Le Suaire de Turin,
dit Le Saint Suaire
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Une Image de Jésus
Bien sûr, nous ne possédons aucune photographie de Jésus. Alors, quelle Apparence terrestre avait-Il? Se pourrait-il que, par delà Sa mort, le linceul ayant servi à envelopper Son corps terrestre mort nous fournisse la plus fidèle Image de Jésus que nous puissions contempler?
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Histoire du Suaire
Le Suaire de Turin – ou Linceul de Turin – a, à de multiples reprises et de façon vraiment extraordinaire, échappé à la destruction. Les coïncidences sont troublantes. Découvert au Matin de Pâques à plat, gisant sur la banquette de pierre du sépulcre, par Simon-Pierre et Jean l’Évangéliste, comme si le corps de Jésus avait disparu de l’intérieur, il fut d’abord conservé à Jérusalem par les Disciples, puis emporté, probablement à Pella ou à Antioche, au début de la guerre des Juifs, vers l’an 66, lorsque les premiers Chrétiens, avertis par une Prophétie, quittèrent la Ville Sainte. Le Linceul et les autres reliques de la Passion échappèrent ainsi à la destruction par les armées de Titus en 70. Malheureusement, l’on ignore ce qu’ils devinrent ensuite durant plusieurs siècles.
L’Image du Crucifié sur le Suaire de Turin est-elle bien celle de Jésus?
Concrètement, le Suaire de Turin, dit « Le Saint Suaire », est un drap de lin jauni de 4,42 mètres de long sur 1,13 mètre de large montrant l’image floue (de face et de dos) d’un homme présentant des traces de blessures résultant à l’évidence d’une crucifixion. Le crucifié du Suaire abrité dans la Cathédrale Saint Jean Baptiste de Turin est-Il Jésus de Nazareth? Même si, selon la « science », cela ne serait pas le cas (la datation au carbone 14 aurait dit que non), la conviction intime de nombreux croyants est qu’il s’agit bien du Suaire ayant, après sa descente de la croix effectuée par Joseph d’Arimathie et Nicodème, enveloppé le corps crucifié de Jésus.
L’explication pour laquelle – même si, à travers la datation au carbone 14, la « science » humaine intellectuelle dit non – de nombreux croyants continuent à être convaincus que le Suaire de Turin était bien celui de Jésus, c’est que la forte irradiation à laquelle le Suaire aurait été soumis du fait de son étroit contact avec un corps dont l’Habitant était d’Origine Divine aurait complètement bouleversé le référentiel habituel du carbone 14. De ce point de vue, ce qui aurait été valable pour un être humain ordinaire ne l’était plus pour un Être d’Origine Divine.
Naturellement, une telle observation ne suffira pas à convaincre les matérialistes, mais cela n’a, en réalité, aucune importance, parce que la Conviction ne peut jamais provenir d’une démonstration intellectuelle mais seulement d’une expérience vécue par l’esprit.
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La Cathédrale Saint Jean Baptiste de Turin
Dans la Cathédrale se trouvent des espaces présentant des objets relatifs au Saint Suaire ainsi qu’une vidéo concernant le Suaire. La Cathédrale est ouverte aux visites, quelques heures par jour, en plus des heures consacrées aux messes. Dans la chapelle du Saint Suaire, depuis l’incendie ayant failli provoquer la destruction du Suaire, la châsse de verre contenant le Suaire est désormais recouverte d’un drap en tissu spécial résistant au feu, ce qui fait que le Saint Suaire n’est plus visible que lors des « ostensions » (tous les cinquante ans!). A Turin existe aussi le Musée du Saint Suaire ou une copie du Suaire grandeur nature est visible en permanence.
Autres Images de Jésus – Les Images acheiropoïetes
Une image acheiropoïète (du grec: αχειροποίητα), en latin: « non hominis manu picta », littéralement: « non fait de main d’homme ») est une image qui n’a pas été réalisée par un être humain et dont l’origine demeure scientifiquement inexpliquée. Elle serait, selon les croyants, d’origine miraculeuse. Il s’agit, le plus souvent, d’Images de Jésus ou de la Reine Originelle, la plus connue étant le Saint Suaire de Turin.
En France existe, dans la Cathédrale de Laon, l’Image du Mandylion. Une autre Image de Jésus produite de façon miraculeuse est – en fonction de la Loi de l’Effet de Réciprocité – l’Image reçue par Véronique lorsque, pendant la montée au calvaire, sur la « Via Dolorosa », elle essuya le Visage de Jésus recouvert de sang (du fait du couronnement d’épines) et de sueur (du fait de la chaleur et de l’effort dû au portement de croix).
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