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Le conditionnement collectif

Le conditionnement collectif

Le conditionnement collectif

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Mode d’emploi qui marche super bien

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Introduction

L’être humain est-il conditionnable? Le sujet a déjà été examiné. La réponse – tout au moins en ce qui concerne les êtres humains ayant perdu leur libre volonté – est, hélas, oui. En réalité, toutefois, un esprit humain vivant est absolument inconditionnable.

Le texte ci-dessous « Le conditionnement collectif » est tout d’abord présenté par Michel Dogna en ces termes:

Ce texte visionnaire est souvent attribué à Aldous Huxley, auteur du Meilleur des mondes ou à Gunther Anders (1956), Extrait de « L’obsolescence de l’homme ». En fait, il date de 2007 et c’est Serge Carfantan, philosophe et professeur de philosophie qui en est l’auteur (Leçon 163: « Sagesse et révolte »).

Le conditionnement collectif

Et – concernant, cette fois, le conditionnement collectif, voici le texte en question:

«Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

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Le faux chemin

Le faux chemin

Le faux chemin

Docteur Karlheinz Hütter

Depuis Hippocrate, tous les grands médecins de l’humanité ont une loi et une méthode. Leur loi était la Loi de la Nature, et leur méthode était l’Art de rechercher cette Loi de la Nature afin de la rendre utile à l’humanité souffrante. L’humanité n’aurait jamais eu besoin de connaître la maladie si elle n’avait pas dévié des Lois de la Création, et si, depuis la chute de l’être humain, elle ne s’était pas de plus en plus éloignée de Dieu. Tout événement extérieur a, partout dans la Création, son {correspondant} intérieur, c’est-à-dire une cause spirituelle.

Car si l’humanité n’avait, en effet, vécu dans la stricte observance des Lois de la Création, que par Amour du prochain, la Joie et la plus riche Bénédiction terrestre seraient devenues son lot. Le Paradis se serait alors, depuis longtemps, développé sur Terre, ainsi que, depuis le début, par Dieu, le Seigneur, cela, pour de l’humanité, a été conçu.

Mais, depuis la chute dans le péché, toutes les sombres caractéristiques ont gagné de l’espace sur Terre et ont mis un terme à l’accomplissement de l’état paradisiaque. Par la haine sont venues les guerres, par les mensonges est venue la décomposition, par les passions sont arrivées les maladies, par la déviation vis-à-vis de la Vérité et des Lois de la Création est arrivé, pour finir, tout le malheur, qui, à présent, maintenant apparemment toute l’humanité apparemment irrémédiablement enserrée. Le Courant rythmique de la Vie issu de Dieu le Père a été interrompu par cette mauvaise façon d’agir de l’humanité, de sorte que la maladie a dû en être la conséquence dans tous les domaines sur cette Terre.

Comment, maintenant, est née la maladie de l’être humain au sens véritable?

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Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Respecter fidèlement neuf Commandements
et ne pas en observer ne serait-ce qu’un seul,
cela a pour conséquence, en définitive,
la perdition!

Concernant les Dix Commandements de Dieu, un être humain qui transgresse un seul Commandement ne peut pas aller au Paradis et donc être sauvé.
A plus d’un une telle affirmation pourra sembler terriblement dure, parce que la mentalité humaine courante se dit: « Quelqu’un qui respecte intégralement neuf Commandements de Dieu c’est déjà quelqu’un de très bien! ».
Face à cela plusieurs réflexions peuvent être partagées:
– Les Dix Commandements forment évidemment un indissociable Tout. L’on ne peut pas sérieusement concevoir un être humain réellement soucieux d’accomplir la Volonté de Dieu et qui s’imaginerait que cela suffirait de l’accomplir aux neuf dixièmes. Celui qui a vraiment à cœur d’accomplir la Volonté Divine voudra le faire en toutes choses et particulièrement là où il présente des points faibles. La Fidélité consiste uniquement à accomplir tous les Commandements de Dieu et pas seulement certains.
– Par exemple, la transgression du Deuxième Commandement – indissociable du Premier Commandement – est peut-être la transgression la plus fréquente, tellement elle est, aujourd’hui, banalisée (on la voit, par exemple, complètement généralisée à tous propos dans les films, les séries, les feuilletons, etc.). C’est, pourtant, à l’évidence, manifestement une offense contre Dieu Lui-même, voire un blasphème! Car le Nom de Dieu est Saint, comme Lui-même! C’est probablement le deuxième Commandement non seulement dans l’ordre des Commandements mais aussi – juste après le Premier – en importance, de sorte que son respect est indispensable!

