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Avoir raison, agir juste [1] – Par Lucien Siffrid

Avoir raison, agir juste [1] – Par Lucien Siffrid

Avoir raison, agir juste
Par Lucien Siffrid

L’effondrement actuel de l’histoire de l’humanité est le fruit de la pensée humaine! Mais puisque l’Évolution et l’Édification reposent dans la Volonté de Dieu, au point de départ, la pensée humaine doit être fondée sur une erreur funeste. Sinon, en effet, le fruit ne pourrait pas être l’effondrement total.
Cette erreur fondamentale est la déformation à la base de toute pensée humaine. Les êtres humains ne sont plus capables de s’adapter dans le grand Devenir en recevant dans l’Humilité, de s’incliner joyeusement en œuvrant au point de départ de toute existence! L’être humain ne veut que combattre, il veut contraindre la Nature. Il se considère comme le point de départ de toute connaissance!
Pour cette raison, toutes les pensées, les paroles et les actes de l’homme qui ne vibrent pas dans la Volonté de Dieu, qui n’irradient pas la Force convaincante de l’Origine Unique en Dieu, portent le sceau de la fausseté et conduisent vers le bas.
* * *
Plusieurs personnes de connaissance sont cordialement assises ensemble et s’entretiennent sur le thème très prisé de l’automobile. Chacun apporte quelque chose de nouveau, connaît une amélioration manifeste à propos de cet intéressant domaine.
Chacun dame le pion à son voisin, le bat avec des connaissances spécialisées sur le sujet encore plus grandes, jusqu’à ce que celui-ci déballe de ses expériences les effets les plus nouveaux. Et cela continue ainsi de suite.
Un tel savoir émerveillerait un profane. Le théâtre de cette conversation animée est un local dans une grande ville, dans lequel, entre autres, circulent aussi des grands du sport international.
A une table voisine est assis, anonyme, un très important spécialiste de l’automobile. Il suit avec un intérêt soutenu les propos apparemment dus à des hommes de métier des amateurs de l’automobile. Il serait volontiers intervenu pour montrer que les suppositions émises excèdent de très loin le royaume du vraisemblable et trahissent une grande méconnaissance en la matière. Cependant, il se tient à l’écart, car il a décidé d’observer jusqu’à quel point la prétention à vouloir-mieux-savoir peut croître chez de tels gens inexpérimentés.
Une seule phrase aurait suffi pour attirer l’attention sur lui, une phrase par laquelle la «surenchère» mutuelle aurait trouvé une fin.

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