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Le crépuscule des Dieux

Le crépuscule des Dieux

Le crépuscule des Dieux

Le Crépuscule des Dieux [« Götterdämmerung »]… Aussi appelé « Ragnarök ». Cette expression est certes le titre d’un célèbre opéra de Richard Wagner, mais, d’un point de vue spirituel, que signifie-t-elle exactement? Le « crépuscule »… Serait-il arrivé un malheur aux « Dieux »?

A cette question – en dépit de ce que raconte l’opéra – la réponse est clairement non. Les Dieux bien connus des anciens peuples, comme les Grecs, les Romains, les Germains, les Scandinaves, etc., existent toujours, car ils sont immortels. Ils se trouvent aux mêmes places où ils étaient jadis.

Leur Château-Fort principal le plus élevé s’appelle l’Olympe pour les Grecs ou le Walhalla pour les Germains.

En tant que grands entéaux, ils font donc partie des êtres entéalliques, dont nous avons déjà parlé. Avec le Genre Spirituel le Genre Entéallique est l’un des deux grands Genres Fondamentaux de la Création. Alors que le Genre Spirituel dispose du libre vouloir, le Genre Entéallique est l’exécutant de la Volonté Divine.

Alors, si rien n’a changé pour les Dieux, pourquoi auraient-ils connu un crépuscule? La réponse est simple. Ce n’est pas les Dieux eux-mêmes qui ont connu un crépuscule, mais uniquement le culte que les êtres humains leur rendait. Et pourquoi ce culte a-t-il connu un crépuscule? Pour une raison très simple: La conscience spirituelle en progression d’un certain nombre d’êtres humains leur a permis de reconnaître – au-dessus des « Dieux » – le DIEU Unique, l’Éternel, le SEIGNEUR DIEU!

De ce fait, leur vénération pour les Dieux en tant que – pour eux – Réalité la plus haute devait s’effondrer pour faire place à l’Adoration du Seul Vrai DIEU, le DIEU Unique. Là et nulle part ailleurs est le « crépuscule » des Dieux!

Cela se produisit ainsi: Parmi les différents peuples présents sur la Terre depuis des milliers d’années, il y avait des Peuples appelés. Ces Peuples appelés étaient, tout naturellement, spirituellement, les plus évolués. De ce fait, ce furent les premiers à pouvoir faire éclater cette limite de l’Entéallité en deçà de laquelle se trouvaient les Dieux. Leur expérience vécue avait atteint une maturité telle que leur perception ou leur pressentiment les conduisit jusqu’au seuil du Royaume Spirituel.

Afin de permettre au Spirituel – naturellement plus haut que le Seul-Entéallique (le Plan où se trouvent les Dieux) et le Spirituel plus Haut, à leur place, peu à peu, s’installa. La toute naturelle conséquence en fut que, de ce fait, alors, les « Dieux » ayant – pour eux – jusqu’ici existé durent, en tant que tels, s’effondrer. Les « Dieux » cessèrent d’être, pour eux, des « Dieux ». C’est cela le « crépuscule des Dieux ». Mais ils demeurèrent ce que, réellement, depuis le début, ils étaient: les grands Guides entéalliques des éléments.

