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Les Béatitudes

Les Béatitudes

Les Béatitudes

« De nouveau, le Peuple s’était rassemblé autour du Maître et de Ses Disciples. Ils écoutaient, recueillis, et voulaient en entendre plus. Alors, Jésus S’assit sur une colline et à Ses pieds s’étendirent les légions {d’êtres humains} qui étaient venues pour entendre Sa Parole.

Et Jésus parla:

« Heureux ceux qui accueillent simplement le Vrai, car le Royaume des Cieux est à eux.

Ne ruminez pas et n’ergotez pas à partir de Mes Paroles, vous ne trouveriez, avec elles, jamais une fin. Ne dites pas à vos co-êtres humains ce qui avec elles vous touche; car ils sont d’un autre genre, ne feraient que {faire} {res}sortir {le} leur propre et vous embrouilleraient!

Heureux les Êtres humains qui sont patients et débonnaires; car ils domineront la Terre.

Apprenez à attendre et apprenez à vous modérer, alors vous porterez en vous, un jour, la puissance de contraindre d’autres êtres humains. La Discipline personnelle en dompte d’autres! »

Heureux ceux qui doivent aller par la souffrance, car ils seront consolés.

Ne vous plaignez pas si la souffrance vient sur vous. Supportez-la et soyez forts! Aucune peine ne peut s’approcher de vous, si vous ne lui avez pas fourni la possibilité de s’approcher. Apprenez, cependant, d’elle et transformez-vous au plus profond {de vous-mêmes}, alors elle tombe de vous et vous devenez libres!

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Arrivée à Jérusalem

Arrivée à Jérusalem

Arrivée à Jérusalem

« Lorsqu’Il approcha de Bethphagé et de Béthanie, vers la montagne appelée Montagne des Oliviers, Jésus envoya deux de Ses Disciples, en disant: Allez au village qui est en face; quand vous y serez entrés, vous trouverez un ânon attaché, sur lequel aucun homme ne s’est jamais assis; détachez-le, et amenez-le.
Si quelqu’un vous demande: « Pourquoi le détachez-vous? », vous lui répondrez: Ceux qui étaient envoyés allèrent, et trouvèrent les choses comme Jésus les leur avait dites. Comme ils détachaient l’ânon, ses maîtres leur dirent: « Pourquoi détachez-vous l’ânon? ».
34 Ils répondirent: – « Le Seigneur en a besoin. ».
35 Et ils amenèrent à Jésus l’ânon, sur lequel ils jetèrent leurs vêtements, et firent monter Jésus.
36 Quand Il fut en marche, les gens étendirent leurs vêtements sur le chemin.
37 Et lorsque, déjà, Il approchait de Jérusalem, vers la descente de la Montagne des Oliviers, toute la multitude des Disciples, saisie de Joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu’ils avaient vus.
38 Ils disaient: Béni soit le Roi Qui vient au Nom du Seigneur! Paix dans le Ciel, et Gloire dans les Lieux très hauts!

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La Parabole des Mines

La Parabole des Mines

La Parabole des Mines

11 « Ils écoutaient ces choses, et Jésus ajouta une Parabole, parce qu’Il était près de Jérusalem, et que l’on croyait qu’à l’instant le Royaume de Dieu allait paraître.

12 Il dit donc: « Un homme de haute naissance s’en alla dans un pays lointain, pour se faire investir de l’Autorité royale, et ensuite revenir.

13 Il appela dix de ses serviteurs, leur donna dix mines, et leur dit: Faites-les valoir jusqu’à ce que je revienne.

14 Mais ses concitoyens le haïssaient, et ils envoyèrent une ambassade après lui, pour dire: Nous ne voulons pas que cet homme règne sur nous.

15 Lorsqu’il fut de retour, après avoir été investi de l’Autorité royale, il fit appeler auprès de lui les serviteurs auxquels il avait donné l’argent, afin de connaître comment chacun l’avait fait valoir.

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Dieu prend soin de nous!

Dieu prend soin de nous!

Dieu prend soin de nous!

C’est une Promesse de Jésus, dans la Bible: 
« C’est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement? Regardez les oiseaux du ciel: ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée de plus à la durée de sa vie?…
Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement? Considérez comment croissent les lis des champs: ils ne travaillent ni ne filent;… cependant je vous le dis: Même Salomon, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs, qui existe aujourd’hui et qui demain sera jetée au four, ne vous vêtira-t-Il pas à plus forte raison, gens de peu de Foi?…
Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas: Que mangerons-nous? Que boirons-nous? De quoi serons-nous vêtus?…
Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait ce dont vous avez besoin avant même que vous ne le Lui demandiez… Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et Sa Justice, et tout le reste vous sera donné par surcroît. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. » (Matthieu VI, 25-34).
Tous les Chrétiens ou presque connaissent ce célèbre passage des Évangiles, mais combien le mettent en pratique concrètement, journellement, dans la vie quotidienne?
Cela veut naturellement dire que, pour obtenir  d’abord la première condition doit être remplie. Il nous faut d’abord chercher le Royaume de Dieu et Sa Justice. Ensuite, tout le reste nous est donné!

