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Libre … mais … responsable!

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La Liberté de l’esprit
La Liberté! La libre volonté! Elle fait partie de la nature – ou du genre – même de l’esprit humain lui-même! Ne cherchez pas la liberté ni la libre volonté dans la volonté intellectuelle, elle n’a rien à voir avec elle. Nous l’avons déjà vu, l’intellect humain est conditionnable, mais pas son esprit!
Libre volonté ou libre arbitre?
Les philosophes parlent de « libre arbitre », mais c’est une notion philosophique théorique, donc intellectuelle. Comme l’a dit le grand écrivain allemand Goethe: « Toute théorie est grise, mais l’Arbre de la Vie est vert et florissant! ». Spirituellement parlant, il n’y a pas vraiment de « libre arbitre », il y a juste une volonté libre ou une volonté entravée par l’intellect ou par le karma.
Les deux genres de créatures dans la Création
Dans la Création il y a, fondamentalement, deux types de créatures: Les créatures dotées du libre vouloir, qui sont de genre spirituel, et les créatures sans libre vouloir personnel, et qui, fondamentalement, ne font donc qu’accomplir la Volonté Divine, qui sont de genre entéallique. Ce sont les deux genres fondamentaux existant dans la Création.
Comme leur nom l’indique, par exemple, les esprits humains de la Terre – dotés du libre vouloir – sont, bien évidemment, de genre spirituel, tandis que, par exemple, les êtres de la nature – les entéaux – sans libre vouloir personnel, sont de genre entéallique. Les grands entéaux n’obéissent qu’à la Volonté Divine, tandis que certains petits entéaux, très liés à la matière (comme, par exemple, les gnomes des roches et de la terre), peuvent être influencés par les esprits humains pour eux d’un genre plus élevé.
Le Bon Vouloir
Là où il est possible de choisir son chemin il n’y a que deux directions fondamentales: Celle qui monte et celle qui descend. Autrement dit, le choix est à effectuer entre Lumière ou ténèbres, Bien ou mal, Vérité ou mensonge. Un être humain faisant preuve de bon vouloir, choisira toujours le Chemin ascendant. Ainsi et pas autrement s’exprimera sa libre volonté.
Un esprit réellement libre – c’est-à-dire non ligoté par les conséquences d’actes erronés – choisira toujours le Chemin ascendant. C’est là que l’intellect raisonneur va dire: « Mais si un esprit soi-disant libre, pour rester libre, est obligé de choisir le chemin ascendant, cela prouve bien qu’il n’est pas libre! ». Même à l’intellect voulant-savoir-mieux il n’est pourtant pas difficile de comprendre qu’un esprit qui s’élève se libère toujours plus, tandis qu’un esprit qui s’enfonce s’enchaîne toujours plus.

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Le tempérament, le caractère, la personnalité

Le tempérament, le caractère, la personnalité

Le tempérament, le caractère, la personnalité

Introduction
Le tempérament, le caractère, la personnalité… De nombreux êtres humains utilisent ces notions sans trop savoir ce que, en réalité, elles recouvrent précisément… Beaucoup s’accommodent de la superficialité et peu cherchent à aller au fond des choses…
Des expressions courantes existent. L’on dit souvent de quelqu’un qu’il ou elle a un « fort tempérament », un bon ou un « mauvais caractère », une « personnalité affirmée », mais cela concerne qui ou quoi en elle? Faute d’y réfléchir, la plupart de gens mélangent tout.
A titre d’exercice spirituel – avant de lire la suite de cet article – vous pouvez, peut-être déjà essayer de définir ce que signifient ces concepts pour vous.
En réalité, c’est très simple: Le tempérament concerne le corps gros-matériel terrestre (le corps physique), le caractère concerne – au sens large – l’âme (plus précisément, le corps fin-matériel), et la personnalité – au sens strict – concerne l’esprit, le Noyau éternel impérissable de l’être humain.
Cela implique que le tempérament, lié à la nature du sang, ne vaut que pour la vie terrestre, que le caractère ne vaut que pour l’âme et donc que pour la vie animique fin-matérielle (la vie psychique), et la personnalité ne vaut que pour l’esprit, même lorsqu’il est incarné.
Lors de l’incarnation terrestre d’un germe d’esprit, l’être humain montre à l’extérieur diverses manifestations de ce qu’il est et de ce qu’il a.

