Ecole de l'art de vivre

Regards sur le Monde

  1. Vivre et Aimer Lucien Siffrid, par ce texte, nous nous encourage à nous reconnecter avec l'amour authentique, cet amour dont…

  2. Mais vous, êtes-vous heureux? Je vous dis ça, car je souffre beaucoup des relents de mon passé, en dépit de…

  3. "Préparez vous au changement des temps" Nous lisons dans ce texte reçu par André Fischer en date du 22/4/1988: "Dans…

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  6. Si vous avez aimé "Les arbres parlent"…, vous aimerez aussi "Les êtres entéalliques parlent", publié le 11/12/2024... Bonne découverte !

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  8. Perspectives – Par Hermann Lohr Tout ce qui peut nous conduire à la reconnaissance de la vérité existe et a,…

Sages paroles sur le Savoir

Sages paroles sur le Savoir

Sages Paroles sur le Savoir

Ce que l’on sait le mieux, c’est ce que l’on n’a jamais appris.
– Jacob –

Accepte tout ce qui T’arrive comme étant la Volonté de Dieu.
Apprends ce que Tu dois apprendre et permet aux autres
d’apprendre ce qu’ils doivent apprendre et continue à aimer.

Acquérir un Savoir est une chose;
en avoir la compréhension en est une autre.

Apprendre c’est découvrir ce que vous saviez déjà.

Faire, c’est démontrer que vous le savez.

Le Choix Fondamental est Être ou Faire.

Celui qui est n’a pas besoin de faire.

Celle qui est a encore moins besoin de faire.

Enseigner, c’est rappeler aux autres qu’ils le savent
aussi bien que vous. Vous êtes toujours en train
d’apprendre, de faire et d’enseigner.

Apprendre, c’est être attentif à la Vie qui bat.

Apprendre, c’est se retrouver.

Apprendre, c’est Savoir,
Savoir c’est Connaître,
et Connaître c’est Aimer.

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«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

Ainsi s’exprime le Petit Prince, de la façon la plus naturelle du monde, avec un parfait savoir-vivre et un total mépris de la grammaire.
D’emblée, nous sommes introduits au cœur de la question:
  «Je Te vouvoie ou vous me tutoyez?».
L’être humain qui ne connaît pas la Vérité pourrait même être surpris qu’il y ait là un problème… Et pourtant il existe:
Le «Tu» personnifie une notion toute particulière. Cette notion implique une liaison d’âme à âme: Aussi étonnant que cela puisse paraître à certains, la décomposition du corps physique (donc la mort) n’en suspend pas l’existence.
L’Enseignement de la Vérité expose le fonctionnement auto-actif des Lois avec ses inévitables et immuables conséquences. Il demande, il conseille de le sanctifier. Cela revient à ne l’utiliser qu’en des cas exceptionnels. Autrement dit, l’on peut considérer comme ayant des chances d’être naturel un comportement qui consiste à tutoyer au plus deux ou trois êtres humains choisis durant l’existence terrestre, c’est-à-dire, s’il y a lieu, outre ses enfants, son (ou sa) conjoint(e), ainsi qu’un ou deux ami(e)s.
Quelle est la condition du Tutoiement?
Le Genre Semblable! Seul le genre semblable autorise le «Tu». Mais en quoi consiste le genre semblable. Dans des convictions identiques? Non point. Ce n’est pas suffisant. Dans une même appartenance religieuse? Non plus. L’appartenance à une même religion ne constitue pas un genre semblable.
Le genre semblable réside dans le fait d’avoir développé le même genre (en allemand «Gleichart») à un degré comparable.
Il faut, en effet, distinguer deux choses:
– Les différents degrés de maturité valables aussi à l’intérieur d’un même genre, donc valables pour des genres identiques ou différents.
– Les différences de genres, toujours existantes pour un même degré de maturité. L’on peut même dire que plus les personnalités sont mûres, plus les différences sont apparentes.
Seuls les êtres de même genre et de même maturité peuvent se tutoyer, c’est-à-dire peuvent se tutoyer de sorte à ce que cela leur soit spirituellement profitable.

