Ecole de l'art de vivre

La modification du climat

par | 13 Déc 2024 | Vidéos, Histoire, Autres Articles, Se Détacher du faux, Regards sur le Monde | 0 commentaires

  1. Ce conte de Noël - Noël, 9 mois plus tôt - je viens de le relire... Moi aussi "ce conte…

  2. "La Vigilance" Merci pour ce texte qui englobe toutes les bonnes conséquences qu'un esprit vigilant peut récolter. J'ajouterai que le…

  3. "LE SILENCE" Si les êtres humains, dans leurs nombreuses discussions parfois plus ou moins inutiles, s'efforçaient de placer des plages…

.

La modification du climat

.

L’Évidence du changement

Le climat change… C’est devenu une évidence pour « tout le monde »… En France, ce changement s’est manifestement accéléré au tournant du siècle et même du millénaire (autour de l’an 2000)… Si « tout le monde » est d’accord sur le constat, l’unanimité est loin de régner sur la cause.

Y a-t-il un réchauffement du climat?

Il peut y avoir des refroidissements locaux et un réchauffement global. Par exemple, dans la moitié Nord de la France, jusqu’à l’an 2000 l’on chauffait cinq mois et l’on avait chaud toute l’année. Maintenant, pour avoir chaud toute l’année, il faut plutôt chauffer six voire sept mois.

Voici, par exemple, une vidéo de la NASA qui illustre en images le réchauffement de la Terre de 1888 à 2022:

.


.

Le discours officiel

Bien qu’un nombre important de vrais scientifiques non dogmatiques soient d’un avis tout à fait différent, le discours officiel relayé sans discernement par les mass media dominants serait que la cause de ce qu’ils n’hésitent pas à appeler « dérèglement » du climat serait d’origine « anthropique », autrement dit que le « réchauffement climatique » serait essentiellement provoqué par l’activité humaine.

La théorie dominante

En particulier la théorie dominante que l’on entend, à longueur de temps, sur les médias audio-visuels ou que l’on voit constamment dans la presse, ce serait l’« effet de serre » provoqué par l’accroissement du taux de gaz carbonique dans l’air serait le principal responsable – voire le seul responsable – du changement climatique.

Pourtant tout le monde n’est pas de cet avis

.

.

Y aurait-il une ou des causes plus profondes?

Naturellement, le fait d’avoir trouvé une cause « humaine » à ce bouleversement climatique entraînant la survenue de toujours plus de catastrophes naturelles (tempêtes, ouragans, inondations, érosion littorale, etc.) toujours plus intenses provoquant toujours plus de pertes humaines et de dégâts matériels, dispense les êtres humains de réfléchir à – ou même empêche de concevoir – une cause plus profonde.

Exemples de conceptions climatiques alternatives

Voici, à titre d’exemple, déjà une vidéo qui, déjà, met en doute le réchauffement lui-même (ce qui n’est pas forcément notre cas!):

.

 

.

Voici une autre vidéo militante (hélas, quelque peu grossière au début), qui, d’abord sur le mode humoristique puis d’une façon bien documentée, décrit bien l’actuel mensonge mondial et s’efforce de rétablir la réalité:

.

En voici une autre.

En voici une autre intitulée « Climat: Retour à la raison »:

.

.

En voici une autre intitulée « Le réchauffement climatique: une escroquerie? »:

.

.

Voici sa présentation:

« Film basé sur le documentaire « The Great Global Warming Swindle » de Martin Durkin.

Le CO2 ne serait pas la cause du réchauffement climatique, mais la résultante d’un système climatique très complexe dont le principal moteur serait le Soleil. Un documentaire à voir absolument en ces temps où nos chers politiques nous abreuvent de taxes pour sauver la planète! ».

Donc, la meilleure vidéo, en français,  sur le sujet (sur laquelle la précédente est basée), existante à ce jour, est peut-être celle-ci:

.

.

Voici une présentation du film:

« Tout ce qu’on vous a dit sur le réchauffement climatique est probablement faux. Ce film dénonce la plus grande escroquerie de l’histoire moderne. On nous dit que le «réchauffement planétaire provoqué par l’homme» est la plus grande menace qui pèse sur l’humanité. Il n’y a pas de place pour le doute scientifique. Eh bien, regardez ce film et faites-vous votre propre opinion. — KickAssDude

« La grande escroquerie du réchauffement climatique » a suscité la controverse au Royaume-Uni lors de sa première sur Channel 4. Selon le documentaire de Martin Durkin, la principale cause du changement climatique n’est pas l’activité humaine mais les changements de rayonnement du Soleil.

