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Les trois Temps de l’esprit humain

Les trois Temps de l’esprit humain

Les trois Temps de l’esprit humain

Par Salem Yahi

Lors d’une évocation du prophète Ésaïe (61, 1), le pape Jean-Paul II, Chef de l’Église catholique de 1978 à 2005, avait reconnu la réalité de l’esprit humain spirituel, jusqu’à parfaitement distinguer ce qui est de la chair et ce qui est de l’esprit. Lisons ses déclarations:
« … comme s’il les (les souffrances du futur Oint de Dieu) voyait de ses propres yeux, les yeux du corps et ceux de l’esprit. Il formula ainsi une vérité devant servir de guide aux chrétiens, où l’âme est escamotée, ce qui a pour conséquences d’effriter quelque peu l’enseignement du catéchisme: L’Esprit Saint doit être le guide suprême de l’homme, la lumière de l’esprit humain. Plus tard, ignorant encore l’âme, Jean-Paul II précisa que, non seulement l’esprit est porteur de conscience et de volonté, mais qu’il vit après la mort bien avant la venue de la résurrection:
On ne doit d’ailleurs pas s’imaginer que la vie après la mort ne commence qu’au moment de la résurrection de la fin des temps. Celle-ci est en effet précédée par cet état particulier dans lequel se trouve chaque être humain à partir du moment de sa mort. Il s’agit d’une phase de transition, où la disparition du corps s’accompagne de la permanence d’un élément spirituel, pourvu de conscience et de volonté, si bien que le “je” humain demeure, tout en étant naturellement privé d’être corporel à part entière. »
La lecture de ce texte requiert ce qui suit de la part des lecteurs : «Soyez fervents d’esprit» et «Que chacun ait en son esprit une pleine conviction». Enfin qu’ils se souviennent, qu’en vérité, Paul de Tarse a aussi donné cette précision: «Vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l’esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous.»
Aussi doit-on s’interroger des propos très étonnants apportés aux fidèles des églises dans l’enseignement de leur catéchisme, dans la mesure où les écrits du pape en sont éloignés et même carrément différents. Ainsi, prenons acte de l’imbroglio du catéchisme (1998) concernant l’“âme immortelle”: l’«“âme“ signifie le principe spirituel en l’homme» qui «est plus particulièrement image de Dieu». Ou encore : «“esprit” signifie que l’homme est ordonné dès sa création à sa fin surnaturelle, et que son âme est capable d’être surélevée gratuitement à la communion avec Dieu».
Le contenu de la Bible est totalement ignoré par la théologie chrétienne lorsqu’il s’agit de rechercher et de définir, à la fois, l’existence et la nature de l’esprit humain. Pourtant avec un minimum de curiosité et d’efforts, à partir d’extraits choisis, la Bible peut inscrire l’esprit humain dans un vaste panorama en trois temps dans lequel, jamais, Dieu n’a cessé de tendre sa Main aimante et sévère vers l’homme. Dans ce sens, malgré toutes les modifications et imperfections que la pensée et la main lui ont fait subir au cours des âges, le livre biblique constitue une preuve éclatante de la réalité de l’esprit si réfutée par l’Église.
À ce titre, la Bible reste un support de recherche spirituelle puissant lorsque que son étude est portée par “l’intelligence spirituelle”, qui, elle, bénéficie de la Grâce de Dieu, ce qui n’est jamais appelé sur l’âme ou la chair.

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La Foi et les œuvres

La Foi et les œuvres

La Foi et les œuvres

La Foi ou les œuvres?
Qu’est-ce qui peut nous justifier devant Dieu? La Foi, les œuvres? Seulement les œuvres? Seulement la Foi?
C’est peut-être la question la plus importante de toute la théologie chrétienne. Elle a été à l’origine de la Réforme, la rupture entre les Églises protestantes et l’Église catholique. Elle est l’une des différences fondamentales entre le Christianisme biblique et la plupart des confessions se présentant comme chrétiennes. Sommes-nous sauvés par la Foi seule ou par la Foi et les œuvres? Sommes-nous sauvés rien qu’en croyant en Jésus, en croyant qu’Il est notre Sauveur, ou bien y a-t-il des « choses » à faire en plus?
La Réforme – La doctrine de Luther – Les Cinq Solas
« Sola fide » (expression latine à l’ablatif signifiant « Par la Foi seule ») est une expression latine désignant le principe protestant selon lequel seule la Foi peut sauver l’être humain, c’est-à-dire lui assurer son Salut éternel. Il fait partie des traditionnels Cinq Solas.
Les Cinq solas sont cinq formules en latin qui forment les cinq piliers du Protestantisme en matière de sotériologie. Autrement dit, il s’agit des cinq Principes sur lesquels repose le Salut éternel de l’être humain.
Voici donc les Cinq Solas…

