À la découverte des Lois de la Création
Qu’on les appelle Lois de la Vie, Lois de la Nature, Lois de la Création ou Lois de Dieu, elle existent, régissent l’Univers et sont incontournables, ce sont les Lois, et les êtres humains ont tout intérêt à les bien connaître, à les respecter et surtout à les mettre en application!
L’être humain et les Lois
Qu’il en soit conscient ou qu’il l’ignore, en tant que fruit de la Création, l’être humain est soumis aux Lois. Par conséquent, le besoin le plus pressant de chaque être humain est de complètement reconnaître ces Lois, aux répercussions desquelles il est toujours, dans chaque situation de la vie, sans aucun doute, sans aucune possibilité de se dérober, totalement abandonné!
Combien y a-t-il de Lois?
Si l’on considère la «Pyramide des Lois» depuis tout en haut, l’on pourrait dire qu’il n’y a qu’une seule Loi, et cette Loi c’est la Loi de l’Amour. Par contre, si l’on considère le même Édifice des Lois depuis tout en bas, l’on pourrait dire qu’au niveau de ramification le plus bas, il y a 1000 Lois! Dans le Divin tout est simple et se ramène à l’Unité, dans la matière grossière la plus lourde, tout se ramifie et se complexifie, de sorte à arriver à de très nombreuses Lois, qui, toutes réunies, n’en font plus qu’une seule: la Loi de l’Amour!
Enseignements Spirituels
Le péché héréditaire
Le péché héréditaire.
«Toute théorie est grise, mais l’Arbre de la Vie est vert et florissant.»
– Johann Wolfgang von Goethe –
Qu’est-ce que le péché héréditaire?
Le péché héréditaire, c’est le péché dit originel. Ceci n’est pas qualifié de «mystère» par l’église, et pourtant il y a là une immense énigme qui n’a pu enfin être clairement résolue qu’à notre époque. C’est la solution de cette énigme que nous voudrions en ce chapitre faire connaître à ceux de nos lecteurs qui ne se satisfont pas de l’enseignement de l’église à ce sujet.
Rappel de la doctrine traditionnelle
Adam et Eve, nos premiers parents, ont péché peu après que Dieu les ait créés «bons et intelligents» et, qui plus est, «saints et heureux». Avant le péché, ils ne connaissaient pas la douleur, ils ne devaient jamais mourir et le péché ne les attirait pas. Ils avaient deux vies: la «naturelle» et la «surnaturelle». L’obéissance à Dieu leur garantissait sainteté et bonheur.
Mais Adam et Eve ne sont pas restés soumis à Dieu, mais trompés par le «démon», ils désobéirent. Par cette désobéissance, Adam et Eve perdirent la vie «surnaturelle» qui devait les conduire au Ciel: ils furent condamnés à la souffrance et à la mort et ils se sentirent désormais attirés par le péché.
La catastrophe dans cette histoire, c’est que le péché commis par Adam et Eve se serait transmis à tous leurs descendants «qui naissent tous privés de la Grâce et sont soumis aux mêmes misères qu’eux». Toutefois, il y aurait une exception à cet état de chose, c’est le cas de Marie de Nazareth «conçue sans péché» parce qu’elle était la mère du Fils de Dieu. Cette croyance a donné lieu à une fête particulière, celle de l’«Immaculée Conception» célébrée le 8 Décembre de chaque année.
Commentaire de cette doctrine:
Le point de départ de la notion de péché originel, c’est le récit de la chute narré dans le chapitre III de la Genèse. Il est donc certain qu’il s’est bien passé quelque chose de grave dans les premiers temps de la vie humaine dans le monde de matière physique, lorsque les premiers germes d’esprits humains s’y sont incarnés au début de l’évolution dans les corps physiques. Usant et abusant de son libre vouloir, l’esprit humain a manifestement suivi une direction différente de celle qui était prévue par son Créateur.
