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Noël, neuf mois plus tôt

Noël, neuf mois plus tôt

Noël, neuf mois plus tôt

Au centre du village, la jeune fille était à la fontaine et puisait de l’eau. Son sac sur le dos, le randonneur était arrivé sur la place et, assoiffé, regardait la fontaine. Il attendait que la place soit libre pour étancher sa soif…
En attendant, il regardait la jeune fille. Elle était très belle. Brune, élancée, avec une naturelle distinction. Elle portait aussi un voile sur la tête, couvrant en partie sa longue chevelure d’un noir de jais.
Lorsqu’elle eut rempli sa cruche, elle regarda autour d’elle – avait-elle aperçu le jeune randonneur ? – puis prit un chemin se dirigeant vers l’extérieur du village. Sylvain – c’était le nom du jeune randonneur – se dirigea rapidement vers la fontaine, but encore plus rapidement une gorgée d’eau fraîche, puis, à distance respectueuse, emboîta le pas à la jeune fille…
Marie – c’était le nom de la jeune fille – arriva à un embranchement : à gauche cela conduisait chez elle où habitaient aussi ses parents ; à droite cela menait vers un bois au pied d’une petite montagne. Elle bifurqua à droite.
Sylvain, lui aussi, obliqua vers la droite… En fait, en tant que randonneur, il n’avait pas d’objectif précis ; il allait, tout simplement, vers ce qui l’attirait… Et, pour l’heure, ce qui l’attirait, plutôt que le paysage, c’était un être humain, une merveilleuse jeune fille…
La jeune fille continuait son chemin, sa cruche d’eau pleine contre sa poitrine. En fait, il n’était pas très logique d’emmener sa cruche d’eau avec elle pour aller dans les bois – l’eau c’était plutôt pour la maison –, mais, partir vers le bois, au départ, ce n’est pas ce qu’elle avait prévu.
Le chemin décrivait une large courbe allant vers la droite, avant de progressivement s’enfoncer dans le bois… Marie marchait d’un pas vif mais sans hâte, elle était en promenade et regardait autour d’elle, accueillant les bruits et les impressions de la Nature, ramassant un champignon, ici ou là.
Marchant doucement, adaptant ou adoptant son pas, Sylvain la suivait à quelques centaines de mètres. À aucun moment Sylvain ne la vit tourner la tête pour regarder derrière elle, mais il aurait juré qu’elle savait qu’il se trouvait derrière elle.
Marie passa la lisière du bois et commença à pénétrer sous la chênaie. De nombreux oiseaux chantaient dans les ramures, dont des rouge-gorge.
Lorsque Sylvain eut, à son tour, pénétré dans le bois, tout d’abord il ne la vit pas. S’était-elle cachée ?
Soudain, il la vit. Son vêtement brun se confondait avec l’environnement ; c’est pour cela qu’il ne l’avait pas, tout d’abord, vue. Elle était assise sur une pierre et lui tournait le dos aux trois quarts.
Il s’approcha, à pas mesurés. Son cœur battait plus fort…
C’est seulement lorsqu’il fut à à peine une dizaine de mètres d’elle qu’elle se tourna vers lui en levant les yeux. Était-elle surprise ? Rien, dans son regard ou son attitude ne permettait de l’affirmer.
Sylvain, qui, déjà, marchait lentement, ralentit son pas encore davantage, jusqu’à finir par s’arrêter complètement, à quelques mètres d’elle …
Leurs regards se croisèrent et se pénétrèrent. Longuement. Le silence dura plusieurs minutes. Juste un regard mutuel.
L’initiative venant manifestement de Sylvain, c’était à Marie d’exprimer ou non son accord. Elle demeura silencieuse encore un bon moment, sans bouger. Sylvain aussi restait immobile, le regard fixé sur elle, son sac toujours sur le dos.
Alors, elle fit un geste et tendit sa gracieuse main à elle dans sa direction à lui. C’était clairement une acceptation. Sylvain posa son sac dans la mousse à ses pieds. Puis il s’approcha, avec une respectueuse timidité, encore plus lentement qu’il ne l’avait fait jusqu’ici.
Toujours assise, elle resta la main tendue jusqu’à ce qu’il se tint, debout, tout proche d’elle. Alors, il s’accroupit et même s’agenouilla, se tenant ainsi à la même hauteur de visage qu’elle… C’est alors qu’il lui prit la main…

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Une femme féminine c’est une femme en robe!

