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Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

L’Assomption existe-t-elle?

Le 15 Août de chaque année, l’église catholique fête l’ « Assomption » de la Vierge Marie dans le Ciel. Le mot « Assomption » a ici sensiblement le sens de « Ascension » mais appliqué à Marie, au lieu que ce soit à Jésus.
Dans le cadre du « culte des saints » cela fait partie du culte rendu à Marie, considérée comme la « Mère de Dieu ». L’église orthodoxe promeut une croyance similaire appelée « Dormition ». Parfois, le mot « Dormition » ne désigne que la croyance dans une mort béatifique.
Cette conception d’un corps terrestre pouvant s’élever dans les Cieux est également présente dans la croyance en la résurrection charnelle de Jésus de même que, de façon générale, dans la croyance en la résurrection de la chair, croyances faisant l’objet de dogmes et également présentes dans l’église catholique.
La croyance dans l’Assomption de la Vierge est fondée non sur la Bible mais seulement sur des écrits apocryphes tardifs, comme celui du Pseudo-Jean, intitulé « Sur la mort de Marie » (remontant  au IVème siècle, voire au Vème siècle).
Selon la tradition, la Vierge, alors été âgée de cinquante-neuf ans, serait décédée onze ans après la crucifixion de Jésus. Son enveloppe charnelle aurait alors été enterrée non loin du lieu où Jésus aurait vécu son agonie, donc juste à côté du Jardin de Gethsémani, à l’Est de Jérusalem.
Son tombeau vide est toujours visible dans le lieu appelé Sépulcre de la Vierge Marie. D’autres affirment, cependant, que la Vierge serait décédée dans un lieu correspondant à l’emplacement de l’Abbaye de la Dormition, également à Jérusalem.

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La Croix de Jésus

La Croix de Jésus

La Croix de Jésus

Une ambiguïté fondamentale
Des calvaires et des crucifix, l’on en voit partout. Les représentations de la crucifixion de Jésus sont omniprésentes. Cela joue certainement un rôle dans le fait que si l’on parle de la Croix de Jésus tout le monde pense à l’instrument mortifère cruciforme sur lequel Il a été assassiné.
L’Enseignement de Jésus sur la Croix
Toutefois, dans les Évangiles, à plusieurs reprises, avant Sa crucifixion, Jésus parle au sujet de la Croix. Mais de quelle Croix parle-t-Il?
Examinons ces différents passages:
« Celui qui ne prend pas sa Croix, et ne Me suit pas, n’est pas digne de Moi. » (Matthieu X, 38).
Cette Parole incitant chacun à « prendre sa Croix » semble concerner « tout le monde » (pas seulement les Disciples). Avec « et ne Me suit pas », certains penseront au chemin du Golgotha. Cela voudrait-il dire que tous les Disciples auraient dû, eux aussi, porter une croix et aller se faire crucifier à côté de Lui?
« Alors Jésus dit à Ses Disciples: « Si quelqu’un veut venir après Moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa Croix, et qu’il Me suive. » » (Matthieu XVI, 24).
Après la première occurrence, toujours dans l’Évangile de Matthieu, Jésus dit une Parole comparable à la première mais dont le Texte précise, cette fois, que Jésus S’adresse à Ses Disciples.
De plus, Il ajoute « qu’il renonce à lui-même ». Cela nécessite peut-être quelques explications…? Que veut dire « renoncer à soi-même »?

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De l’effronterie causée par l’avarice