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Les dernières volontés d’Alexandre le Grand

Les dernières volontés d’Alexandre le Grand

Dernières volontés d’Alexandre le Grand

Sur le point de mourir, Alexandre convoqua ses généraux, et leur communiqua ses dernières volontés, ses trois ultimes exigences:

1 – Que son cercueil soit transporté à bras d’hommes par les meilleurs médecins de l’époque.

2 – Que les trésors qu’il avait acquis (argent, or, pierres précieuses…) soient dispersés tout le long du chemin jusqu’à sa tombe.

3 – Que ses mains restent à l’air libre, se balançant en dehors du cercueil à la vue de tous.

L’un de ses généraux, étonné de ces requêtes insolites, demanda à Alexandre quelles en étaient les raisons.

Alexandre lui expliqua alors ce qui suit…

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L’Inspiration – Ce qu’en disent les grands compositeurs  –  Par Alfred Grégoire

L’Inspiration – Ce qu’en disent les grands compositeurs – Par Alfred Grégoire

L’Inspiration – Ce qu’en disent les grands compositeurs

Par Alfred GRÉGOIRE

La Musique a toujours joué un grand rôle dans la vie des peuples – rôle qui avait et a toujours comme but principal de faire vibrer les cœurs et d’ouvrir les âmes. En écoutant des œuvres inspirées, nous ressentons souvent de la nostalgie, quelque chose d’inexprimable qui peut nous rendre heureux et nous faire oublier le côté matériel et éphémère de la vie de tous les jours. La Musique est capable de nous faire ressentir de la Joie et de nous enthousiasmer. Peut-être sommes-nous à ce moment-là en contact avec cette Force éternelle dont parlent les grands Compositeurs et dont sont empreints les chefs-d’œuvres inspirés de l’art. Cette grandeur d’âme que nous y découvrons ne peut nous laisser indifférents, qu’il s’agisse des chefs-d’œuvre de la Musique, de la Peinture, de l’Architecture et de la Littérature. Pour des milliers et même des millions d’hommes, l’art et surtout la Musique ont pu les aider à ressentir un souffle de grandeur, capable de nous élever au-dessus de la matière, en écoutant par exemple les passions de Bach, les œuvres de Mozart, Beethoven, Brahms, Wagner et bien d’autres, de nationalités différentes.
C’étaient des Compositeurs inspirés d’un niveau éthique très élevé. Que disait Beethoven, par exemple, entre autres? Je cite:
« Le soir, quand j’admire avec étonnement le ciel et le nombre impressionnant des astres rayonnants, mon esprit s’envole bien au-delà des étoiles, jusqu’à la Source Eternelle d’où vient tout ce qui est créé et d’où s’écoulent sans fin de nouvelles créations. Oui! Il faut que cela vienne d’En-Haut, pour être capable de toucher les cœurs. Autrement la Musique n’est que notes froides, un corps sans âme. ».
Mozart composa de la même façon. Il disait un jour: « En composant, je me sens comme dans un beau rêve ».
Haydn, avant de composer, priait et demandait la Force du Seigneur. Pour lui, composer était une sorte de culte, un rite. Il mettait son plus beau costume avant d’écrire de la Musique. Il disait:
« Je me mets en communication avec Dieu, et il faut que je sois habillé en conséquence ».