Certains ont appelé « The Great Global Warming Swindle » la réplique définitive à An Inconvenient Truth d’Al Gore. En utilisant une gamme complète de preuves, il est affirmé que le réchauffement au cours des 300 dernières années représente une récupération naturelle d’un «petit âge glaciaire».

Selon le programme, les humains ont un effet sur le climat, mais il est infiniment petit par rapport aux vastes forces naturelles qui poussent constamment les températures mondiales d’une manière ou d’une autre. De la fonte des glaciers à l’élévation du niveau de la mer, « The Great Global Warming Swindle » démystifie les mythes et expose ce qui pourrait bien s’avérer être le chapitre le plus sombre de l’histoire de l’humanité. Selon un groupe d’éminents scientifiques réunis par le réalisateur de documentaires Martin Durkin, tout ce qu’on vous a dit sur le réchauffement climatique est probablement faux. Tout comme nous avons commencé à tenir pour acquis que le changement climatique est un phénomène créé par l’homme, le documentaire de Durkin tue toute la prémisse du réchauffement climatique. »

« Le réchauffement climatique est devenu une histoire d’une énorme importance politique; des militants écologistes utilisant des tactiques alarmistes pour faire avancer leur cause; des scientifiques ajoutant de la crédibilité pour obtenir des milliards de dollars en fonds de recherche; des politiciens après les gros titres et des médias heureux de jouer le jeu. Personne n’ose parler contre elle, car elle risque d’être impopulaire, de perdre des fonds et de mettre en péril des carrières. »  (Source)

Ouvrages contestant la thèse officielle

  • Inhofe, James. Le plus grand canular – Comment la conspiration du réchauffement climatique menace votre avenir.
  • Bell, Larry. Climat de corruption – Politique et pouvoir derrière le canular du réchauffement climatique .
  • Andrew Montford. L’illusion du bâton de hockey – Le climat et la corruption de la science.
  • Salomon, Lawrence. The Deniers – Les scientifiques de renommée mondiale qui se sont dressés contre le réchauffement climatique, la persécution politique et la fraude.
  • Michaels, Pat et Balling, Robert. Climat des extrêmes – Science du réchauffement climatique qu’ils ne veulent pas que vous sachiez.
  • Sussman, Brian. Climategate – Un météorologue chevronné expose l’arnaque du réchauffement climatique.
  • Isaac, Raël Jean. Coqs de l’Apocalypse – Comment la science indésirable du réchauffement climatique a failli mettre le monde occidental en faillite(Source)

Le réchauffement extra-terrestre

Habibullo Abdussamatov, directeur de l’observatoire astronomique de Saint-Pétersbourg, en 2007 a exprimé ses doutes quant au fait que l’activité humaine soit responsable du réchauffement de la Terre en faisant observer que le même phénomène est également observable sur la planète Mars (qui n’a pas d’atmosphère!), ce qui conduit, tout naturellement, à la conclusion que la même cause, extérieure aux planètes, peut expliquer l’accroissement de la température sur différentes planètes, y compris sans atmosphère

« Pour bon nombre de climato-réalistes il est évident que le Soleil est à l’origine des changements climatiques » (source).

Incapable de se taire…

Toujours du côté de l’écrit, voici, par exemple, aussi, ce qu’écrivait, il y a déjà une vingtaine d’années – Pierre de Châtillon sur son site Veille Climatique (aujourd’hui disparu de l’Internet):

« Le réchauffement climatique causé par le rejet des gaz à effets de serre n’a jamais existé. Apprenez ce qui cause la crise climatique que nous vivons présentement. Apprenez qu’elle ne s’arrêtera pas maintenant. Apprenez qu’elle sera votre principal sujet de préoccupation dans les prochaines années. Apprenez aussi que certains ont toujours su que cette crise approchait. Il n’y a plus aucun doute aujourd’hui, le climat de la Terre se modifie!

Mais l’homme est-il bien le responsable de cela? Rien n’est moins sûr! Des chercheurs allemands ont montré que les variations climatiques paraissent asservies aux variations de l’activité solaire. Un documentaire, sans doute échappé aux censeurs du savoir permis (aux tenants de la Terre plate), a présenté les conclusions de ces chercheurs sur la télévision Arte (en 2003 ou 2004), avec mesures et graphiques à l’appui, démontrant l’évidence.

Le bœuf est lent, mais la Terre n’en peut plus d’attendre!

