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«Si je n’ai pas l’Amour…» – Par Paul de Tarse

«Si je n’ai pas l’Amour…» – Par Paul de Tarse

«Si je n’ai pas l’Amour…»

« Quand je parlerais les langues des hommes et des Anges, si je n’ai pas l’Amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit.
Et quand j’aurais le Don de Prophétie, la science de tous les Mystères et toute la Connaissance, quand j’aurais même toute la Foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’Amour, je ne suis rien.
Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’Amour, cela ne me sert de rien.
L’Amour est patient, il est plein de Bonté; l’Amour n’est point envieux; l’Amour ne se vante point, il ne s’enfle point d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s’irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l’injustice, mais il se réjouit de la Vérité; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.
L’Amour ne périt jamais. Les Prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.
Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie, mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.

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La crémation des morts – Par Roselis von Sass

La crémation des morts – Par Roselis von Sass

La crémation des morts

Roselis von Sass

Il est, à l’heure actuelle, surtout dans les villes surpeuplées, plusieurs qui recommandent la crémation. Il en est d’autres, par contre, qui, pour des raisons qui leur échappent, redoutent cette pratique de brûler le corps des morts. Cette crainte est absolument justifiée.
Lors des crémations réalisées à peu près vingt-quatre heures après la mort terrestre de la personne, l’âme concernée éprouve de brûlantes douleurs dans son corps de matière fine, puisque les menus fils de liaison encore existants entre le corps terrestre et l’âme constituent de bons conducteurs.
Lors d’un enterrement quelconque ou de toute autre sorte de funérailles qui préserve intact le corps du mort, l’âme qui attend auprès du corps éprouve seulement quelques douleurs dans les articulations. Lorsque commence le processus de décomposition proprement dit, les fils de liaison se trouvent déjà si cassants que l’âme ne sent presque rien, outre ces douleurs dans les articulations. Tout se passe bien autrement, évidemment, pour ceux qui se sont fortement attachés à la matière; ceux-ci souffrent tout le processus de la décomposition de leur corps. Dans ces cas-là, les fils de liaison se trouvent encore si fermes qu’ils constitueront jusqu’à une complète désintégration du corps, de très bons conducteurs.
Les créatures humaines d’autrefois, liées à la Lumière, savaient que pendant les vingt-quatre heures qui succèdent à la mort du corps, l’âme éprouve tout ce qui atteint le corps. Ainsi donc, furent instituées les veillées rituelles. Les prêtres étaient ceux qui s’engageaient le plus dans ces rites. Ils devaient protéger le corps mort contre toutes perturbations, afin que nulle souffrance ne soit causée à l’âme.

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Travail sur soi – Par Lucien Siffrid

Travail sur soi – Par Lucien Siffrid

Travail sur soi – Par Lucien Siffrid

Beaucoup, vraiment  beaucoup, à vrai dire «beaucoup trop» a déjà été écrit et dit concernant la nécessité de travailler sur nous-mêmes, concernant «le combat avec nous-mêmes». Ceci n’est pas dit pour signifier que le Travail sur nous-mêmes est superflu et inutile, car une telle idée serait fausse. Mais les discussions fréquentes sur ce sujet permettent au doute justifié de surgir selon que nous le considérons aussi honnêtement que nous pensons le faire, particulièrement si nous jetons un œil sur notre entourage à l’occasion de ce défi.
Même lorsque nous parlons de notre propre culpabilité – «mea culpa, mea maxima culpa» – il ne s’agit, dans de nombreux cas, que de bavardage creux. Nous souhaitons montrer aux autres la manière rigoureuse avec laquelle nous travaillons sur nous-mêmes; ou bien nous voulons nous rassurer et renforcer la conviction d’être sur le bon Chemin en train de conquérir une quelconque vertu humaine.
Écrire et parler du Travail sur soi n’est pas une mauvaise chose, car cela peut aider et nous faire du Bien si c’est fait de la bonne manière. Cela peut aider à voir plus clair et à reconnaître. Il y a cependant un grand danger: que l’intellect prenne les choses en main, forme les concepts et tire les conclusions finales. Dans ce cas, tout espoir de Travail sur soi réussi est vraiment, dès le départ, perdu.
Afin de saisir pourquoi le chemin de la reconnaissance intellectuelle est stérile et vain, il faut que nous comprenions que le Travail sur soi demande, en premier lieu, un combat avec ce même intellect, afin de briser sa domination. De notre plein gré, par nos propres décisions, nous avons succombé à l’intellect dans tous les domaines de l’existence depuis des siècles et des milliers d’années. Et c’est à cette tâche que nous devons faire face. S’y atteler au moyen de l’intellect serait équivalent à exorciser le diable avec Belzébuth, en d’autres termes, aucun but ne serait jamais ainsi atteint.
La solution du problème ne vient pas en édifiant en soi un schéma de pensée basé sur l’intellect et en s’imaginant être bien protégé à l’intérieur. Nous devons plutôt nous plonger dans la perception intuitive, dans le Royaume de l’âme et le Monde de l’esprit. De cette façon seulement nous réussissons à rompre la domination de l’intellect et à nous libérer de notre asservissement. Ainsi seulement pouvons-nous travailler sur nous-mêmes avec succès et devenir de vrais êtres humains.

