus différents, même lorsque l’on tente de briser ces barrières naturelles.
Les interventions pratiquées sur les corps gros-matériels d’êtres humains décédés, y compris les dissections et la crémation, ne devraient, de façon générale, sous nos latitudes, jamais être tentées au cours des trois jours bien connus qui suivent le décès.
L’on admet, en effet, que, passés ces trois jours, l’âme s’est, dans les cas normaux, libérée du corps. Ceci exclurait alors, au premier chef, le prélèvement de tout organe en vue d’une greffe, puisque, pour que l’opération soit médicalement possible, le prélèvement doit se faire immédiatement après la mort clinique.

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Je suis, donc je pense

Je suis, donc je pense

Je suis, donc je pense

Avec la maxime « Je suis, donc je pense » est affirmée la primauté du Ressentir sur le Penser, de l’Intuition sur la pensée.
Un être humain disant « Je pense donc je suis » [« Cogito, ergo sum »] affirme exactement l’inverse: la primauté de la pensée sur l’Intuition. Ce faisant, il affirme, en fait, son assujettissement à l’intellect.
Cette inversion de l’être et de la pensée correspond, en fait, à l’inversion des lumières. C’est une erreur d’appréciation particulièrement lourde de conséquences, puisqu’elle a donné naissance au cartésianisme, qui, en France et au-delà (la France se présentant volontiers comme la « lumière du monde »…), a largement déterminé l’approche supposée correcte à avoir dans plus ou moins tous les domaines.
Le sous-titre du célébrissime « Discours de la Méthode » de René Descartes – base du cartésianisme – est, en effet: «pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences». En soi l’objectif de Descartes aurait pu être louable, s’il avait commencer par affirmer la primauté de l’esprit sur l’intellect. Il aurait, toutefois, fallu, pour cela, qu’il sache ce qu’est l’esprit. Mais comment aurait-il pu savoir ce qu’est l’esprit, puisque, déjà il ne savait pas ce qu’est une âme et que les animaux sont porteurs d’une âme?
Pour René Descartes les animaux n’étaient pas des êtres vivants doués de conscience et de sensibilité mais juste des machines. Comment s’étonner, après cela, que, sur la base d’un raisonnement très cartésien, les animaux aient été, pendant des siècles, considérés par le Code civil comme des … « meubles »?!
Mais comment est-il possible, par exemple, de tuer un meuble?, voilà ce que Descartes n’explique pas.
Pour Descartes – pourtant croyant en Dieu – il est clair que l’esprit c’est l’intellect ou – inversement – que l’intellect c’est l’esprit! Pour lui c’est manifestement deux mots synonymes. Comme la plupart des gens, de nos jours, il ne fait pas la différence entre les deux!

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La fausse conscience

La fausse conscience

La fausse conscience

« Il ne faut pas regretter que tout soit éphémère en ce monde,
car l’éphémère, lorsqu’il nous touche vraiment,
éveille en nous l’impérissable. »
– Friedrich Hebbels –

C’est quoi la fausse conscience? C’est une conscience dominée par l’intellect et le sentiment. C’est une fausse conscience de soi-même qui, de par l’Activité des Lois, devra, un jour, être effacée, parce que, du fait de sa fausseté, elle est impropre à la vie éternelle.
Le germe d’esprit humain est un support, comme un magnétoscope ou un magnétophone. Le support lui-même est destiné à être conservé. En ce cas l’on peut même dire qu’il est impérissable. Mais l’enregistrement effectué sur ce support, lui, ne sera conservé que s’il a de la valeur et est de bonne qualité.
C’est ce que tout le monde fait sur ses différents appareils – tels des disques durs ou autres dispositifs de sauvegarde – destinés à sauvegarder des enregistrements. Lorsqu’un enregistrement est bon et valable, l’on désire le conserver, car il pourra toujours servir. Mais s’il est mauvais, l’on voudra l’effacer pour s’en débarrasser et faire de la place pour les bons.
Dans cette image l’esprit est comme un magnétoscope et la personnalité est comme l’enregistrement enregistré dessus. Lorsque le Jugement arrive, le moment du Tri est aussi arrivé: Certes les supports sont conservés, mais les mauvais enregistrements sont effacés.
C’est pourquoi s’il est juste de dire que l’esprit, quant à lui, est éternel (du moins éternel en direction de l’avenir!), cela ne signifie pas pour autant que la personnalité qui est enregistrée dessus l’est automatiquement. Elle ne le sera que si elle est valable en regard des Lois de la Création. Une « gravure », au départ temporaire, sera devenue définitive.