Tout croyant dans la Bible peut facilement concevoir qu’aux premiers jours de la vie, sur la première planète où s’incarnèrent nos lointains ancêtres, l’existence devait être plutôt idyllique. Nous acquiesçons donc aux qualificatifs de «bons et heureux» concernant Adam et ève, car pour faire le mot «bonheur» il faut le mot «bon» et le mot «heureux», n’est-ce-pas? Le mot «Saint», quant à lui, devrait être réservé au Créateur. Il n’y a qu’accolé à Son Saint Nom qu’il sonne parfaitement juste.
Éloge de l’Intuition
Éloge de l’Intuition
Lorsque quelqu’un se sait pas si ce qu’il a ressenti est ou non de l’Intuition, c’est parce que cela n’en est pas ! Rien n’est, en effet, plus fort que l’Intuition. L’Intuition produit un Ressenti d’évidence absolu qui ne peut être confondu avec rien d’autre, de sorte qu’il n’y a aucune place pour le doute!
C’est que, en effet, l’Intuition est la voix de l’esprit, et que l’esprit est le Noyau vivant éternel de l’être humain. L’on peut donc aussi l’appeler la conscience ou encore la voix intérieure. Ce sont différentes appellations qui, toutes, se réfèrent à l’Intuition.
En allemand, l’Intuition se dit généralement «Empfindung». Si l’on consulte les dictionnaires, la traduction ne sera généralement pas «intuition» mais plutôt «sensation», «sensibilité», voire même «sentiment» (en fait, en ce cas, une traduction catastrophique!). C’est «sensibilité» qui correspond le mieux – ou le moins mal – à ce que nous appelons ici l’Intuition. Car il s’agit bien, en effet, de ressentir, mais pas d’une manière sentimentale (sentiment) ni d’une manière corporelle («sensation»).
La mort, aujourd’hui
La mort, aujourd’hui
Ce que sait chacun être humain sans exception, dès qu’il est conscient de sa vie, c’est qu’un jour il devra mourir! Chacun est convaincu de cela. C’est l’un des rares faits au sujet desquels il n’y a aucune discussion, aucun doute. Tout le monde le sait: Tout ce qui naît, meurt!
Dans notre société, l’on a favorisé l’oubli de la mort, plutôt que de la considérer comme le point culminant de la vie et un nouveau départ dans le domaine de la conscience. La littérature, l’art, et, de nos jours, le cinéma lui ont, le plus souvent, donné un caractère tragique. Comment s’étonner que la masse des individus en fasse{nt} autant? La mort apparaît comme un fléau qui nous frappe tous, que nous le voulions ou pas. Nous la déplorons en tant que fin de la vie, comme un vide qui nous appelle capricieusement à un moment inattendu. Les êtres humains évoquent cette fin abyssale sur le ton du regret en l’associant généralement à des angoisses, des souffrances et des larmes. Rien ne les rend plus mal à l’aise que de penser à la disparition de leurs parents, de leur épouse ou d’un ami très proche, ou même encore de leurs enfants.
Ce très profond fossé social concernant la mort l’a, en fait, coupée du sens même de la vie. Car c’est la Vie elle-même qui nous éduque à elle-même et nous l’avons oublié. La conséquence de cette attitude est que nous nions ainsi une part importante de la réalité de la vie et que nous négligeons la relation vitale qui existe entre la vie et la mort, celle-ci n’étant considérée que comme l’instant, le moment même de la fin de la vie.
L’on ne nous parle que très rarement de cette réalité des derniers moments de la vie et encore moins de l’importance et des conséquences de ceux-ci. La plupart des gens n’apprennent jamais à mourir et il ne leur est jamais donné l’occasion de se préparer à ce départ. Mais comment s’en étonner puisque l’on ne leur a pas appris non plus à vivre? Or la carence devant la mort n’est pas autre chose que la carence devant la vie! Sociétés « modernes et progressistes », mais qu’apprend-on dans vos écoles de plus important que l’art et la science de vivre et de mourir?