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La Maîtrise de soi

La Maîtrise de soi

La Maîtrise de soi

 « Sois le capitaine de Ton âme! »

La Maîtrise de soi ne peut être que spirituelle. Dans un être humain normal, tel que voulu par son Créateur, seul l’esprit, en tant que noyau constitutif de l’être humain, peut être le maître.
La constitution de l’être humain
L’être humain n’est, en effet, rien d’autre qu’un esprit entouré de différentes enveloppes ou corps (en partant du bas, une enveloppe de matière grossière lourde, une enveloppe de matière grossière moyenne ou corps astral en tant que modèle du corps gros-matériel lourd, une enveloppe fin-matérielle, deux enveloppes entéalliques, et une très légère enveloppe de nature spirituelle autour du Noyau, soit six en tout). Un être humain incarné a donc sept constituants.
Que cela plaise ou non, toute la Création – laquelle ne se compose que de scissions de l’Irradiation Originelle – est basée sur une hiérarchie naturelle. C’est dire si la Création n’est pas « démocratique »! La « république paradisiaque » ou la « démocratie céleste », cela n’existe pas! De par sa nature, de par son genre, l’esprit doit régner. C’est là que réside sa naturelle maîtrise: le genre supérieur doit toujours dominer le genre inférieur.
La maîtrise – ou la souveraineté – sur les genres inférieurs et sur le monde autour de lui est ainsi, de façon toute naturelle accordée au Spirituel. C’est triste si celui-ci l’utilise mal ou faussement! Le véritable équipement de l’esprit pour son évolution dans la matière, est fourni par les irradiations des différentes enveloppes mentionnées ci-dessus.
Le terrain pour l’évolution de l’esprit est, avant même sa plongée dans la matière, par le genre entéallique se tenant au-dessus du genre matériel, déjà, soigneusement préparé. protectrices, toutes ses enveloppes se referment auto-activement autour de lui. Son Devoir est de correctement utiliser l’équipement à lui ainsi confié pour son Ascension.

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La Rédemption – Simplicité Naturelle de la Vérité – Par Jean Choisel

La Rédemption – Simplicité Naturelle de la Vérité – Par Jean Choisel

La Rédemption – Simplicité naturelle de la Vérité – Complexité des explications théologiques