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Incas à part

Incas à part

Incas à part

La Forteresse Inca

Regardez bien cette pierre au centre de la photographie:
Pierre Inca à 12 côtés – Cuzco
Oui, vous avez bien vu: cette pierre de construction n’a pas moins de 12 angles!!! Douze angles saillants ou rentrants, aigus ou obtus, correspondant à douze côtés ou faces de contact avec les autres pierres du pourtour. Et toutes les faces sont parfaitement jointoyées… à aucun endroit l’on ne peut passer une lame de couteau entre deux pierres, pas même une simple feuille de papier…. Du grand art! Un art qui rappelle celui avec lequel a été construit la Grande Pyramide de Gizeh mais la différence est qu’il s’agit ici de pierres irrégulières et donc d’un travail encore bien plus difficile à réaliser…, car, en ne considérant qu’une rangée, les pierres extérieures de la Grande Pyramide n’ont toujours que quatre voisines… Cette pierre-là en a onze…
La technique employée est unique au monde et, du coup, extrêmement facile à identifier; c’est la façon de construire des Incas. Jamais de mortier ou de ciment, mais un contact direct entre les pierres, et une solidité incomparable. Un tel mur a résisté à plusieurs violents tremblements de terre ayant mis à bas des murs «coloniaux» réalisés, eux, avec du ciment, alors que les pierres de ce mur sans ciment n’ont même pas bougé d’un poil…
Cette pierre à douze angles/côtés est la «star» absolue de toutes les pierres taillées (ou «découpées»?) de la Terre. Au Pérou l’on en vend aux touristes des reproductions en tous genres, en … pierre, en métal, en plastique, etc… De vrais fétiches à ramener chez soi!
Quant à l’originale, elle se trouve dans une petite rue de Cuzco, la rue du Musée de l’Archevêché, qui est construit sur le mur inca dont elle fait partie, une rue qui rejoint la Plaza de Armas, en partant du quartier San Blas…
Il y a souvent là un petit garçon pour attirer l’attention des passants, les touristes étrangers, sur le fait que c’est là que se trouve la pierre que tout le monde veut voir et photographier et dont on parle sur la Terre entière… Et il espère bien obtenir quelques sols [1] pour ses explications…
Cette fascinante pierre nous transporte tout de suite au cœur du Mystère inca… Celui qui débarquant, un beau jour, au centre de Cuzco, se trouve immédiatement face à face à ces murs incas puissamment irradiants se trouve, s’il est ouvert, du même coup, tout de suite, confronté à une puissante vibration, car la vibration inca est demeurée là, enregistrée dans les pierres des soubassements de nombreux édifices de Cuzco… C’est saisissant et c’est puissant…
Qui était donc ce peuple capable de réaliser des murs aussi parfaitement soignés? Aucun autre peuple connu n’a jamais fait cela ni avant ni après. Pourquoi donc «s’amuser» à tailler une pierre sur douze faces? Certes, le fait d’avoir ainsi, pour un mur d’une rangée d’épaisseur, plus de quatre faces par pierre contribue à la solidité du mur et à la résistance aux tremblements de Terre, fréquents dans ce pays, mais douze faces sont quand même loin d’être indispensables pour obtenir un tel résultat…

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Le grand Secret – Plus jamais victime – Être responsable de sa vie à 100%

Le grand Secret – Plus jamais victime – Être responsable de sa vie à 100%

Le grand Secret – Plus jamais victime – Être responsable de sa vie à 100%

«L’être humain dort dans le lit qu’il s’est lui-même fait.»

«Si Tu savais le Don de Dieu…»

«C’est comme cela que je veux être»

«Tout est Grâce»

La «victimite» est une maladie très répandue. L’on s’en prend à « tout le monde » de ce qui nous arrive, allant parfois même jusqu’au blasphème en incriminant jusqu’au Créateur.

Description des symptômes: Combien de fois nous sentons-nous comme une victime de quelque chose – frustrés de voir que nous ne pouvons pas contrôler le déroulement de nos vies en raison de circonstances adverses, peut-être même se mettre à bouder ou se renfrogner ou même à bougonner à  cause de ce quelqu’un d’autre a dit ou fait pour nous, ou, au contraire, de notre point de vue, négligé de le faire? Combien de fois avons-nous choisi de voir notre verre à  moitié vide plutôt que de le voir à  moitié plein?