De l’effronterie causée par l’avarice

De l’effronterie causée par l’avarice

L’avarice fait partie des 7 péchés capitaux. C’est un penchant grave. Un penchant – comme le mot l’indique – donne à comprendre que celui qui en est affligé penche … – comme la Tour de Pise – du côté où il va tomber!
Un penchant c’est le fait d’être accroché à une chose terrestre quelconque. Il y en a de fort nombreux. Mais celui qui succombe régulièrement à un penchant, celui-là « est accroché », comme le mot allemand [« Hang »], l’indique. Il est, de ce fait, accroché à la matière grossière terrestre. Il est lié à la Terre.
C’est cela qui lie le plus gravement une âme humaine. Parce qu’il ne s’agit pas seulement d’une faute passagère, mais que c’est devenu une caractéristique de l’âme faisant partie de son  caractère.
La mort elle-même ne met pas fin à un penchant. Par conséquent, lorsque, après la mort, une âme humaine arrive dans l’Au-delà pour y poursuivre son évolution, elle ne peut pas si facilement se libérer de son péché, elle est donc entravée, retenue! C’est comme une malédiction (sauf qu’elle n’est prononcée par personne d’autre que par elle-même) qui pèse sur elle.
En tant que caractéristique de l’âme, le penchant est ancré dans le corps fin-matériel. Quelque part, c’est encore pire lorsque cette âme n’est plus recouverte d’un corps gros-matériel, car la densité n’est plus là pour freiner le penchant qui peut alors être vécu sans aucune retenue. Même si cela concerne de l’argent gros-matériel se trouvant sur Terre!
De plus, du fait de la convoitise dirigée vers quelque chose d’inférieur, le corps animique fin-matériel devient plus dense et donc plus lourd, ce qu’il fait que, du fait de la Loi de la Pesanteur Spirituelle, il sombre jusqu’au niveau de sa propre densité, là où, aussi en fonction de la Loi d’Attraction du Genre Semblable se trouvent toutes les autres âmes affligées du même penchant, elles aussi liées à la Terre.

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Miracle de la multiplication des pains et des poissons

Miracle de la multiplication des pains et des poissons

Miracle de la multiplication des pains et des poissons

En ce dernier Dimanche de Juillet la liturgie nous fait lire ou entendre le récit du « Miracle de la Multiplication des cinq pains et des deux poissons ». Jésus a accompli de nombreux Miracles mais toujours dans la Conformité avec les Lois de la Création. Qu’en est-il du « Miracle de la Multiplication des cinq pains et des deux poissons »?
La Multiplication des Pains sur le rivage du Lac de Tibériade – Eugene Damblans
Les Miracles, de façon générale
Le miracle est un fait devant lequel l’être humain s’émerveille [« Wunder » = « Merveille », « Miracle »] et s’étonne. En langue allemande le verbe « wundern », incluant le nom « Wunder » [« miracle »], signifie: {s’}étonner.
Selon Wikipédia:
« Un miracle est un fait extraordinaire, dépourvu d’explication scientifique, qui est alors vu comme surnaturel et attribué à une Puissance divine. Il est accompli soit directement, soit par l’intermédiaire d’un serviteur de cette Divinité.
Il s’agit là d’une notion religieuse non reconnue par la science, pour laquelle le concept de phénomène inexplicable (généralement associé aux miracles) n’existe pas. La science ne connaît que des phénomènes inexpliqués, c’est-à-dire non encore élucidés en l’état actuel du savoir.
Les historiens qui se situent du côté de la science réfutent le concept de «surnaturel» pour expliquer quelque événement que ce soit. Leur approche est celle que définit Ernest Renan: «C’est au nom d’une constante expérience que nous bannissons le miracle de l’Histoire.».
Par là même, la lecture historico-critique des textes religieux, en particulier de la Bible, diffère fondamentalement de l’interprétation apologétique des mêmes textes, qui recherche une preuve de sa propre foi tout en acceptant la notion de miracle. Mieux encore, pour l’exégète comme pour l’historien, mais aussi pour le théologien, le miracle est avant tout porteur d’une signification. Si le miracle n’a pas de sens, il ne peut être considéré comme tel. Le miracle, dans le Judaïsme comme dans le Christianisme, est un Message que Dieu adresse à l’homme. L’exégèse se donne pour tâche de déchiffrer ce Message. »
Ceci est la conception courante. Elle est, toutefois, inexacte, car un miracle peut tout à fait exister et aussi avoir une explication pouvant éventuellement être qualifiée de « scientifique ». En réalité la séparation entre la religion – plus précisément la spiritualité – et la science n’a pas de raison d’être. Le Spirituel comme le Terrestre, tout appartient au Savoir de la Création, lequel se doit d’être unitaire.
Science et Savoir
La vraie science a – dans le but de mieux en percevoir la Valeur et de mieux le mettre à profit – comme objet de mieux connaître le Cadeau de Dieu qu’est la Création. Cela ne peut pas se faire par une volonté intellectuelle d’investigation orgueilleuse et conquérante, mais uniquement par une ouverture humble et réceptive. En allemand le mot « Wissenschaft » [« science »] –  – dérive tout naturellement du mot « Wissen » [« Savoir »].
Il ne s’agit donc pas de deux réalités différentes mais bien d’une seule réalité, sur deux plans, comme les deux faces d’une même pièce de monnaie, qui ne doivent pas s’opposer mais bien se compléter. Le vrai Savoir tend la main à la vraie science, comme la vraie science tend la main au vrai Savoir.
Croire dans les vrais Miracles c’est bien, mais, en réalité, la Foi doit devenir Conviction, et la Conviction ne peut elle-même être basée que sur la compréhension,  laquelle, à son tour, ne peut reposer que sur la Connaissance des Lois de la Création.
Trop souvent, ce qui est qualifié de « scientifique », en réalité, n’est que limité à la matière grossière la plus lourde, alors que le vrai Savoir doit aussi pouvoir englober l’invisible. A ce sujet l’écrivain anglais George Bernard Shaw a déclaré: « Je ne vois pas pourquoi ceux qui croient aux électrons [qui ne se voient pas] se considèrent comme moins crédules que ceux qui croient aux Anges [qui ne se voient pas, non plus]! ».
Un Miracle en tant qu’ « acte surnaturel » contraire aux Lois de la Création selon la croyance de beaucoup d’êtres humains, cela n’existe tout simplement pas! Car dans la Création tout est naturel, rien n’est surnaturel! Dans l’Activité Divine réside, en premier lieu, une Perfection absolue. Et la Perfection conditionne la plus rigoureuse Logique, l’absolue Cohérence, sous tout rapport. Pour avoir lieu, un Miracle doit, par conséquent, uniquement se dérouler dans une Cohérence Logique, tout à fait explicable.

