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Les 7 péchés capitaux

Les 7 péchés capitaux

Les 7 péchés capitaux

Les « 7 péchés capitaux » sont, en fait, au nombre de … 8!

Le Chiffre 7
Le Chiffre 7 est celui de la Volonté Divine. Les traditionnels « 7 Dons du Saint Esprit » viennent de là. Ça c’est le Pôle.
Le chiffre 7 rappelle, entre autres, les 7 jours de la semaine, les 7 couleurs de l’arc-en-ciel, les 7 branches de la Menorah (chandelier sacré des Hébreux), les 7 notes de la gamme musicale, les 7 merveilles du monde, les 7 chakras ou encore les 7 circumambulations des pèlerins musulmans à la Mecque.
Mais aussi les 7 années requises pour la construction du Temple de Salomon à Jérusalem (Premier Livre des Rois, VI-38), les 7 péchés capitaux (on en parle ici), les « 7 vertus théologales et cardinales »: foi, espérance, charité / prudence, tempérance, force et justice, les sept dernières Paroles de Jésus sur la croix, et, dans l’Apocalypse, les 7 Sceaux et les 7 Trompettes.
En face du Pôle, il y a, bien sûr, l’anti-pôle. L’obscurité singeant la Lumière, cela explique aussi pourquoi ce qui est mal puisse aussi aller par 7. Tel serait précisément le cas des « 7 péchés capitaux ».

Liste des péchés capitaux
Traditionnellement (notamment en fonction du catéchisme de l’église catholique), les sept péchés capitaux – qui, en réalité, sont plutôt des vices et sont plutôt  huit – sont:
L’orgueil (en latin: superbia);
L’avarice (en latin: avaritia);
La luxure (en latin: luxuria);
L’envie (en latin: invidia);
La gourmandise (ou gloutonnerie/goinfrerie) (en latin: gula);
La colère (en latin: ira);
La paresse (acédie: négligence spirituelle) (en latin: acedia);
La vanité (dans la liste initiale; supprimée par la suite).

D’où vient cette liste? Selon la tradition, l’auteur de la liste serait le théologien chrétien Thomas d’Aquin, qui considérait que la philosophie était « la servante de la théologie ».

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La rage de dénigrer

La rage de dénigrer

La rage de dénigrer

Jamais rien de constructif ne peut résulter de discours de dénigrement, de railleries et de préjudices causés à nos prochains; car chaque genre et chaque manière ne peuvent engendrer que la même chose et ne peuvent aussi attirer que leurs semblables! C’est de là que tout jaillit et que se développe notre destin. Un fruit est toujours de même genre que la semence!
Des êtres «humains» qui déforment adroitement les faits, pour, au préjudice d’autres personnes, leur donner un faux sens, cela existe! Cela s’appelle des calomniateurs! Des êtres «humains» qui inventent des histoires et les répandent dans le but de nuire autrui, cela existe aussi, mais cela ne porte pas le même nom; ceux-là ne s’appellent pas des calomniateurs mais des menteurs. La question se posera pour certains de savoir si la calomnie est moins répréhensible que le mensonge. Pourquoi, selon les Lois d’En Haut, y aurait-il, de ce point de vue, une différence? L’un n’est-il pas tout aussi répréhensible et blâmable que l’autre?
D’un point de vue terrestre, la seule différence c’est que, pour le même but de nuire au prochain, dans un cas le calomniateur attend d’avoir une occasion pour cela, tandis que le menteur ne s’embarrassera pas de vraisemblance et n’hésitera pas à lancer tout de suite des accusations totalement gratuites. Souvent, si l’occasion lui en est donnée, le menteur deviendra calomniateur. Il est aussi possible que le calomniateur finisse par croire ce qu’il raconte, de sorte qu’il en arrive aussi à mentir «gratuitement»…
L’écrivain français La Rochefoucault a dit que «l’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu». De même, paraphrasant cela, l’on peut dire que la calomnie est un hommage que le mensonge rend à la vérité.