La Joie de Vivre – Le programme du Changement – Par André Fischer
La Joie de Vivre
LE PROGRAMME DU CHANGEMENT
1. LA JOIE DE GRANDIR
Le changement devant faire retrouver à l’homme LA JOIE DE VIVRE, son programme comporte une série d’actions à entreprendre par chacun, afin de rouvrir en lui les sources de joie, taries par la civilisation matérialiste, mais à raviver maintenant par l’écoute et l’effort intérieur, ce qui revient à faire revivre ce qui est l’essentiel de l’homme, son intuitivité, sa spiritualité profonde.
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Le désir et la volonté naturelle de grandir nous sont illustrés par la croissance de l’enfant et les crises de l’adolescence. L’homme recherche sa plénitude et chaque pas fait en ce sens est ressenti comme un don, un bonheur.
Or, le changement de civilisation doit se faire précisément dans le sens du développement des nobles potentialités intérieures de l’homme. Ce n’est en effet que par son humanisme authentique que l’homme peut et doit apporter des valeurs nouvelles au monde.
L’Éternel Retour – Par Jean Choisel
L’ÉTERNEL RETOUR
«Mourir, c’est sortir de l’existence pour entrer dans la Vie.»
– Charles Gounod – Musicien –
Il s’ensuit donc que, corollairement:
«Naître, c’est sortir de la Vie pour entrer dans l’existence terrestre».
A plusieurs reprises, une notion vieille comme le monde et universellement répandue – sauf en Occident chrétien – la notion de «réincarnation», a probablement frappé certains lecteurs et plus ou moins offusqué leur conscience de Chrétiens.
Car , bien entendu, nous ne nous adressons plus désormais aux matérialistes, dont nous n’espérons plus être compris, tant ils se sont depuis longtemps rendus incapables de pressentir les vérités sous-jacentes aux réalités qui apparaissent à nos observations.
La notion de réincarnation – également nommée «palingénésie» – fut en effet écartée des préoccupations théologiques chrétiennes à partir du Concile de Constantinople en 533. Elle ne fut pas déclarée fausse, ni absurde, elle ne fut pas davantage niée ni déclarée anathème mais, par un vote majoritaire des Pères conciliaires, il fut simplement décidé de l’écarter définitivement des préoccupations théologiques chrétiennes, lors de l’élaboration progressive d’un dogme alors en pleine formation. Comme si la décision d’écarter une hypothèse capable d’expliquer un si grand nombre d’observations pouvait changer quoi que ce soit aux réalités extra- sensorielles que cette hypothèse tente d’appréhender…!
Pourtant, la notion de réincarnation n’était pas absente des préoccupations chrétiennes, antérieurement au Concile de Constantinople, comme nous le verrons plus loin en consultant les textes évangéliques. Mais, dans leur souci compréhensible d’éliminer des enseignements chrétiens jusqu’au moindre reste d’un paganisme encore demeuré très vivace, les théologiens des premiers siècles du Christianisme, dont plusieurs Pères de l’Église, ont fait tant et si bien que, dans les meilleures intentions, ils ont rejeté certains enseignements déjà très répandus avant la venue du Christ, enseignements porteurs de vérités, tel, en particulier, celui de la réincarnation.
Les Paraboles expliquées – Les Images
Les Paraboles expliquées
Première Partie: Jésus parle en Images
Pourquoi Jésus parle-t-Il en Paraboles?
La Réponse nous est donnée dans Matthieu, chapitre XIII, versets 10 à 17:
«Les Disciples s’approchant, Lui dirent:
– «Pourquoi parles-Tu en Paraboles?»
– «C’est que», répondit-Il, «il vous est donné de connaître les Mystères du Royaume des Cieux, tandis qu’à ces gens-là cela ne leur est pas donné. Car à celui qui a, l’on donnera et il aura du surplus, mais à celui qui n’a pas, l’on enlèvera même ce qu’il a. C’est pour cela que Je parle en Paraboles: Parce qu’ils voient sans voir et entendent sans entendre ni comprendre.».
