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Le doigt de la Femme – Par Victor Hugo

Le doigt de la Femme – Par Victor Hugo

Le doigt de la Femme

Dieu prit sa plus molle argile
Et son plus pur kaolin,
Et fit un bijou fragile,
Mystérieux et câlin.

Il fit le doigt de la femme,
Chef-d’œuvre auguste et charmant,
Ce doigt fait pour toucher l’âme
Et montrer le firmament.

Il mit dans ce doigt le reste
De la lueur qu’il venait
D’employer au front céleste
De l’heure où l’aurore naît.

Il y mit l’ombre du voile,
Le tremblement du berceau,
Quelque chose de l’étoile,
Quelque chose de l’oiseau.

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Le Tu/Toi ment

Le Tu/Toi ment

Le Tu/Toi ment

Était-il content Joël, ou appréhendait-il cette tournée d’entreprises qu’il devait accomplir avec sa secrétaire Angéla ?
La perspective de voyager à travers le pays lui plaisait et Angéla avait assurément son côté plaisant.
Mais ces longues heures de tête-à-tête à prévoir au cours du voyage, et notamment dans la voiture, n’allaient-elles pas les placer dans un certain embarras ?
Joël devait impérativement être accompagné et Angéla s’était aussitôt proposée. Le grand patron avait tout aussi vite entériné la chose, de sorte qu’il lui aurait été difficile de s’y opposer.
À présent, ils se trouvaient sur l’autoroute, dans la voiture de Joël, et ils roulaient depuis déjà une heure.
Cela faisait un an qu’Angéla était la secrétaire de Joël, mais, avec les fréquentes allées et venues dans et hors de leurs bureaux respectifs, ils n’avaient, en fait, que rarement l’occasion d’être seuls ensemble.
Maintenant, c’était différent. Angéla se montrait aimable et prévenante. Elle ne savait que faire pour le bien-être du chauffeur assis à côté d’elle.

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Les Bases de la Pensée Consciente

Les Bases de la Pensée Consciente

Les Bases de la Pensée Consciente

« Nous ne sommes pas perturbés par les faits,
 mais par notre perception des faits ».

– Épictète –

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Les Paroles ci-dessous posent quelques-unes des Bases
de la Pensée Consciente:

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Le Secret est l’Acceptation.

L’acceptation de tout ce qui m’arrive.

Ainsi que je le veux, il en advient de moi.

Je suis 100% responsable de tout ce qui m’arrive.

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Les Paroles ci-dessous posent quelques-unes des Bases de la Pensée Consciente:

Le Secret est l’Acceptation.

L’acceptation de tout ce qui m’arrive.

Ainsi que je le veux, il en advient de moi.

Je suis 100% responsable de tout ce qui m’arrive.

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La Puissance de la Prière

La Puissance de la Prière

La Puissance de la Prière

Donnons-nous dans la Prière!

Selon les Évangiles Jésus a dit: « Veillez et priez! ». Il n’y a pas lieu de douter de l’authenticité de cette Parole. C’est donc très important. Mais a-t-Il voulu par là que les êtres humains récitent machinalement, à répétition, des prières toutes faites? L’on peut en douter. Car si le mot « veillez » est si étroitement associé au mot « priez », c’est, entre autres, très certainement, pour insister sur le fait que ce qui fait la valeur de la Prière c’est la Veille, c’est-à-dire l’état de Vigilance, liée à la conscience du vécu du moment.
Or, qui peut réellement vivre, pendant des heures, comme c’est le cas pendant des « neuvaines » ou des « rosaires », chaque mot d’une prière récitée à répétition? Qui pourrait faire preuve d’une concentration telle que chaque mot, chaque Parole d’un « Pater », doit aussi vivante la dixième fois que la première? Tout bien considéré, c’est impossible! Du reste, il n’est déjà pas pas possible de réellement vivre, de bout en bout, en un un seul énoncé, la dizaine de Paroles qui constituent un seul « Notre Père »…
L’on comprend donc que la Prière véritable ne réside pas dans les mots, qui ne peuvent et ne doivent être qu’un support pour indiquer la direction générale du ressenti, mais que la Prière réside, en réalité, dans le ressenti lui-même, dans l’intuition, c’est-à-dire dans ce qu’éprouve intérieurement la personne en prière. De ce point de vue, les prières les plus vivantes seront, le plus souvent, des prières « muettes », c’est-à-dire sans paroles, des prières en lesquelles, librement, l’intuition d’Adoration ou de Gratitude, sans aucune sorte d’entraves, s’élève, légère, pure et lumineuse, vers le Souverain Créateur de tous les Mondes…

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Être attentif à sa vie intérieure