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Le lyrisme et le romantisme

Le lyrisme et le romantisme

Le lyrisme et le romantisme

«Le lyrisme est le développement d’une exclamation!»
– Paul Valéry –

Introduction
Comme toujours, sur le site de l’École de L’Art de Vivre, précisons, pour commencer, que notre propos, ici, n’est fondamentalement pas littéraire ou même philosophique, mais bien spirituel. Ce qu’il faut comprendre par là, c’est que ce qu’il nous intéresse de savoir c’est si les notions ici examinées aident à l’Ascension spirituelle ou, au contraire, la freinent.
Le lyrisme
Le lyrisme  se définit comme l’expression passionnée de sentiments personnels. Plus précisément, la définition courte sur Wikipédia est celle-ci: « Le lyrisme est une tonalité, un registre artistique, qui privilégie l’expression poétique et l’exaltation des sentiments personnels, des passions. ».
En plus développé:
« Le mot «lyrisme» s’applique dans son sens général à la mise en avant des sentiments intimes dans l’expression artistique, particulièrement en poésie.
Le mot est dérivé de la lyre, instrument de musique à cordes qui est l’attribut d’Apollon (dont l’inventeur légendaire est Hermès), mais aussi d’Orphée, ou d’Érato, muse antique de la poésie lyrique et érotique représentée couronnée de roses et de myrtes et portant une lyre à la main droite.
L’adjectif «lyrique» apparaît en premier au XVème siècle en relation avec la poésie grecque antique et garde longtemps un lien avec la musique qui existe encore dans l’expression «art lyrique». Attaché cependant à une forme plus mineure de la poésie dès le XVIème, le mot va, en opposition à la poésie épique ou la poésie dramatique qui incluait la tragédie comme la comédie, définir une expression subjective qui concerne en particulier le domaine des sentiments privés.
Le substantif «lyrisme» n’est attesté qu’en 1829 sous la plume d’Alfred de Vigny et il va s’appliquer à l’un des aspects dominants du romantisme: la place faite au «Moi». Il se définit dès lors communément comme une «Tendance poétique et plus généralement artistique privilégiant l’expression de la subjectivité». » (Source)
A partir de cette définition nous pouvons déjà relever quelques mots-clefs tels que: « passion », « sentiment », « personnel », « subjectivité », « romantisme ». Cela nous indique déjà clairement de quoi il s’agit. Cela nous permet déjà de voir que le lyrisme ce n’est pas spirituel mais sentimental.

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Les Apôtres de Jésus

Les Apôtres de Jésus

Les Apôtres de Jésus

Selon la Bible et le livre «Les Apôtres», les douze Apôtres de Jésus sont:

N° Bible – Nouveau Testament

N° – Livre «Les Apôtres de Jésus»
1 Pierre ou Képhas (Simon-Pierre) 1 Pierre
2 André (frère de Pierre, dit le Protoclet) 2 André
3 Jacques le Majeur 3 Jacques
4 Jean (frère de Jacques, tous deux fils de Zébédée; généralement identifié comme l’Évangéliste) 4 Jean
5 Philippe 5 Philippe
6 Barthélemy 6 Nathanaël (semble être un autre nom de Barthélémy) Selon le livre «Mohammed», réincarné, plus tard, en tant que Mohammed, le Prophète de l’Islam.
7 Thomas Didyme (« Le Jumeau »), dit «L’incrédule». 7 Thomas
8 Matthieu, le publicain. 8 Matthieu
9 Jacques le Mineur (fils d’Alphée). 9 Jacques? (frère de Jésus, fils de Joseph et de Marie de Nazareth)
10 Jude (fils de Jacques, aussi identifié comme étant Thaddée ou bien Lebbée). 10  Lebbée?
11 Simon le Zélote (aussi appelé «Le Cananéen»). 11  Simon le Zélote?
12 Initialement Judas Iscariot, puis, après la mort de celui-ci, remplacé par Matthias. 12 Matthias

Au début du livre «Les Apôtres de Jésus», mais sans préciser si ce sont aussi des Apôtres, sont aussi mentionnés d’autres noms:
Barnabé, qui avait jadis accompagné Jean-Baptiste et qui, plus tard, fut aussi le compagnon de l’Apôtre Paul.
Démétrios (un Grec)
Nicomède (Docteur de la Loi, qui a aussi participé, avec Joseph d’Arimathie, à la première Inhumation du corps de Jésus.)
Lazare (de Béthanie, frère de Marie et de Marthe; ressuscité par Jésus.)
De plus, Lebbée (aussi appelé Jude ou Thaddée) et Simon le Zélote, bien qu’alors physiquement absents, sont aussi évoqués au début du livre «Les Apôtres».
Celui qui est alors désigné par tirage au sort pour prendre la place de Judas s’appelle Matthias.

Remarque: Concernant Jacques le frère de Jésus (considéré par l’église catholique comme un « cousin »), il n’est pas certain qu’il figure dans la Liste des 12 Apôtres, car, selon le Livre «Les Apôtres de Jésus», pour le remplacement de Judas, il lui fut préféré Matthias.

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Avec quel corps Jésus est-Il ressuscité, le Matin de Pâques?

Avec quel corps Jésus est-Il ressuscité, le Matin de Pâques?

Avec quel corps Jésus est-il ressuscité, le Matin de Pâques?