Une femme féminine c’est une femme en robe!

Une femme féminine c’est une femme … en robe!

Il y a des évidences tellement simples que plus personne n’en parle! En un tel domaine il n’y a strictement rien à prouver: Où un être humain – en particulier ici une femme -, non avec son intellect mais avec son intuition, est capable de percevoir ou de ressentir immédiatement la vérité d’une telle sentence ou bien il ou elle ne l’est pas!

S’il ou elle ne l’est pas, c’est possiblement – voire probablement – que des idéologies matérialistes mortifères – comme, par exemple, le wokisme – sont passées par là. La destruction des Vraies Valeurs de la Vie comme le rôle spécifique de la femme (dont – en dépit de son caractère sacré – la maternité n’est pas le plus important!), le foyer, la famille, etc., fait, à l’évidence, partie du nouvel ordre des barbares [page privée et protégée par un mot de passe à demander à la rédaction du site].

Certes – tout comme l’habit ne fait pas le moine – porter une robe (ou une jupe) ne suffit pas à faire une femme, mais une femme toujours en pantalon (on ne parle pas ici de circonstances exceptionnelles pouvant justifier le port occasionnel d’un pantalon) et jamais en robe montre, à l’évidence, qu’elle n’aspire pas à la féminité.

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Le bon et le mauvais côté de l’esprit de famille

Le bon et le mauvais côté de l’esprit de famille

Le bon et le mauvais côté de l’esprit de famille

L' »esprit de famille » – plus exactement le « sens de la famille » (le mot « esprit » ne se réfère pas exactement ici au spirituel) – est souvent exalté. Bien sûr, la famille et le foyer sont et demeurent des valeurs sûres, mais là où l’intellect et le sentiment prennent la première place au détriment de l’esprit l' »esprit de famille » ou – mieux dit – le « sens de la famille » [en allemand: « Familiensinn »] peut devenir un véritable fossoyeur pour les âmes.
Un proverbe dit joliment: « L’on est de son enfance comme l’on est d’un pays ». La famille est, bien sûr, le terreau idéal pour permettre à l’être humain de grandir, se développer, s’épanouir, découvrir les Vertus, développer ses facultés, et devenir un être humain accompli. Il n’est, bien sûr – surtout à notre époque -, ici pas question de remettre cette réalité bien établie en cause.
Chaque esprit humain est, toutefois, en fait, une individualité. Même si, sur une rive certains le regardent partir et sur l’autre rive d’autres le regardent arriver, l’être humain naît seul et meurt seul. Devant son Dieu – même lorsqu’il a accepté des conceptions venant d’autrui et en particulier d’une collectivité quelconque – il est seul responsable de ses pensées, de ses paroles et de ses actes.
Personne ne peut s’abriter derrière sa famille, sa communauté, la société dans laquelle il vit ou quelque autre collectivité que ce soit, pour tenter d’excuser ses œuvres (dont font aussi partie ses pensées et ses paroles) et son comportement. Dans la Création il n’y a pas de communisme! L' »esprit de famille » déformé est une forme de communisme à l’échelle de la famille, tandis que le communisme est une sorte de sens de la famille à l’échelle d’un état. Tout cela est faux!

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Maternité

Maternité

Maternité

Par Eva-Margret Stumpf

La maternité peut être développée par chaque femme,
Elle n’a pas besoin d’être mère elle-même.

Combien de nombreuses tâches il y aurait pour les femmes, une fois qu’elles se seraient libérées de l’erreur de croire que la maternité corporelle est leur unique objectif! Poussez donc {plus loin}! – Vers la Liberté et la Dignité spirituelles! Ne vous laissez pas tenir emprisonnées dans le domaine corporel! Conquérez la véritable indépendance! Vous suivez en cela des chemins complètement faux!