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Parabole

Parabole

Parabole

Par Salem YAHI

« Le monde est une parabole, une énigme.
Et la multitude voit, et la foule entend; mais en vain. »
– Alexandra David-Neel –

La parabole est un élément spécifique de l’art du bien parler (la réthorique), souvent elle se présente sous la forme d’une courte histoire basée sur des situations du quotidien qui imagent un enseignement, une morale ou une doctrine. Elle s’intercale, semblable à une analogie, entre un récit imagé et un discours ordonné. La parabole porte une vertu pédagogique: celle de rendre concret une idée ou une notion, tandis que la parole use du langage dans un contexte déterminé. Le mot parole est la contraction étymologique du mot parabole, issu du latin parabola, lui-même emprunté au grec ancien parabolḗ / παραϐολή, qui signifie: rapprochement, juxtaposition, comparaison mais surtout illustration.
Le texte qui suit traite de la dimension cachée de la parabole, en fait de son sens spirituel. Ce texte va s’appuyer sur le livre de la Bible des Ancien et Nouveau Testaments d’une part, et, sur les résultats obtenus à partir de la matrice de calcul réalisée par un auteur français Lucien Siffrid date de 1930, d’autre part. Elle croise les nombres de 1 à 9 avec trois paramètres qui sont: l’Esprit, l’Humain et les Ténèbres. Les résultats obtenus ouvrent de vastes perspectives spirituelles.
Il est vain pour l’intelligence de chercher à percer le sens que renferme une parabole. Certes, elle peut saisir la substance des mots, mais elle ne peut parvenir à en recueillir l’essence. La recherche des réponses aux rébus, charades et autres devinettes fait appel aux capacités intellectuelles telles que: l’intelligence, la mémoire et la culture. Mais, lorsqu’il s’agit de saisir la profondeur des paraboles, à l’exemple de celles de la Bible, l’intellect n’y suffit vraiment pas. Une ressource bien plus élevée s’avère indispensable: l’intuition, que le philosophe français Bergson (1859-1941) avait baptisé l’“élan vital”. Assurément, c’est elle l’outil de perception du réel au-delà du réel. Dans les livres saints, la parabole se présente sous la forme d’un récit symbolique qui contient un enseignement spirituel, un récit… au-delà du réel. Au cours de son Ministère, le Christ l’utilisa souvent pour apporter une nourriture spirituelle aux esprits humains nostalgiques de leur origine mais aussi pour exercer un tri: Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l’abondance, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a. C’est pourquoi Je leur parle en paraboles, parce qu’en voyant ils ne voient point, et qu’en entendant ils n’entendent ni ne comprennent.

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Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

La présence d’un esprit humain sur la Terre en notre époque, toujours plus agitée et incertaine, comporte certains risques. Mais, à chaque fois qu’une catastrophe s’abat sur un ou plusieurs êtres humains, l’on entend divers propos qui témoignent que la fatalité s’est abattue sur des victimes « innocentes ». Les maladies elles-mêmes – même les maladies génétiques – sont considérées par presque tous les media comme dues au hasard.
Dans les divers Enseignements Spirituels l’on trouve des passages qui donnent l’impression que l’injustice est impossible et d’autres qui donnent l’impression qu’elle ne l’est pas. Tous les propos des différents Enseignements se « nuancent » ainsi eux-mêmes.
Dans la Bible, par exemple sur quantité de questions, l’on peut facilement trouver des Paroles qui semblent justifier un point de vue, tandis qu’un autre trouvera d’autres Paroles semblant justifier le point de vue inverse.
Ceci nous montre que la Vérité n’est jamais incluse en une seule formulation, même dans la Bible ou d’autres Enseignements Spirituels, et que l’on peut aussi y trouver des « contradictions » apparentes qui, en fait, n’en sont pas! Ainsi, du reste, que dans les œuvres de nombreux autres auteurs secondaires.
En cette fin de cycle la destruction à attendre risque de toucher aussi au passage ceux qui ne sont pour autant pas foncièrement mauvais. Mais cela n’est pas injuste pour autant, car ceux qui sont aussi secondairement touchés ont quand même de rares genres semblables avec les êtres humains pouvant être considérés comme les auteurs de la débâcle.