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Le Mariage, une haute École de Perfectionnement individuel

Le Mariage, une haute École de Perfectionnement individuel

Le Mariage, une haute École de Perfectionnement individuel

Pourquoi l’être humain est-il sur la Terre? Pour évoluer. Pour progresser. Pour s’épanouir.
Dans la solitude et le silence il est certes déjà possible de mûrir et de progresser, car c’est le chemin pour se trouver soi-même et se placer à l’écoute de sa voix intérieure.
Mais une fois qu’une certaine expérience de vie solitaire a été réalisée, l’être humain doit vérifier, à l’épreuve de la vie en commun avec autrui, quel niveau d’évolution il a réellement atteint ou pas. C’est, pour lui, l’«épreuve du feu»; il peut voir s’il est dans l’illusion ou non quant aux progrès qu’il croit avoir réalisés.
La vie avec autrui commence, sous sa forme la plus étroite, par la vie à deux. Dès lors où l’on est deux l’on a un miroir en face de soi. Et c’est précisément grâce à ce miroir que l’on peut enfin parvenir se voir soi-même. Autrement, un être humain ne peut pas se voir lui-même.
C’est là que – que l’on se définisse ou non comme Chrétien, car il est possible de reconnaître l’immense valeur d’un judicieux conseil, quelle qu’en soit la source – la Parole du Christ sur «Le copeau et la poutre» peut s’avérer extrêmement précieuse.
Car la Parole «Tu vois le copeau dans l’œil de Ton frère mais Tu ne vois pas la poutre dans Ton œil» est précisément celle qui nous permet d’appréhender le mieux possible ce puissant effet de miroir.
Or, cette Parole, que tout être humain peut vivre d’expérience avec qui que ce soit rencontré sur son chemin, il peut déjà commencer à la vivre – et souvent de la façon la plus puissante – au cours de la vie à deux, donc dans le mariage.

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Foule sentimentale

Foule sentimentale

Foule sentimentale

« Foule sentimentale », c’est notamment le titre d’une célèbre chanson, un succès populaire, que, probablement, beaucoup fredonnent sans se rendre compte de ce qu’ils chantonnent…

« Oh la la la vie en rose
Le rose qu’on nous propose
D’avoir les quantités d’choses
Qui donnent envie d’autre chose
Aïe, on nous fait croire
Que le bonheur c’est d’avoir
De l’avoir plein nos armoires
Dérisions de nous dérisoires car Foule sentimentale
On a soif d’idéal
Attirée par les étoiles, les voiles
Que des choses pas commerciales
Foule sentimentale
Il faut voir comme on nous parle
 Comme on nous parle. »

Tout en ayant choisi un bon sujet, à l’évidence, même l’auteur de cette chanson n’a pas pris la mesure de ce que représente la glu du sentiment – trop souvent, le senti-qui-ment – dans la vie de la foule mais aussi des êtres humains individuels qui la composent.

L’hyperdominance du sentiment dans toutes les sociétés « modernes » constitue, en effet, une catastrophe absolue, dont seuls quelques-uns semblent avoir au moins une petite idée.

Cela se manifeste tout le temps et à tout propos. Par exemple, l’attention a déjà été attirée sur la « guimauve de Noël » qui, chaque année, commence à sévir non seulement sur les ondes mais partout dans les rues, dès le 15 octobre.

La chanson place – ce qui est un peu facile et même beaucoup! – la responsabilité sur les autres: « Il faut voir comme on nous parle ». Oubliant ainsi qu’une foule n’est jamais composée que d’individus. Victor Hugo avait, certes, raison d’écrire: « Le Peuple est en haut, la foule est en bas! ». L’étymologie elle-même confirme son point de vue: En effet, en latin, la foule se dit « vulga », ce qui, en français, a donné « vulgaire ». Est vulgaire ce qui est comme la foule, une masse informe en proie à la démagogie.

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Une volonté libre et consciente uniquement dirigée vers le Haut