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Des Commandements encourageants?

Des Commandements encourageants?

Des Commandements encourageants?

Considérons ce passage du livre « Les Affinités électives » de Goethe. Il s’agit du discours d’un certain Mittler, qui a l’air de savoir mieux que le Créateur quels Commandements devrait ou non contenir le Décalogue.
Voici le passage exposant ce qu’il dit:
« Mittler, qui venait d’arriver au château, se promena d’abord à grands pas dans le salon, puis la conversation tomba sur l’un de ses sujets favoris. Selon lui, il n’y avait “rien de plus barbare et de plus contraire à l’éducation des enfants, et même à celle des peuples, que de leur imposer des Lois qui commandent ou défendent certaines actions” [sic!].
– “L’homme est naturellement actif, dit-il, et, pour le faire bien agir, il suffit de le bien diriger. Quant à moi, j’aime mieux supporter un défaut jusqu’à ce qu’il se soit converti en qualité, que de le faire disparaître pour ne rien mettre de bon à sa place. Nous aimons tous à faire ce qui est bien et juste, pourvu que l’on nous en fournisse l’occasion; alors nous le faisons, uniquement pour avoir quelque chose à faire, et sans y attacher plus d’importance qu’aux sottises et aux absurdités dont nous ne nous rendons coupables que pour échapper à l’ennui et à l’oisiveté.”
“Quel avantage, par exemple,” continua-t-il, “les enfants peuvent-ils tirer des Dix Commandements de Dieu qu’on leur enseigne au catéchisme? Passe encore pour le Quatrième Commandement: « Honore Ton père et Ta mère. ».”
“Que l’enfant se pénètre bien de ce Commandement pendant la leçon, il trouvera, le long du jour, le moyen de le mettre en pratique; mais le Cinquième, à quoi bon: « Tu ne dois pas tuer »: comme si c’était une chose toute simple et très récréative que de s’entre-tuer. Un homme adulte s’abandonne à la colère, à la haine, à d’autres funestes passions, et peut, égaré par elles et par la force des circonstances, aller jusqu’à tuer son semblable; mais n’est-ce pas une atroce folie que de défendre à de pauvres enfants le meurtre et l’assassinat?”

