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  2. La soumission à la vie est la seule attitude qui insère l'être humain dans ce courant d'amour qui inonde l'univers…

  3. "L'effacement du moi" Excellent texte, qui invite à réfléchir! Qui a développé la capacité de s'effacer quand c'est nécessaire, démontre…

  4. Le texte exprime ce que les chercheurs de la vérité ressentent en intuition. Merci.

Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

La présence d’un esprit humain sur la Terre en notre époque, toujours plus agitée et incertaine, comporte certains risques. Mais, à chaque fois qu’une catastrophe s’abat sur un ou plusieurs êtres humains, l’on entend divers propos qui témoignent que la fatalité s’est abattue sur des victimes « innocentes ». Les maladies elles-mêmes – même les maladies génétiques – sont considérées par presque tous les media comme dues au hasard.
Dans les divers Enseignements Spirituels l’on trouve des passages qui donnent l’impression que l’injustice est impossible et d’autres qui donnent l’impression qu’elle ne l’est pas. Tous les propos des différents Enseignements se « nuancent » ainsi eux-mêmes.
Dans la Bible, par exemple sur quantité de questions, l’on peut facilement trouver des Paroles qui semblent justifier un point de vue, tandis qu’un autre trouvera d’autres Paroles semblant justifier le point de vue inverse.
Ceci nous montre que la Vérité n’est jamais incluse en une seule formulation, même dans la Bible ou d’autres Enseignements Spirituels, et que l’on peut aussi y trouver des « contradictions » apparentes qui, en fait, n’en sont pas! Ainsi, du reste, que dans les œuvres de nombreux autres auteurs secondaires.
En cette fin de cycle la destruction à attendre risque de toucher aussi au passage ceux qui ne sont pour autant pas foncièrement mauvais. Mais cela n’est pas injuste pour autant, car ceux qui sont aussi secondairement touchés ont quand même de rares genres semblables avec les êtres humains pouvant être considérés comme les auteurs de la débâcle.

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L’Amour est-il une Religion?

L’Amour est-il une Religion?

L’Amour est-il une Religion?

« Tout être humain qui n’est pas, avec celui, celle, ou ceux qui l’entourent ou l’approchent, sévère si cela lui est nécessaire, juste, désintéressé et respectueux, n’aime pas. Il « croit » ou il dit aimer.

Aimer c’est respecter tout ce qui vit: les êtres humains, les animaux et la Nature.

Aimer c’est donner ce qui est utile, bénéfique au prochain, c’est l’aider, le servir si cela est nécessaire, et ne vouloir que son bien; c’est favoriser, et, au besoin, provoquer sa progression morale constante et son évolution spiirutlle, dans l’oubli de soi, dans un total désintéressement.

« Aimer » c’est penser, parler et agir pour stimuler, donner joie et bonheur, avec le souci d’être chaleureux, même dans la sévérité, mais c’est aussi respecter le libre vouloir de son prochain.

Aimer c’est accomplir son travail consciencieusement et avec joie. Mais il y a tant de façons d’aimer! …. »

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Dialogue – Par Léon Denis

Dialogue – Par Léon Denis

Dialogue

Léon Denis

L’homme:
– Le ciel est noir sur ma tête, le sentier tortueux que je parcours côtoie des abîmes, je marche dans le brouillard vers un but inconnu. Qui donc guidera mes pas? Qui donc éclairera mon chemin? J’ai épuisé la coupe des plaisirs matériels, et, au fond, je n’ai trouvé qu’amertume. Honneur, fortune, renom, tout s’est évanoui en fumée! Et maintenant ma barbe a blanchi, mon front s’est dénudé, ma vue s’est presque éteinte, je sens que je me rapproche de l’issue fatale. Que sera-t-elle ? La nuit profonde, le silence éternel, ou bien sera-ce une aurore?

L’Esprit:
– Au-dessus de la Terre élève Tes pensées. Ce globe n’est qu’un marche-pied pour monter plus haut. Médite et prie! La Prière ardente est une Flamme, une radiation de l’âme qui dissipe les brumes, éclaire le Chemin, montre le But. Médite et prie, et, si Tu sais prier Tu obtiendras la vision, la compréhension de la Beauté du Monde, de la Splendeur de l’Univers, Tu verras la Voie immense d’Ascension, qui conduit les âmes, d’étapes en étapes vers la Sagesse, la Paix sereine, la Lumière Divine et Tu remercieras Dieu!
Tout ce qui est matériel est précaire et changeant. Les choses de l’esprit seules sont durables. Pendant le temps qui Te reste à vivre ici-bas, tâche, par la pensée et la volonté, de Te libérer du joug de la chair. Cela rendra plus rapide le dégagement de Ton âme à la mort, plus facile son entrée dans le monde fluidique [NDLR: Monde fin-matériel], dans les grands courants d’ondes qui parcourent l’espace et la porteront vers les Sphères supérieures où Tu goûteras, selon les mérites acquis, des Harmonies divines jusqu’à l’heure de la réincarnation, l’heure du retour sur la Terre, pour y reprendre l’œuvre d’évolution et de perfectionnement que Tu sembles avoir bien négligée au cours de Ta vie présente.