Source originale: http://www.veilleclimatique.com/editonews/climastro_fichiers/image005.jpg

Enfin des scientifiques posent les bonnes questions concernant le réchauffement climatique. Il n’est pas trop tôt. Tout y est.

Le réchauffement de la planète n’a rien à voir avec l’activité humaine et est occasionné par le rayonnement cosmique en provenance des étoiles. La quantité de rayonnement cosmique à atteindre la Terre est en relation directe avec la capacité du Soleil à nous protéger dans son giron héliosphérique, cette gigantesque bulle électromagnétique qui origine du Soleil et enveloppe tout le système solaire.

Quelle curieuse ressemblance avec l’astrologie. C’est une chance incroyable qu’on puisse faire avancer ces recherches dans un cadre scientifique. L’étape suivante n’est pas vraiment compliquée et d’ici peu quelqu’un s’allumera et fera la relation entre la périodicité du flux cosmique, la périodicité des différentes orbites et l’effet lenticulaire des planètes. De là il découvrira facilement l’orientation de la grande rivière énergétique qui circule entre le centre galactique et Alcyone (les « 7 sœurs » de la vieille histoire).

Puisque la situation est urgente, j’ose croire qu’il sera rapidement possible de dire les vraies choses et commencer à placer les énergies aux préparatifs, en cessant de parler des ridicules gaz à effet de serre, tout en courant après l’argent.

Ça devrait aller vite maintenant dirions-nous, si ce n’était que cette découverte date de 2002 et dort dans le fond d’un tiroir depuis!!

Plusieurs questions mériteraient d’être approfondies dont entres autres, pourquoi, 3 ans plus tard, cette histoire n’occupe-t-elle pas le chevet du débat climatique?

Pourquoi des responsables de la recherche climatique mondiale en sont rendus à justifier le réchauffement climatique en établissant une similarité ridicule entre d’une part la courbe de réchauffement et l’activité humaine et d’autre part la cigarette et le cancer, identifiant au passage que la similarité des courbes est garante des causes.

Amicalement

De Châtillon. »

L’explication scientifique

Après cette introduction, voici, maintenant, l’explication scientifique:

« Par Alex Kirby

BBC News Online environment

http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/2333133.stm

« Des scientifiques allemands découvrent un lien entre les rayons cosmiques et les changements climatiques. Ils ont découvert des groupes de particules ionisées dans la basse atmosphère qui sont probablement occasionnées par les radiations provenant de l’espace.

Ils mentionnent entres autres que ces groupes de particules peuvent conduire à la condensation des nucléis qui se regroupent alors en nuages denses. Les nuages jouent un rôle majeur, mais peu compris dans la dynamique du climat avec certains types de nuages qui agissent sur la planète en la laissant refroidir et d’autres en la réchauffant.

La quantité de rayons cosmiques atteignant la Terre est largement déterminée par le Soleil et plusieurs scientifiques croient que le rôle indirect de l’influence des autres étoiles sur le climat de la Terre est largement sous-estimé. Certains croient qu’une importante partie du réchauffement global enregistrée dans le courant du 20ème siècle, trouverait son origine dans les changements de l’activité solaire – et non seulement dans l’accroissement de l’effet de serre occasionné par les gaz fossiles.

Première évidence

L’équipe allemande de l’Institut de Physique Nucléaire Max Plank à Heidelberg, a utilisé un spectrographe de masse installé sur un avion pour effectuer des mesures de la troposphère. Ces mesures ont détecté, pour la première fois, une grande quantité d’ions positifs, ayant une masse de plus de 2500. Ils déclarent: «Nos observations fournissent des évidences solides de relation entre le flot ionique et la croissance de particules aérosols dans la haute troposphère

Les scientifiques ont rapportés leurs découvertes dans le Geophysical Research Letters, un journal de l’American Geophysical Union. Ils supportent la théorie que les rayons cosmiques peuvent influencer les changements climatiques et affecter l’albédo du couvert nuageux et pour ainsi refléter la lumière dans l’espace.

De l’intérieur et de l’extérieur.

L’importance des nuages dans le système climatique est décrite par le Centre de recherche Tyndall sur les changements climatiques de l’University of East Anglia (UEA) en Grande Bretagne. Ils mentionnent: «Les nuages influencent fortement le passage des radiations à travers l’atmosphère terrestre. Les nuages reflètent certains spectres de radiations solaires ondes courtes, vers l’espace et absorbent certaines longues fréquences en provenance de la Terre: Produisant respectivement des effets de froid et de chaud.».