«Dieu créa l’homme à Son Image, mais nous le Lui avons bien rendu.»
– Voltaire –

Vis-à-vis de la Simplicité naturelle de la Vérité… (…) Quelle différence avec les recherches compliquées et trop souvent aberrantes de tant de théologiens «professionnels» d’hier et d’aujourd’hui! Précisément parce que les cogitations intellectuelles de ces théologiens sont trop souvent dépourvues de logique, de clarté et de simplicité naturelle, en vue de les faire malgré tout paraître profondes, il leur faut les présenter de manière compliquée. Si fâcheusement compliquée que le lecteur est obligé de se prendre la tête à deux mains en se demandant: «Mais qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire?». Et lorsque, après mûre réflexion, il a enfin compris, il s’aperçoit que leurs explications sont parfaitement incohérentes, parce qu’elles sont illogiques. Or, la Vérité ne saurait évidemment pas se passer de logique ni de cohérence.
Voici seulement quelques exemples caractéristiques de ce qu’il y a d’inintelligible, et, par conséquent, d’inacceptable, dans la dogmatique de la Rédemption de toutes les églises chrétiennes.
Dans un livre récent intitulé «Le meurtre de Jésus, moyen de Salut?» (*)[1] – titre dont le point d’interrogation final montre que les théologiens chrétiens ne peuvent plus éviter de remettre en question les réponses qu’eux-mêmes prétendent apporter au problème de la Rédemption – dans ce livre, donc, l’auteur, Nathan Leites, établit un véritable recensement de l’évolution des conceptions successives des théologiens relatives à la Rédemption. Tout au long de son livre, il cite, en effet, à ce sujet, page après page, l’opinion des plus éminents théologiens d’hier et d’aujourd’hui.
Citant un passage de l’ouvrage du théologien Karl Barth, ouvrage intitulé «La Doctrine de la Réconciliation» (tome I, édition «Labor et Fides» – Genève 1966), à la page 131 de son propre ouvrage, Nathan Leites rapporte ainsi la pensée de Karl Barth:
«Notre péché est le sien, le péché de Jésus-Christ. En tant que Fils obéissant du Père, c’est Dieu Lui-même qui l’a fait Sien. Luther n’est pas allé trop loin en posant cette alternative: il faut que notre péché devienne le propre péché du Christ, ou bien nous périrons à jamais. Le commentaire de Luther est juste d’après lequel Dieu le Père a dit à Son Fils: «Sois Pierre le renégat, Paul le persécuteur, le blasphémateur et le violent, David l’adultère, le pécheur qui mangeait le fruit du Paradis, le brigand sur la Croix; en somme, c’est Toi qui a commis les péchés de tous les hommes.». Ainsi, le Christ a dû alors, et a voulu, Se tenir en posture de coupable, le plus grand de tous: brigand, homicide, adultère, voleur, sacrilège, blasphémateur, etc.» (Karl Barth. 1960, pages 261-262.)
Citant encore d’autres théologiens, Nathan Leites rapporte (p. 132): «Pour le pécheur, il ne peut pas y avoir de plus grande Grâce que d’être délivré de son péché». (B. Steffen in «Das Dogma von Kreuz», 1920.)
«Je puis être sûr que le péché n’habite plus en moi, car je sais bien où il réside maintenant: en Jésus. Notre péché n’est plus le nôtre, car il est le péché de Jésus-Christ.» (Karl Barth, opus cit., page 261.)
Celui qui est abandonné est entièrement déterminé par la Volonté du Père qui le charge de cette réalité qu’est «le péché du monde» (Urs von Balthazar, 1969, b. traduction: «La Gloire et la Croix», collection «Théologie», Paris. Aubier. 1975.)
«Celui qui montre du doigt le monde et pense: «Là est le péché!», celui-là indique la mauvaise direction. Celui qui veut savoir où se tient le péché, mon péché et le tien, doit montrer le Christ… Le Christ et le péché vont ensemble  (sic!). Le Christ n’est pas l’homme «pieux» par excellence, mais celui qui porte le péché (*)[2]. Il le porte et nous en sommes libérés «Du fait qu’Il (Jésus)… est allé à la mort, il a mis fin à notre condition de pécheurs, et par là, il a aboli le péché…» (K. Barth), etc.
Pitié pour Lui!

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Pureté – Par Romain Doulys

Pureté – Par Romain Doulys

Pureté

Par Romain Doulys

 PURETÉ. Devant elle on s’incline en silence,
 Car Son Nom à lui seul fait vibrer dans le cœur
 L’écho de Son Sommet et de son Éminence,
 Où l’Amour est vivant, dans sa Justice en chœur.

PURETÉ. Sa valeur toujours ennoblissante
Est le Joyau surfin de la féminité.
C’est pourquoi sur la Terre elle est resplendissante
Chez la femme authentique en sa fidélité.

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La fine Intuition – Reçu par Eva-Margret Stumpf