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On récolte les enfants que l’on a semés

On récolte les enfants que l’on a semés

On récolte les enfants que l’on a semés…

Bien que le sujet soit sérieux, puisque, fondamentalement, il s’agit de la Loi de l’Effet de Réciprocité, voici une petite vidéo amusante traitant, à la mode israélite, le sujet de l’éducation des enfants, en deux minutes et vingt secondes, mais il est vrai qu' »une image vaut mille mots », alors une image animée de deux minutes et vingt secondes…
La morale de l’histoire est, bien sûr, limpide: Quelle que soit la religion que l’on a – ou que l’on n’a pas -, en fonction de la Loi de l’Effet de Réciprocité, l’on a les enfants que l’on mérite.
Naturellement, pour une croyance qui n’accepte pas la réincarnation ni le karma, l’explication est recherchée au sein de la seule vie présente: L’enfant, mal éduquée parce que délaissée pendant son enfance par un père accaparé par ses préoccupations d’adulte, devient, à son tour, une adulte égoïste.
Naturellement, l’on ne peut que voir là une juste rétribution aux manquements survenus quelques décennies plus tôt. Après tout – quelle que soit la religion des protagonistes -, le karma peut aussi s’enclencher et se répercuter au cours d’une seule et même vie.

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La vie, l’amour, le mariage

La vie, l’amour, le mariage

La vie, l’amour, le mariage

La vie
La vie nous est donnée. A chaque vie terrestre nous en prenons terrestrement conscience au cours des années suivant la naissance. La vie est une chose sérieuse, ce que ne reflètent pas toujours des maximes comme: « La vie est dure » (ce qui est faux; ce n’est pas la vie qui est dure, c’est le karma de certains qui, en conséquence de leurs comportements, est devenu pénible à vivre), « On n’a qu’une vie » (ce qui est, d’ailleurs, faux!) et « La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie! » (Comment peut-on dire que « la vie ne vaut rien »?!), etc.

L’amour
L’Amour donne un sens à la vie ou, plutôt, il le révèle. Beaucoup se contentent, toutefois, d’ « amourettes » exclusivement sentimentales, lesquelles n’ont pas grand chose à voir – voire rien! – avec l’Amour véritable. L’Amour n’est pas « romantique », il est!

Le mariage
Associé à l’amour il y a souvent – quoi que de moins en moins – le mariage. Alors, se marier ou non? Il n’y a pas si longtemps, au sujet d’une jeune fille qui se décidait enfin à se marier après « avoir coiffé Sainte Catherine » l’on disait d’elle: « Il faut bien faire une fin! ». L’idée était qu’avant vingt-cinq ans elle aurait peut-être pu choisir son mari mais qu’après elle n’avait plus le choix: Elle devait accepter le premier qui se présentait…

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Un enfant se souvient d’une vie antérieure

Un enfant se souvient d’une vie antérieure

Un enfant se souvient d’une vie antérieure

Avec le film – basé sur une histoire vraie – « Les ombres du passé »  nous avons déjà pu expérimenter une histoire au cours de laquelle, de façon crédible, un être humain se souvient d’une incarnation antérieure.

En voici une autre mettant en scène un enfant se souvenant – comme, dans Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire – de sa vie antérieure (*) …