L’unité de recherche climatique du UEA a démontré la complexité du rôle des nuages dans les changements climatiques. Ils déclarent: «Le rétro effet de la couverture nuageuse dans l’espace peut être large mais il n’est même pas encore possible d’en connaître les signes. Les nuages bas tendent à rafraîchir, et une couverture nuageuse élevée tend à réchauffer. Une telle couverture tend à avoir un albédo (indice de réfraction) plus bas et retourne moins de soleil dans l’espace que ne le font les nuages bas.».

Confusion confondue

«Les nuages sont généralement de bons absorbants du spectre infrarouge, mais une couverture nuageuse élevée possède un dessus plus froid, que ne peuvent l’être des nuages à basse altitude, retournant moins d’infrarouge dans l’espace.»

Pour compliquer encore les choses, les propriétés des nuages peuvent changer avec les changements climatiques et les aérosols produits par l’activité humaine peuvent être confondus avec les effets des gaz fossiles en forçant les nuages. «Dépendamment de la façon dont la couverture nuageuse change, la réflexion des nuages pourrait avoir doublé ou même triplé le réchauffement.»

Plusieurs scientifiques s’entendent à dire que la surface de la Terre apparaît se réchauffer, pendant que les températures de la basse atmosphère demeurent les mêmes.

Certaines données satellites ont démontré une étroite correspondance entre la quantité de nuages autour de la Terre et les variations du flux de rayons cosmiques atteignant la surface de la planète.

Le Geophysical Research Letters, publié en août dernier, suggère que les rayons peuvent avoir occasionné des changements dans la couverture nuageuse ce qui pourrait expliquer la réaction de la température. C’est cette différence des températures qui ont conduit certains scientifiques à argumenter la faiblesse de la cause du réchauffement climatique occasionné par la main de l’homme, identifiant qu’une telle influence devrait démontrer des variations de températures uniformes de la surface de la Terre jusqu’à la haute atmosphère.

Même si certains chercheurs ont proposé que les changements dans la couverture nuageuse pourraient aider à expliquer les différences, rien de concluant à ce jour ne permet d’expliquer les variations du profil thermique.

L’étude suggère que les rayons cosmiques, particules microscopiques qui bombardent toute la planète avec des fréquences variant en accord avec l’activité solaire et l’intensité des vents, pourrait bien être le lien manquant. Le champ magnétique solaire et le vent solaire, encapsule et protège le système solaire des rayons cosmiques (particules très énergétiques et radiations en provenance de l’espace externe). Les changements de l’activité solaire affecteront la performance de ce champ de protection et par conséquent la quantité de rayons cosmiques qui se rendent jusqu’à la Terre.

Source (initiale): http://www.veilleclimatique.com/editonews/climastro.htm

http://boisdelaverdage.free.fr/dossiers/conspiration_climatique.doc (ce site, non plus, n’est plus en ligne).

L’astroclimat

Par ailleurs, expliquant l’astroclimat, Pierre de Châtillon écrit aussi:

« (…) Prenez un instant et regardez autour de vous, prenez la peine d’observer ce qui se passe. Vous n’entendrez rien de ceci à CNN.

Pour être en mesure de comprendre la «Big picture» de ce qui se produit actuellement, il est important de savoir se remettre en question et de s’ouvrir à des possibilités nouvelles, tout en comprenant que notre savoir est sciemment programmé et notre regard savamment dirigé.

Les formules tout incluses des manuels scolaires et les simulations informatiques ne sont qu’une façon d’expliquer à quel point « les choses sont ainsi » dans le modèle actuel. Ce qui est décrit ici n’est que le produit d’avoir été mis en contact avec un chien qui aboie dans les instants précédant le lever de la lune. Lorsque reproductible, ce genre de corrélation représente une preuve d’évidence tout à fait acceptable.

Comme je l’explique dans «Réchauffement climatique Le ridicule tue!», Non seulement cette crise n’a rien à voir avec un «réchauffement climatique», mais cette crise n’a rien à voir avec des gaz à effets de serre produits par l’activité humaine.

Les répercussions sur notre environnement sont telles que déjà en 1992, les scientifiques de la planète s’étaient mobilisés pour émettre un avertissement public mondial sur les changements climatiques dramatiques. Depuis 1992, la situation est loin de s’être améliorée, bien au contraire.