La fine Intuition – Reçu par Eva-Margret Stumpf

La fine Intuition – Reçu par Eva-Margret Stumpf

Reçu par Eva-Margret Stumpf

Encore aujourd’hui, peu de chose vous différencie de l’animal! Vous avez laissé s’étioler tout le précieux de l’Intuition que vous devez avoir en votre qualité d’être humain à chaque tentative de vous rendre plus grossier et à chaque encouragement de vous laisser aller à vivre sans la maîtrise de soi. Peu importe que cela soit arrivé volontairement ou en méconnaissant {le fait} que ces tentations ne pouvaient émaner que de sombres esprits humains voulant vous attirer sur leur bas échelon, au royaume de la détresse et de l’horreur. Pourquoi ne pas avoir tenu compte à tout moment des avertissements qui vous ont été si abondamment prodigués?
Vous voilà aujourd’hui dans la détresse parce que, de votre plein gré, vous avez tendu la main à tout le mal. Il vous sera toujours plus difficile de vous libérer encore de telles influences, surtout que, pour la plus grande part, vous ne le voulez déjà plus du tout! Vous ne voyez pas le danger et, là où vous le pressentez, vous êtes déjà devenus trop paresseux pour vous en affranchir délibérément. Ainsi y avez-vous déjà trouvé une satisfaction à vous mouvoir dans tout ce que vous faites en-dessous de l’humain authentique et de laisser ainsi libre cours à vos faiblesses.
Pour un œil initié, votre état, sur la Terre, est quelque chose d’épouvantable! Les difficultés apparentes et les situations de détresse ne sont jamais que les derniers aspects évidents de votre comportement intérieur erroné. Votre comportement intérieur est, en effet, à l’origine de tout le bien et de tout le mal dans votre vie communautaire.
Même si la foule ne veut plus entendre parler du lieu où elle s’est laisser glisser, combien sont erronées ses idées et ses mœurs, qui se sont implantées avec le naturel le plus éhonté. Écoutez, cependant, les quelques-uns, parmi eux, qui, le cœur saignant, éprouvent cette décadence générale et ne parviennent pas à l’enrayer de leur propre force.
Maintenant le moment est venu de vous lever dans la force morale pour vivre d’abord, dans tout ce que vous faites, le comportement digne d’un être humain. Face à l’entêtement de tous les autres, vous recevrez de grands Secours, car Dieu le veut ainsi. Sa Longanimité est à son terme. Il a assez longtemps toléré ce que vous vouliez faire. Mais, désormais, l’être humain ne nuit plus seulement à lui-même par son comportement erroné mais à toutes les autres créatures et à tous les conditionnements de la Nature, qui étaient répartis pour la richesse, l’abondance et le bien-être général. Cela vous frappera en retour effroyablement et terriblement!
Dieu ne laisse pas railler les Siens et vous, vous avez raillé Amour qu’Il nourrit pour toutes Ses créatures. Vous avez raillé Sa Sagesse et Sa Bonté infinies. Sans avoir consulté personne, vous déclariez tout mieux savoir et cela sans demander et sans vous insérer dans l’Ordre fondamental régnant dans la Création. Désormais une limite est mise à votre libre vouloir: Jusqu’ici et pas plus loin!
Vous avez mal géré votre fief. Vous avez universellement causé d’énormes dommages par votre dureté de cœur et votre goût du lucre. De nombreuses créatures vous accusent et ne peuvent plus longtemps supporter ce que vous faites. Croyez-vous que tout ce tourment va rester sans écho? Tout ce que vous avez fait et ce à quoi vous avez tendu la main vous reviendra. Ne vous plaignez pas qu’il vous faille l’endurer! Supportez-le avec compréhension et ensuite réparez patiemment là où vous avez fauté.
Commencez, toutefois, à appeler immédiatement au réveil tout ce qui est bon en vous. Rappelez-vous votre dignité en tant qu’homme et femme. Ne vous ralliez pas à tout! Examinez soigneusement à quelle opinion vous voulez vous rallier et à quelle direction vous voulez aspirer pour votre évolution en tant qu’être humain! Tout ce qui vous a paru bon jusqu’ici ne l’est pas. Écoutez en vous: votre conscience parlera haut et plus fort qu’à l’ordinaire. Vous récolterez la Bénédiction en agissant d’après cela! Vous trouverez de nouvelles normes. Un nouveau comportement vous deviendra naturel.
Il faut que tout exprime désormais votre dignité humaine: votre langage, votre type caractériel ou votre phénotype, bref tout ce qui part de vous désormais doit porter obligatoirement la marque de votre noblesse d’âme parcourue de Bonté et d’Amour, perceptible et compréhensible à chaque créature. Dieu vous bénira et vous devez être une bénédiction!

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La Galanterie

La Galanterie

La Galanterie

La Galanterie! La galanterie n’est fondamentalement pas une notion spirituelle. Dès le début, elle est teintée d’ambiguïté. C’est pourquoi il est difficile et même impossible d’en faire l’éloge inconditionnel. Donc, prudence, En France, pays de la galanterie, c’est surtout au XVIIème siècle que l’on voit éclore puis s’imposer la galanterie, laquelle souhaite simultanément régir les relations entre femmes et hommes, mais aussi les comportements à adopter dans la bonne société et même la littérature.
D’un point de vue étymologique le mot «galanterie» serait indirectement dérivé du vieux verbe «galer», signifiant «se réjouir», «prendre du bon temps». C’est donc, à la base, un concept que l’on pourrait qualifier d’épicurien. On n’est donc pas fondamentalement dans la progression spirituelle.
Selon l’article « Galanterie » sur Wikipédia:
«La galanterie est un code de conduite autour de l’être aimé, souvent sous la forme de propos ou compliments flatteurs à l’égard des femmes. Vécue par beaucoup comme une forme de politesse et de savoir-vivre, elle est aussi considérée comme un moyen de séduction.».
L’ambivalence de la notion est donc ici confirmée. La politesse et le savoir-vivre, c’est très positif, alors que la séduction c’est clairement ténébreux.