Une volonté libre et consciente uniquement dirigée vers le Haut

Une volonté libre et consciente uniquement dirigée vers le Haut

Tel est le haut Objectif auquel le présent écrit souhaite concrètement commencer à apporter sa contribution.
Cet Objectif vous semble-t-il déjà atteint pour vous, ou vous semble-t-il encore désirable?
Beaucoup d’êtres humains s’imaginent être libres, mais, en réalité, ne le sont pas; il y en a peu qui le soient vraiment. Des fois, même pour qui le veut vraiment, une vie entière ne suffit pas pour le récupérer, pour le désenfouir.
La plupart des gens s’imaginent qu’être libre signifie pouvoir accomplir tous ses désirs terrestres sans restriction. Mais est-ce qu’un drogué, un buveur, un fumeur, un goinfre, un obsédé sexuel, etc., sont libres? Non, ils sont juste esclaves de leurs convoitises par trop terrestres, de leurs bas instincts, ils sont, tout au contraire, fortement dépendants. Et pourtant, paradoxalement, ils se considèrent – à tort – comme «libres» d’accomplir tout ce qu’ils désirent, puisqu’ils le font!
D’autres êtres humains, qui ne sont pas affligés de tares aussi rédhibitoires liées à des instincts par trop dominants, croient aussi être libres, alors que, chez eux, ce n’est pas fondamentalement l’instinct qui les opprime mais leur propre intellect, leur mental.
Le processus d’entrave est ici plus subtil et il est plus difficile de s’en rendre conscient, mais le ligotage n’en est pas moins fort pour autant, car leur volonté est constamment entravée par l’intellect terrestre.
Cela se manifeste de bien des manières.
L’une d’entre elles, et pas la moindre, ce sont les faux concepts et – en dérivant – les fausses conceptions, donc les fausses croyances, les préjugés, les idées reçues, etc.

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Les Lois données par Miang-Fong

Les Lois données par Miang-Fong

Les Lois données par Miang-Fong

Et Miang-Fong promulgua des Lois, d’après lesquelles les êtres humains devaient désormais vivre. Celles-ci disaient:

1.- Il existe uniquement Un {Seul} Dieu, le Plus-Haut, Qui nous a tous créés.

2.- A Lui nous sommes redevables de Remerciement et d’Obéissance, car Il nous a offert notre vie.

3.- Les animaux et les plantes aussi sont créés par Lui. L’être humain doit les respecter comme ses co-créatures.

4.- Servez tous le Plus-Haut, alors vous êtes tous frères et aucun n’infligera à l’autre une peine.

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Appel à la féminité – Par Nicole Weisskopf

Appel à la féminité – Par Nicole Weisskopf

Appel à la féminité

Femme-fleur, née dans un jardin,
Eve, souviens-toi d’où tu viens!
Revêts ta parure d’antan
Et couvre-toi d’un voile blanc.

Femme-feu, brûle tes déchets,
Reconnais ce qui est mauvais
Et consume sans hésiter
Ce qui risque de t’étouffer.

Femme-fée, d’un coup de baguette,
Rends-toi de nouveau propre et nette.
Ton pur vouloir est l’instrument
Qui agit instantanément.

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Êtes-vous responsable de votre vie?

Êtes-vous responsable de votre vie?

Êtes-vous responsable de votre vie?

« Le Bonheur, c’est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles. »
– Gandhi –

Assumez-vous pleinement vos responsabilités? Si oui, à la différence de la plupart des autres, vous êtes un être humain heureux.
Si vous vous reconnaissez la totale responsabilité dans tout ce qui vous arrive vous êtes même, en fait, une personne hors du commun.
Observez bien, la plupart des gens pensent, en effet, qu’ils ne sont pas responsables de ce qui leur arrive.
Pourtant, réfléchissons-y bien. Se déclarer irresponsable de ce qui nous arrive ne peut que constituer en soi une complète dépréciation de nous-mêmes par nous-mêmes.
Humilité et modestie, diront ceux qui se déclarent irresponsables, en cherchant toujours à rejeter la responsabilité – et donc la faute – ailleurs. En réalité, fausse humilité et fausse modestie. Uniquement fuite de responsabilité, et donc lâcheté.
Beaucoup pensent – même s’ils ne le disent pas – que ce serait « super » que de pouvoir, sans aucune restriction, accomplir tous leurs désirs.
Le problème ne concerne pas ici les désirs légitimes – c’est-à-dire ceux qui ne sont pas susceptibles de causer tort, de quelque manière que ce soit, à autrui – mais les désirs illégitimes, donc les faux désirs.

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Sages Paroles sur le Savoir

Sages Paroles sur le Savoir

Sages Paroles sur le Savoir

Ce que l’on sait le mieux, c’est ce que l’on n’a jamais appris.
– Jacob –

Accepte tout ce qui T’arrive comme étant la Volonté de Dieu.
Apprends ce que Tu dois apprendre et permet aux autres
d’apprendre ce qu’ils doivent apprendre et continue à aimer.

