Ecole de l'art de vivre

Moralité et comportement

Abonnez-vous à notre infolettre

Fil Telegram

Réseaux Sociaux

Articles récents

  1. "Affichez vos Couleurs!" Chaque être humain, lors de son périple terrestre a l'occasion de rencontrer les mille et un visage…

  2. La Sincérité De même qu'une aspiration à la Vérité contribue à notre développement spirituel, de même la pratique de la…

  3. "L’incroyable histoire de Shanti Devi." La majeure partie de l'humanité terrestre, aujourd'hui, préfère ignorer tout ceci, pour vivre dans l'illusion…

  4. «Aucune nation n’a jamais été conquise de l’extérieur avant qu’elle ne se soit elle-même auparavant déjà détruite de l’intérieur!» Oui…

  5. "La Prière d'un Pasteur" Cette magnifique Prière nous aide à reconnaitre nos fautes et surtout à retrouver la notion du…

  6. "La coquetterie" Comme le décrit si bien ce texte, alors que la coquetterie contribue à développer la vanité, l'authentique féminité…

  7. "Le Secret magnifique" Ce qui est magnifique c'est l'onde lumineuse qui entoure ce secret. Mais, paradoxalement, celle-ci doit rester dans…

La mouche du coche

La mouche du coche

La mouche du coche

« Le cimetière est rempli de gens indispensables. »

L’expression « faire la mouche du coche » vient d’une célèbre Fable de La Fontaine « Le coche et la mouche ». Cela fait partie des Fables où La Fontaine, plutôt que de mettre en avant une qualité ou une Vertu, dénonce le défaut opposé. En ce cas la Vertu est la Modestie et le défaut est la vantardise.

Le Coche et la Mouche

Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au Soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche.
Femmes, Moine, vieillards, tout était descendu.
L’attelage suait, soufflait, était rendu.

Une Mouche survient, et des chevaux s’approche;
Prétend les animer par son bourdonnement;
Pique l’un, pique l’autre, et pense à tout moment
Qu’elle fait aller la machine,
S’assied sur le timon, sur le nez du Cocher.

Aussitôt que le char chemine,
Et qu’elle voit les gens marcher,
Elle s’en attribue uniquement la gloire;
Va, vient, fait l’empressée; il semble que ce soit
Un Sergent de bataille allant en chaque endroit
Faire avancer ses gens, et hâter la victoire.

lire plus
Tu ne dois pas commettre d’adultère

Tu ne dois pas commettre d’adultère

Tu ne dois pas commettre d’adultère

Dieu a créé l’homme et la femme pour qu’ils deviennent « une seule Chair ». Selon l’Évangile de Marc, Jésus a dit:
«À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair.
Donc, ce que Dieu a uni, que l’être humain ne le sépare pas!».
Donc lorsqu’un homme et une femme sont unis par Dieu (Mariage conclu au Ciel), l’être humain ne doit pas les séparer.
Mais à qui s’adresse, en premier lieu, ce Commandement? Car, fondamentalement, qui peut séparer un couple uni, si ce n’est une tierce personne?
Au sujet de la Parole « Ce que Dieu a uni, que l’être humain ne le sépare pas! » Jésus a dit: «Tous ne comprennent pas cette Parole, mais seulement ceux à qui cela est donné.». Alors, nous est-il maintenant donné de bien la comprendre?
Parfois, pour bien comprendre, il est nécessaire de s’écarter de la pensée dominante…
Définitions
Le mot « adultère », qui implique la tromperie, se distingue de la « fornication », qui est une relation sexuelle hors mariage, donc pas forcément avec tromperie, puisque la promesse de « fidélité » n’existe que dans le mariage.
L’homme qui a une relation sexuelle avec une femme qui n’est pas son épouse  est appelé un amant. La femme qui a une relation sexuelle avec un homme qui n’est pas son mari est appelée une maîtresse ou une amante.

lire plus
Aspirez à la Conviction!

Aspirez à la Conviction!

Aspirez à la Conviction!

Douze hommes en colère

Le doute est parfois le chemin vers la conviction. Un jeune homme accusé de meurtre est-il coupable ou bien est-il innocent? Comment parvenir à la conviction par le doute?
Dans certains cas il n’est pas possible d’être convaincu qu’un homme accusé d’un crime est coupable. Il n’est pas non plus possible d’être convaincu qu’il est innocent. Par contre, il est possible d’être convaincu qu’il n’est pas possible d’affirmer avec une certitude absolue qu’il soit coupable. Ce doute doit donc profiter à l’accusé menacé de peine de mort à cause du côté définitif et irrémédiable de la peine générant un préjudice impossible à réparer au cas où l’erreur de verdict est finalement reconnue. Une telle conviction suffit à déterminer le juste chemin à suivre…
De brillante manière, le film « Douze hommes en colère » de Sydney Lumet met justement en scène le « doute raisonnable ». Dans un jury américain de cour d’assises comprenant 12 jurés, un juré – le juré n°8 (Henri Fonda) fait basculer les 11 autres jurés de l’affirmation « l’accusé est coupable » à l’affirmation « l’accusé est non coupable » (du moins sa culpabilité n’est pas assurée et il doit avoir le « bénéfice du doute »).
Le doute peut donc, à lui seul, suffire à faire basculer du camp de la possible et même probable erreur à celui de la possible et même probable innocence 11 jurés en colère. A défaut d’être convaincu d’un fait, un être humain peut arriver à la conviction qu’il doute, donc qu’il ne sait pas et ne peut donc pas prendre une décision dont les conséquences seront irrévocables et irréparables!