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Le droit de mentir

Le droit de mentir

Le droit de mentir

Le « droit de mentir » existe-t-il?

Pour bien saisir l’objet de la présente page il est conseillé – si ce n’est déjà fait – de bien approfondir la page précédente consacrée au Huitième Commandement.

Dans mon enfance, dans le cadre du catéchisme, l’on apprenait le Décalogue avec comme énoncé du Huitième Commandement « Tu ne mentiras pas » (autrement dit: « Tu ne dois pas mentir »). Ce n’est qu’à l’âge adulte que j’ai découvert que l’énoncé précis du Huitième Commandement dans la Bible est plutôt « Tu ne feras pas de faux témoignage contre Ton prochain ».

Faire un faux témoignage contre son prochain c’est certes mentir, mais il existe, en fait, bien d’autres manières de mentir. Alors mentir dans d’autres circonstances pourrait-il, en fonction des Lois de la Création et des Commandements Divins, parfois être autorisé?

Prenons un cas: Pendant l’occupation de la France par l’armée allemande nazie (1940-1945) un résistant est trouvé et arrêté par la puissance militaire allemande, l’armée d’occupation. Les officiers militaires allemands qui s’efforcent de réprimer la résistance soupçonnent que le résistant arrêté par eux fait partie d’un important réseau et ils ont pour objectif – au tant que faire se peut -, afin de mettre complètement et définitivement à l’activité de ce réseau qui contrarie leurs objectifs, d’arrêter tout le réseau et de fusiller ou d’emprisonner tous ses membres.

Les Allemands nazis soupçonnent fortement que le résistant français qu’ils ont réussi à arrêter connaît les noms, identités et adresses de la plupart des membres de ce réseau, voire de tous et ils n’hésitent pas comme cela s’est souvent vu – pour le faire parler à employer les « grands moyens », c’est-à-dire la torture. Lors de l’interrogatoire « musclé » subi par le résistant, lorsqu’il est violemment questionné pour savoir s’il connaît les identités de ses camarades de réseau, a-t-il le droit – alors qu’il les connaît parfaitement – pour les protéger, de dire: « Je ne sais rien. »?

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Réciprocité

Réciprocité

Réciprocité

 Peu connue est la Loi de Réciprocité.
 Et pourtant Elle existe en ce monde et dans l’autre.
 Elle applique à chacun sa totale Équité,
 Venant de La Loi Pure, et ne connaît rien d’autre.

 C’est pourquoi, quand on dit le destin, le karma,
 Faut-il avoir saisi la Règle rigoureuse,
 Et les multiples liens que l’esprit se forma
 Et qui font que sa vie est parfois douloureuse.