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Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas du tout le cas.
La première, c’était la Parole prononcée par Jésus, le soir du Jeudi-Saint, lors de Sa première agonie au Jardin des Oliviers à Gethsémani, lorsqu’Il a dit à Son Père: « Père, s’il est possible, que ce calice s’éloigne de moi » (Matthieu XXVI, 39). Il parlait, bien sûr, du calice de douleurs qui L’attendait, s’Il Se laissait arrêter (jusque-là, malgré diverses tentatives antérieures, personne n’avait jamais pu y parvenir!) le soir même, peu après par les sbires de Caïphe et les soldats envoyés pour cela.
Aurait-Il prononcé cette Parole si la crucifixion avait automatiquement fait partie de Sa Mission de Rédemption? Autrement dit, s’Il était venu sur Terre pour S’y faire crucifier? Bien évidemment, absolument pas! Cela montre bien, par conséquent, que s’Il avait pu l’éviter et quand même pleinement remplir Sa Mission, Il aurait grandement préféré éviter de devoir vivre l’épouvantablement – à tous points de vue – douloureuse passion.
La deuxième (dans l’ordre chronologique) Parole prononcée par Jésus qui nous permet d’être sûrs que la passion et la crucifixion n’étaient pas voulues ni de Dieu ni de Jésus c’est la Parole prononcée par Jésus sur la croix, lorsque, en parlant des êtres humains en général et de Ses bourreaux en particulier, Il dit: « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font! » (Luc XXIII, 34).
Cette Prière d’Intercession de Jésus à Son Père aurait-elle donc été sensée – ou même nécessaire – si la mort sur la croix avait été un sacrifice indispensable à la Réconciliation? Lorsque Jésus affirme « Ils ne savent pas ce qu’ils font! », cela indique clairement que « ce qu’ils font »  est non seulement un complet non-sens mais aussi un crime qualifié, un meurtre, un assassinat.
C’est bien la plus grande Accusation qui puisse se concevoir. L’incontestable Indication que « ce qu’ils font » est faux. Que cet acte n’était voulu ni de Dieu ni du Christ, ni de la Lumière, de façon générale. Par conséquent, un vulgaire crime envers le Plus-Saint qui, à cette époque, ait jamais foulé la Terre. Confronté à la haine des êtres humains dominés par les ténèbres, Jésus avait Lui-même pressenti et annoncé cette catastrophe spirituelle avec Sa Parabole des vignerons homicides.