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Le faux chemin

Le faux chemin

Le faux chemin

Docteur Karlheinz Hütter

Depuis Hippocrate, tous les grands médecins de l’humanité ont une loi et une méthode. Leur loi était la Loi de la Nature, et leur méthode était l’Art de rechercher cette Loi de la Nature afin de la rendre utile à l’humanité souffrante. L’humanité n’aurait jamais eu besoin de connaître la maladie si elle n’avait pas dévié des Lois de la Création, et si, depuis la chute de l’être humain, elle ne s’était pas de plus en plus éloignée de Dieu. Tout événement extérieur a, partout dans la Création, son {correspondant} intérieur, c’est-à-dire une cause spirituelle.

Car si l’humanité n’avait, en effet, vécu dans la stricte observance des Lois de la Création, que par Amour du prochain, la Joie et la plus riche Bénédiction terrestre seraient devenues son lot. Le Paradis se serait alors, depuis longtemps, développé sur Terre, ainsi que, depuis le début, par Dieu, le Seigneur, cela, pour de l’humanité, a été conçu.

Mais, depuis la chute dans le péché, toutes les sombres caractéristiques ont gagné de l’espace sur Terre et ont mis un terme à l’accomplissement de l’état paradisiaque. Par la haine sont venues les guerres, par les mensonges est venue la décomposition, par les passions sont arrivées les maladies, par la déviation vis-à-vis de la Vérité et des Lois de la Création est arrivé, pour finir, tout le malheur, qui, à présent, maintenant apparemment toute l’humanité apparemment irrémédiablement enserrée. Le Courant rythmique de la Vie issu de Dieu le Père a été interrompu par cette mauvaise façon d’agir de l’humanité, de sorte que la maladie a dû en être la conséquence dans tous les domaines sur cette Terre.

Comment, maintenant, est née la maladie de l’être humain au sens véritable?

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Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

La présence d’un esprit humain sur la Terre en notre époque, toujours plus agitée et incertaine, comporte certains risques. Mais, à chaque fois qu’une catastrophe s’abat sur un ou plusieurs êtres humains, l’on entend divers propos qui témoignent que la fatalité s’est abattue sur des victimes « innocentes ». Les maladies elles-mêmes – même les maladies génétiques – sont considérées par presque tous les media comme dues au hasard.
Dans les divers Enseignements Spirituels l’on trouve des passages qui donnent l’impression que l’injustice est impossible et d’autres qui donnent l’impression qu’elle ne l’est pas. Tous les propos des différents Enseignements se « nuancent » ainsi eux-mêmes.
Dans la Bible, par exemple sur quantité de questions, l’on peut facilement trouver des Paroles qui semblent justifier un point de vue, tandis qu’un autre trouvera d’autres Paroles semblant justifier le point de vue inverse.
Ceci nous montre que la Vérité n’est jamais incluse en une seule formulation, même dans la Bible ou d’autres Enseignements Spirituels, et que l’on peut aussi y trouver des « contradictions » apparentes qui, en fait, n’en sont pas! Ainsi, du reste, que dans les œuvres de nombreux autres auteurs secondaires.
En cette fin de cycle la destruction à attendre risque de toucher aussi au passage ceux qui ne sont pour autant pas foncièrement mauvais. Mais cela n’est pas injuste pour autant, car ceux qui sont aussi secondairement touchés ont quand même de rares genres semblables avec les êtres humains pouvant être considérés comme les auteurs de la débâcle.

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L’Amour est-il une Religion?

L’Amour est-il une Religion?

L’Amour est-il une Religion?

« Tout être humain qui n’est pas, avec celui, celle, ou ceux qui l’entourent ou l’approchent, sévère si cela lui est nécessaire, juste, désintéressé et respectueux, n’aime pas. Il « croit » ou il dit aimer.

Aimer c’est respecter tout ce qui vit: les êtres humains, les animaux et la Nature.

Aimer c’est donner ce qui est utile, bénéfique au prochain, c’est l’aider, le servir si cela est nécessaire, et ne vouloir que son bien; c’est favoriser, et, au besoin, provoquer sa progression morale constante et son évolution spiirutlle, dans l’oubli de soi, dans un total désintéressement.

« Aimer » c’est penser, parler et agir pour stimuler, donner joie et bonheur, avec le souci d’être chaleureux, même dans la sévérité, mais c’est aussi respecter le libre vouloir de son prochain.

Aimer c’est accomplir son travail consciencieusement et avec joie. Mais il y a tant de façons d’aimer! …. »

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