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La Rédemption

La Rédemption

La Rédemption

Nécessité de la Rédemption
Étant donné que – à part les très peu nombreux Missionnés – « les gens bien ne sont pas/plus sur Terre », pratiquement tous les êtres humains actuellement présents sur la Terre ont besoin, oui, de … Rédemption! Oui, tous les êtres humains, vous, les autres … et moi!
Mais comment cette Rédemption peut-elle s’effectuer? Concernant la Rédemption il y a l’aspect collectif et l’aspect individuel. L’aspect collectif est surtout théologique; la Rédemption serait essentiellement le fait du Rédempteur. A part croire en Lui, les bénéficiaires n’auraient quasiment rien à faire pour être rachetés. Leur Salut serait assuré par un Autre qu’eux…
La Doctrine de la Justification
C’est ainsi qu’est née, par exemple, la « Doctrine de la Justification ». La Justification signifie ici: Comment se justifier devant Dieu. Naturellement, il ne s’agit pas ici de tenter de s’auto-justifier soi-même avec des mots surgis de l’intellect, dans le sens de s’auto-disculper vis-à-vis de ses fautes. Devant le Juge Suprême, cela ne marche pas!
Il s’agit donc de se justifier spirituellement devant Dieu, autrement dit de pouvoir paraître devant Lui en qualité de Juste. Au sujet de cette « Doctrine de la Justification » il existe, dans une tentative de rapprochement doctrinal inter-églises chrétiennes, une « Déclaration conjointe de la Fédération Luthérienne Mondiale et de l’Église Catholique ». Il existe même une « Science du Salut » appelée la Sotériologie, rien que cela!
Jésus comme Rédempteur
Étant donné que cela déjà été fait, nous n’approfondirons pas ici en détails cette Doctrine de la Rédemption entièrement centrée sur le Sacrifice de Jésus. Un faux sens lui a été donné. L’assassinat du plus Innocent qui soit ne pouvait racheter personne, bien au contraire! Cela ne pouvait que charger encore bien davantage le karma des pécheurs.
Question: Mais si Jésus n’est pas mort sur la croix dans le but d’expier nos péchés à notre place, peut-Il toujours être désigné comme étant le Rédempteur? La réponse à cette question est clairement oui. Il suffit juste de comprendre que la Rédemption ne réside pas dans le fait d’expier nos péchés à notre place – ce que l’Omni-Justice Divine ne permet clairement pas! – mais dans le fait – avec tous les risques que cela comporte! – d’apporter jusque sur la Terre largement enténébrée la Parole de la Vérité Divine seule capable de montrer aux êtres humains profondément déchus le Chemin du Salut, qui, pour eux, déjà à cette époque, était déjà perdu.
En effet, les paroles des Prophètes déjà envoyés par Dieu ne suffisaient plus à ramener les êtres humains perdus vers la Lumière. Il fallait – venu d’En Haut – un Secours plus incisif que Seule une vivante Partie de DIEU Inentéallique (= Inqualifiable, sans nature propre ni attributs, totalement Indépendant) pouvait encore apporter. Ce fut une Mission d’urgence. Si Jésus n’était pas alors venu, plus aucun être humain de la Terre encore sur Terre ne pouvait plus être sauvé!

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Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Dans son livre « Le Grand Virage », Jean Choisel écrit:
« Nous ne voudrions donner qu’un seul exemple des conséquences de la disparition progressive de l’«Idée directrice» du Christianisme, qui «informa» les peuples dits chrétiens. On sait que le premier Commandement du Décalogue dit: «Je suis le Seigneur, Ton Dieu! Tu n’auras pas d’autres dieux devant Ma Face!». Ce bref Commandement est donc une condamnation formelle de toute idolâtrie.

