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Le faux chemin

Le faux chemin

Le faux chemin

Docteur Karlheinz Hütter

Depuis Hippocrate, tous les grands médecins de l’humanité ont une loi et une méthode. Leur loi était la Loi de la Nature, et leur méthode était l’Art de rechercher cette Loi de la Nature afin de la rendre utile à l’humanité souffrante. L’humanité n’aurait jamais eu besoin de connaître la maladie si elle n’avait pas dévié des Lois de la Création, et si, depuis la chute de l’être humain, elle ne s’était pas de plus en plus éloignée de Dieu. Tout événement extérieur a, partout dans la Création, son {correspondant} intérieur, c’est-à-dire une cause spirituelle.

Car si l’humanité n’avait, en effet, vécu dans la stricte observance des Lois de la Création, que par Amour du prochain, la Joie et la plus riche Bénédiction terrestre seraient devenues son lot. Le Paradis se serait alors, depuis longtemps, développé sur Terre, ainsi que, depuis le début, par Dieu, le Seigneur, cela, pour de l’humanité, a été conçu.

Mais, depuis la chute dans le péché, toutes les sombres caractéristiques ont gagné de l’espace sur Terre et ont mis un terme à l’accomplissement de l’état paradisiaque. Par la haine sont venues les guerres, par les mensonges est venue la décomposition, par les passions sont arrivées les maladies, par la déviation vis-à-vis de la Vérité et des Lois de la Création est arrivé, pour finir, tout le malheur, qui, à présent, maintenant apparemment toute l’humanité apparemment irrémédiablement enserrée. Le Courant rythmique de la Vie issu de Dieu le Père a été interrompu par cette mauvaise façon d’agir de l’humanité, de sorte que la maladie a dû en être la conséquence dans tous les domaines sur cette Terre.

Comment, maintenant, est née la maladie de l’être humain au sens véritable?

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La jouissance

La jouissance

La jouissance

Les jouissances et les plaisirs
Dans la Création l’être humain peut jouir de tout, dans le sens où la Création le lui donne. C’est, toutefois, très diversifié, dans la mesure où, dans la Création, tout a une valeur d’utilité multiple. Par exemple, un arbre peut, entre autres, servir à donner des fruits à manger, à grimper aux arbres, à y installer une cabane, à y fixer une balançoire, à fabriquer une armoire ou une étagère, à découper à un bâton, ou à se chauffer l’hiver, etc.
Il est, tout d’abord, à remarquer que, pour un esprit humain incarné dans la matière grossière sur une planète gros-matérielle comme la Terre, la jouissance concerne essentiellement l’enveloppe la plus extérieure de l’être humain incarné: son corps terrestre gros-matériel (le corps physique). C’est lui qui jouit. Uniquement au Paradis son esprit peut jouir des Beautés célestes.
Même sur Terre, il est, toutefois, aussi des jouissances d’une nature plus fine pouvant concerner le corps gros-matériel moyen (le corps astral) ou même le corps fin-matériel (enveloppe de l’âme). Jouissance et joie peuvent aller de pair, mais la joie ne doit jamais être une joie maligne (consistant généralement à se réjouir du malheur d’autrui).
La Chasteté – en tant que forme spirituelle-humaine de la Pureté – doit, cependant, présider à toutes les jouissances. Il n’est pas grand chose d’aussi affligeant que de voir un noyau spirituel humain emprisonné dans un corps gros-matériel se courber devant des désirs ou des instincts inférieurs. C’est juste immoral, impur et dégradant.
Étroitement liée à la première, une autre restriction fondamentale à cette possibilité de jouir de tout: Veiller à ce que la jouissance ne puisse jamais devenir une entrave pour la progression du noyau spirituel de l’être humain. Cela se produit, en particulier – nous y revenons ci-dessous -, lorsque la jouissance devient un penchant, autrement dit une addiction.
Une autre restriction fondamentale à la jouissance: Veiller à ce que la satisfaction d’un désir personnel n’occasionne jamais de souffrance à autrui. Tout individu qui est prêt à infliger de la souffrance à un co-être humain (le prochain) pour satisfaire un quelconque désir, à tous les coups, se provoque un karma.
Selon les Lois de la Création jamais il n’est possible d’infliger de la peine ou de la souffrance à autrui sans commettre une faute et donc sans s’occasionner un karma. Il est évidemment bien mieux de respecter le prochain uniquement par amour du prochain, mais aussi le fait de savoir que celui qui nuit à son prochain devra en  supporter les conséquences jusqu’à complète expiation et complet rachat peut ou doit aussi contribuer à lui faire suivre le juste Chemin…

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La Didachè

La Didachè

Qu’est-ce que la Didachè?