Nous voilà avertis! La compréhension d’une Parabole de Jésus se mérite. Il fait donc en sorte, avec Ses Paraboles, que ceux qui font un effort spirituel puissent Le comprendre mais pas les autres! Ici, la plus grande sagacité de l’intellect ne sert à rien; seule la réelle ouverture de l’esprit permet de repartir les mains et surtout le Cœur pleins…
Quant à l’explication de la Phrase de Jésus: «Car à celui qui a, l’on donnera et il aura du surplus, mais à celui qui n’a pas, l’on enlèvera même ce qu’il a», elle réside dans le fait que chaque esprit humain attire comme un aimant tout ce qui se trouve de même genre spirituel que lui. C’est une particularité de l’esprit. Et cette attraction est tout naturellement sensible à son prochain. C’est là que joue la Loi de l’Effet de Réciprocité. Par cette relation, le prochain éprouve alors distinctement sa force, et de ce fait, la «sympathie» s’éveille entre eux.
Tout ce qui est spirituel est magnétique. Et, que ce soit en l’attirant ou bien en l’absorbant, le plus fort domine toujours le plus faible. Cela n’est pas un mal; c’est conforme à la Loi et donc c’est bien. C’est ainsi qu’est encore enlevé «au pauvre» (c’est-à-dire au faible) le peu qu’il possède. Il perd son indépendance.
Le spectacle du Monde des êtres humains nous offre constamment de nombreux exemples d’êtres tout d’abord attirés puis ensuite littéralement phagocytés par des plus forts qu’eux…
Ce Processus existe pour, par une saine émulation, préserver les êtres humains de l’enserrement de la paresse mortelle.
L’évidente nécessité d’adorer Dieu
L’évidente nécessité d’adorer Dieu
« La pire des infirmités c’est d’être amputé … de Dieu! »
– Jacques Lebreton –
(Aveugle et amputé des deux mains).
Adorer Dieu?! Oui, pourquoi l’être humain devrait-il adorer Dieu? Adorer Dieu, cela suppose déjà de croire en Dieu. Impossible d’adorer un Dieu auquel l’on ne croit pas! Croire en Dieu cela veut déjà dire croire que Dieu existe. Et mieux que croire, ce serait mieux d’en être absolument convaincu!
Comment est-il possible d’être convaincu que Dieu existe? En vivant – ne serait-ce qu’une fois – une expérience au cours de laquelle l’on expérimente la Force Divine. Une telle expérience ne peut être vécue que par l’esprit humain, pas par son intellect ni par ses sentiments.
Celui qui, ne serait-ce qu’une fois dans sa vie, a ressenti la Force de Dieu sait que Dieu existe. Il n’a besoin d’aucune autre «preuve». Les preuves ne sont, en fait, que pour l’intellect, mais l’esprit, lui, n’a besoin d’aucune preuve, puisque l’esprit fait l’expérience vivante de l’évidence naturelle de la Vérité.
C’est la même chose lorsque l’aviateur du «Petit Prince» de Saint-Exupéry dit: «La preuve que le Petit Prince a existé c’est qu’il était ravissant, qu’il riait, et qu’il voulait un mouton. Quand on veut un mouton, c’est la preuve qu’on existe».
Il affirme ainsi clairement la primauté de l’expérience vécue sur tout le reste. L’aviateur a vécu son expérience et, de ce fait, il sait donc qu’elle est vraie. L’expérience vécue est, pour lui, elle-même la preuve.
Naturellement, cette expérience vécue ne vaut que pour celui qui l’a faite, pas pour les autres, pour lesquels elle ne peut constituer une «preuve», sauf d’être eux-mêmes capables de communier avec l’expérience vécue de celui qui l’a faite.
Celui qui a fait l’expérience de la Force Divine, du fait de Son expérience, sait aussi que ce que, pour lui, Dieu Est et ce qu’IL n’est pas. Par conséquent il sait que – en tant que l’ÊTRE Absolu – DIEU est la Lumière, la Vie et la Force et qu’IL est aussi la PURETÉ, l’AMOUR et la JUSTICE.