lire plus
Les Quatre Accords Toltèques

Les Quatre Accords Toltèques

Les Quatre Accords Toltèques

The Four Agreements are:
Be Impeccable With Your Word.
Don’t Take Anything Personally.
Don’t Make Assumptions.
Always Do Your Best.

Les Quatre Accords Toltèques (« The Four Agreements ») sont:
1. Que votre parole soit impeccable (« im-peccatus » = « sans péché »).
2. Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle.
3. Ne faites pas de suppositions (posez des questions).
4. {Quoi qu’il arrive}, faites toujours de votre mieux.

Pour le porteur de Accords Toltèques, Miguel Ruiz, la réalité est un rêve collectif, une illusion. Il estime qu’il existe des croyances limitantes qui privent les êtres humains de joie et leur créent d’inutiles souffrances. Il donne connaissance de quatre Accords, ou Règles de comportement, à suivre pour éviter ces souffrances et se libérer des attentes d’autrui et des croyances limitantes. Ces règles forment un code de conduite à appliquer au quotidien pour appréhender le monde de manière plus sereine et saine.

Et «chaque être humain est un magicien. Par notre parole, nous pouvons soit jeter un sort soit, au contraire, le conjurer». N’hésitant pas à parler de Dieu dès les premières pages («Tout ce qui existe est une manifestation de ce seul Être vivant que l’on appelle Dieu.»), il propose, à la fin de son livre, diverses prières pour devenir libre et vivre l’Amour. Ce qui n’est pas juste dans la vision de Miguel Ruiz, c’est sa conception panthéiste (« Tout est Dieu » – Sic!).

lire plus
Un bon gouvernement pour de bons sujets

Un bon gouvernement pour de bons sujets

Un bon gouvernement pour de bons sujets

Réflexions sur l’Art de Gouverner

« Le meilleur gouvernement est celui où chacun se gouverne lui-même. »
– Goethe –

La politique est l’art et la science de gouverner la cité ou l’état. Seul celui qui se gouverne lui-même peut prétendre gouverner autrui. A vrai-dire, celui-là n’a aucune prétention, c’est le Ciel qui l’appelle et le charge d’une mission. Mission qu’il accepte volontairement, par Amour et aspiration à servir.
Au cours de l’histoire, les êtres humains ont conçu ou expérimenté diverses formes de gouvernement. Nous allons passer en revue les plus significatifs pour notre propos.
Classification des systèmes de bas en Haut
La démocratie
La démocratie est la puissance souveraine du peuple se gouvernant par lui-même ou tout au moins choisissant ses représentants et gouvernants.
La république (« res publica »: la « chose publique ») s’apparente à la démocratie; elle regroupe les formes de gouvernement où le pouvoir est réparti au maximum parmi le peuple.
Les systèmes démocratiques ou républicains s’appuient sur le postulat que – ainsi que l’affirme Descartes: « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée » et il ajoute: « Chacun pense en être si bien pourvu que ceux-mêmes qui sont les plus difficiles à contenter en toutes choses n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils n’en ont. » (ce qui ne prouve rien!).
Mais le « bon sens » suffit-il pour bien gouverner? Et, d’abord, qu’est-ce que le bon sens? Est-ce le « sens commun », le sens de tout le monde? Si, pour ceux qui utilisent cette expression, c’est essentiellement de cela qu’il s’agit, alors il n’est pas forcément une référence.
La démocratie est donc un pari sur la masse. Mais si « le peuple est en haut » – ainsi que le dit Victor Hugo -, « la foule est en bas », et la loi des masses, au lieu d’être la stimulation vers le haut, est, presque toujours, le nivellement par la base où le plus grand nombre calque son comportement, non sur les meilleurs mais, le plus souvent, sur les pires.
Ce système n’est donc point le système idéal; en définitive « démocratie » est trop souvent synonyme de « démagogie »; le « démocrate » au sommet est le plus souvent un « démagogue » et le démocrate à la base – nous parlons de celui qui est sincère – est quant à lui, dans la plupart des cas, un naïf.
Le véritable « démophile » (celui qui aime véritablement le peuple) n’est pas « démocrate ».

lire plus
La Hiérarchie dans la Création

La Hiérarchie dans la Création

La Hiérarchie dans la Création

« Devant Dieu tous les êtres humains sont égaux. »
– Proverbe –

« Renonçons à vouloir être égaux! »