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La résurrection de la chair

La résurrection de la chair

La résurrection de la chair

A l’occasion de la Semaine Sainte et de la Fête de Pâques, nous avons déjà examiné la question de la Résurrection fin-matérielle de Jésus.
En corrélation avec les Apparitions de Jésus après Sa mort, dans un chapitre de son livre « Die Welt wie sie sein könnte » [« Le Monde comme il pourrait être »], consacré au Sacrifice du Golgotha, Herbert Vollmann examine aussi la question de la « résurrection de la chair »…:
« Il convient de mentionner ici une autre interprétation de la mort de Jésus. L’on rapporte que Jésus ne serait pas mort sur la croix. Il paraîtrait qu’Il vivait encore lorsqu’on Le descendit de la croix. Le Suaire de Turin, que l’on considère comme celui de Jésus, doit en être la preuve. Jésus aurait, dit-on, repris des forces dans la tombe et II serait ressuscité dans Son corps gros-matériel d’alors. Le peuple juif ne serait donc pas responsable du meurtre de Jésus. De plus, Jésus n’aurait pas abandonné Son corps gros-matériel pour prendre un corps céleste avant qu’Il ne ressuscite du tombeau mais seulement peu de temps avant Son Ascension, afin de franchir la limite terrestre.
Par ailleurs, selon d’autres sources scientifiques, l’on a constaté; à l’examen du Suaire; que Jésus serait mort étouffé sur la croix par suite de la crucifixion.
Il convient d’ajouter à cela que c’est la décision de tuer Jésus — décision que prirent les prêtres avec la ferme intention de Le voir mourir sur la croix — qui fut déterminante pour la faute.
Même si Jésus était encore en vie après avoir été descendu de la croix [NDLR: Selon les Évangiles et selon « Le Livre de Jésus, L’Amour de Dieu », il est, toutefois, bien mort sur la croix.], ce ne fut que pour un court laps de temps. En fait, l’on ne peut accepter cette interprétation étant donné que Son corps gros-matériel n’était plus apte à la vie après les mauvais traitements et les souffrances endurées sur la croix [NDLR: Sans même parler de la flagellation et du couronnement d’épines déjà bien suffisants pour entraîner la mort d’un être humain normalement constitué.].
La résurrection de Jésus après Sa mort terrestre est une affaire qui concerne l’Au-delà et non l’En-deçà. Jésus ne pouvait pas monter au Ciel avec Son corps gros-matériel parce que les Lois naturelles, qui n’expriment rien d’autre que la Volonté de Dieu, rendent la chose impossible.

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Manger ou être mangé

Manger ou être mangé

Manger ou être mangé

L’être humain a-t-il le droit de tuer des animaux pour les manger? Le sujet a déjà été examiné (page privée). Les animaux sont-ils des choses ou bien des êtres vivants avec une âme? A ce sujet nous avons examiné l’opinion du très cartésien René Descartes. Ce que nous voulons maintenant ici approfondir c’est le combat pour la vie dans la Nature.
Seule la vie entretient la vie. Un règne se donne pour la survie du règne supérieur (par exemple, le règne végétal pour la survie du règne animal). Outre que de nombreux petits animaux se donnent pour la survie de plus gros, le règne animal aussi se donne pour la survie du règne humain. Il n’est pas possible aux êtres vivants de manger du plastique pour survivre.
Si tous les animaux étaient végétariens, la question du bien-fondé du combat dans la Nature ne se poserait pas. Selon une Prophétie de l’Ancien Testament, un jour le lion broutera paisiblement à côté de l’agneau…:
« Le loup et l’agneau paîtront ensemble, le lion, comme le bœuf, mangera de la paille, et le serpent aura la poussière pour nourriture. Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute Ma Montagne Sainte. », dit l’Éternel (Isaïe LXV, 25).