En fait si crise il y avait, elle s’est multipliée selon une échelle exponentielle. Mais laissons place à quelques chiffres:

L’ensemble de l’activité climatique et géologique de la Terre s’est multiplié par 400% depuis 20 ans. Un des éléments les plus significatifs de cette étude est sans conteste les tremblements de terre.

Si l’on tient un décompte des tremblements de terre de magnitude de 2.5 et plus à travers le monde, on arrive aux chiffres suivants: En 1920, bien que le meilleur de la technologie ne nous permettait pas la précision d’aujourd’hui, nous sommes passé de 600 tremblements de terre, à 5000 en 1973.

Si ceci démontre bien la tendance de cette période, pour bien démontrer l’escalade exponentielle, il faut ajouter que de 5000 tremblements de terre en 1973, nous sommes passés à 25,000 en 2004. De plus il faut ajouter que les prévisions actuelles de 2005 permettent de croire qu’elle laissera loin derrière les années antérieures.

Dans ce même document il fut aussi démontré que les causes ne pouvaient être associées avec un cycle propre à la Terre et devait provenir nécessairement de l’extérieur de la terre.

L’objectif est de comprendre ce que sont les forces en causes et ce qu’elles ne sont pas, leurs provenances, leurs périodicités, leurs effets, leurs excès, et la façon de les calculer, de les prédire et de les mesurer contre l’effet réel.

Si je ne suis pas capable de pondre un œuf, je suis toutefois en mesure d’en reconnaître la fraîcheur et ceci est mon rôle d’homme plein de gros bon sens. «Mettre en relief les éléments de la big picture qui ne fonctionne pas.» Et il y en a beaucoup trop pour que les choses ne soient saines.

Ce travail est alimenté d’une façon scientifique, par certains travaux traitant de sujet similaire ou utilisant les mêmes forces, bien que n’atteignant pas les mêmes conclusions. Il l’est d’une façon historique à même des données et artefacts inexplicables, relevant d’une science fonctionnelle et sensée, connue de tous dans le passé mais oublié de tous ou presque depuis.

Depuis toujours, les hommes cherchent à connaître la température à venir. Ceci a toujours été vrai. Encore aujourd’hui où nous investissons depuis des lustres des millions de dollars à l’acquisition des plus gros IBM et des logiciels, qui nous permettent à peine de prévoir la température du lendemain sans trop se tromper.

Mais les anciens, ceux avant notre ère, Platon, Timaeus (Timée), connaissaient une façon différente de voir notre univers et fut appelé par la suite l’univers électrique, une théorie qui veut que ce qui anime la course des planètes et fasse brûler les soleils n’étaient pas le résultat d’une force interne, espèce de moteur à fusion tel qu’il est décrit par notre science orthodoxe, mais le résultat d’une énergie externe dans laquelle tout baigne.

En exploitant une telle idée, ils étaient en mesure de prévoir la mer et les différentes conditions de températures, un modèle de prédiction climatique attribué à la connaissance de ces cycles et appelé astroclimatologie.

Tout comme une rivière gonflera ou baissera lors de circonstances particulières, lorsque les niveaux d’énergies fluctuent, ils induisent sur la Terre une trame climatique en harmonie, la synchronicité. Lorsque la rivière gonfle au point de déborder, les conséquences ne sont bien sur plus les mêmes et ne peuvent plus être observées du même point de vue.

D’une façon similaire, la capacité de résistance des couches atmosphériques de la Terre est limitée. Lorsque surchargées, elles atteignent rapidement la limite de leurs tolérances et la tension est ensuite appliquée directement sur la couche suivante modifiant radicalement l’éventail de conséquences.

Lorsqu’il y a explosion de la tolérance des couches atmosphériques et que les conséquences dépassent le strict cadre climatique, alors «le Destructeur» est en cause.

Si les brigades (…) se sont évertuées à détruire tout ce qui concernait cette connaissance, en la classant dans une catégorie appelée «connaissances païennes». Ces connaissances étaient appelées «païennes», non parce qu’elles étaient interdites, mais bien parce qu’elles étaient interdites au vulgaire et au commun.

Malgré ceci, nos ancêtres, à force de ruse, de patience et de génie, ont réussi à nous transmettre des outils, de génération en génération, évitant ainsi de ne pas tout perdre de ce savoir, si important.

Ces quelques outils furent dénaturés au fils des siècles par ces porteurs de la science et de la crédibilité dits « les orthodoxes ». Ils furent rabroués, ignorés et ridiculisés au point ou l’essentiel se perdit. Les modèles utilisés par «l’enseignement» furent biaisés de façon à permettre à l’intellect d’accepter les normes et les dogmes qui nous sont enseignées par la science orthodoxe d’aujourd’hui.