L’homme:
– Tu m’ouvres des perspectives qui m’éblouissent et me donnent le vertige. Reprendre la tâche après cette vie agitée, tourmentée, lourde de tant de soucis! Renaître pour lutter encore! Je préférerais le néant, le repos de la tombe et l’oubli.

L’Esprit:
– Le néant n’est qu’un mot vide de sens. Rien de ce qui est ne peut cesser d’être. Le principe de
vie qui nous anime est un dynamisme puissant qui change simplement de milieu dans le phénomène que vous appelez la mort. Ma présence ici en est la preuve démonstrative. Étudie l’Œuvre de Dieu en Toi, en Ton âme, Tu y reconnaîtras les germes de merveilleuses richesses destinées à se développer et à s’accroître, de vies en vies, par Ton travail, par Tes efforts, jusqu’à ce que Tu sois parvenu à la plénitude de l’être dans la perfection morale, dans la possession du génie et de l’Amour.

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Franchezzo – Un voyageur au pays des esprits

Franchezzo – Un voyageur au pays des esprits

Franchezzo – Un voyageur au pays des esprits

Les jours de l’obscurité

« Je suis allé en pèlerinage dans un lointain pays, à travers des régions qui, chez vous, sur Terre, n’ont ni nom, ni espace. Je désire maintenant mettre par écrit les étapes de mes voyages, afin que ceux qui ont pris la même direction de marche que moi puissent savoir ce qui les attend à l’intérieur de ces frontières.
Dans mon existence terrestre, je vivais comme tous ceux qui ne font que s’épuiser à se procurer au plus haut degré les jouissances du monde. Si je n’étais pas désobligeant envers ceux que j’aimais, cela se passait cependant, toujours, avec le sentiment qu’ils devaient être utiles à me satisfaire et que, par mes cadeaux et mon penchant pour eux, je pouvais leur acheter l’amour et les hommages qui m’étaient nécessaires dans ma vie.
Tant sur le plan physique qu’intellectuel, j’étais très doué. En mon âme, l’idée d’un don de soi-même capable de se perdre complètement dans l’amour pour les autres ne m’était jamais venue. Parmi toutes les femmes que j’ai aimées, d’un sentiment qualifié trop souvent à tort d’amour par les hommes de la Terre, alors qu’il n’est tout simplement que passion, il ne s’en trouva aucune pour me faire éprouver ce qu’est le véritable amour, l’idéal vers lequel j’aspirais secrètement. En chacune, je trouvais toujours quelque chose pour me décevoir. Elles m’aimaient ainsi que je les aimais. La passion que je leur vouais ne me gagnait qu’un sentiment conforme de leur part. Ainsi vivais-je là-bas, insatisfait d’un désir que j’ignorais moi-même.
Je fis beaucoup de fautes et commis beaucoup d’erreurs. Le monde se tenait toutefois à mes pieds pour me louer, me trouver bon, noble et doué. Je fus fêté, courtisé, et le chéri gâté de toutes ces dames de la société. Pour obtenir, je n’avais qu’à désirer, mais aussitôt que j’avais gagné, tout se transformait en amertume.
Puis vint le temps où je commis la faute la plus néfaste en ruinant deux vies. Je me sentis comme attaché par des chaînes de fer qui me serraient et me blessaient jusqu’à ce que je pus enfin les briser et me retirer, à première vue, en homme libre. Mais jamais plus je ne serais réellement libre. Car jamais, même un instant – que ce soit dans cette vie ou dans l’autre -, nos fautes et nos erreurs passées ne peuvent cesser de suivre nos traces et d’accabler nos vibrations, et cela tout le temps qu’elles n’ont pas été expiées l’une après l’autre et rayées ainsi de notre passé.
Lorsque je croyais enfin avoir tout appris de ce que l’amour peut enseigner, et tout connaître de ce qu’une femme peut donner, il advint alors que je fis la rencontre d’une dame. Ah! Comment dois-je la nommer? À mes yeux, elle était plus qu’une femme mortelle et je l’appelai « le bon ange de ma vie ».

