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Le travail du cerveau – Appel pour la Vie – Reçu par André Fischer

Le travail du cerveau – Appel pour la Vie – Reçu par André Fischer

Le Travail du Cerveau

Vous avez reconnu la nécessité de veiller à une meilleure combinaison entre le cervelet et le cerveau antérieur ainsi nommé, que l’on devrait nommer plutôt le «cerveau proliférant».
Il y a de nombreux efforts à faire en cette direction. Si on veut toutefois parvenir au but le plus rapidement, il est nécessaire de prendre la voie la plus courte.
Le devoir du cervelet est d’accueillir les images de l’intuition.
Le devoir du cerveau est de reproduire celles-ci.
Tout assiste désormais tout ce qui exerce et renforce ce processus.
Cela consiste à:
– Réveiller et reproduire les images du souvenir.
– Les descriptions de l’image.
– Les récits de ce que l’on a entendu dire.
– Les descriptions des plus grandes impressions et expériences vécues.
– Les descriptions des intuitions et des états d’âme.
Un plus grand vocabulaire doit être à la disposition du cerveau pour trouver à chaque fois, dans un choix abondant, l’expression correspondante. La bonne connaissance de sa langue maternelle est pour cela une condition préalable importante. Les exercices de mémoire peuvent constituer un soutien.

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La mort naturelle

La mort naturelle

La mort naturelle

Différents cas de personnes dans le coma (« perte de connaissance/conscience/vigilance non réversible par des stimulations ») ou, plus précisément, « en état de conscience minimal » depuis des années, ont – comme l’on dit – « défrayé la chronique »…
A chaque fois c’est l’occasion de s’interroger sur ce qui – selon les Lois de la Création -, en matière de respect de la vie, est juste ou pas.
Le Serment d’Hippocrate dit:
«Je dirigerai le régime des malades à  leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si l’on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté.».
Le Serment d’Hippocrate actualisé, plus précisément, à ce sujet, dit:
« Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. ».
Voici, maintenant, une parole (extraite des souvenirs de Schwester Rosa Markus) [NDLR: en Allemagne, les infirmières – « Krankenschwester » [« sœur des malades »] – portent le titre de « sœur »] pouvant éclairer et même guider:
« Une fois, par exemple, je pus questionner au sujet du traitement des mourants. Selon les prescriptions de mes ancêtres [NDLR: Les ancêtres de la narratrice étaient juifs; pour plus de précisions sur les conceptions juives relatives à l’agonie voir plus bas], un patient ne doit plus être touché, aussitôt qu’il entre en agonie. ».
Différents médecins, cependant, et aussi des infirmières1 comprenaient la Parole « Fidèle jusque dans la mort »2 en sorte que, jusqu’à  son dernier souffle, l’on doive faire à un malade tout ce que l’on peut {lui} faire comme soins: toilette, coiffage, humectation des lèvres, éventuellement piqûres, etc…
– « A partir de l’instant où survient l’agonie3, le mourant ne doit plus être touché », fut la claire réponse.

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Réflexions sur l’Intuition et l’intellect, sur la Lumière et les ténèbres – Par Hermann Wenng

Réflexions sur l’Intuition et l’intellect, sur la Lumière et les ténèbres – Par Hermann Wenng

Réflexions sur l’Intuition et l’intellect, sur la Lumière et les ténèbres

Par Hermann Wenng

De façon répétée, il est fait (…) fait référence à l’intellect que l’être humain a cultivé sur les conseils (…) du séducteur, et qu’il a érigé en tant que maître absolu, auquel il a accordé tous les pouvoirs.
C’est cela (…) qui est la source de tous les maux et en fin de compte la seule cause de la défaillance de l’esprit humain par rapport à la Tâche que le Créateur lui avait assignée, dès le début, dans la Création.
Sans cesse (…) l’attention est attirée sur le fait que ce n’est pas l’intellect, lié à la Terre et limité qui doit être déterminant dans la vie des êtres humains sur Terre, mais l’Intuition liée à la Lumière.
Dans de nombreux Passages et en toute Clarté il nous est parfaitement expliqué ce qu’est l’Intuition et en quoi nous pouvons distinguer l’activité de l’intellect de celle de l’Intuition. (…)
Néanmoins, les propos et les questions d’un grand nombre de chercheurs sérieux dévoilent qu’il n’est pas si facile de distinguer l’Intuition et l’intellect (…).
Et ceci est d’autant plus difficile que c’est justement l’intellect, formé et produit par la matière grossière qui, de nos jours, domine presque entièrement même ceux qui veulent le Bien, même les meilleurs parmi les êtres humains.
Or, c’est précisément à cet intellect que la (…) Vérité doit en grande partie s’adresser du fait que ce n’est qu’ainsi que l’être humain, immergé dans la matière grossière, peut encore y accéder. (…)
Mais le combat contre l’intellect doit se faire par ses propres moyens, par lui-même. Il ne peut être vaincu que par son propre genre! Et son genre, c’est la Logique. Il nous entoure d’un édifice qui s’efforce de créer une séquence de causes à effets sans faille, dans laquelle un élément doit résulter de l’autre, une cuirasse de fer qui ne laisse passer qu’une matière encore plus dure (de matière grossière) que la sienne!