Le diable est dans les détails et nous sommes à l’ère des communications. Il n’est plus suffisant de référer à un quelconque travail de Phd, une formule algébrique ou une simulation informatique pour justifier son assertion.

L’ensemble des informations qui sont présentés ici et dans l’astroclimatologie, constituent le cœur même des secrets (…). Des «trésors d’imagination» furent déployés pour effacer de la mémoire du vulgaire et de celle de la société ce qui restait de notre ancienne histoire.

Le Destructeur

« Le Destructeur n’est autre que de l’astroclimat «extrême».

L’astroclimat prend comme acquis les préceptes de Timaeus de Platon qui sont des portions de l’ancienne science des hyperboréens. Cet enseignement, tel qu’il fut aussi découvert par notre science contemporaine, nous apprend qu’il existe des liants de nature électro-magnétique permettant de tenir l’univers ensemble.

Les similarités s’arrêtent ici, alors qu’au contraire de la science actuelle, Timaeus nous enseigne qu’il n’y a pas 4 mais bien 5 de ces forces qui régissent l’univers. Curieusement, il apparaît que la cinquième de ces forces électro-magnétiques correspond à celle qui est émise par les constellations qui nous entourent ainsi que celle émise lors de l’alignement des corps célestes entres eux.

Timaeus nous dit que l’univers est retenu par l’intermédiaire de 5 forces électro-magnétiques et que la cinquième est celle qui se produit entre les planètes lorsqu’elles s’alignent.

Timaeus nous explique comment représenter géométriquement rigoureusement ces cinq forces.

Voici suivant la description de Timaeus le modèle géométrique constituant la première force de l’électromagnétique.

Comme il fut expliqué dans l’astroclimat, de l’énergie sous forme d’ionisation nous parvient des différentes constellations qui nous entourent. La pression d’énergie reçue de ces sources est infime. Toutefois, lorsque le plan de l’écliptique du système solaire s’aligne avec une de ces sources la pression d’énergie augmente de façon très importante. Dès cet instant, les vagues d’énergies ionisées, tel que décrites dans l’astroclimatologie et qui occasionnerait en d’autres temps un climat différent, se transforment en surcharge d’énergie dont les conséquences sont nettement plus importantes.

L’importance ne réside pas dans l’alignement du système solaire en tant que tel, mais dans la capacité qu’offre un tel alignement, d’obtenir une opportunité beaucoup plus grande d’occultations et que ces mêmes occultations soient beaucoup plus énergétiques.

Le système solaire est actuellement aligné sur un flot interstellaire qui circule entre le centre galactique et M1. Ceci est ce qui tire la pôle des planètes modifiants leurs axes de précession et étire leurs orbites en forme d’ellipse autour du Soleil. Il est la source des saisons.

Cause de l’elliptique de l’orbite des planètes et des saisons de la Terre.

À cause de l’elliptique, la Terre parcourt une distance plus grande durant la période d’été que durant la période d’hiver. Elle a donc une vitesse relative au Soleil plus grande.

Le 21 décembre sera donc le moment de l’année ou la Terre est le plus près du Soleil, mais aussi à sa vitesse sa plus lente.

Telle une ballerine sur la glace qui relâche les bras en tournant, la Terre acquiert de la vitesse en s’éloignant du Soleil à grande vitesse. Elle va plus rapidement donc, elle refroidit.

Le 21 mars déjà la vitesse d’éloignement commencera à se ralentir, apportant un réchauffement. À partir du 21 juin, la vitesse relative au Soleil commence à diminuer et la Terre chauffera au maximum, effort qui se réduira du 21 septembre au 21 décembre.

La lente précession de l’orbite de la Terre nous amène périodiquement devant les constellations qui nous entourent. Nous sommes actuellement entre deux de ces constellations, opposées et très énergétiques, le Centre Galactique (M20) et M1.

Lorsqu’une planète quelconque se glisse entre la Terre et le centre galactique, il se produit un effet de lentille qui concentre la «pression électro-magnétique», à l’intérieur du système solaire. Dès lors même la course saisonnière de la Terre devient difficile.

Lorsque l’on se retrouve dans ce flot galactique, la pression est telle, que de la même façon qu’assis dans un canot qui glisse à la surface de l’eau, notre main sera retournée à coup sûr, si on la plonge dans l’eau qui file à toute vitesse. »

Les cycles du Destructeur sont obtenus lorsque des planètes occupant des orbites extérieures du système solaire sont à l’opposé dans les directions mentionnées. La capacité destructrice du phénomène réside dans l’utilisation des planètes en chemin pour transporter sa décharge à l’autre extrémité du système solaire.