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Le cordon d’argent

Le cordon d’argent

Le cordon d’argent

Le cordon d’argent est plus difficilement perceptible lorsque l’âme se trouve dans le corps mais est nettement visible à l’œil fin-matériel lorsque l’âme fin-matérielle encore reliée au corps astral (corps gros-matériel moyen) sort du corps gros-matériel lourd.
Le cordon d’argent dans la Bible
Il semble déjà être mentionné dans la Bible, dans le Livre de L’Ecclésiaste (XII, 1-8) (XII, 1-8):
« 1 Souviens-Toi de Ton Créateur durant Ta jeunesse, avant l’arrivée des jours mauvais [la vieillesse], avant d’atteindre les années où Tu diras: «Je n’y prends aucun plaisir.».
2 C’est le moment où le Soleil et la lumière, la Lune et les étoiles s’obscurcissent, et où les nuages reviennent juste après la pluie.
3 C’est l’époque où les gardiens de la maison [les jambes] tremblent, où les hommes forts [les bras] se courbent, où celles qui broient interrompent leur tâche parce qu’elles sont trop peu nombreuses [les dents], où ceux qui regardent par les fenêtres [les yeux] s’obscurcissent.
4 C’est l’époque où les deux battants de la porte [la bouche] se ferment sur la rue, tandis que le bruit de la meule [la mastication] diminue, où l’on se lève au chant de l’oiseau, où toutes les chanteuses [les paroles] s’affaiblissent.
5 C’est l’époque où l’on redoute ce qui est haut, où l’on a des terreurs en chemin, où l’amandier fleurit [les cheveux blancs], où la sauterelle devient lourde et où la câpre n’a plus d’effet, car l’homme s’en va vers son habitation éternelle [le Paradis] et les pleureurs parcourent les rues.
6 Souviens-Toi de Ton Créateur avant que le cordon d’argent ne se détache, que la coupe d’or [l’aura] ne se brise, que la cruche ne se casse à la source [la mort] et que la poulie ne tombe, rompue, dans le puits [le corps gros-matériel mort],
7 avant que la poussière ne retourne à la terre [« Tu es poussière et Tu redeviendras poussière »], comme elle y était, et que l’esprit ne retourne à Dieu, Celui Qui l’a donné!
8 Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, et tout est vanité. ».
Le cordon de liaison entre l’âme et le corps
Après la mort, le corps fin-matériel demeure, encore un certain temps, via le corps astral (qui est le modèle du corps gros-matériel), relié avec le corps gros-matériel par le cordon d’argent (ou corde d’argent) — lequel est comparable au cordon ombilical reliant un fœtus – et même un nouveau-né avant que le cordon ne soit tranché – avec sa mère — qui est d’autant moins solide que le par conséquent nouvellement-né dans le Monde fin-matériel de l’Au-delà a plus hautement développé son âme, déjà au cours de l’existence terrestre, en direction du Monde fin-matériel, en tant que transition vers le Plan Spirituel, le Paradis des religions.
Le respect du mourant
Lors de l’agonie, il est important que, par un chagrin égoïste, l’entourage ne vienne pas troubler le processus de la séparation. Dans une chambre mortuaire, il doit, en effet, régner une tranquillité totale, un sérieux emprunt de dignité, approprié à l’importance du moment. Des personnes éclatant en de bruyantes lamentations et incapables de se maîtriser devraient, si besoin par la force, être éloignées de la chambre mortuaire, même – et peut-être même surtout! – s’il s’agit des plus proches parents (enfants, parents, conjoints, frères et sœurs, amis très proches, etc.).

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La Loi de l’Adaptation

La Loi de l’Adaptation

La Loi de l’Adaptation

Bien qu’elles soient sœurs, la Loi de l’Adaptation  ne doit pas être confondue avec la Loi de l’Évolution, quelque peu différente.
C’est en raison de la Loi de l’Adaptation que l’être humain terrestre a perdu toute capacité d’appréhender la matière fine de l’Au-delà. Pour cela il aurait fallu qu’au lieu de se limiter à l’intellect il utilise avec vigueur son Intuition spirituelle.
De ce fait, les ailes des esprits humains se sont atrophiées et les êtres humains ont perdu toute possibilité d’Envol. Comme des serpents, ils ne peuvent plus que misérablement ramper sur le sol, tandis que leur force d’élan vers les Hauteurs s’est depuis longtemps détachée d’eux, parce qu’ils ne l’utilisaient plus, ne s’en servaient plus depuis leur soumission à l’intellect étroitement lié au terrestre.
Les êtres humains, de ce fait, sont tombés sous le coup de la Loi de l’Adaptation, qui agit auto-activement dans la matière.
Seuls persistent les organes utilisés
C’est comme pour les oiseaux, dont les ailes s’atrophient d’abord lentement pour finir par complètement disparaître par la suite, s’ils ne les emploient jamais. C’est la même chose pour les poissons dont la vessie natatoire, nécessaire à l’ascension et au maintien à une certaine hauteur, à cause de courants trop forts, disparaît avec le temps, s’ils se tiennent constamment au fond.
Même si cela prend des millénaires pour se produire, cela finit par arriver. Or, pour l’être humain, c’est déjà arrivé!

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