Parce qu’ils n’adorent plus depuis longtemps d’idoles taillées dans la pierre ou le bois, la plupart des Chrétiens croient y obéir! Et pourtant…! Dans un chapitre de son très beau livre déjà cité, qui contient un nombre impressionnant de vérités premières, Claude Tresmontant écrit:
«L’idolâtrie est un processus, intellectuel, mental, ou affectif, qui consiste à attribuer à quelque chose de relatif une valeur d’absolu.»
«Pour comprendre, ou réaliser, ce que c’est que l’idolâtrie, et en quoi a pu consister le syncrétisme religieux que les prophètes d’Israël ont combattu, prenons un exemple contemporain. Prenons l’exemple du nationalisme intégral, tel qu’il a fleuri en France et en Allemagne au XIXème et au XXème siècles. C’est une doctrine selon laquelle la Nation, la Patrie, est la valeur absolue. À vrai dire, elle est l’absolu, le critère absolu, car aucun critère, aucune valeur ne lui est supérieure. La Vérité? La Justice? Ce ne sont que des abstractions à côté de cette valeur qu’est la Patrie, la Nation. (…) Ce qui compte, et cela seul compte, c’est l’intérêt supérieur de la Nation, et donc de l’Armée.»

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La communion des saints

La communion des saints

La communion des saints

Introduction

Tous les Dimanches, lors de la messe, dans le Credo, les Chrétiens catholiques affirment croire à la « communion des saints », mais, déjà, combien savent précisément de quoi il s’agit exactement, et – surtout – selon les Lois de la Création, existe-t-il réellement une « communion des saints »?

Pour les catholiques, la « communion des saints » est un dogme, c’est-à-dire « une vérité incontestable » (sic!). Mais qui sont les « saints » dont on parle? Et comment être en « communion » avec eux? Croire à la la « communion des saints », c’est croire qu’il y a un lien entre les morts et les vivants, ce serait, en quelque sorte, une forme de « solidarité », ce qui, déjà, pose la question de savoir si la solidarité est une valeur spirituelle. Il semble bien que la réponse soit non.

La solidarité est-elle une Valeur chrétienne?
La solidarité fait partie du militantisme, en vue d’un objectif commun à atteindre. De prime abord, l’on pourrait – sur l’axe horizontal de l’Amour – l’associer à la générosité, mais – en fonction de l’axe vertical de la Justice – elle trouve rapidement ses limites. Par exemple, le Bien ne peut pas être solidaire du mal ou de la fausseté. La Vertu ne peut pas être solidaire du vice.

Célébration de la « communion des saints »
L’église célèbre les « saints » à l’occasion de la Fête de la « Toussaint », le 1er novembre de chaque année, et commémore les « fidèles » défunts, le lendemain, donc le 2 novembre de chaque année. C’est l’époque des traditionnels chrysanthèmes déposés sur les tombes, dans les cimetières. C’est l’occasion de se souvenir de ses « chers disparus ».

Origine première du dogme de la « communion des saints »
Cette doctrine, aussi appelée « dogme du ‘corps mystique' », repose sur l’enseignement de l’Apôtre Paul de Tarse dans son Épitre aux Corinthiens, lorsqu’il parle des Dons spirituels.

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Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

Comment nous tenons-nous face à l’erreur?

« Je pense avoir les opinions bonnes et saines; mais qui n’en croit autant des siennes? »
– Michel Eyquem de Montaigne –

Omniprésence de l’erreur
Il est fréquent que nous rencontrions l’erreur sur notre chemin… Dans un monde enténébré comme le monde actuel, c’est pratiquement inévitable. Mais comment nous comportons-nous face à elle? Bien sûr, nous avons tous, à un moment ou un autre de notre vie, sous l’influence de différents conditionnements, plus ou moins et plus ou moins longtemps, adhéré à une idée fausse. 
Est-ce que c’est grave? Pas forcément. Car, déjà, pour nous aider à répondre à cette question, existe le proverbe latin bien connu « Errare humanum est, perseverare … diabolicum! » [« L’erreur est humaine’ – ou bien « se tromper est humain » -, « {mais} persévérer {dans l’erreur est} … diabolique! ».
La force de vérité de ce proverbe ne s’est jamais démentie et ne se démentira probablement jamais. Aujourd’hui encore, il constitue une ligne directrice de premier choix sur laquelle nous pouvons et devons nous appuyer: Oui, se tromper est humain, mais persévérer en connaissance de cause dans l’erreur est proprement … diabolique!
Se tromper de bonne foi n’est pas automatiquement adhérer à la fausseté
Se tromper n’est, en effet, pas, en soi, un (gros) problème. Car l’erreur peut aussi être considérée comme une étape ou même une marche – sur laquelle il est possible de s’appuyer, -, dans sa progression vers la Vérité. Ce qui est grave c’est, une fois que l’on a eu l’occasion de se détromper et de reconnaître la vérité, de s’obstiner dans l’erreur ou de ne pas vouloir la reconnaître comme telle.
A ce propos, beaucoup de lecteurs connaîtront déjà les quatre étapes d’une idée nouvelle. Ce n’est, hélas, que trop vrai! Car la plupart des gens, malheureusement, agissent exactement comme « L’opportuniste » de la chanson certes capable de « changer d’opinion » et donc de « retourner sa veste » mais seulement à chaque fois qu’il a l’impression que « le vent a tourné ».