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La Sélection naturelle – Par Jean Choisel

La Sélection naturelle – Par Jean Choisel

La Sélection naturelle

La grande crise de notre civilisation (dont nous avons jusqu’à présent observé les principales manifestations), et la mutation progressive dans les conceptions et les modes de vie que cette crise commence à provoquer aujourd’hui (mutation que nous allons désormais étudier au cours de ce second cycle de conférences) s’inscrivent toutes les deux dans le cadre d’un vaste phénomène naturel d’évolution planétaire, qui s’accomplit progressivement sous nos yeux.
Lorsque se produisent certains grands phénomènes naturels, comme des tremblements de terre ou des éruptions volcaniques, par exemple, il arrive souvent que ces phénomènes soient précédés de diverses manifestations préliminaires, telles que des secousses sismiques de faible amplitude, des grondements souterrains, des éclairs, des perturbations du champ magnétique local, etc. La durée et l’intensité de ces phénomènes préliminaires sont très variables. L’intensité peut en être faible, voire imperceptible à nos sens, comme elle peut aussi être de courte durée et de forte intensité. Mais, après cette période avertisseuse, le phénomène se déclenche souvent brutalement, bouleversant complètement l’équilibre ancien pour le remplacer par un nouvel équilibre.
Dans la succession des phases de tout phénomène évolutif naturel, il se produit donc des mutations brusques. Mais ces changements brusques sont presque toujours préalablement préparés et annoncés par des transformations qui, de lentes et imperceptibles qu’elles sont au début, s’accélèrent progressivement et croissent en importance jusqu’à un point de rupture où l’ordre ancien est brusquement et entièrement remplacé par un ordre nouveau.
Il en va exactement de même pour le grand phénomène de mutation de notre civilisation, tel qu’il s’effectue présentement sous nos yeux. Cependant, afin de mieux distinguer la manière dont s’accomplissent les grands processus évolutifs naturels, sans doute conviendrait-il de les considérer à partir d’une échelle d’observation qui nous soit humainement plus proche. Aussi, pour bien comprendre de quelle façon la nature cherche en toutes circonstances à promouvoir l’évolution générale en maintenant entre les règnes vivants ces subtils et rigoureux équilibres biologiques que l’on nomme les équilibres naturels, il nous faut commencer par les observer in vivo.

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La Libération des liens faux

La Libération des liens faux

La Libération des liens faux

À maintes reprises, il nous est parlé des liens faux – c’est-à-dire ceux qui nous tirent vers le bas – et de la nécessité de les trancher, voire même de les briser. Gardons-nous des liens inutiles.
De très nombreuses sortes sont les chaînes ou les lianes dans lesquelles les êtres humains s’entortillent avec une apparente aisance. Seuls ceux qui aspirent à l’Éveil, ressentent les liens de façon extrêmement douloureuse, parce que ceux-ci ne s’entaillent dans la chair que lorsque celui qui est ainsi ficelé essaye de s’en rendre libre. Lorsque la cage est dorée, l’oiseau est moins pressé de la quitter. Et, pourtant, cette Libération est l’unique chose qui puisse apporter le Sauvetage, face à l’engloutissement dans le sommeil de mort qui menace les enchaînés.
L’être humain a le devoir de se libérer des mauvais liens qui le retiennent vers le bas.
Comment et quand se forment les faux liens?
Les faux liens peuvent remonter à longtemps, souvent même à des vies antérieures. Chaque comportement faux génère de faux liens. Quand et comment est-il possible de s’en libérer? C’est principalement, déjà, à l’adolescence que l’occasion est offerte de se débarrasser des entravants mauvais liens des vies antérieures, ou, au contraire, de les renforcer, voire d’en créer de nouveaux.
Mais, hélas, dans la plupart des cas, l’être humain néglige cette si précieuse époque de transition et se laisse, par un entourage « mieux-sachant », orienter vers de faux chemins, qui le retiennent et alors le conduisent vers le bas. De ce fait, il ne peut pas rejeter les vibrations troubles adhérant à lui, celles-ci ne font que recevoir, au contraire, un nouvel afflux de forces en provenance du même genre, et c’est ainsi que la libre volonté de l’être humain est de plus en plus empêtrée, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus la reconnaître. Tout comme des lianes, auxquelles un tronc d’arbre sain offre, au début, en les soutenant, de l’aide, tandis que, pour seul remerciement, elles prolifèrent en l’étranglant et l’asphyxiant.