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Le dolorisme

Le dolorisme

Le dolorisme

C’est quoi, le dolorisme?
Le dolorisme est une possible appellation pour exprimer la doctrine de la souffrance.
Plus précisément le dolorisme une doctrine de portée principalement spirituelle ou religieuse exaltant la douleur physique, comme si elle était porteuse d’une valeur intrinsèque, en lui attribuant même une valeur spirituelle ou morale. Il s’agit, en fait, d’un véritable culte de la douleur pour elle-même. Un adepte d’un tel culte de la douleur, d’un point de vue philosophique, peut donc être appelé doloriste.
D’un point de vue plus courant, un doloriste peut tout simplement être appelé un martyr volontaire ou un fanatique religieux. Quant à eux, Les mots «dolorisme» et «doloriste» sont, tout simplement, des mots savants façonnés au début du XXème siècle à partir du nom latin «dŏlŏr», génitif «dolōris», signifiant «douleur physique, souffrance».
Cela se réfère, en particulier, déjà, à l’exaltation de la souffrance de Jésus sur la croix. Souvent l’accompagne la fausse imagination que les bons Chrétiens pourraient devenir «co-rédempteurs», c’est-à-dire participer à la Rédemption effectuée par Jésus (quelle présomption!) en « offrant » leurs souffrances à Dieu, comme s’il était possible de les monnayer et comme si Dieu pouvait en faire quelque chose!
C’est ainsi que le jeune Guy de Fongalland – reconnu par l’église comme « Serviteur de Dieu » – « offrait, chaque jour, de petits sacrifices à Jésus, pour Lui faire plaisir ». Parmi ce genre de « sacrifices » l’on raconte, par exemple, qu’il mettait volontairement des cailloux dans ses chaussures, même si ses pieds devaient en saigner, afin de « souffrir pour Jésus » et ainsi – croyait-il – – en vertu de la «communion des saints» – participer à «racheter les péchés des âmes du purgatoire»…
Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ
Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas le cas.
Afin de ne pas trop rallonger le présent article, ce chapitre du faux sens généralement attribué aux souffrances délibérément infligées à Jésus lors de la passion, est développé sur cette page.
Dieu aimerait-Il voir Ses créatures souffrir?
L’idée sous-jacente c’est que Dieu apprécierait – voire Se réjouirait de – la douleur de Ses créatures. Pourtant, c’est une idée insensée! Dieu ne veut pas de souffrance pour Son Peuple! Sinon, Il ne serait pas Dieu! C’est-à-dire Pureté, Amour et Justice! Quel « Dieu » serait-ce là? Au contraire, Dieu veut que l’être humain soit heureux dans le sens le plus vrai. Le Secret pour une juste appréciation de la Perfection Divine?: Accorder à Dieu l’Honneur de la Perfection!
Dolorisme et Rédemption
Alors, comment une idée aussi fausse que la supposée réjouissance de Dieu au vu de la souffrance humaine a-t-elle pu naître et se développer? Il semble que cette conception doloriste en vogue (de moins en moins quand même, en notre époque particulièrement hédoniste!) chez les croyants les plus dogmatiques soit intimement liée à la fausse conception au sujet de la Mission de Rédemption du Fils de Dieu Jésus.
En effet, pour tous ceux qui croient – et ils sont nombreux! – que la Mission de Rédemption de Jésus résidait dans Sa mort martyrisante sur la croix plutôt que dans Son Enseignement montrant aux êtres humains égarés le Chemin de la Lumière, il y a une certaine logique à penser que la souffrance pourrait avoir une valeur devant Dieu.
Le sophisme (faux raisonnement) pour parvenir à une telle conception est le suivant: Les êtres humains ont péché et Dieu exige une expiation. Mais, comme Son Amour est infini, Il décide de ne pas exiger une expiation de la part des pécheurs. Il préfère que, à la place des coupables, elle soit subie par le plus Innocent qui soit: Son propre Fils, Incarnation de l’Amour! Et ainsi – croit-on – Sa Justice sera satisfaite!
Ceux qui, pour leurs vaines tentatives d’auto-disculpation, pensent cela oublient juste de considérer que s’il est parfaitement exact de dire que Dieu est l’Amour, il ne doit pas être oublié qu’il est tout autant la Justice et aussi la Pureté. Et que la Base de l’Amour c’est la Justice, de même que la Base de la Justice c’est l’Amour! Les deux et même les trois sont tout à fait inséparables!
La théorie de la Rédemption-expiation et les Évangiles
Il est, toutefois, à noter que cette fausse théorie de la Rédemption basée sur le sacrifice de la croix s’appuie sur certains passages des Évangiles, par exemple: «Car le Fils de l’Homme est venu (…) pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de plusieurs.»  (Marc X, 45). Il s’agit, bien sûr, d’une Parole de Jésus, rapportée par Marc. Mais l’on trouve à peu près la même chose dans Matthieu:
« C’est ainsi que le Fils de l’Homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de beaucoup. » (Matthieu XX, 28).
Alors, questions: Jésus a-t-Il vraiment dit exactement cela? Comment comprendre cette Parole? Cela a-t-il le sens que veulent lui donner les partisans du rachat des péchés des êtres humains effectué, à leur place, par Jésus sur la croix? Ou bien cela peut-il être compris autrement?

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Le Renouvellement de la Force

Le Renouvellement de la Force

Le Renouvellement de la Force

La Pentecôte
Toute la Création dépend de la Force! Ce n’est rien de le dire, mais si, une seule fois, Dieu – ainsi qu’Il le fait, chaque année – ne renouvelait pas la Force, alors ce serait le commencement de la fin… Tout commencerait lentement à se flétrir, à dépérir et à décrépir, parce qu’il n’existe aucune créature qui ne dépende de la Force. Et avoir la Force ou pas, tout est là! Sans la Force impossible de vivre!
Même dans la Sphère Divine existent des êtres nés de l’Irradiation Divine et qui, eux aussi – bien que n’étant pas des créatures -, depuis toujours et pour toujours, dépendent de Sa Force. C’est, par exemple, le cas des Archanges, des Anges et des Plus-Anciens mentionnés dans l’Apocalypse de Jean. Sur la Terre tout être humain peut observer que, de l’humain au végétal, en passant par l’animal, jusqu’à chaque brin d’herbe s’efforce de s’élever vers la Lumière.

Pentecôte
Entropie et néguentropie
L’entropie est un concept scientifique permettant de comprendre que sans la Force tout est voué à disparition. En fait, l’entropie c’est juste la mort!

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