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L’Inspiration – Ce qu’en disent les grands compositeurs  –  Par Alfred Grégoire

L’Inspiration – Ce qu’en disent les grands compositeurs – Par Alfred Grégoire

L’Inspiration – Ce qu’en disent les grands compositeurs

Par Alfred GRÉGOIRE

La Musique a toujours joué un grand rôle dans la vie des peuples – rôle qui avait et a toujours comme but principal de faire vibrer les cœurs et d’ouvrir les âmes. En écoutant des œuvres inspirées, nous ressentons souvent de la nostalgie, quelque chose d’inexprimable qui peut nous rendre heureux et nous faire oublier le côté matériel et éphémère de la vie de tous les jours. La Musique est capable de nous faire ressentir de la Joie et de nous enthousiasmer. Peut-être sommes-nous à ce moment-là en contact avec cette Force éternelle dont parlent les grands Compositeurs et dont sont empreints les chefs-d’œuvres inspirés de l’art. Cette grandeur d’âme que nous y découvrons ne peut nous laisser indifférents, qu’il s’agisse des chefs-d’œuvre de la Musique, de la Peinture, de l’Architecture et de la Littérature. Pour des milliers et même des millions d’hommes, l’art et surtout la Musique ont pu les aider à ressentir un souffle de grandeur, capable de nous élever au-dessus de la matière, en écoutant par exemple les passions de Bach, les œuvres de Mozart, Beethoven, Brahms, Wagner et bien d’autres, de nationalités différentes.
C’étaient des Compositeurs inspirés d’un niveau éthique très élevé. Que disait Beethoven, par exemple, entre autres? Je cite:
« Le soir, quand j’admire avec étonnement le ciel et le nombre impressionnant des astres rayonnants, mon esprit s’envole bien au-delà des étoiles, jusqu’à la Source Eternelle d’où vient tout ce qui est créé et d’où s’écoulent sans fin de nouvelles créations. Oui! Il faut que cela vienne d’En-Haut, pour être capable de toucher les cœurs. Autrement la Musique n’est que notes froides, un corps sans âme. ».
Mozart composa de la même façon. Il disait un jour: « En composant, je me sens comme dans un beau rêve ».
Haydn, avant de composer, priait et demandait la Force du Seigneur. Pour lui, composer était une sorte de culte, un rite. Il mettait son plus beau costume avant d’écrire de la Musique. Il disait:
« Je me mets en communication avec Dieu, et il faut que je sois habillé en conséquence ».

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Vous ne devez pas résister à la souffrance

Vous ne devez pas résister à la souffrance

Vous ne devez pas résister au mal

Qui a dit la Parole «Vous ne devez pas résister au mal»? Ceux qui connaissent l’Enseignement de Jésus, savent qu’il s’agit d’une Parole de Jésus.
Plus précisément, selon les Évangiles, Jésus dit ceci:
« Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu’un Te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l’autre {joue}. » (Matthieu V, 39).
Selon Luc, le contexte et aussi le sens semblent un peu différent. Et il ne précise pas s’il s’agit de la joue droite ou gauche:
« … Bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent. Si quelqu’un Te frappe sur une joue, présente-lui aussi l’autre {joue}. Si quelqu’un prend Ton manteau, ne l’empêche pas de prendre encore Ta tunique. Donne à quiconque Te demande, et ne réclame pas Ton bien à celui qui s’en empare.… » (Luc VI, 28-30).
En fait, seul Matthieu rapporte clairement une Parole de Jésus disant: «Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant.».
En allemand il s’agit du mot « Übel ». Par le mot «Übel» [«mal»] il ne faut ici pas comprendre «ténèbres», «obscurité», «faux principe», etc., mais plutôt «Leid» [«peine», «souffrance», «désagrément», etc.], donc «mal» mais seulement dans le sens de «faire mal» (différent de «faire le mal») ou d’«avoir mal». En français il avec le mot « mal », y a la même ambiguïté qu’en allemand avec le mot « Übel ».
C’est encore pire, cependant, dans les cas où les êtres humains ne peuvent pas se souvenir de la cause de ce qui leur arrive dans leur actuelle vie terrestre.. Une vie terrestre se passe, certes, dans la matière grossière lourde, où règne la densité.
Le sens de la Parole de Jésus est que les êtres humains ne doivent pourtant pas se plaindre de façon irréfléchie, puisque, autrefois, ils ont, en effet, eux-mêmes provoqué l’occasion pour tout ce qui, en répercussion, leur tombe maintenant dessus. Et c’est pourquoi le Christ dit: « Vous ne devez pas résister à la souffrance », puisqu’en vérité l’être humain, par la résistance, ne fait que se charger d’une nouvelle faute. C’est une résistance au dénouement des fils du Destin, qui sont accrochés à l’être humain. Mais sans ce dénouement, l’être humain ne peut jamais se racheter ni s’élever.