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De l’Humilité – Par Lucien Siffrid

De l’Humilité – Par Lucien Siffrid

De l’Humilité

Bien que l’on accorde généralement plus de prix à d’autres Qualités qu’à l’Humilité, celle-ci possède, néanmoins, le rang le plus élevé dans la Couronne de toutes les Vertus. Et si l’on estime que d’éminentes Qualités comme: la Grandeur d’Âme, la Bonté de Cœur, le Tact, la Pudeur, etc. – qui toutes découlent de l’Humilité – ne peuvent pas être apprises ou acquises mais qu’elles doivent être des Facultés innées, combien plus ne devrait-on pas penser qu’il en est de même pour l’Humilité.
Cependant, en réalité, il n’en est rien! Comme toutes les autres Vertus, l’Humilité peut être acquise par la pratique. Elle demande même à être pratiquée. Elle n’est accordée à personne sans efforts. Lorsqu’il arrive (rarement, hélas!) qu’un être humain paraisse naturellement doué de véritable Humilité, il n’en bénéficie cependant que parce qu’elle est le juste retour, dans l’accomplissement de la Fonction de Réciprocité, de son bon vouloir dans une existence antérieure. Cependant, lui aussi dut, au cours d’une vie passée, l’acquérir de haute lutte.
Mais nous ne pourrons comprendre entièrement et clairement pourquoi il est si indispensable d’acquérir l’Humilité que si nous nous représentons la rigoureuse manière avec laquelle agissent les Lois Divines dans la Création. Car alors nous réalisons que nous pouvons recevoir d’autant plus d’Aides spirituelles et de Secours d’En-Haut, par l’intermédiaire des Lois, ce qui signifie que nous en sommes d’autant plus bénéficiaires, que nous nous ouvrons plus humblement à leur Bénédiction. Rétroactivement l’Humilité nous permet de parvenir à la connaissance précise de la Volonté Divine, donc des Lois Naturelles et de la perfection de tout événement.

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Les 7 péchés capitaux

Les 7 péchés capitaux

Les 7 péchés capitaux

Les « 7 péchés capitaux » sont, en fait, au nombre de … 8!

Le Chiffre 7
Le Chiffre 7 est celui de la Volonté Divine. Les traditionnels « 7 Dons du Saint Esprit » viennent de là. Ça c’est le Pôle.
Le chiffre 7 rappelle, entre autres, les 7 jours de la semaine, les 7 couleurs de l’arc-en-ciel, les 7 branches de la Menorah (chandelier sacré des Hébreux), les 7 notes de la gamme musicale, les 7 merveilles du monde, les 7 chakras ou encore les 7 circumambulations des pèlerins musulmans à la Mecque.
Mais aussi les 7 années requises pour la construction du Temple de Salomon à Jérusalem (Premier Livre des Rois, VI-38), les 7 péchés capitaux (on en parle ici), les « 7 vertus théologales et cardinales »: foi, espérance, charité / prudence, tempérance, force et justice, les sept dernières Paroles de Jésus sur la croix, et, dans l’Apocalypse, les 7 Sceaux et les 7 Trompettes.
En face du Pôle, il y a, bien sûr, l’anti-pôle. L’obscurité singeant la Lumière, cela explique aussi pourquoi ce qui est mal puisse aussi aller par 7. Tel serait précisément le cas des « 7 péchés capitaux ».

Liste des péchés capitaux
Traditionnellement (notamment en fonction du catéchisme de l’église catholique), les sept péchés capitaux – qui, en réalité, sont plutôt des vices et sont plutôt  huit – sont:
L’orgueil (en latin: superbia);
L’avarice (en latin: avaritia);
La luxure (en latin: luxuria);
L’envie (en latin: invidia);
La gourmandise (ou gloutonnerie/goinfrerie) (en latin: gula);
La colère (en latin: ira);
La paresse (acédie: négligence spirituelle) (en latin: acedia);
La vanité (dans la liste initiale; supprimée par la suite).

D’où vient cette liste? Selon la tradition, l’auteur de la liste serait le théologien chrétien Thomas d’Aquin, qui considérait que la philosophie était « la servante de la théologie ».

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