Sur Terre, ceci a comme effet de briser des mécaniques climatiques et géologiques qui n’ont simplement pas été fait pour tourner à de tels régimes. En plus de rompre les barrières, certains indicateurs démontrent que cette force débalance fortement l’équilibre isostatique de la planète, laissant entrevoir des conséquences plus sévères qu’elles ne le sont déjà. »

L’Histoire et le Destructeur

L’histoire et le Destructeur.

Le Destructeur fait partie de tous les mythes et de toutes les cultures. Parfois le serpent, le dragon, le christ, le jour du Seigneur, l’invité céleste.

Il ne nous en reste aujourd’hui, que ce que l’histoire a bien voulu nous transmettre après une épuration consommée des brigades (…) et les inévitables erreurs de communication et de retranscription survenant dans le passage  entre les générations.

Tout comme l’astroclimat, les grands cycles du Destructeur étaient parfaitement connus. Moins publique puisque moins fréquent, néanmoins, les gens n’oubliaient pas de si grandes catastrophes. Trop de témoignages du passé ancien nous démontrent que ces gens possédaient une connaissance très développée des divers cycles astronomiques de notre univers.

Et ils possédaient une peur bleue du ciel.

Voici une analyse des cycles à partir de certains artefacts de notre histoire ancienne.

Il existe une durée de temps historique qui se retrouve dans toutes les cultures anciennes comme étant un moment très particulier.

Il existe une durée de temps en climatologie qui se retrouve aussi loin que ne puissent représenter les archives du climat et est considéré par les spécialistes comme un cycle de base de la climatologie.

Dans les deux cas, ce cycle est de 396 ans (Basé sur une moyenne de 390 à 400 ans selon les cultures et données).

Il peut être parfois représenté comme le chiffre du diable 666 dont le produit donne 396.

Il peut être représenté comme étant 144,000 qui divisé par 365 donnes 395 ans

Ce cycle est très visible dans les relevés climatiques de la Terre et fut identifié comme porteur à l’intérieur de plusieurs études sur le climat. Si on retranche 396 ans de la date de 2012, on arrive au moment du petit ère glacière au début 1600. Que l’on retranche une autre période de 396 ans et nous sommes à la fin de la civilisation aztèque et au début de la période moyen-âgeuse. Lorsque l’on remonte ainsi dans le temps, les nœuds et dénouements des différentes sociétés ayant existé à la surface de la Terre, se sont toujours produits à la croisée de ce cycle. C’est durant ce dernier cycle de la «petit ère glacière» que Galiléo nota une activité solaire plus importante.

Ce cycle de 396 ans représente le cycle mineur du Destructeur. Celui qui apportait mauvais temps et des changements.

Plusieurs façons de calculer le cycle majeur du Destructeur ont existé.

Les Indo-européens utilisaient une méthode basée sur la traversée du soleil par Vénus ou les Mayas une fête aux 52 ans ou les Hindous, le cycle de la lune.  Le manuscrit Kolbrin nous apprend que 100 périodes d’une génération sont nécessaires au retour du Destructeur et que les générations sont de 52 ans. Tout ceci donne un grand total variant entre 5000 et 5200 ans donc un système d’une précision somme toute, assez bonne.

Il nous est bien connu aujourd’hui que la connaissance des cycles de l’astronomie fut au cœur de leurs préoccupations des mayas et des asiatiques sur plus de 5 millénaires.

Calendrier Maya

Tout comme un calendrier possède une «unité de base», une fréquence d’une journée, un autre pourrait avoir une unité de base d’une semaine, d’un mois ou même d’une saison. Impliquant que les gens qui l’utiliseraient ne connaîtrait du temps courant, que la saison en cours. Certains calendriers sont même annuels impliquant un événement particulier à tous les quelques années.

Le calendrier maya pour sa part, possède une fréquence, une unité de base de 19,7 ans. Cette fréquence est la période exacte des conjonctions entre Jupiter et Saturne.

Le calendrier maya et le manuscrit de Kolbrin nous apprennent que 13 de ces périodes de 396 ans donnent un grand cycle de 5148 ans.