Combien d’entre nous blâment les autres, comme leurs parents, leurs frères et sœurs ou leurs enseignants, ou même leurs amis, pour avoir, de leur point de vue, rendu leurs vies misérables? Combien d’entre nous blâment le gouvernement de leur pays pour être responsable de la destruction de l’économie et des moyens de subsistance? Combien d’entre nous, même, blâment le temps qu’il fait, lorsque nous avons une « mauvaise » journée – jugée «trop chaude» ou, au contraire, «trop froide», «trop sèche» ou, au contraire, «trop humide»?

Il semble, dans notre vie, que nous ayons tellement à  nous plaindre, et si peu à  être reconnaissants pour tout ce qui nous est donné. Toutefois, lorsque la maladie frappe ou qu’une catastrophe survient, nous pouvons soudainement nous souvenir qu’il y a beaucoup plus de raisons d’être reconnaissants qu’il n’y a des raisons de se plaindre. Pourtant, comme le dit le proverbe: « Si Tu voulais remercier Dieu pour toutes les Bontés qu’Il Te donne, il ne Te resterait plus de temps pour te plaindre »!

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Structure de l’Univers – Par Janine Favre

Structure de l’Univers – Par Janine Favre

Structure de l’Univers

Je la perçois comme une structure qui maintient en vie tout l’existant en reliant les paires multiples devenant alors interactives, autonomes et unifiées.
De même que nos organes travaillent ensemble dans notre corps avec les cellules pour garder équilibre et santé.
Cela est la base d’une certaine manière de penser aujourd’hui perdue dans la modernité qui pense de façon binaire, linéaire et séparative, celle de la science officielle, de la médecine académique et aussi de l’économie mondiale. Un fonctionnement à l’encontre des lois de la nature, aujourd’hui bafouées.
Les peuples premiers ont autrefois fonctionné avec cette pensée globale, organique, intégrative, et certains semblent l’avoir encore conservée quelque peu comme les Kogis de Colombie.
C’est en étudiant les Lois de la Création que nous pouvons la retrouver, grâce aux découvertes des nouveaux scientifiques dont le message est révolutionnaire. Ils observent le fonctionnement de la nature que nous avons ignorée pour notre perte.
Les Lois qui animent et ordonnent le vivant sur toute la planète Terre sont le reflet d’une intelligence supérieure dont nous pouvons ainsi discerner la Volonté intelligente à suivre pour trouver l’harmonie sur Terre.

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La victimite, la fatalité et la révolte

La victimite, la fatalité et la révolte

La victimite, la fatalité et la révolte

Trois maladies très répandues

La « victimite » et la fatalité sont deux maladies sœurs très répandues. La victimite est la {fausse} croyance que l’on peut être victime d’une quelconque injustice; la fatalité est la {fausse} croyance que l’on ne peut rien – ou seulement très peu – à son destin: « Je me livre en aveugle au destin qui m’entraîne » dit Oreste dans l' »Andromaque » du célèbre dramaturge français Jean Racine.
De la victimite à la révolte aveugle – laquelle est une troisième maladie faisant un triplé avec les deux premières -, il n’y a pas loin. Par exemple, la personne malade pense qu’elle est malade à cause de la fatalité ou à cause des autres. Jamais elle ne pensera être malade à cause d’elle-même; toujours c’est la faute à la génétique, à ses parents, aux microbes, à l’environnement, à la nourriture, à la malchance, aux autres, etc.
Elle ne voit pas la Grâce qui, pour le réveil de l’esprit, réside dans la maladie (lui permettant d’entendre ce que le « mal-a-dit ») et la souffrance, mais, trop souvent, par obstination, s’enfonce encore davantage dans l’erreur, ce qui, bien évidemment, à un degré encore plus élevé, lui occasionnera encore de nouveaux maux et de nouvelles souffrances.