Fragilité des témoignages humains
Comme nous allons le voir ci-dessous, les quatre Évangiles ne disent pas exactement la même chose. Ces différences, les exégètes ne les interprètent généralement pas comme une marque de mensonge ou de falsification, au contraire, c’est plutôt, pour eux, un signe d’authenticité, accroissant leur crédibilité. Cela leur aurait, au contraire, plutôt paru suspect si les quatre Évangiles avaient – sans aucune contradiction – tout raconté exactement la même chose, car – en tant qu’historiens et exégètes – ils savent que « l’erreur est humaine » et que le témoignage humain est – par définition – peu fiable.
Pour illustrer cette idée du peu de fiabilité du témoignage humain, la plupart des lecteurs de cette page auront – pendant leur enfance, et peut-même même après avec leurs propres enfants et petits enfants – joué au jeu de société appelé le « téléphone arabe » (qui, en arabe, se dit, en fait, plutôt: « téléphone cassé »). Dans ce jeu – qui requiert un certain nombre de joueurs (par exemple, de cinq à une dizaine, c’est parfait) – un message initial, chuchoté de bouche à oreille, de voisin à voisin, entre les différents joueurs, arrive à destination copieusement déformé, par comparaison avec le message initial.
Dans le détail:
« Les joueurs forment une ligne; le premier joueur arrive avec un message et le murmure à l’oreille de la deuxième personne dans la ligne. Le deuxième joueur répète le message au troisième joueur, et ainsi de suite. Quand le dernier joueur est atteint, celui-ci annonce à voix haute le message qu’il a entendu. La première personne de la liste compare ensuite le message original avec la version finale (et éventuellement avec les versions intermédiaires).
Bien que l’objectif du jeu soit de faire passer le message sans le déformer en cours de route, une partie du plaisir est que, quoi qu’il en soit, celui-ci finit généralement par être déformé. Les erreurs s’accumulent généralement dans les retouches à chaque transmission du message, de sorte que la déclaration annoncée par le dernier joueur diffère significativement de celle du premier joueur, généralement avec un effet amusant ou humoristique. » (Source: Wikipédia).
Naturellement, la bonne foi des Évangélistes n’est ici nullement en cause. Ils sont animés des meilleures intentions, et il ne sont pas {vraiment} conscients que ce que – bien des années après -, issu de leurs propres souvenirs, ils consignent par écrit (« Les paroles s’envolent (sic!), les écrits restent! ») en tant que simples rapports à l’usage des toutes premières communautés chrétiennes, sera, par la suite, pendant des siècles et même des millénaires durant (au moins deux!), dans toute la Chrétienté, considéré comme … « Parole d’Évangile » (C’est le cas de dire!)!
La raison fondamentale pour laquelle la mémoire humaine est peu fiable est généralement peu connue. Même lorsqu’il ne s’agit que de rapporter des faits, les écrits d’un être humain, ses paroles, ou, de façon générale, ce que produit son cerveau antérieur, ne sont pas exprimés sans qu’il n’y ajoute encore quelque chose d’autre, de son cru. En particulier, les témoignages de seconde main (même pas la peine de parler ici des témoignages de troisième ou de quatrième main, ou même davantage…!) ne sont jamais des preuves sur lesquelles la postérité pourrait ou devrait se baser.
Il convient d’être conscient du fait que la compréhension correcte de toutes les Paroles qui parlent d’autre chose que de ce qui se passe dans la matière grossière – donc les réalités fin-matérielles et spirituelles – n’est possible qu »avec la collaboration sans faille du cerveau pouvant être qualifié d’intuitif – donc du cervelet -. Cependant, le cervelet, même il y a deux mille ans, à l’époque terrestre de Jésus, était déjà, chez la plupart des êtres humains de la Terre – si ce n’est tous -, fort rabougri pour cause de non-utilisation et était ainsi déjà devenu notablement atrophié, de sorte qu’il n’était plus capable de fournir une activité de réception intuitive normale.
Conserver des souvenirs inaltérés, seul le cerveau d’intuition de l’être humain en est capable, donc le cerveau postérieur (appelé ainsi du fait de sa place à l’arrière de la boîte crânienne), aussi appelé (du fait – ironie de l’histoire! – de sa petite taille!) « cervelet » (ou « petit cerveau »), mais non l’intellect produit par le cerveau antérieur (appelé ainsi du fait de sa place à l’avant de la boîte crânienne) ou « grand cerveau »!
Le cervelet – ou petit cerveau est seul capable d’enregistrer et de conserver comme tels, en images et en Intuition, tous les événements et expériences vécues, de telle façon qu’ils puissent plus tard, à tout moment, exactement re-surgir, tels qu’ils étaient réellement au moment où ils se sont produits, sans être modifiés, altérés ou atténués. Les êtres humains de l’époque de Jésus – même les Disciples! – avaient, alors, déjà, avec insouciance, laissé leur cerveau postérieur tellement s’atrophier qu’il n’était plus capable de correctement enregistrer les événements de la Vie de Jésus, ainsi que Ses Paroles!