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« Croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. »

« Croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. »

« Croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. »

Dans la Prière réside le plus grand Bonheur qui puisse échoir à un être humain.
La Parole de Jésus, extraite de l’Évangile de Marc, citée en titre du présent article, est humainement très surprenante: Jésus demande à Ses auditeurs, qui lui font confiance, de croire qu’ils ont déjà reçu ce qu’ils demandent dans la Prière, à la suite de quoi l’exaucement en est promis!
Voici le Passage entier:
« Je vous le dis: « En Vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: « Ôte-Toi de là et jette-Toi dans la mer », et s’il ne doute point en son cœur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. Et, lorsque vous êtes debout faisant votre Prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père Qui est dans les Cieux vous pardonne aussi vos offenses.… » (Marc, XI – 23-25).
Cela indique donc clairement que, outre la Foi, la condition pour l’exaucement de la Prière réside, pour le priant, dans le pardon à autrui des préjudices à lui occasionnés par eux.
A cette Parole font écho plusieurs autres, également de Jésus:
« Demandez, et l’on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l’on vous ouvrira ».… – Matthieu VII – 7-11 –
« Je vous dis encore que, si deux d’entre vous s’accordent sur la Terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les Cieux. » – Matthieu XVIII, 19 –
Il faut donc, pour cela, d’abord s’accorder, au moins déjà à deux.
« Tout ce que vous demanderez avec Foi par la Prière, vous le recevrez. » – Matthieu XXI – 21-22 –
« Et moi, je vous dis: Demandez, et l’on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l’on vous ouvrira.… » – Luc XI – 9-13 –
« Et tout ce que vous demanderez en mon Nom, Je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. »  – Jean XIV, 13 –
En ce cas, pour que Jésus le fasse, la demande doit donc être effectuée au Nom de Jésus.
« Si vous demeurez en moi, et que mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. » – Jean XV, 7 –
L’exaucement est conditionné par le fait de demeurer en Jésus et que les Paroles de Jésus demeurent en nous.
« En ce jour-là, vous ne m’interrogerez plus sur rien. En Vérité, en Vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, Il vous le donnera en mon Nom.… » – Jean XVI – 23-27 –

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Le Temps de la Fin attire l’esprit vers le Commencement

Le Temps de la Fin attire l’esprit vers le Commencement

Le Temps de la Fin attire l’esprit vers le Commencement

Un fait n’est jamais évident: Chacun forge son propre destin individuel par le biais de ses choix, de ses désirs, de ses pensées, de ses actions et de ses décisions. Que chacun puisse intervenir directement à la construction de sa propre histoire personnelle ne semble pas s’imposer d’emblée chez la plupart des gens. Cela s’explique sans doute parce qu’il y faut préalablement une condition: ce “chacun” a besoin de prendre conscience de sa réelle constitution, de son véritable “JE” qui est esprit. Lui est l’être vivant, le seul appelé à devenir et rester le seul maître à bord de son vaisseau charnel sur cette Terre qui ne cesse d’exercer ses deux rotations. Dans la plupart des cas, l’intellect dicte ses exigences et ses désirs jusqu’à se targuer d’être spirituel. Mais vivre en esprit, tous les grandes figures extatiques l’ont dit ou écrit, il y faut un cœur pur et une vie saine qui seuls donnent accès à la véritable expérience du vivant. C’est par l’esprit éveillé et le partage d’expériences avec autrui que l’être humain, chaque jour, peut se rendre meilleur. Et ce court texte est l’annonce d’une quête, d’une humble recherche dans ce qui est le plus merveilleux en soi-même, et qui, parfois, peut toucher au grandiose.

Toute quête laisse entrevoir qu’une bataille intérieure se joue toujours au tréfonds de l’être. Ses effets sont rarement visibles immédiatement, mais ils possèdent le pouvoir de raccrocher l’esprit à son origine. C’est un état d’être qui agit tel un mortier de scellement à la Lumière. Certes, le juste accomplissement est encore à venir, peut être ne se manifestera-t-il pas ici sur Terre, au cours de cette vie. Cependant, pétri de bonne volonté, l’état intérieur constant est un véritable aimant – au sens magnétique et au sens de l’amour – qui attire à soi des myriades lumineuses, sortes de délicates petites étincelles qui élaborent et tissent un nouveau devenir à plus tard ici-bas ou dans l’au-delà avec un autre prochain passage sur Terre.