La Descente de la Force
La Descente de la Force
C’était vers le début du premier Millénaire de notre Ère… Des hommes s’étaient réunis. Ils étaient Douze.
Il y avait: Jean, Jacques, Pierre, André, Philippe, Thomas, Matthieu, Nathanaël, Barnabé, Démétrios, Nicomède et Lazare.
Ils avaient l’habitude de se réunir tous les jours, tantôt à un endroit, tantôt à un autre. Pourtant, ils craignaient que leurs réunions soient troublées par des importuns. C’est pourquoi, par des signes secrets, ils convenaient du lieu où ils voulaient se retrouver le jour suivant et ils se le disaient discrètement l’un à l’autre.
Un jour qu’ils étaient ainsi réunis, une violente Tempête éclata.
Pourtant, bizarrement, c’était sans que l’on ait vu, au préalable, le moindre signe de mauvais temps. étonnés, tous levèrent les yeux. Le Ciel était clair, il semblait même d’un éclat particulier.
Ce n’était cependant pas la tempête qui faisait rage, l’on croyait plutôt entendre de puissantes vagues déferler sur la rive.
L’anxiété gagna le cœur des habitants de la Cité éternelle. Qu’allait-il en résulter? Bien des gens quittaient leur maison pour se diriger vers un But déterminé. Ils se trouvèrent soudain en face des Douze; une Clarté lumineuse semblait émaner de leurs personnes.
– Regardez, s’écria une femme, bouleversée, des Langues de Feu brillent sur leurs têtes.
Mon Tsunamètre à moi
Mon Tsunamètre à moi
Un esprit en éveil peut recevoir, en temps opportun, des Avertissements qui peuvent sauver sa vie et celle de ses proches.
Cette nuit-là, je dormais paisiblement à côté de ma Bien-Aimée, dans le lit douillet de notre petite chambre à l’étage de notre petite maison de pêcheur, au bord du grand océan.
Vers trois heures du matin, je fus réveillé par la voix de soprane de mon Aimée disant très hautement:
– Elle arrive!
– Qui arrive? la questionnai-je, encore embrumé de sommeil, en pensant: «L’on n’a pas idée de réveiller les paisibles dormeurs en pleine nuit!».
– La Grande Vague!
– Quelle grande vague?
– Celle qui arrive!
– Où?
– Là, sur l’océan; je l’ai vue! elle vient sur nous!
– Là, je me ressaisis. Je n’eus aucun doute sur ce qu’elle disait et bondis sur mes pieds.
Après avoir sauté dans mon pantalon, je fonçai vers la porte. Je trouvai devant celle-ci le chat Mistigri, qui miaulait désespérément, demandant à pouvoir sortir… Je lui ouvris. Il détala promptement, virant tout de suite vers la droite, puis encore à droite…
Très enrichissant, je ressens une profonde gratitude. Que la lumière éclaire toute la terre. Que l'humanité ressente la grandeur du…
L'amour c'est vouloir le bien supérieur de l'autre. Aider l'autre à tendre vers le haut... Aller vers Dieu... L'amour ne…
Gratitude
Dans la vidéo la musique était bonne, mais quelque chose de vide y était. Ce qui explique le manque d'une…
Très belle vidéo d'images accompagnant l'ouvrage "Un regard dans un autre monde et La défaillance de l'humanité". Puissent-elles (ces images)…
Très belle Vidéo d'images accompagnant l'ouvrage" Un regard dans un autre Monde et la défaillance de l'humanité". Puissent-elles réveiller le…
Oui, comme le souligne Monsieur Dey Assy, nous sommes dans les temps où une irradiation, puissante et méconnue, inonde à…
En cette journée commémorant cette incompréhensible tragédie, rappelons-nous ces merveilleuses paroles afin que cela ne se reproduise plus jamais: Ne…
Une histoire très édifiante et riche de preuves pour ceux qui doutent encore. La réincarnation était enseignée dans l'église catholique…
Merci pour l'article. Faire la différence entre les sentiments et l'amour de l'âme n'est pas chose aisée. Deux notions qui…