« La « Didachè » ou « Didakè » [Prononcer «didakè»] (traduit en français par: « Enseignement des douze Apôtres ou Doctrine des Apôtres ») est un Document du Christianisme primitif, écrit quelque part entre le milieu et la fin du Ier siècle (50-90 après Jésus-Christ), ce qui en fait l’un des plus anciens témoignages écrits. Le manuscrit retrouvé est intitulé: «Doctrine du Seigneur transmise aux Nations par les douze Apôtres».
Le mot grec ancien «Διδαχή» [« Didachè »] signifie «enseignement» ou «doctrine» en grec de la « koinè » (langue grecque courante de l’époque). Paradoxalement, les douze Apôtres ne sont jamais mentionnés dans le texte lui-même. » (Source.)
« Les Pères de l’Église (Irénée de Lyon, Clément d’Alexandrie, Origène) y font référence, ainsi qu’Eusèbe de Césarée. » (Source.)
« Après avoir disparu pendant des siècles, le texte a été retrouvé vers 1873 (ou 1875) par le métropolite Philothée Bryennios de Nicomédie, dans un manuscrit grec conservé depuis dans la bibliothèque du Patriarcat grec de Jérusalem contenant par ailleurs le texte complet de l’Épître de Barnabé et deux épîtres de Clément d’Alexandrie. Le manuscrit a été copié à Jérusalem en 1056, par «Léon, scribe et pécheur». » (Source.)
Et voici (en mauve) le texte de la « Didachè », en traduction française… (Nos commentaires sont en bleu.)

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Le Dimanche 7ème Jour de la Semaine

Le Dimanche 7ème Jour de la Semaine

Le Dimanche 7ème Jour de la Semaine

Que signifie, aujourd’hui, ce jour particulier?
Pour beaucoup ce peut-être une large plage de loisirs dans laquelle figure le sport.
Pour d’autres, ce sont des divertissements de toute sorte, y sont inclus la fréquentation des spectacles, ainsi que toutes autres activités permettant à l’être humain de se détendre et de se déconnecter d’une semaine particulièrement difficile, pour certains. Mais qui saurait les blâmer?
Pour d’autres, ce septième jour, parallèlement au repos qu’il apporte, leur donne l’occasion de se recentrer sur la valeur spirituelle de l’existence, notamment par la participation à un recueillement, de quelque nature qu’il soit, afin de manifester, par la prière, la reconnaissance qu’il vouent à leur Créateur, ce qui ne peut que les aider à réfléchir sur la valeur des expériences qu’ils ont vécues, tout au long de la semaine.
Par périodes de 7 jours il est encore possible de se remémorer plus facilement les vécus de la semaine écoulée.
Mais ce qu’il y a de plus important pour chaque être humain n’est-il pas d’essayer de comprendre le sens de ce qu’il a pu vivre pendant cette période et d’en tirer les conséquences, qu’elles soient bonne ou mauvaises?
Cette gymnastique spirituelle hebdomadaire ne peut que contribuer à nous faire progresser spirituellement, dès l’instant que nous sommes sincères envers nous-mêmes.
Bien entendu, cela suppose, pour d’authentiques croyants, que les expériences vécues ne procèdent absolument pas du hasard, mais nous sont amenées pour notre maturation personnelle.

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« J’ai des sentiments pour toi »

« J’ai des sentiments pour toi »

« J’ai des sentiments pour toi »

« J’ai des sentiments pour toi. » L’on voit ou l’on entend cela très souvent dans les romans, les nouvelles, les films, les feuilletons, les séries, etc. C’est ainsi que celui ou celle qui parle entend faire savoir à sa ou son bien-aimé(e) qu’il ou elle l’aime. Mais de quelle sorte d’amour s’agit-il là?