Peu à peu, brique après brique spirituelle, l’édifice intérieur renouvelé se dessine autour de l’esprit devenu apte à un futur résurrectionnel. Le but n’est pas encore atteint mais l’esprit est appelé à s’élever, à vibrer autrement, à rayonner les nouvelles couleurs et à former les nouveaux sons de son enveloppe animique. Lui ne le sait pas encore, tout juste perçoit-il plus de joie en lui-même, car la Lumière travaille à l’édifier dans le sens du beau. Ce nouveau vêtement est semblable à une clé qui libère et ouvre vers plus de clarté, plus de légèreté. La clé déverrouille la porte qui mène à la voie de la résurrection, vers l’atteinte, un jour, à l’immortalité dans l’éternité. Désormais son libre arbitre (NDLR: libre volonté) est ascendant, formateur des conditions de sa métamorphose que pressent l’intuition. Très loin, très haut, s’éclaire une image de la créature archétypale humble et cristalline que l’esprit doit devenir. Cette clé du changement tend son libre arbitre vers plus de progrès intérieur, il forme des pensées et des décisions conformes aux Lois de Dieu. Un libre arbitre régénéré dont le pouvoir révèle les contours de l’esprit vainqueur – de lui-même – qui, un jour, sera autorisé à franchir la porte du Royaume spirituel. La clé offre à son esprit une indépendance réalisatrice nouvelle dans le respect harmonieux de la Loi de la Vie. Elle le dirige vers le radieux sommet de l’achèvement de sa longue pérégrination. Et déjà, il n’est plus que gratitude, n’aspirant qu’à se rallier à l’étendard de la Vérité afin de s’y déployer dans sa Lumière.

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Pierre – Rocher – Roc

Pierre – Rocher – Roc

Pierre – Rocher – Roc

Par Salem Yahi

Le premier élément qui nourrit le sens de “pierre” en tant que mot et nom se lit dans Exode qui mentionne la Loi et les Commandements gravés dans la pierre; et dans une étroite interaction un chef d’œuvre de morale destiné à l’humanité est créé. «Le Seigneur dit à Moïse: “Monte vers moi sur la montagne et reste là, pour que je te donne les tables de pierre: la Loi et le Commandement que j’ai écrits pour les enseigner.”».
Moïse et les Tables de la Loi
La pierre est une indication de l’immuabilité que représentent les Paroles divines qui y sont inscrites, le temps peut s’écouler, longtemps, très longtemps avant qu’elles ne puissent s’effacer. Cette pierre est solide capable de supporter la chaleur, le froid, l’humidité et la sécheresse, temps et éléments n’ont que peu de prise sur les Paroles qui y sont ciselées. À l’être humain, il est indiqué que sa chair passera mais que la Loi demeurera pour les siècles à venir, traversant les générations, comme témoin de la présence de Dieu et des premiers pas d’Israël.  Mais la pierre à son talon d’Achille: elle peut être brisée par le geste de colère qui se dresse face à l’ignominie morale et l’ingratitude humaines. «Puis ayant achevé de parler avec Moïse, il lui donna les deux tables de la charte, tables de pierre, écrites du doigt de Dieu.»
Les Paroles inscrites dans la pierre par le “Doigt de Dieu” ont comme propriété d’en élever le niveau de vibration pour en faire un socle sacré que seules des mains choisies et appelées pourront toucher. On comprend dès lors pourquoi Dieu dit à Moïse: «Si tu m’élèves un autel de pierre, tu ne le bâtiras point en pierres taillées; car en passant ton ciseau sur la pierre, tu la profanerais.». La pierre est à l’état naturel, non soumise à la transformation par l’homme, ses propriétés sont donc inaltérées par la main de l’homme, nous verrons plus avant la force symbolique qu’elle recèle.
L’écrit qui marque la pierre est un ensemble de dix Paroles, un décalogue, dont la vertu est de réaliser l’alliance entre Dieu et les hommes: «Et il écrivit sur les tables les paroles de l’alliance, les dix paroles. Or, quand Moïse descendit du mont Sinaï, ayant à la main les deux tables de la charte, quand il descendit de la montagne, il ne savait pas, lui Moïse, que la peau de son visage était devenue rayonnante en parlant avec le Seigneur.». Le Livre « Deutéronome » apportera une reformulation complète de l’événement de l’alliance divine avec l’humanité caractérisant fortement la dimension symbolique de la pierre: «Quand je suis monté sur la montagne pour recevoir les tables de pierre, les tables de l’alliance que le Seigneur avait conclue avec vous, je suis resté sur la montagne quarante jours et quarante nuits, sans manger de pain ni boire d’eau. Le Seigneur m’a donné les deux tables de pierre, écrites du doigt de Dieu, où étaient reproduites toutes les paroles que le Seigneur avait prononcées pour vous sur la montagne, du milieu du feu, au jour de l’assemblée. C’est au bout de quarante jours et de quarante nuits que le Seigneur m’a donné les deux tables de pierre, les tables de l’alliance.».

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Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Respecter fidèlement neuf Commandements
et ne pas en observer ne serait-ce qu’un seul,
cela a pour conséquence, en définitive,
la perdition!