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Victor Hugo, praticien de l’Intuition

Victor Hugo, praticien de l’Intuition

Victor Hugo, praticien de l’Intuition

Tous les «grands hommes», qu’ils soient ou non au Panthéon avec la reconnaissance de la Patrie, furent des hommes d’Intuition. Bien souvent ils furent inspirés par des «égéries», véritables «muses» vivant dans leur entourage et grâce auxquelles les portes des Cieux s’ouvrirent pour eux. Ainsi en va-t-il de Victor Hugo, le «rêveur sacré», qui passa sa vie simultanément à écouter les voix de I’invisible et à lutter concrètement pour que I’esprit triomphe de la matière. («Je cherche I’Idéal, mais toujours en touchant du bout du pied le réel.»). L’une de ses égéries s’appelait … Juliette Drouet.

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La Foi
Nous qui croyons, que pouvons-nous craindre?!
Je ne crois ni à la nuit ni à la mort, je ne crois qu’à l’Aurore.
C’est par le réel que l’on vit, c’est par l’Idéal que l’on existe.
Je crois à Toi, Jour!, Clarté!, Joie!
Je crois à Toi, Toute-Puissance.
Je crois à Toi, Toute-lnnocence!
Lumière, Lumière, tout vient de la Lumière et tout y retourne!
Poète, je crois à l’Idéal, philosophe, je crois à Dieu.
Œil, Je crois au Soleil.
Je crois à Dieu direct.

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L’Aide véritable

L’Aide véritable

L’Aide véritable

« Aime Ton prochain comme Toi-même! »
« Aimez-vous les uns les autres, comme Je vous ai aimés. »
– Jésus –

Le Chemin du véritable Amour c’est la Pureté.
Il est beaucoup d’initiatives – très médiatisées – censées être inspirées par le « Cœur », mais qu’en est-il vraiment?
En ce moment, par exemple, en France – juste à titre de possible exemple parmi bien d’autres -, les « grands médias » promeuvent à fond les « Restos du Cœur » fondés par un célèbre humoriste, avant qu’il ne décède tragiquement, lors d’un accident de moto.
A première vue, du point de vue de l’intellect et du sentiment, rien que de très louable. La justification serait qu’il s’agirait de remédier à la situation suivante: « En France, 9 millions de personnes sont en situation de privation matérielle et sociale, un niveau jamais atteint depuis la création de cet indicateur. ».
L’on se préoccupe donc de la « privation matérielle et sociale » d’un nombre importants d’êtres humains. En vertu du proverbe « Ventre affamé n’a pas d’oreilles » cela peut avoir une certaine justification, car, pour pouvoir toucher le cœur et l’esprit d’un être humain, il peut être indiqué, dans un premier temps – comme pont vers des Valeurs plus élevées -, de pourvoir à ses besoins gros-matériels terrestres les plus immédiats, comme boire, manger, dormir.
Dans le passé, l’on a ainsi pu observer de nombreux exemples de « charité chrétienne », comme, entre autres, ceux offerts par Martin de Tours, Vincent de Paul, Mère Térésa, Sœur Emmanuelle, l’Abbé Pierre et ses centres « Emmaüs », et bien d’autres encore…
Toutefois, ce que nous examinons ici c’est l’Aide véritable qui peut être apportée à un être humain en situation de détresse. Répondre aux besoins du corps terrestre et aussi à ses « besoins sociaux », cela peut déjà être bien, mais c’est loin d’être suffisant.
Car c’est, avant tout, d’une aide globale dont a besoin un « misérable », c’est-à-dire une aide prenant en compte la totalité de ce qu’est un être humain, et pas seulement son enveloppe extérieure la plus grossière.

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