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La Musique et les Musiciens dans l’Ordre de la Création – Par Lucien Siffrid

La Musique et les Musiciens dans l’Ordre de la Création – Par Lucien Siffrid

La Musique et les Musiciens dans l’Ordre de la Création
Par Lucien Siffrid

Qui ne connaît le sentiment de bonheur et d’élévation {ressenti} lorsque, lors de l’exécution d’un morceau de concert, nous nous abandonnons totalement, lorsque nous pouvons expérimenter la beauté de la musique, dans son entraînant et apaisant effet sur les artistes interprètes, de même aussi que  sur les exécutants et les auditeurs?
En réalité, il ne s’agit, cependant, pas – pour autant que cela soit une authentique expérience vécue – d’un sentiment, mais, bien davantage, de l’intuition qui coule à travers notre âme et qui, de manière diversifiée, arrive à expression. L’un est comblé {de bonheur} et rayonne, l’autre si bouleversé, dans son {for} intérieur, que les larmes lui viennent aux yeux, à son tour un autre est rempli de gratitude de pouvoir entendre de tels sons.
C’est donc l’intuition {qui est} le point de départ de l’expérience vécue musicale – {et non} pas le sentiment, {qui est, quant à lui} dirigé par l’intellect.
La musique s’écoule, pure, en ondes vibrantes, issue des hauts Plans du Royaume Spirituel jusque dans la matière en bas. Atteint-elle, maintenant, des esprits humains comblés de Grâce, qui, consciemment ou inconsciemment, peuvent s’ouvrir à ces vibrations, alors se forme, dans le {fait de} S’Ouvrir, le compositeur recevant ou l’artiste exécutant, donc le pratiquant. Ils sont ainsi le chaînon de liaison vers ces vibrations pour ces auditeurs. Ceci est, en peu de mots, le processus dans sa simplicité et sa grandeur: le merveilleux courant des ondes et des vibrations vers le bas, qui affluent vers nous, les êtres humains de la Terre.
Si un grand et même entraînant effet peut être déclenché sur l’intuition de l’auditorat, alors il nous arrive un pressentiment du fait {objectif} {de savoir} quelle inimaginablement puissante Force est agissante dans la pure Musique du Plan spirituel, qui est l’origine de la Musique. – Cette origine se trouve tout à fait {en} haut, dans les lointaines Hauteurs du Royaume Spirituel Originel.

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Vivre Libre sans démons ni fantômes

Vivre Libre sans démons ni fantômes

Vivre Libre sans démons ni fantômes

« Si vous pardonnez aux êtres humains leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera à vous aussi ! »
– Jésus (Matthieu VI, 14) –

«Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.»
– «Notre Père» (Donné par Jésus) –

« Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront Miséricorde. »
– Jésus – Béatitudes – Sermon sur la Montagne –

«L’Amour endure tout, l’Amour supporte tout, l’Amour pardonne tout».
– Apôtre Paul – Épitre aux Corinthiens –

Une démarche d’Humilité.
«Connais-Toi Toi-même!». Cette Maxime inscrite au fronton du Temple de Delphes, dans la Grèce antique, conserve sa pleine actualité.
C’est souvent une démarche bien amère, surtout pour celui qui aimerait se croire ou se montrer différent – mieux – que ce qu’il est en réalité.
Différents rituels dans diverses religions invitent les pratiquants de ces religions à se reconnaître comme pêcheurs. Il y a là assurément un chemin qui mérite d’être parcouru, ce qui, malheureusement, en réalité, dans le formalisme de la plupart des pratiques religieuses traditionnelles, ne se fait pas souvent.
L’on peut s’illusionner soi-même, l’on peut illusionner les autres, un certain temps, mais l’on ne peut pas illusionner son Dieu. Un jour, chacun doit fatalement se reconnaître comme il est, et, assurément, pour lui le premier, le plus tôt sera toujours le mieux.