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Avoir raison, agir juste [1] – Par Lucien Siffrid

Avoir raison, agir juste [1] – Par Lucien Siffrid

Avoir raison, agir juste
Par Lucien Siffrid

L’effondrement actuel de l’histoire de l’humanité est le fruit de la pensée humaine! Mais puisque l’Évolution et l’Édification reposent dans la Volonté de Dieu, au point de départ, la pensée humaine doit être fondée sur une erreur funeste. Sinon, en effet, le fruit ne pourrait pas être l’effondrement total.
Cette erreur fondamentale est la déformation à la base de toute pensée humaine. Les êtres humains ne sont plus capables de s’adapter dans le grand Devenir en recevant dans l’Humilité, de s’incliner joyeusement en œuvrant au point de départ de toute existence! L’être humain ne veut que combattre, il veut contraindre la Nature. Il se considère comme le point de départ de toute connaissance!
Pour cette raison, toutes les pensées, les paroles et les actes de l’homme qui ne vibrent pas dans la Volonté de Dieu, qui n’irradient pas la Force convaincante de l’Origine Unique en Dieu, portent le sceau de la fausseté et conduisent vers le bas.
* * *
Plusieurs personnes de connaissance sont cordialement assises ensemble et s’entretiennent sur le thème très prisé de l’automobile. Chacun apporte quelque chose de nouveau, connaît une amélioration manifeste à propos de cet intéressant domaine.
Chacun dame le pion à son voisin, le bat avec des connaissances spécialisées sur le sujet encore plus grandes, jusqu’à ce que celui-ci déballe de ses expériences les effets les plus nouveaux. Et cela continue ainsi de suite.
Un tel savoir émerveillerait un profane. Le théâtre de cette conversation animée est un local dans une grande ville, dans lequel, entre autres, circulent aussi des grands du sport international.
A une table voisine est assis, anonyme, un très important spécialiste de l’automobile. Il suit avec un intérêt soutenu les propos apparemment dus à des hommes de métier des amateurs de l’automobile. Il serait volontiers intervenu pour montrer que les suppositions émises excèdent de très loin le royaume du vraisemblable et trahissent une grande méconnaissance en la matière. Cependant, il se tient à l’écart, car il a décidé d’observer jusqu’à quel point la prétention à vouloir-mieux-savoir peut croître chez de tels gens inexpérimentés.
Une seule phrase aurait suffi pour attirer l’attention sur lui, une phrase par laquelle la «surenchère» mutuelle aurait trouvé une fin.

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«Qu’est-ce que la Religion?»  Par Léon Tolstoï

«Qu’est-ce que la Religion?» Par Léon Tolstoï

«Qu’est-ce que la Religion?»

Par Léon Tolstoï

« La Religion n’est pas une croyance établie une fois pour toutes, une croyance aux phénomènes surnaturels qui soi-disant se produisirent autrefois, ni la croyance à la nécessité de certaines prières et de certains rites. Elle n’est pas non plus, comme le pensent les savants, le reste des superstitions et de l’ignorance antiques qu’il n’est dans notre temps d’aucune nécessité d’adapter dans la vie.

La Religion c’est le rapport de l’Homme envers la Vie éternelle, envers Dieu, rapport établi en accord avec la raison et la science contemporaine et qui seul pousse l’humanité en avant vers le But qui lui est assigné.

« L’âme humaine, c’est la Lampe de Dieu », dit une sage expression hébraïque. L’homme est un animal faible, misérable tant que dans son âme ne brûle pas la Lumière de Dieu. Et quand cette Lumière s’enflamme (et elle ne s’enflamme que dans l’âme éclairée par la Religion) l’homme devient l’être le plus puissant au monde. Et il n’en peut être autrement, parce qu’alors, ce n’est plus sa force qui agit en lui, mais Celle de Dieu.

Voila ce qu’est la Religion et en quoi consiste son essence. »

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