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Famille et Foyer

Famille et Foyer

Famille et Foyer

La Famille, lieu d’accueil pour les esprits de l’Au-delà
La famille est le lieu normal et naturel pour l’accueil sur Terre d’une ou plusieurs âmes en provenance de l’Au-delà.
Si un couple, composé d’un homme et d’une femme spirituellement libres, s’unit corporellement, cela implique que cet acte puisse éventuellement aboutir à une procréation. Cela n’est pas certain mais c’est possible et – si les conditions pour cela exigibles sont toutes réunies – c’est même probable.
Cela signifie qu’en ce cas les deux parents (s’ils ont déjà un ou plusieurs enfants) ou – pour le moins – parents potentiels sont prêts à accueillir comme hôte-durable (21 ans, selon les Lois), au sein de leur famille, un (ou même plusieurs en cas de jumeaux, triplés, quadruplés, quintuplés, etc.) esprit humain étranger, dans le but de lui – ou de leur – offrir une occasion de, sur Terre, se racheter et de mûrir.
Si le couple – donc l’homme et la femme – ne sont pas prêts pour cela, alors ils ne doivent pas fournir l’occasion d’une procréation. Dans la notion d’être prêts il y a, d’abord, le fait d’être spirituellement prêt. Naturellement, il faut aussi qu’ils soient terrestrement prêts. Donc, les conditions doivent être réunies, à tous points de vue.
La famille, le royaume de la femme
La famille est le royaume de la femme. Dans son foyer et dans sa famille, la devient, tout naturellement, la reine de la maison, grâce à ses Facultés. Ce foyer n’est pas obligatoirement le sien, parce qu’une vraie femme possède la capacité de transformer tout lieu en Foyer. La caractéristique fondamentale d’une femme authentique c’est que, partout où elle se trouve, elle entretient la vie.
Foyer et famille
Si le foyer et la famille sont le royaume de la femme, l’on pourrait penser que, pour accomplir le but de sa vie, une femme doit se marier et fonder un foyer avec un homme en tant que son époux. Ce n’est pourtant pas le cas. Même sans famille un Foyer peut exister. Même chez une femme célibataire il peut aussi y avoir un Foyer.
Même si elle est sacrée, la maternité n’est pas la Tâche première de la féminité. La maternité n’est qu’une tâche secondaire de la féminité, et pas pour toutes les femmes mais seulement pour certaines. Même si toutes les femmes ont – en tant que Gardiennes de la Flamme de l’Aspiration vers les Hauteurs de Lumière – le devoir de transformer leur cadre de vie en Foyer, la famille n’est pas le but premier de la vie d’une femme.
Certes, le lieu idéal pour la famille c’est le Foyer. Mais le rôle premier de la femme c’est le Foyer, lequel ne se réduit pas à la famille. Le Foyer se tient donc plus haut que la famille. Le Foyer c’est l’âtre ou brûle la Flamme qui vient de la Lumière. Le rôle premier de la femme – qu’elle soit ou non mère de famille – c’est d’entretenir la Flamme.

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La Maternité

La Maternité

La Maternité

« Tu dois honorer Père et Mère. » – Quatrième Commandement –

La Maternité! Exaltée par les poètes, célébrée par les artistes, encensée par les moralistes, chantée par les musiciens, magnifiée par les peintres et les sculpteurs!
Certes, la Paternité est aussi une belle chose, mais la Maternité! Synonyme de bienveillance, de protection, de douceur, de soins attentifs:
« Ô l’Amour d’une mère! Amour que nul n’oublie!
Pain merveilleux qu’un Dieu partage et multiplie!
Table toujours servie au paternel foyer!
Chacun en a sa part et tous l’ont tout entier! »
– Victor Hugo –

Ce qu’ils ont dit de l’amour maternel:
Sur ce sujet comme sur bien d’autres, difficile de s’exprimer mieux que Victor Hugo, mais, avec plus ou moins de justesse, de nombreux {autres} auteurs se sont exprimés avec enthousiasme au sujet de l’amour maternel:
«L’amour d’un père est plus haut que la montagne.
L’amour d’une mère est plus profond que l’océan.»
– Proverbe japonais –
«Il n’y a qu’un amour profond, sincère, inaltérable, c’est l’amour maternel.»
– Alexandre Dumas, fils –
«L’amour maternel est le seul amour qui se rapproche un peu
de l’Amour Divin.»
– Henri-Frédéric Amiel –
«Dans l’amour de la femme pour l’homme,
il reste toujours quelque chose de l’amour maternel.»
– André Maurois –
«L’amour maternel naît avec l’enfant lui-même, c’est un instinct pur.»
– André Maurois –
«L’amour maternel, c’est un amour sans réserve
qui ne demande aucune récompense.»
– André Maurois –
«L’amour maternel est la plus haute figure de l’Amour vrai.»
– Christian Bobin –
«L’amour maternel ne connaît point de bornes.»
– Charles Dubois –
“Rien n’orne une femme comme la maternité.” 
– Alexandre Kazantsev –
«L’amour maternel, il n’y a rien de plus beau ni de plus grand.»
–  Benoît Lacroix –
Etc., etc.

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