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Le Terrain de la véritable Amitié – Par Lucien Siffrid

Le Terrain de la véritable Amitié – Par Lucien Siffrid

Le Terrain de la véritable Amitié

Lucien Siffrid

Introduction
«Qu’un Ami véritable est une douce Chose!» a dit un grand auteur classique français! (Michel Eyquem de Montaigne, parlant de son Ami La Boétie).
Pourtant, il arrive souvent que de nombreux êtres humains soient déçus en Amitié. Souvent, ils imputent ces déceptions aux «amis», qui, de leur point de vue, se sont montrés peu dignes de la confiance qui leur avait été faite. En est-il vraiment ainsi?
Et, d’abord, un homme accompli a-t-il encore besoin d’Amis? Qu’est-ce que l’abnégation? Quel est le plus grand Triomphe pour l’être humain? A ces questions répond le présent texte, rédigé par un authentique auteur spirituel.
Lucien Siffrid est un tel auteur spirituel du XXème siècle, nanti d’un Savoir spirituel et d’une profondeur de pensée tout à fait au-dessus de la «norme». Voilà pourquoi il est à même d’éclairer de semblables sujets, de telle manière que ses lecteurs puissent réellement trouver une aide à la Progression personnelle, lorsqu’ils ont décidé de se lancer dans un important «Travail sur soi».

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Vers la véritable Amitié

Vers la véritable Amitié

Vers la véritable Amitié

Pour une véritable Amitié, un élan du cœur, c’est un très bon début! Un excellent début, par exemple, vers une réelle Amitié, une amitié en laquelle l’on ne pratique pas d’emblée le règlement de compte mais où l’on s’efforce d’abord d’établir des liens, à la manière dont, dans le célèbre livre d’Antoine de Saint-Exupéry, le renard et le Petit Prince s’apprivoisent mutuellement.
Dans le cadre de l’échange volontaire naturellement suscité par une telle amitié il est progressivement possible, de par l’ouverture bilatérale et le désir commun de faire de cette amitié une occasion de progression, d’apporter à l’autre, en fonction de son ouverture et de sa demande, une véritable aide à l’amélioration.
Mais c’est la première chose à faire!: Trouver le Terrain de la véritable Amitié, par conséquent établir d’abord l’amitié, une amitié basée sur le respect, avant de commencer à, d’emblée, balancer, sur l’autre, des piques ou du poil à gratter!
Voilà ce qui est conforme à la Loi:
« Que l’être humain exige donc, en premier lieu, tout de lui-même, avant d’attendre quelque chose des autres. »
« Celui qui n’exige rien du prochain mais tout de lui-même se tient dans la Loi de la Création de l’Amour. ».
Bref d’abord mettre en place le terrain de la véritable Amitié!, tel qu’explicité par Lucien Siffrid.

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Les Trois Rois – Les Rois Mages – L’Épiphanie

Les Trois Rois – Les Rois Mages – L’Épiphanie

Les Trois Rois – Les Rois Mages – L’Épiphanie

Histoire spirituelle des Rois Mages

L’église catholique célèbre l’Épiphanie – la Fête des Rois Mages – soit le 6 Janvier soit le premier Dimanche de l’année, donc le premier Dimanche après le « Jour de l’An », le 1er Janvier. En cette année 2024 il est possible de dire que le week-end des Samedi et Dimanche 6 et 7 Janvier est donc celui de l’Épiphanie.
Que savons-nous au sujet des Rois Mages? Seul l’Évangile de Matthieu en parle:
«Or, des Mages venant de l’Orient arrivèrent à Jérusalem. Ils demandèrent: Où est le Roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu se lever Son Étoile, et nous sommes venus Lui rendre hommage. […] Là-dessus, Hérode fit appeler secrètement les Mages et se fit préciser à quel moment l’Étoile leur était apparue. Puis il les envoya à Bethléem en disant: Allez là-bas et renseignez-vous avec précision sur cet Enfant; puis, quand vous l’aurez trouvé, venez me le faire savoir, pour que j’aille, moi aussi, lui rendre hommage.
Quand le roi leur eut donné ces instructions, les Mages se mirent en route. Et voici: l’Étoile qu’ils avaient vue se lever les précédait. Elle parvint au-dessus de l’endroit où se trouvait le petit Enfant. Et là, elle s’arrêta. En revoyant l’Étoile, les Mages furent remplis de joie. Ils entrèrent dans la maison, virent l’Enfant avec Marie, sa mère et, tombant à genoux, ils lui rendirent hommage. Puis ils ouvrirent leurs coffrets et lui offrirent en cadeau de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
Cependant, Dieu les avertit par un rêve de ne pas retourner auprès d’Hérode. Ils regagnèrent donc leur pays par un autre chemin.»
— Évangile selon Matthieu, 2, 1-12. —

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