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L’Acceptation, Clef du Bonheur

L’Acceptation, Clef du Bonheur

L’Acceptation, Clef du Bonheur

Oui à la Vie! Oui à l’Amour! Oui à  la Lumière! Vivre c’est dire Oui! Tout ce qui nous arrive nous l’avons nous-mêmes déterminé! Par conséquent, tout {ce qui arrive} est Grâce! Certes, le Bonheur d’exister est Grâce, la Joie profondément ressentie est Grâce, le Contentement de tous les Bienfaits reçus est Grâce, mais les «coups du Destin», les épreuves, les maladies, les accidents, les catastrophes, la douleur et la souffrance sont des Grâces. Et même, à chaque fois, des Grâces Divines!

Est-ce la de la Théologie, une doctrine religieuse, l’acceptation d’un catéchisme? Ou même une philosophie. Non point! Ce sont juste là  des évidences immédiatement perceptibles à  qui ouvre tout grand ses yeux.  Nous sommes les auteurs de notre destin. La Vie, les Lois, le Karma – c’est l’évidence – ne font que nous renvoyer les récoltes de nos propres semailles.

Par conséquent, que pouvons-nous faire si ce n’est remercier et nous réjouir de tout? De tout sans aucune exception. A supposer qu’un événement pénible nous arrivant ne soit pas directement karmique et donc ne soit pas directement mérité c’est quand même une Grâce, parce qu’il ne peut arriver que si nous sommes en manque de Vigilance…. Or la Vigilance est tout, la Vigilance signifie pouvoir vivre!

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Les principales erreurs qui bloquent les êtres humains sur le Chemin de l’Ascension spirituelle

Les principales erreurs qui bloquent les êtres humains sur le Chemin de l’Ascension spirituelle

Les principales erreurs qui bloquent les êtres humains sur le Chemin de l’Ascension spirituelle

Série 1

1) Croire que le Chemin conduisant vers la Lumière est pénible à apprendre et doit être difficile à suivre. Ce n’est pas le cas.
2) Croire que l’En-deçà et d’Au-delà sont séparés. Il n’y a pas de séparation. C’est un Tout unitaire.
3) Croire que la vie humaine commence avec la naissance. Croire que la vie humaine s’arrête à la mort. Il y a là ni Logique ni Justice.
4) Croire que l’être humain descend du singe. C’est uniquement vrai pour son corps mais pas pour son esprit. Appeler ces animaux hautement-évolués ancêtres de l’être humain est une grande erreur! 
5) Une instruction exclusivement intellectuelle aboutissant à une domination de l’intellect est une erreur funeste.
6) La supposition que Jésus de Nazareth était le Fils de Dieu en même temps que le Fils de l’Homme est fausse !
7)  Mettre en doute ses intuitions initiales au profit de considérations intellectuelles ultérieures.
8) Faire plus confiance à l’intellect et au sentiment qu’à l’Intuition spirituelle.
9) S’adonner à des pratiques occultes.
10) Croire qu’un trépassé, du fait qu’il est trépassé, est devenu omniscient, ou, tout au moins, plus-sachant que les Terriens (êtres humains incarnés sur Terre). En réalité, tout ce qu’un trépassé, du fait qu’il est « mort », sait de plus que les vivants de la Terre, c’est qu’il n’a, réellement, avec le soi-disant Mourir, pas cessé, pour autant, d’exister.
11) Croire que l’abstinence sexuelle est un facteur de progression spirituelle. L’abstinence forcée est un empiétement, qui peut amèrement se venger.
12) Croire que l’Univers est « infini ». En réalité, l’Univers n’est pas infini, mais il est juste indéfini.