Être attentif à sa vie intérieure

Être attentif à sa vie intérieure

Inlassablement se pré-occuper de ce qui se passe en soi, voilà l’important Travail sur soi auquel chaque être humain de bon vouloir devrait constamment s’atteler.
La concentration intellectuelle – à l’état de conscience diurne – sur un objet d’activité extérieur à soi – ce qui, par exemple, se produit très fréquemment dans le cadre d’une activité professionnelle – détourne considérablement l’attention de ce qui se passe en soi et aussi dans les autres.
Pourtant, rien n’est plus important que de toujours être attentif à ce qui passe à l’intérieur de soi. Cela permet non seulement de se connaître soi-même mais cela permet aussi de modifier ce qui a besoin de l’être. Sinon, il ne se produira jamais aucun changement. Cela permet aussi – ce qui n’est pas forcément le moindre – de détourner, à l’avance, de soi-même de nombreux processus morbides.
Par exemple, quelqu’un porte un jugement sinon directement sur moi-même du moins sur une réalité en laquelle je me sens personnellement impliqué. Quel effet cela me fait-il à l’intérieur? Que ressens-je? Un désagrément? Une oppression? Vais-je refouler cela ou vais-je, au contraire, l’extérioriser?

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Quelle différence y a-t-il entre Foi et Conviction?

Quelle différence y a-t-il entre Foi et Conviction?

Quelle différence y a-t-il entre Foi et Conviction?

Dans la conception courante la Foi est souvent associée au domaine religieux. Ce n’est certes pas faux, mais cela n’en est pas moins une vue partielle, parce qu’en réalité foi signifie croyance (en allemand: «Foi» se dit «Glaube» et «croire» «glauben») et que, dans tous les domaines et pas seulement dans celui de la croyance religieuse, tous les êtres humains sont bardés de croyances diverses, puisque c’est précisément à partir de ces croyances qui sont les leurs qu’ils s’efforcent de faire les indispensables choix auxquels, inévitablement, leur vie quotidienne les confronte.
Avoir la foi veut donc dire croire, mais si l’on croit cela signifie certes une adhésion envers ce à quoi on croit mais en même temps cela signifie aussi un doute, car si je crois cela veut certes dire «je pense» ou «je suppose» ou même «j’espère», mais cela veut aussi dire «je n’en suis pas {tout à fait} sûr»!
La Foi, si noble puisse-t-elle être, est donc insuffisante; il y faut quelque chose de plus. Avant d’essayer de savoir ce qu’est ce «quelque chose de plus» qui serait le degré le plus élevé de la Foi il nous faut, d’abord, essayer de savoir en quoi tient la limitation intrinsèque de la Foi. Des Paroles du Christ peuvent ici nous aider, en particulier lorsqu’Il dit à son Apôtre Thomas, aujourd’hui considéré comme le champion du doute sceptique: «Tu as cru parce que Tu as vu, mais heureux celui qui croit sans avoir vu!».
Dans la Foi il y a, à l’évidence, un aspect subjectif. Par exemple, si je crois en Jésus, (je pourrais aussi prendre comme exemple n’importe quel Maître spirituel comme Bouddha, Lao-Tsé, Zoroastre, Mahomet, etc.) je crois aussi en Ses Paroles, même si je ne les comprends pas, du simple fait que ce sont Ses Paroles ou qu’elles me sont présentées comme telles. Donc ma foi – ou ma croyance – dans les Paroles de Jésus ne vient pas forcément de mon expérience personnelle de la Vérité de Ses Paroles mais de la confiance globale que j’ai dans la Personne de Jésus.
Si, en particulier, je suis convaincu que, – ainsi qu’Il l’a Lui-même clairement affirmé – Jésus est le Fils de Dieu, alors, sachant que le Fils de Dieu, comme Dieu Lui-même, ne peut ni Se tromper ni nous tromper, alors, même si je ne comprends pas ou pas complètement Ses Paroles, je sais que cette insuffisance de vient pas de Lui mais seulement de moi! Ce qui, aujourd’hui, m’est encore obscur me deviendra, un jour, parfaitement clair, lorsque mon entendement aura progressé.

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La chair ressuscite-t-elle?

La chair ressuscite-t-elle?

La chair ressuscite-t-elle?

Une affirmation présente dans le « Credo » catholique
Tous les Dimanches, lors de la messe dominicale, des centaines de millions de Chrétiens catholiques l’affirment en récitant – ou même en chantant – le « Credo » [« Je crois »] (aussi appelé « Symbole des Apôtres » ou ‘Symbole de Nicée »):
 « Je crois à la résurrection de la chair ».
Sur le site officiel de l’église catholique en France il est possible de lire:
« Résurrection de la chair: Signifie que l’état définitif de l’homme ne sera pas seulement l’âme spirituelle séparée du corps, mais que notre corps mortel reprendra vie à la fin des temps, il sera transfiguré et rendu «spirituel». A l’image du Christ, nous sommes appelés à revêtir ce corps glorieux dont parle Saint Paul (Ph. 3, 21). Il nous faut comprendre notre propre résurrection à la lumière de celle du Christ, auquel le Père veut nous conformer par la puissance de l’Esprit Saint. »
Le contexte est le suivant (c’est la fin – troisième partie – du Credo): c’est l’avant-dernière sentence:
 «Je crois au Saint-Esprit.»
«{Je crois} à la sainte Église catholique.»
 «{Je crois] à la communion des saints.»
«{Je crois} à la rémission des péchés.»
 «{Je crois} à la résurrection de la chair.»
 «Je crois à la Vie éternelle.»
«Amen.»
Pour l’église « résurrection de la chair » et « résurrection des morts » veulent dire la même chose.
Sur quoi se base l’église pour affirmer son dogme de la résurrection de la chair? Certes, c’est une conception naïve, mais repose-t-elle sur quelque chose de présent dans la Bible? Par exemple, dans sa première Épitre aux Corinthiens l’Apôtre Paul – croyait-il vraiment à la « résurrection de la chair »? – écrit: «La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles et nous serons changés.» (Épître aux Corinthiens 1 – V, 52).
La résurrection de la chair face aux Lois de la Création
Une telle « résurrection de la chair » est-elle conforme aux Lois de la Création?, voilà la bonne question à se poser.