Hiérarchie ou égalité?
Souvent, dans les milieux anarchistes – alors que la devise de l’anarchisme est « Ni Dieu ni maître » – l’on entend des phrases du genre « La hiérarchie c’est comme les étagères, plus c’est haut, moins ça sert! »‘. Mais, selon les Lois de la Création, qu’en est-il vraiment?
Liberté, Égalité, Fraternité
Ainsi que c’est bien connu en France et même dans le « monde » entier, la devise de la France c’est « Liberté, Égalité, Fraternité ». Cette devise a volontiers été présentée par des penseurs « progressistes » comme une « lumière » pour le monde entier. Ce sujet a déjà été abordé en profondeur sur le site de l’École avec l’article éponyme « Liberté, Égalité, Fraternité » de August Manz, qui – rappelons-le rapidement ici – au sujet de cette devise, écrit ceci:
« Mais, bien que l’histoire de la Révolution française ait déjà enseigné que cette devise évoque une utopie absurde, elle hante pourtant toujours les pensées de rêveurs nébuleux, qui se laissent séduire par le clinquant extérieur de cette rhétorique, sans reconnaître le contenu chargé de ténèbres, le véritable visage de cette tentation luciférienne. ».
Par conséquent, une condamnation sans appel non de la devise elle-même, mais de tout ce qu’elle contribue à véhiculer comme idées fausses. Bien sûr, que la Liberté, en soi, c’est très bien, de même (à condition de bien comprendre ce que cela veut dire!) que l’Égalité, de même que la Fraternité, mais à quoi pensent, en réalité, lorsqu’ils s’y réfèrent, ceux qui s’en réclament?
Lorsque, avec des doigts crochus, une jolie musique est exécutée avec une harpe céleste, le séduction marche à fond. « Oh que c’est joli! », se disent beaucoup d’auditeurs, sans voir les doigts crochus qui pincent les cordes ni s’interroger au sujet des véritables motivations et des véritables objectifs de celui qui produit une si charmante mélodie.
C’est que, derrière des Notions en elles-mêmes spirituelles, se cache un poison conceptuel appelé « démocratie », faussement présentée comme la lumière du monde. Ce sujet a, jusqu’ici, juste été effleuré dans l’article consacré à  la maîtrise de soi…

lire plus
Une seule chair

Une seule chair

Une seule chair

C’est notamment dans  de l’Évangile de Marc, au chapitre X (versets 1-12), que se trouve l’épisode où Jésus parle de l’homme et de la femme devenant une seule chair:

« Partant de là, Jésus arriva dans le Territoire de la Judée, au-delà du Jourdain. De nouveau, des foules s’assemblèrent auprès de Lui, et de nouveau, comme d’habitude, Il les enseignait.
Des pharisiens L’abordèrent et, pour Le mettre à l’épreuve, ils Lui demandèrent: «Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme?».
Jésus leur répondit: «Que vous a prescrit Moïse?».
Ils Lui dirent: «Moïse a permis de renvoyer sa femme, à condition d’établir un acte de répudiation.».
Jésus répliqua:
«C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette Règle.»
Commentaire
Le « pour vous » est interpellant. En effet, Moïse a établi ses prescriptions environ 1500 ans avant la Venue de Jésus, et donc, environ 1500 ans plus tard, Jésus explique: «C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette règle.». Cela pose la question: Comment Moïse pouvait-il, à son époque, savoir que, 1500 ans plus tard, il y aurait, sur la Terre d’Israël, des êtres humains avec une dureté de cœur caractérisée?
Cela ne peut pas s’expliquer, sauf si c’étaient les mêmes que Moïse avait, devant lui, environ 1500 ans plus tôt. De cette manière – sans avoir besoin de le dire formellement -, Jésus confirme la réalité de la réincarnation.

lire plus
Manger ou être mangé

Manger ou être mangé

Manger ou être mangé

L’être humain a-t-il le droit de tuer des animaux pour les manger? Le sujet a déjà été examiné (page privée). Les animaux sont-ils des choses ou bien des êtres vivants avec une âme? A ce sujet nous avons examiné l’opinion du très cartésien René Descartes. Ce que nous voulons maintenant ici approfondir c’est le combat pour la vie dans la Nature.
Seule la vie entretient la vie. Un règne se donne pour la survie du règne supérieur (par exemple, le règne végétal pour la survie du règne animal). Outre que de nombreux petits animaux se donnent pour la survie de plus gros, le règne animal aussi se donne pour la survie du règne humain. Il n’est pas possible aux êtres vivants de manger du plastique pour survivre.
Si tous les animaux étaient végétariens, la question du bien-fondé du combat dans la Nature ne se poserait pas. Selon une Prophétie de l’Ancien Testament, un jour le lion broutera paisiblement à côté de l’agneau…:
« Le loup et l’agneau paîtront ensemble, le lion, comme le bœuf, mangera de la paille, et le serpent aura la poussière pour nourriture. Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute Ma Montagne Sainte. », dit l’Éternel (Isaïe LXV, 25).

lire plus