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Une possibilité de Rédemption

Une possibilité de Rédemption

Une possibilité de Rédemption

Grâce à la Parole de Jésus lui montrant le Chemin de la Vérité inaltérée l’être humain a reçu une possibilité de Rédemption, mais la Rédemption ne peut être effective que si le croyant en Dieu et en Jésus met en application la Parole Divine.
C’est précisément pour cela que, le soir de la Cène, Il déclara que Son Sacrifice allait être effectué pour la Rédemption (Rémission des péchés) de beaucoup (beaucoup, ce n’est donc pas tout le monde! – la Rédemption n’est pas automatique!).
La persécution subie par Jésus en tant que Porteur de Vérité du fait du « trouble » qu’Il apportait à l’institution religieuse de Son époque (le Sanhédrin) est donc une affaire à considérer à part. Cela montre simplement que Jésus ne recula pas devant le plus grand des sacrifices pour témoigner de la Vérité du Message qu’Il était venu apporter, mais ce n’est pas dans le supplice de la crucifixion que réside la Rédemption elle-même.
C’était juste là un meurtre, un crime qualifié, un assassinat légal, qu’Il avait, par avance, accepté, parce qu’Il savait que s’Il S’était dérobé, du fait de leur manque de foi, beaucoup d’êtres humains auraient alors douté de Lui et de Sa Parole.

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Langue de plomb et langue de bois

Langue de plomb et langue de bois

Langue de plomb et langue de bois

« Le mensonge est l’arme de Lucifer. »
– Roselis von Sass –

La langue de bois
La « langue de bois », à peu près « tout le monde » sait ce que c’est. C’est lorsque un orateur cherche à masquer sa véritable disposition intérieure ou sa véritable pensée par des paroles embrouillantes dépourvues de sincérité. Beaucoup d’orateurs dans ce qu’il est convenu d’appeler la « classe politique » sont coutumiers d’un tel langage dépourvu de vérité.
Le mot « bois » se rapproche ici de celui utilisé dans l’expression « jambe de bois »; dans les deux cas il s’agit nécessairement de bois mort. Car il n’est pas possible de fabriquer une jambe ou même une langue de bois avec un bois sans l’avoir auparavant sectionné, ce qui a pour inévitable effet de le tuer. Une jambe de bois {mort} peut certes aider à marcher (toutefois, en claudiquant!) une personne ayant perdu sa vraie jambe en chair et en os, mais elle ne pourra jamais réellement remplacer celle-ci, justement parce qu’elle est faite de bois mort. Sa relation avec le corps ne peut être que mécanique, mais jamais biologique ou physiologique (elle n’est parcourue ni par des artères et des veines ni par des nerfs, etc.).
Pareillement, une « langue de bois » est nécessairement une langue morte. Tout ce qu’elle peut dire porte en soi la marque de la mort, c’est nécessairement mécanique et automatique, comme la langue artificielle d’un robot, totalement dépourvue de sensibilité, de chaleur humaine et d’émotions, en un mot de vie!

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L’échange volontaire

L’échange volontaire

L’échange volontaire

Il est nécessaire de dire quelques mots sur l’échange volontaire, car il est de la plus haute importance dans les relations humaines.
Lorsque deux êtres humains, pour un motif quelconque, peu importe ce dont il s’agit, entrent en contact, l’occasion leur est aussi donnée d’entrer, simultanément, entre eux, dans une relation d’échange volontaire.
Alors il y a trois possibilités qui se ramènent à deux résultats: Soit les deux acceptent l’échange, et l’échange volontaire peut alors s’instaurer, soit les deux le refusent et il ne peut donc pas s’instaurer, soit l’un des deux l’accepte et l’autre le refuse, et il ne peut donc pas, non plus, s’instaurer, peu importe lequel des deux l’accepte ou le refuse.
Lorsqu’il s’agit d’adhérents d’un même Enseignement Spirituel, il est, à tous points de vue, tout à fait logique que la Base de l’échange acceptée des deux côtés soit l’Enseignement Spirituel lui-même.
Mais, qu’est-ce donc qui pousse un être humain à refuser l’échange volontaire?
Il y a là deux possibilités: Soit il ressent l’autre comme d’un genre trop différent du sien, soit, et c’est le plus fréquent, il craint la confrontation avec l’autre, et se dérobe.
Lorsqu’il est parlé ici de confrontation, il ne s’agit, naturellement, uniquement de confrontation spirituelle, donc objective.
Il ne s’agit pas là d’une confrontation d’egos, donc une confrontation intellectuelle, visant à vouloir-mieux-savoir et à avoir-raison.
Il s’agit de l’objective puissance du plus fort en esprit.
Cela implique donc que celui qui se dérobe se ressent comme spirituellement plus faible, mais, surtout – ce qui est bien pire -, qu’il ne veut pas grandir!

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