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«Qu’est-ce que la Religion?»  Par Léon Tolstoï

«Qu’est-ce que la Religion?» Par Léon Tolstoï

«Qu’est-ce que la Religion?»

Par Léon Tolstoï

« La Religion n’est pas une croyance établie une fois pour toutes, une croyance aux phénomènes surnaturels qui soi-disant se produisirent autrefois, ni la croyance à la nécessité de certaines prières et de certains rites. Elle n’est pas non plus, comme le pensent les savants, le reste des superstitions et de l’ignorance antiques qu’il n’est dans notre temps d’aucune nécessité d’adapter dans la vie.

La Religion c’est le rapport de l’Homme envers la Vie éternelle, envers Dieu, rapport établi en accord avec la raison et la science contemporaine et qui seul pousse l’humanité en avant vers le But qui lui est assigné.

« L’âme humaine, c’est la Lampe de Dieu », dit une sage expression hébraïque. L’homme est un animal faible, misérable tant que dans son âme ne brûle pas la Lumière de Dieu. Et quand cette Lumière s’enflamme (et elle ne s’enflamme que dans l’âme éclairée par la Religion) l’homme devient l’être le plus puissant au monde. Et il n’en peut être autrement, parce qu’alors, ce n’est plus sa force qui agit en lui, mais Celle de Dieu.

Voila ce qu’est la Religion et en quoi consiste son essence. »

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Le Terrain de la véritable Amitié – Par Lucien Siffrid

Le Terrain de la véritable Amitié – Par Lucien Siffrid

Le Terrain de la véritable Amitié

Lucien Siffrid

Introduction
«Qu’un Ami véritable est une douce Chose!» a dit un grand auteur classique français! (Michel Eyquem de Montaigne, parlant de son Ami La Boétie).
Pourtant, il arrive souvent que de nombreux êtres humains soient déçus en Amitié. Souvent, ils imputent ces déceptions aux «amis», qui, de leur point de vue, se sont montrés peu dignes de la confiance qui leur avait été faite. En est-il vraiment ainsi?
Et, d’abord, un homme accompli a-t-il encore besoin d’Amis? Qu’est-ce que l’abnégation? Quel est le plus grand Triomphe pour l’être humain? A ces questions répond le présent texte, rédigé par un authentique auteur spirituel.
Lucien Siffrid est un tel auteur spirituel du XXème siècle, nanti d’un Savoir spirituel et d’une profondeur de pensée tout à fait au-dessus de la «norme». Voilà pourquoi il est à même d’éclairer de semblables sujets, de telle manière que ses lecteurs puissent réellement trouver une aide à la Progression personnelle, lorsqu’ils ont décidé de se lancer dans un important «Travail sur soi».

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Vers la véritable Amitié

Vers la véritable Amitié

Vers la véritable Amitié

Pour une véritable Amitié, un élan du cœur, c’est un très bon début! Un excellent début, par exemple, vers une réelle Amitié, une amitié en laquelle l’on ne pratique pas d’emblée le règlement de compte mais où l’on s’efforce d’abord d’établir des liens, à la manière dont, dans le célèbre livre d’Antoine de Saint-Exupéry, le renard et le Petit Prince s’apprivoisent mutuellement.
Dans le cadre de l’échange volontaire naturellement suscité par une telle amitié il est progressivement possible, de par l’ouverture bilatérale et le désir commun de faire de cette amitié une occasion de progression, d’apporter à l’autre, en fonction de son ouverture et de sa demande, une véritable aide à l’amélioration.
Mais c’est la première chose à faire!: Trouver le Terrain de la véritable Amitié, par conséquent établir d’abord l’amitié, une amitié basée sur le respect, avant de commencer à, d’emblée, balancer, sur l’autre, des piques ou du poil à gratter!
Voilà ce qui est conforme à la Loi:
« Que l’être humain exige donc, en premier lieu, tout de lui-même, avant d’attendre quelque chose des autres. »
« Celui qui n’exige rien du prochain mais tout de lui-même se tient dans la Loi de la Création de l’Amour. ».
Bref d’abord mettre en place le terrain de la véritable Amitié!, tel qu’explicité par Lucien Siffrid.

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