Concernant les Dix Commandements de Dieu, un être humain qui transgresse un seul Commandement ne peut pas aller au Paradis et donc être sauvé.
A plus d’un une telle affirmation pourra sembler terriblement dure, parce que la mentalité humaine courante se dit: « Quelqu’un qui respecte intégralement neuf Commandements de Dieu c’est déjà quelqu’un de très bien! ».
Face à cela plusieurs réflexions peuvent être partagées:
– Les Dix Commandements forment évidemment un indissociable Tout. L’on ne peut pas sérieusement concevoir un être humain réellement soucieux d’accomplir la Volonté de Dieu et qui s’imaginerait que cela suffirait de l’accomplir aux neuf dixièmes. Celui qui a vraiment à cœur d’accomplir la Volonté Divine voudra le faire en toutes choses et particulièrement là où il présente des points faibles. La Fidélité consiste uniquement à accomplir tous les Commandements de Dieu et pas seulement certains.
– Par exemple, la transgression du Deuxième Commandement – indissociable du Premier Commandement – est peut-être la transgression la plus fréquente, tellement elle est, aujourd’hui, banalisée (on la voit, par exemple, complètement généralisée à tous propos dans les films, les séries, les feuilletons, etc.). C’est, pourtant, à l’évidence, manifestement une offense contre Dieu Lui-même, voire un blasphème! Car le Nom de Dieu est Saint, comme Lui-même! C’est probablement le deuxième Commandement non seulement dans l’ordre des Commandements mais aussi – juste après le Premier – en importance, de sorte que son respect est indispensable!

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Arrivée à Jérusalem

Arrivée à Jérusalem

Arrivée à Jérusalem

« Lorsqu’Il approcha de Bethphagé et de Béthanie, vers la montagne appelée Montagne des Oliviers, Jésus envoya deux de Ses Disciples, en disant: Allez au village qui est en face; quand vous y serez entrés, vous trouverez un ânon attaché, sur lequel aucun homme ne s’est jamais assis; détachez-le, et amenez-le.
Si quelqu’un vous demande: « Pourquoi le détachez-vous? », vous lui répondrez: Ceux qui étaient envoyés allèrent, et trouvèrent les choses comme Jésus les leur avait dites. Comme ils détachaient l’ânon, ses maîtres leur dirent: « Pourquoi détachez-vous l’ânon? ».
34 Ils répondirent: – « Le Seigneur en a besoin. ».
35 Et ils amenèrent à Jésus l’ânon, sur lequel ils jetèrent leurs vêtements, et firent monter Jésus.
36 Quand Il fut en marche, les gens étendirent leurs vêtements sur le chemin.
37 Et lorsque, déjà, Il approchait de Jérusalem, vers la descente de la Montagne des Oliviers, toute la multitude des Disciples, saisie de Joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu’ils avaient vus.
38 Ils disaient: Béni soit le Roi Qui vient au Nom du Seigneur! Paix dans le Ciel, et Gloire dans les Lieux très hauts!

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Qu’est-ce que la Sainte Trinité?

Qu’est-ce que la Sainte Trinité?

Qu’est-ce que la Sainte Trinité?

En ce Dimanche  de la Sainte Trinité 2024 (Dimanche 26 Mai 2024) c’est l’occasion d’approfondir la Notion de Sainte Trinité.
Dans la Chrétienté, la Trinité Divine, aussi appelée Sainte Trinité c’est la Notion que DIEU, tout en étant Unique, Se compose maintenant de trois Personnes distinctes: le Père, le Fils et le Saint Esprit, les Trois ayant la même Valeur, et ayant la même « Nature » (ou absence de Nature!) Divine.
Cette absence de Nature, nous l’appelons « Inentéallité », mot d’origine latine (il provient du participe présent du verbe « esse » [« être »] « ens, entis », qui signifie « absence de caractéristiques », « absence d’attributs », autrement dit veut dire que DIEU possède Son ÊTRE en Lui-même, étant donné qu’IL est Lui-même l’ÊTRE, de qui tous les autres êtres tiennent leur propre être.
Il veut dire aussi que tous les qualificatifs du langage humain sont dérisoires, lorsqu’il s’agit de parler de Dieu. Aucun ne Lui convient sans Le déprécier, Le rabaisser, Le ravaler à la mesure humaine! DIEU n’est ni beau ni intelligent ni merveilleux, ni quoi que ce soit d’autre, IL EST!, et c’est tout! Et cet ÊTRE contient tout!

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