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Intuition et intellect – Par Jean Choisel

Intuition et intellect – Par Jean Choisel

Intuition et intellect

Par Jean Choisel

«… Pour simplifier, classons les plus importantes des grandes facultés de l’être humain dans chacune de ces deux grandes catégories: les facultés spirituelles (donc intuitives) st les facultés intellectuelles (donc cogitatives).
En tête des grandes facultés intuitives il faut placer la conscience morale, autrement dit ce «sens moral» qui, lorsque nous le cultivons et ne le laissons ni péricliter ni dévoyer par de spécieuses spéculations intellectuelles, nous permet de distinguer le Vrai du faux, le Juste de I’injuste, le Bien du mal.
Il faut y ajouter le sens des responsabilités qui, également émane de I’esprit, impose à celui qui ne I’a pas étouffé en lui de mesurer les conséquences de ses pensées, de ses paroles et de ses actes; le sens de l’équité, générateur d’équilibre et de Paix; le sens de la Beauté, promoteur des arts, dont les témoignages (monuments, peinture, sculptures, etc…) ont souvent survécu à I’effondrement de très nombreuses civilisations.

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Les Moissons du Ciel – Par Joël Eudes

Les Moissons du Ciel – Par Joël Eudes

Les Moissons du Ciel

La rencontre avec Monsieur Noé

«Oh! les idées, les idées… c’est joli mais ça ne sert à rien, ce qu’il faut c’est agir et au plus vite, changer, devenir enfin des êtres responsables et conscients qui luttent entre eux-mêmes pour que naisse un esprit nouveau. Qu’est-ce que c’est l’esprit nouveau, allez-vous me dire? C’est cette beauté morale que les peuples ont oubliée depuis trop longtemps, c’est cet élan d’amour qui s’élève du cœur même de l’individu, cette petite voix qui nous dit de renoncer à l’égoïsme, à l’action vile. Il y en a des tas de petites actions méprisables que nous pourrions accomplir ignorées de tous, avec notre seule conscience pour témoin! Qu’est-ce qui fait que le plus souvent nous nous en détournons comme d’une chose trop abjecte? Qu’est-ce qui fait que quelque chose pleure en nous lorsque par malheur nous nous laissons aller à le commettre cet acte méprisable? C’est que certains hommes savent l’écouter cette petite voix qui parle en eux, ils la cultivent comme une plante qu’on soigne et qu’on regarde croître. Elle est timide, elle est frêle au début, la petite voix, mais peu à peu, elle prend de l’assurance, elle s’installe profondément en vous, plonge ses racines et pèse chacun de vos actes.»

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Incisives Questions de Vie

Incisives Questions de Vie

D’incisives Questions de Vie

Le Guide de la Vie Juste

Ou un être humain cherche la Vérité, ou il ne la cherche pas! S’il ne la cherche pas, il peut ici passer son chemin: l’École de L’Art de Vivre n’est pas faite pour lui. S’il la cherche, alors il la rencontrera sur son chemin.
Aussi longtemps qu’il n’a pas trouvé la Vérité, sans relâche, un chercheur sérieux cherche. Ce que veut l’École de L’Art de Vivre, c’est apporter les premières réponses aux brûlantes questions encore demeurées, pour les chercheurs sérieux, des énigmes dépourvues de solution.

L’École de L’Art de Vie est le lieu idéal pour aborder d’incisives questions de vie.
Par exemple:

Qui suis-je?
Que suis-je?
D’où viens-je?
Où vais-je?
La vie a-t-elle un sens?
Si oui, quel est le sens de la vie?
Dieu existe-t-Il?
Si Dieu existe, la Justice existe-t-elle?
Si oui, verrons-nous, un jour, Dieu en Face?
Y a-t-il une vie après la mort?
Y a-t-il une vie avant la mort?

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Victor Hugo et l’Intuition

Victor Hugo et l’Intuition

L’être humain peut-il reconnaître la Vérité?

Victor Hugo et l’Intuition

«La seule vraie chose précieuse est l’Intuition.»
– Albert Einstein –

«L’Intuition, comme la conscience, est faite de clarté directe;
elle vient de plus loin que l’homme ; elle va au-delà de l’homme;
elle est dans l’homme et dans le mystère;
ce qu’elle a d’indéfini finit toujours par arriver.»
– Victor Hugo –

«C’est parce que l’Intuition est surhumaine qu’il faut la croire;
c’est parce qu’elle est mystérieuse qu’il faut l’écouter,
c’est parce qu’elle semble obscure qu’elle est lumineuse.»
– Victor Hugo –

«L’on n’a rien sans peine, la Vérité moins que toute autre chose.»

«… L’Intuition est à la raison ce que la conscience est à la vertu: le guide voilé, l’éclaireur souterrain, l’avertisseur inconnu, mais renseigné, la vigie sur la cime sombre. Là où le raisonnement s’arrête, l’intuition continue. L’escarpement des conjectures ne l’intimide pas. Elle a de la certitude en elle comme l’oiseau.
L’intuition ouvre ses ailes et s’envole et plane majestueusement au-dessus de ce précipice, le possible. Elle est à l’aise dans l’insondable; elle y va et vient; elle s’y dilate; elle y vit. Son appareil respiratoire est propre à l’infini. Par moments, elle s’abat sur quelque grand sommet, s’arrête et contemple. Elle voit le dedans.

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