Acquérir un Savoir est une chose;
en avoir la compréhension en est une autre.

Apprendre c’est découvrir ce que vous saviez déjà.

Faire, c’est démontrer que vous le savez.

Le Choix Fondamental est Être ou Faire.

Celui qui est n’a pas besoin de faire.

Celle qui est a encore moins besoin de faire.

Enseigner, c’est rappeler aux autres qu’ils le savent
aussi bien que vous. Vous êtes toujours en train
d’apprendre, de faire et d’enseigner.

Apprendre, c’est être attentif à la Vie qui bat.

Apprendre, c’est se retrouver.

Apprendre, c’est Savoir,
Savoir c’est Connaître,
et Connaître c’est Aimer.

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Le jugement sur les autres

Le jugement sur les autres

Le jugement sur les autres

«Ne jugez pas si vous ne voulez pas être jugés!»
– Jésus – (Matthieu VII, 1)

«L’on vous jugera du jugement dont vous jugez.»
 – Jésus – (Matthieu VII, 2)

«De la mesure dont vous mesurez vous serez mesurés.»
– Jésus – (Matthieu VII, 2)

«Pourquoi vois-Tu le copeau qui est dans l’œil de Ton frère, et n’aperçois-Tu pas la poutre qui est dans Ton œil?»
– Jésus – (Matthieu VII, 3)

«Ne jugez point, et vous ne serez point jugés; ne condamnez point, et vous ne serez point condamnés; absolvez, et vous serez absous.»
– Jésus – (Luc, VI, 37)

«Un coup de langue est pire qu’un coup de lance.»
– Esope –

«Tout ce que tu dis parle de Toi, surtout quand tu parles d’un autre!»
– Paul Valéry –

Le jugement sur autrui, souvent associé – mais pas toujours – au bavardage stérile, est l’un des passe-temps favoris des êtres humains. Mais qu’en ressort-il? Pour les «jugeurs» et pour  les «jugés», leurs prochains? Du bon? Du mauvais?
L’être humain a-t-il le droit (moral) de juger son prochain? Cela peut-il lui porter profit? Cela peut-il lui nuire? (au «juge{ur}»!) Et quels effets cela peut-il y avoir sur le prochain ainsi {souvent mal} jugé?
Et si l’être humain a le droit, voire même le devoir, de juger, alors qui ou quoi peut-il juger? Et en quelles circonstances?
Un juge, pour se montrer digne de sa fonction, devrait toujours être un Porte-Parole de la Justice Divine sur Terre. Mais qu’en est-il des jugeurs?
L’observation des jugeurs et de leurs jugements montre qu’avec des paroles toutes faites et des expressions «bateau» un être humain veut, souvent, de sa propre autorité – c’est-à-dire en plaçant son petit ego au centre de tout -, lui-même s’ériger en juge et juger quelque chose ou même quelqu’un pour quoi ou pour qui il n’a, pourtant, en réalité, de façon frappante pour l’observateur impartial et objectif, aucune réelle notion lui permettant de parvenir à une profonde compréhension de la chose considérée et des êtres concernés.
En outre, ainsi que le dit justement le proverbe «Qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son!» et il est pourtant fréquent de voir que le jugeur, dans la précipitation de son intellect, veut déjà rendre son jugement définitif après n’avoir entendu qu’une seule des parties. 
Ce n’est pas pour rien que, comme le mot «partiel», le mot «partial» dérive du mot partie. Celui qui, pour rendre son jugement, n’écoute que l’une des parties en présence, de par son jugement nécessairement partiel se montre forcément partial.
«L’on ne peut être juge et partie!» dit fort justement la maxime, mais celui qui n’écoute qu’une seule partie prend partie, devient lui-même l’une des parties et ne peut donc plus juger sainement.
C’est ainsi, qu’il s’agisse ou non de jugements officiels, il est très fréquent que l’on observe un juge{ur} prononcer un jugement – voire une condamnation – vis-à-vis de quelqu’un, alors qu’en réalité le jugeur est bien plus lourdement chargé – même en regard de ce dont il est question dans le jugement – qu’en réalité le jugé ne l’est lui-même.

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