A quoi sert le sentiment?

Le sentiment permet notamment d’assurer la continuité des relations sur le plan terrestre. Il sert aussi à correctement percevoir les situations d’un point de vue terrestre. Sur Terre on en donc a aussi besoin; il a donc son utilité. Mais il ne remplacera jamais l’Intuition. Elle seule est vitale.

Le sentiment n’est pas éternel

Aussi intense puisse-t-il être, le sentiment n’est pas éternel. Il n’existe que sur Terre dans la matière grossière. C’est ce qu’illustre certains proverbes comme « Loin des yeux, loin du cœur », ou « Une de perdue, dix retrouvées! ». Lorsqu’une âme quitte la Terre, le sentiment cesse d’exister pour elle. La raison pour cela est que – comme son nom l’indique – le sentiment est un senti-mental.

Mental, intellect, pensées et sentiments

Qui dit mental dit intellect, lequel produit les pensées. C’est donc un tort d’opposer l’intellect et le sentiment, car, en réalité, l’intellect joue un grand rôle dans la formation du sentiment. La base du sentiment est l’instinct – qui vient du corps – et qui, sous la direction de l’intellect, devient le sentiment.

Sentiment et intuition

De nombreux êtres humains confondent le sentiment et l’Intuition, aussi appelée conscience spirituelle ou voix intérieure. Ils estiment qu’il n’y a rien de mieux que l’intellect, lequel est pourtant la base du sentiment. Mais l’un comme l’autre sont étroitement liés à l’espace et au temps terrestres. Ils ne sont pas de nature contradictoire mais complémentaire.

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Les 613 Commandements

Les 613 Commandements

Les 613 Commandements

Combien de Commandements?
Tout le monde connaît les célèbres 10 Commandements. Et un bon un bon Chrétien s’efforce de les respecter tous. De même qu’un bon Juif!
L’on sait aussi qu’il n’y a que cinq Commandements donnés à Hjalfdar dans le livre « Ephésus », six Lois données par Miang-Fong, et sept Commandements donnés aux Incas dans le Récit « L’Empire des Incas ».
Il y a aussi « Les 53 nouveaux Commandements », reçus par Abd-el-Nur.
Alors, combien y a-t-il de Commandements?
Tous les Commandements de Dieu sont indispensables:
Même si un être humain accomplit fidèlement neuf Commandements et n’en observe pas ne serait-ce qu’un seul, il est quand même, en définitive, perdu!
Il faut donc déjà en observer dix sur dix!
Mais qui connaît les 613 Commandements? (Autant que de pépins dans une grenade!) (Enfin, en principe!)
Et qui s’efforce de les respecter?
Et qui même seulement connaît leur existence?
Les 613 Commandements
Il est vrai que, en supposant qu’on les comprenne, une partie des 613 Commandements est ou sont difficilement (voire même impossiblement) applicables de nos jours, en particulier pour les non Juifs… Alors est-il possible d’effectuer un tri afin de reconnaître ceux qui, intemporels et non liés à  une confession précise, sont toujours en vigueur aujourd’hui?
L’on peut au moins essayer de les répartir entre les Commandements intemporels toujours en vigueur et donc applicables par tous (non-Juifs comme Juifs), ceux qui restent applicables par les Juifs, ceux impossibles à  appliquer de nos jours (même parmi les Juifs), et ceux dont le sens est, de nos jours, difficilement compréhensible, en particulier par des non-Juifs…:
Combien de pépins y a-t-il dans une grenade?

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Famille et Foyer

Famille et Foyer

Famille et Foyer

La Famille, lieu d’accueil pour les esprits de l’Au-delà
La famille est le lieu normal et naturel pour l’accueil sur Terre d’une ou plusieurs âmes en provenance de l’Au-delà.
Si un couple, composé d’un homme et d’une femme spirituellement libres, s’unit corporellement, cela implique que cet acte puisse éventuellement aboutir à une procréation. Cela n’est pas certain mais c’est possible et – si les conditions pour cela exigibles sont toutes réunies – c’est même probable.
Cela signifie qu’en ce cas les deux parents (s’ils ont déjà un ou plusieurs enfants) ou – pour le moins – parents potentiels sont prêts à accueillir comme hôte-durable (21 ans, selon les Lois), au sein de leur famille, un (ou même plusieurs en cas de jumeaux, triplés, quadruplés, quintuplés, etc.) esprit humain étranger, dans le but de lui – ou de leur – offrir une occasion de, sur Terre, se racheter et de mûrir.
Si le couple – donc l’homme et la femme – ne sont pas prêts pour cela, alors ils ne doivent pas fournir l’occasion d’une procréation. Dans la notion d’être prêts il y a, d’abord, le fait d’être spirituellement prêt. Naturellement, il faut aussi qu’ils soient terrestrement prêts. Donc, les conditions doivent être réunies, à tous points de vue.
La famille, le royaume de la femme
La famille est le royaume de la femme. Dans son foyer et dans sa famille, la devient, tout naturellement, la reine de la maison, grâce à ses Facultés. Ce foyer n’est pas obligatoirement le sien, parce qu’une vraie femme possède la capacité de transformer tout lieu en Foyer. La caractéristique fondamentale d’une femme authentique c’est que, partout où elle se trouve, elle entretient la vie.
Foyer et famille
Si le foyer et la famille sont le royaume de la femme, l’on pourrait penser que, pour accomplir le but de sa vie, une femme doit se marier et fonder un foyer avec un homme en tant que son époux. Ce n’est pourtant pas le cas. Même sans famille un Foyer peut exister. Même chez une femme célibataire il peut aussi y avoir un Foyer.
Même si elle est sacrée, la maternité n’est pas la Tâche première de la féminité. La maternité n’est qu’une tâche secondaire de la féminité, et pas pour toutes les femmes mais seulement pour certaines. Même si toutes les femmes ont – en tant que Gardiennes de la Flamme de l’Aspiration vers les Hauteurs de Lumière – le devoir de transformer leur cadre de vie en Foyer, la famille n’est pas le but premier de la vie d’une femme.
Certes, le lieu idéal pour la famille c’est le Foyer. Mais le rôle premier de la femme c’est le Foyer, lequel ne se réduit pas à la famille. Le Foyer se tient donc plus haut que la famille. Le Foyer c’est l’âtre ou brûle la Flamme qui vient de la Lumière. Le rôle premier de la femme – qu’elle soit ou non mère de famille – c’est d’entretenir la Flamme.

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Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Dans son livre « Le Grand Virage », Jean Choisel écrit:
« Nous ne voudrions donner qu’un seul exemple des conséquences de la disparition progressive de l’«Idée directrice» du Christianisme, qui «informa» les peuples dits chrétiens. On sait que le premier Commandement du Décalogue dit: «Je suis le Seigneur, Ton Dieu! Tu n’auras pas d’autres dieux devant Ma Face!». Ce bref Commandement est donc une condamnation formelle de toute idolâtrie.

Parce qu’ils n’adorent plus depuis longtemps d’idoles taillées dans la pierre ou le bois, la plupart des Chrétiens croient y obéir! Et pourtant…! Dans un chapitre de son très beau livre déjà cité, qui contient un nombre impressionnant de vérités premières, Claude Tresmontant écrit:
«L’idolâtrie est un processus, intellectuel, mental, ou affectif, qui consiste à attribuer à quelque chose de relatif une valeur d’absolu.»
«Pour comprendre, ou réaliser, ce que c’est que l’idolâtrie, et en quoi a pu consister le syncrétisme religieux que les prophètes d’Israël ont combattu, prenons un exemple contemporain. Prenons l’exemple du nationalisme intégral, tel qu’il a fleuri en France et en Allemagne au XIXème et au XXème siècles. C’est une doctrine selon laquelle la Nation, la Patrie, est la valeur absolue. À vrai dire, elle est l’absolu, le critère absolu, car aucun critère, aucune valeur ne lui est supérieure. La Vérité? La Justice? Ce ne sont que des abstractions à côté de cette valeur qu’est la Patrie, la Nation. (…) Ce qui compte, et cela seul compte, c’est l’intérêt supérieur de la Nation, et donc de l’Armée.»

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