Comme pour toutes les sociétés anciennes, Jupiter était très important pour les Mayas, il était celui qui situait le climat. Particulièrement dans sa période rétrograde. La période rétrograde ici n’est pas vu au sens astronomique du terme ou une planète ne tourne pas dans le même sens que les autres, mais au sens astrologique du terme duquel, une planète occultera une portion du ciel pendant un certain temps en donnant l’impression de revenir sur ses pas.

De ce fait, dans un univers purement électrique, un tel événement a pour conséquence de nous acheminer une quantité d’énergie beaucoup plus grande due à une présence plus longue devant la constellation.

Nos ancêtres connaissaient très bien le Destructeur. Ils possédaient les outils nécessaires à prédire sa venue et les utilisèrent. »

Évolution de la température de -2500 à 2040

Voici un graphique de température qui s’étend de -2500 jusqu’à 2040. Il y a eu 78 changements brutaux de température depuis 4500 ans. Cela n’a rien à voir avec l’activité des êtres humains! Il n’y a que les propagandistes adeptes du « réchauffement climatique d’origine anthropique » pour prétendre qu’il en va autrement.

Le point de vue spirituel

Notre point de vue étant fondamentalement toujours spirituel, ce qui fait que nous nous adressons fondamentalement à l’Intuition du Lecteur plutôt qu’à son intellect, nous n’allons pas nous appesantir ici plus avant sur le débat climatique entre partisans du « dérèglement climatique d’origine anthropique » et les soi-disant « climato-sceptiques » qui, en fait, le plus souvent, ne nient nullement la modification du climat mais lui attribuent plutôt une cause naturelle, voire même une cause spirituelle.

La vérité sur le changement climatique

Toute vérité est-elle bonne à dire? En tous cas, toute vérité n’est pas facile à dire… Le climat est-il en train de changer? Oui. La Terre est-elle en train de se réchauffer? Oui. Les catastrophes naturelles sont-elles en constant accroissement? Oui. Des bouleversements sont-ils à attendre? Oui. Le taux de CO2 dans l’atmosphère est-il en train d’augmenter? Oui. Le CO2 est-il fondamentalement responsable du réchauffement climatique? Non!

La propagande mensongère sur le climat

Au sujet du changement climatique, en particulier la jeunesse est victime d’une incroyable et aliénante propagande, ainsi qu’en témoigne Salem Yahi, dans son article sur « Le fondement spirituel de l’Art ».

La modification des Rayonnements cosmiques

L’activité entéallique entraîne avec elle la modification des Rayonnements, et ainsi du climat, ainsi que l’Évolution dans les formes et l’entretien de toute matière. Sous le nouveau Rayon en provenance de la Lumière! Ainsi qu’il est possible de le voir sur la page « Les êtres entéalliques parlent », même les êtres de la Nature (en particulier les êtres du feu ou salamandres) – le disent …

La responsabilité et la culpabilité de l’être humain

L’être humain aurait dû assumer son rôle de Médiateur et donc de Maillon-de-Liaison entre le Monde de Matière Fine et le Monde de Matière Grossière de la Création, mais, à cause de son orientation matérialiste, il ne l’a pas fait! Il a, au contraire, empêché l’indispensable Courant Alternatif constamment rafraîchissant, vivifiant, et promoteur, de circuler, et a, de ce fait, au lieu de les réunir, au contraire, séparé les deux Mondes de la Création Postérieure, en s’enchaînant complètement à la matière grossière, ce par quoi les deux Parties (la matière grossière et la matière fine) devaient – comme un corps privé de sang -, peu à peu, finir par tomber malades.

Conclusion

La Partie qui – du fait de la défaillance des esprits humains – dut être complètement privée du Courant de Lumière, ou qui ne le reçut que trop faiblement par l’intermédiaire des peu nombreux êtres humains qui maintenaient encore un tant soit peu la Liaison, fut, bien évidemment, encore beaucoup plus lourdement atteinte que l’autre. Cette partie, gravement endommagée, c’est la Partie gros-matérielle – dans laquelle nous nous tenons sur la Terre, et qui, par conséquent, du fait qu’elle n’a cessé, vis-à-vis de la Lumière, de constamment descendre, se précipite au devant d’une effroyable crise et, en un relativement court laps de temps, sera secouée, comme par un puissant frisson de fièvre, jusqu’à ce que tout le malade en elle soit consumé et qu’elle puisse enfin guérir, sous l’Afflux d’un nouveau et fort Courant, en provenance de … la Source Originelle.

.

La route - Hiver - N and Ives JM Currier

La route – Hiver – N et Ives JM Currier

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *