Ecole de l'art de vivre

Moralité et comportement

Abonnez-vous à notre infolettre

Fil Telegram

Réseaux Sociaux

Articles récents

  1. Je trouve cette histoire intéressante, ainsi que la morale. Reste juste à réussir à l'appliquer.

  2. Le Paradis Nos mots terrestres sont trop faibles pour exprimer la magnificence qui y règne et qui est l'objet de…

  3. "Je T'appartiens" Lorsque l'être humain prononce ces paroles - comme le souligne ce texte - l'authentique appartenance à Dieu ne…

  4. "Le Paradis" Nous entendons parfois, lors d'un conflit entre deux êtres humains, l'expression populaire "Tu ne l'emporteras pas au Paradis",…

  5. "Trouver le Bonheur" Voila une ingénieuse expérience vécue - citée plus haut -, "qui ne manque pas d'air". Mais quand…

Une seule chair

Une seule chair

Une seule chair

C’est notamment dans  de l’Évangile de Marc, au chapitre X (versets 1-12), que se trouve l’épisode où Jésus parle de l’homme et de la femme devenant une seule chair:

« Partant de là, Jésus arriva dans le Territoire de la Judée, au-delà du Jourdain. De nouveau, des foules s’assemblèrent auprès de Lui, et de nouveau, comme d’habitude, Il les enseignait.
Des pharisiens L’abordèrent et, pour Le mettre à l’épreuve, ils Lui demandèrent: «Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme?».
Jésus leur répondit: «Que vous a prescrit Moïse?».
Ils Lui dirent: «Moïse a permis de renvoyer sa femme, à condition d’établir un acte de répudiation.».
Jésus répliqua:
«C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette Règle.»
Commentaire
Le « pour vous » est interpellant. En effet, Moïse a établi ses prescriptions environ 1500 ans avant la Venue de Jésus, et donc, environ 1500 ans plus tard, Jésus explique: «C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette règle.». Cela pose la question: Comment Moïse pouvait-il, à son époque, savoir que, 1500 ans plus tard, il y aurait, sur la Terre d’Israël, des êtres humains avec une dureté de cœur caractérisée?
Cela ne peut pas s’expliquer, sauf si c’étaient les mêmes que Moïse avait, devant lui, environ 1500 ans plus tôt. De cette manière – sans avoir besoin de le dire formellement -, Jésus confirme la réalité de la réincarnation.

lire plus
Manger ou être mangé

Manger ou être mangé

Manger ou être mangé

L’être humain a-t-il le droit de tuer des animaux pour les manger? Le sujet a déjà été examiné (page privée). Les animaux sont-ils des choses ou bien des êtres vivants avec une âme? A ce sujet nous avons examiné l’opinion du très cartésien René Descartes. Ce que nous voulons maintenant ici approfondir c’est le combat pour la vie dans la Nature.
Seule la vie entretient la vie. Un règne se donne pour la survie du règne supérieur (par exemple, le règne végétal pour la survie du règne animal). Outre que de nombreux petits animaux se donnent pour la survie de plus gros, le règne animal aussi se donne pour la survie du règne humain. Il n’est pas possible aux êtres vivants de manger du plastique pour survivre.
Si tous les animaux étaient végétariens, la question du bien-fondé du combat dans la Nature ne se poserait pas. Selon une Prophétie de l’Ancien Testament, un jour le lion broutera paisiblement à côté de l’agneau…:
« Le loup et l’agneau paîtront ensemble, le lion, comme le bœuf, mangera de la paille, et le serpent aura la poussière pour nourriture. Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute Ma Montagne Sainte. », dit l’Éternel (Isaïe LXV, 25).

lire plus
Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes, vues de plus haut

Du fait du constant accroissement du matérialisme, le « don d’organes » est « à la mode ». C’est ainsi que l’on voit de plus en plus (en général sans consultation de la population) fleurir, ici ou là, des communes auto-proclamées « ambassadrices du don d’organes ».
S’il y avait plus de conscience de ce que, en termes de douloureux préjudices, cela signifie vraiment pour les âmes des personnes dont les corps encore vivants (sinon, pourquoi les anesthésier?) sont ainsi « prélevés » et, en termes de karma, pour ceux qui transgressent ainsi les Lois de la Création, il y aurait probablement moins d’exaltation à encourager d’aussi préjudiciables pratiques.

A ce sujet, déjà dans les années 1990, dans son ouvrage « Die Welt wie sie sein könnte » [« Le monde comme il pourrait être »], l’auteur allemand Herbert Vollmann écrivait:

« C’est uniquement sous cette optique que doivent être envisagées les transplantations d’organes qui se pratiquent de plus en plus fréquemment. Si on prélève ces organes sur le corps d’êtres qui viennent de trépasser pour les greffer sur des êtres vivants, on porte incontestablement atteinte à l’intégrité personnelle de l’être humain, qui se trouve ainsi livré sans défense aux médecins puisqu’il ne lui est plus possible de se faire entendre.
Le respect dû au prochain — et ceci comprend également le corps gros-matériel — ainsi que le Commandement qui interdit de lui porter des préjudices de cet ordre ne valent pas seulement pour la période d’existence que représente la vie terrestre; ils s’appliquent également au-delà de la mort.
A quoi peut bien servir un « consentement » donné dans l’ignorance des conditions de l’au-delà! La réalité du monde de matière fine, dont l’on a donné ici [NDLR: Dans le livre « Die Welt wie sie sein könnte »] un court aperçu, éclairera bien vite et douloureusement l’âme du défunt.
C’est pourquoi il faut que cessent de telles expériences pratiquées sur des êtres humains pour la simple raison qu’aucun être humain, y compris le chirurgien, ne peut répondre des conséquences qu’aura son intervention dans l’au-delà: en effet, ne les connaissant pas, il ne peut par conséquent les évaluer.
De plus, la nature elle-même met le plus souvent une limite à cela grâce à la diversité et à l’incompatibilité des groupes de tissus différents, même lorsque l’on tente de briser ces barrières naturelles.
Les interventions pratiquées sur les corps gros-matériels d’êtres humains décédés, y compris les dissections et la crémation, ne devraient, de façon générale, sous nos latitudes, jamais être tentées au cours des trois jours bien connus qui suivent le décès.
L’on admet, en effet, que, passés ces trois jours, l’âme s’est, dans les cas normaux, libérée du corps. Ceci exclurait alors, au premier chef, le prélèvement de tout organe en vue d’une greffe, puisque, pour que l’opération soit médicalement possible, le prélèvement doit se faire immédiatement après la mort clinique.

lire plus
L’enfance

L’enfance

L’enfance

« Laissez venir à moi les petits enfants! »
– Jésus-Christ –

« Le génie n’est que l’enfance retrouvée à volonté. »
– Charles Baudelaire –

Amour, famille, foyer, fécondité, féminité, maternité, enfants…
Nous avons déjà parlé de la vie amoureuse des aspirants à la Lumière, de la famille et du foyer, de la fécondité, de la féminité, de la maternité. Nous avons aussi examiné la conception de l’enfant selon le poète Alphonse de Lamartine. Il est sans doute temps que nous parlions maintenant de l’enfance et des enfants, ainsi que de leur éducation.
Ce dont il faut d’abord être conscient c’est que – quelles que puissent être les circonstances de la naissance – l’arrivée d’un enfant – pour les parents, les éventuels frères et sœurs, et tout l’entourage de façon générale – est toujours une Bénédiction. Il n’est aucun mal qui – sous l’effet d’un bon vouloir – ne puisse se transformer en Bien!
La Justice lors des naissances
Lorsque l’on observe toutes les naissances d’enfants autour de soi ou à distance, l’on peut voir des conditions très différentes. Certains enfants naissent laids, pauvres, malades, tandis que d’autres naissent moches, dans l’opulence et avec une rayonnante santé. Or, comme le disait Fernand Raynaud: « Il vaut mieux être beau, intelligent, bien portant et riche que moche, bête, malade et sans le sou ».
Du fait de l’absence de mémoire vis-à-vis des vies antérieures – tant de la part des intéressés que de leur entourage – les enfants sont souvent considérés comme « innocents ». Bien évidemment, il n’en est rien. Ce n’est pas parce que l’on ne souvient pas intellectuellement (et pour cause: le cerveau n’est plus le même!) des offenses envers Dieu ou du mal que l’on a causé à autrui que ces mauvaises actions n’ont pas existé ou sont déjà expiées.
Naturellement, si la Justice Divine existe – ce qui, même si « Les Meules de Dieu moulinent lentement mais sûrement », bien évidemment, est le cas -, une telle inégalité apparente dans les conditions de naissance ne peut s’expliquer que par le karma et la réincarnation. Tout ce qui arrive a une raison d’être. Tout est Amour et Justice. Tout est Grâce.
L’enfant: un étranger
Il a beau « être de la famille », l’enfant est, en fait, un étranger pour ses parents. Il s’agit, en effet, d’une âme indépendante, avec ses propres aspirations, ses propres caractéristiques et son propre destin. De même, toutefois, qu’il y a une communauté de destin entre les membres d’un même peuple, les habitants d’un même village, les passagers d’un même avion, d’un même navire ou d’un même autobus, il y a aussi, pour un temps donné, une assez étroite communauté de destin entre les membres d’une même famille.
Ce n’est, toutefois, que pour une incarnation terrestre donnée, soit, en moyenne, quelques décennies de temps terrestre. Une fois revenu dans l’Au-delà, les liens familiaux en tant que tels ne comptent plus pour rien. Toutefois, des liens fin-matériels peuvent continuer à exister ou à subsister entre les âmes en fonction de la notion que l’on en a conservé. Cela devient de l’Amitié.

lire plus
Le Temps de la Fin attire l’esprit vers le Commencement

Le Temps de la Fin attire l’esprit vers le Commencement

Le Temps de la Fin attire l’esprit vers le Commencement

Un fait n’est jamais évident: Chacun forge son propre destin individuel par le biais de ses choix, de ses désirs, de ses pensées, de ses actions et de ses décisions. Que chacun puisse intervenir directement à la construction de sa propre histoire personnelle ne semble pas s’imposer d’emblée chez la plupart des gens. Cela s’explique sans doute parce qu’il y faut préalablement une condition: ce “chacun” a besoin de prendre conscience de sa réelle constitution, de son véritable “JE” qui est esprit. Lui est l’être vivant, le seul appelé à devenir et rester le seul maître à bord de son vaisseau charnel sur cette Terre qui ne cesse d’exercer ses deux rotations. Dans la plupart des cas, l’intellect dicte ses exigences et ses désirs jusqu’à se targuer d’être spirituel. Mais vivre en esprit, tous les grandes figures extatiques l’ont dit ou écrit, il y faut un cœur pur et une vie saine qui seuls donnent accès à la véritable expérience du vivant. C’est par l’esprit éveillé et le partage d’expériences avec autrui que l’être humain, chaque jour, peut se rendre meilleur. Et ce court texte est l’annonce d’une quête, d’une humble recherche dans ce qui est le plus merveilleux en soi-même, et qui, parfois, peut toucher au grandiose.

Toute quête laisse entrevoir qu’une bataille intérieure se joue toujours au tréfonds de l’être. Ses effets sont rarement visibles immédiatement, mais ils possèdent le pouvoir de raccrocher l’esprit à son origine. C’est un état d’être qui agit tel un mortier de scellement à la Lumière. Certes, le juste accomplissement est encore à venir, peut être ne se manifestera-t-il pas ici sur Terre, au cours de cette vie. Cependant, pétri de bonne volonté, l’état intérieur constant est un véritable aimant – au sens magnétique et au sens de l’amour – qui attire à soi des myriades lumineuses, sortes de délicates petites étincelles qui élaborent et tissent un nouveau devenir à plus tard ici-bas ou dans l’au-delà avec un autre prochain passage sur Terre.

Peu à peu, brique après brique spirituelle, l’édifice intérieur renouvelé se dessine autour de l’esprit devenu apte à un futur résurrectionnel. Le but n’est pas encore atteint mais l’esprit est appelé à s’élever, à vibrer autrement, à rayonner les nouvelles couleurs et à former les nouveaux sons de son enveloppe animique. Lui ne le sait pas encore, tout juste perçoit-il plus de joie en lui-même, car la Lumière travaille à l’édifier dans le sens du beau. Ce nouveau vêtement est semblable à une clé qui libère et ouvre vers plus de clarté, plus de légèreté. La clé déverrouille la porte qui mène à la voie de la résurrection, vers l’atteinte, un jour, à l’immortalité dans l’éternité. Désormais son libre arbitre (NDLR: libre volonté) est ascendant, formateur des conditions de sa métamorphose que pressent l’intuition. Très loin, très haut, s’éclaire une image de la créature archétypale humble et cristalline que l’esprit doit devenir. Cette clé du changement tend son libre arbitre vers plus de progrès intérieur, il forme des pensées et des décisions conformes aux Lois de Dieu. Un libre arbitre régénéré dont le pouvoir révèle les contours de l’esprit vainqueur – de lui-même – qui, un jour, sera autorisé à franchir la porte du Royaume spirituel. La clé offre à son esprit une indépendance réalisatrice nouvelle dans le respect harmonieux de la Loi de la Vie. Elle le dirige vers le radieux sommet de l’achèvement de sa longue pérégrination. Et déjà, il n’est plus que gratitude, n’aspirant qu’à se rallier à l’étendard de la Vérité afin de s’y déployer dans sa Lumière.

lire plus
Le faux chemin

Le faux chemin

Le faux chemin

Docteur Karlheinz Hütter

Depuis Hippocrate, tous les grands médecins de l’humanité ont une loi et une méthode. Leur loi était la Loi de la Nature, et leur méthode était l’Art de rechercher cette Loi de la Nature afin de la rendre utile à l’humanité souffrante. L’humanité n’aurait jamais eu besoin de connaître la maladie si elle n’avait pas dévié des Lois de la Création, et si, depuis la chute de l’être humain, elle ne s’était pas de plus en plus éloignée de Dieu. Tout événement extérieur a, partout dans la Création, son {correspondant} intérieur, c’est-à-dire une cause spirituelle.

Car si l’humanité n’avait, en effet, vécu dans la stricte observance des Lois de la Création, que par Amour du prochain, la Joie et la plus riche Bénédiction terrestre seraient devenues son lot. Le Paradis se serait alors, depuis longtemps, développé sur Terre, ainsi que, depuis le début, par Dieu, le Seigneur, cela, pour de l’humanité, a été conçu.

Mais, depuis la chute dans le péché, toutes les sombres caractéristiques ont gagné de l’espace sur Terre et ont mis un terme à l’accomplissement de l’état paradisiaque. Par la haine sont venues les guerres, par les mensonges est venue la décomposition, par les passions sont arrivées les maladies, par la déviation vis-à-vis de la Vérité et des Lois de la Création est arrivé, pour finir, tout le malheur, qui, à présent, maintenant apparemment toute l’humanité apparemment irrémédiablement enserrée. Le Courant rythmique de la Vie issu de Dieu le Père a été interrompu par cette mauvaise façon d’agir de l’humanité, de sorte que la maladie a dû en être la conséquence dans tous les domaines sur cette Terre.

Comment, maintenant, est née la maladie de l’être humain au sens véritable?

lire plus
Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Respecter fidèlement neuf Commandements
et ne pas en observer ne serait-ce qu’un seul,
cela a pour conséquence, en définitive,
la perdition!

Concernant les Dix Commandements de Dieu, un être humain qui transgresse un seul Commandement ne peut pas aller au Paradis et donc être sauvé.
A plus d’un une telle affirmation pourra sembler terriblement dure, parce que la mentalité humaine courante se dit: « Quelqu’un qui respecte intégralement neuf Commandements de Dieu c’est déjà quelqu’un de très bien! ».
Face à cela plusieurs réflexions peuvent être partagées:
– Les Dix Commandements forment évidemment un indissociable Tout. L’on ne peut pas sérieusement concevoir un être humain réellement soucieux d’accomplir la Volonté de Dieu et qui s’imaginerait que cela suffirait de l’accomplir aux neuf dixièmes. Celui qui a vraiment à cœur d’accomplir la Volonté Divine voudra le faire en toutes choses et particulièrement là où il présente des points faibles. La Fidélité consiste uniquement à accomplir tous les Commandements de Dieu et pas seulement certains.
– Par exemple, la transgression du Deuxième Commandement – indissociable du Premier Commandement – est peut-être la transgression la plus fréquente, tellement elle est, aujourd’hui, banalisée (on la voit, par exemple, complètement généralisée à tous propos dans les films, les séries, les feuilletons, etc.). C’est, pourtant, à l’évidence, manifestement une offense contre Dieu Lui-même, voire un blasphème! Car le Nom de Dieu est Saint, comme Lui-même! C’est probablement le deuxième Commandement non seulement dans l’ordre des Commandements mais aussi – juste après le Premier – en importance, de sorte que son respect est indispensable!

lire plus
La jouissance

La jouissance

La jouissance

Les jouissances et les plaisirs
Dans la Création l’être humain peut jouir de tout, dans le sens où la Création le lui donne. C’est, toutefois, très diversifié, dans la mesure où, dans la Création, tout a une valeur d’utilité multiple. Par exemple, un arbre peut, entre autres, servir à donner des fruits à manger, à grimper aux arbres, à y installer une cabane, à y fixer une balançoire, à fabriquer une armoire ou une étagère, à découper à un bâton, ou à se chauffer l’hiver, etc.
Il est, tout d’abord, à remarquer que, pour un esprit humain incarné dans la matière grossière sur une planète gros-matérielle comme la Terre, la jouissance concerne essentiellement l’enveloppe la plus extérieure de l’être humain incarné: son corps terrestre gros-matériel (le corps physique). C’est lui qui jouit. Uniquement au Paradis son esprit peut jouir des Beautés célestes.
Même sur Terre, il est, toutefois, aussi des jouissances d’une nature plus fine pouvant concerner le corps gros-matériel moyen (le corps astral) ou même le corps fin-matériel (enveloppe de l’âme). Jouissance et joie peuvent aller de pair, mais la joie ne doit jamais être une joie maligne (consistant généralement à se réjouir du malheur d’autrui).
La Chasteté – en tant que forme spirituelle-humaine de la Pureté – doit, cependant, présider à toutes les jouissances. Il n’est pas grand chose d’aussi affligeant que de voir un noyau spirituel humain emprisonné dans un corps gros-matériel se courber devant des désirs ou des instincts inférieurs. C’est juste immoral, impur et dégradant.
Étroitement liée à la première, une autre restriction fondamentale à cette possibilité de jouir de tout: Veiller à ce que la jouissance ne puisse jamais devenir une entrave pour la progression du noyau spirituel de l’être humain. Cela se produit, en particulier – nous y revenons ci-dessous -, lorsque la jouissance devient un penchant, autrement dit une addiction.
Une autre restriction fondamentale à la jouissance: Veiller à ce que la satisfaction d’un désir personnel n’occasionne jamais de souffrance à autrui. Tout individu qui est prêt à infliger de la souffrance à un co-être humain (le prochain) pour satisfaire un quelconque désir, à tous les coups, se provoque un karma.
Selon les Lois de la Création jamais il n’est possible d’infliger de la peine ou de la souffrance à autrui sans commettre une faute et donc sans s’occasionner un karma. Il est évidemment bien mieux de respecter le prochain uniquement par amour du prochain, mais aussi le fait de savoir que celui qui nuit à son prochain devra en  supporter les conséquences jusqu’à complète expiation et complet rachat peut ou doit aussi contribuer à lui faire suivre le juste Chemin…

lire plus
Dieu prend soin de nous!

Dieu prend soin de nous!

Dieu prend soin de nous!

C’est une Promesse de Jésus, dans la Bible: 
« C’est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement? Regardez les oiseaux du ciel: ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée de plus à la durée de sa vie?…
Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement? Considérez comment croissent les lis des champs: ils ne travaillent ni ne filent;… cependant je vous le dis: Même Salomon, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs, qui existe aujourd’hui et qui demain sera jetée au four, ne vous vêtira-t-Il pas à plus forte raison, gens de peu de Foi?…
Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas: Que mangerons-nous? Que boirons-nous? De quoi serons-nous vêtus?…
Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait ce dont vous avez besoin avant même que vous ne le Lui demandiez… Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et Sa Justice, et tout le reste vous sera donné par surcroît. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. » (Matthieu VI, 25-34).
Tous les Chrétiens ou presque connaissent ce célèbre passage des Évangiles, mais combien le mettent en pratique concrètement, journellement, dans la vie quotidienne?
Cela veut naturellement dire que, pour obtenir  d’abord la première condition doit être remplie. Il nous faut d’abord chercher le Royaume de Dieu et Sa Justice. Ensuite, tout le reste nous est donné!

lire plus