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Pourquoi le Tombeau de Jésus était-il vide?

Pourquoi le Tombeau de Jésus était-il vide?

Pourquoi le Tombeau de Jésus était-il vide?

Marie-Madeleine, accompagnée d’autres femmes ayant reconnu Jésus comme le Fils de Dieu et Son Enseignement comme la Vérité, fut la première à découvrir que le Tombeau en pierre dans lequel Son Corps avait été placé par Joseph d’Arimathie, Nicodème et les autres, était … oui … vide!

L’explication permettant de comprendre pourquoi le corps de Jésus ne se trouvait plus dans son Tombeau initial se trouve dans le livre « Les Apôtres de Jésus »:

« Lorsque Joseph d’Arimathie arriva sur le lieu de supplice, le Seigneur avait rendu le dernier soupir. Bouleversés, Ses plus proches attendaient encore par petits groupes.
Les soldats de Ponce Pilate rétablissaient l’ordre parmi le peuple et le faisaient partir.
Puis, Joseph d’Arimathie fit descendre le corps du Seigneur {de la croix}. Ils le déposèrent sur le manteau étalé du prince et l’enveloppèrent dans des tissus blancs.
Les femmes de Béthanie s’étaient timidement approchées. Marie-Madeleine se trouvait là.
A la demande de Joseph d’Arimathie, le gouverneur Pilate autorisa le prince à inhumer le corps de Jésus dans un tombeau de roches.
La Nature était morte. Morts étaient les objets qu’un éclat pénétrait habituellement. Comme des enveloppes vides, les êtres humains se dirigèrent vers le Tombeau.
Les Disciples portèrent le Corps du Seigneur. Les autres suivirent. Ils le déposèrent dans le Tombeau, qu’ils scellèrent à l’aide d’une grande pierre. (…)

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Une authentique Image de Jésus?

Une authentique Image de Jésus?

Une authentique Image de Jésus?

L’Icône de la Sainte Face dans la Cathédrale de Laon

Le Mandylion

«Ô, Christ Dieu, celui qui a confiance en Toi ne périra pas.»
– Roi Abgar d’Edesse. –

« Icône serbe de la Sainte Face datant du XII-XIIIème siècle et conservée dans le transept Nord de la Cathédrale de Laon, Aisne, France. Le tableau représente la figure biblique sur un mouchoir déplié avec l’inscription en slavon « Visage du seigneur sur un linge ». L’œuvre aurait été acquise par Jacques de Troyes [NDLR: dit « Pantaléon »], archidiacre de Laon, qui deviendra pape en 1261 sous le nom de Urbain VI. Il aurait fait don de l’icône à sa sœur Sybille, abbesse du monastère cistercien de Montreuil en Thiérache. L’icône fait l’objet d’un pèlerinage, qui se perpétue lorsque l’ordre religieux déménage en 1636 à Laon. A la suite de la disparition de l’abbaye durant la Révolution française, l’icône est intégrée au trésor de la Cathédrale. Elle a été restaurée à plusieurs reprises (1931, 1982 et 1988). »

« Le Mandylion du roi Abgar {d’Edesse} est la représentation la plus authentique du Christ, parce qu‟elle a été obtenue par le contact immédiat avec le Visage de Jésus… » – Source.

Histoire du roi Abgar d’Edesse
« Selon la légende, le roi Abgar (NDLR: Abgar V), qui souffrait d’un mal incurable, aurait adressé une lettre au Christ, dont il avait appris les Miracles. Il  invitait le Christ à abandonner les Juifs indignes et à venir se fixer en Osroène. Dans la réponse qu’Il lui aurait faite, le Christ aurait promis de dépêcher, après son Ascension, un Disciple qui guérirait Abgar. Ce fut Thaddée, l’un des soixante-douze Disciples.
À noter que L. Ælius Septimius Abgar VIII (177-214) se convertit réellement au Christianisme, et dès la période sassanide, l’Osroène fut un centre important de la diffusion du Christianisme en Orient. Certains historiens font même remonter la pénétration du Christianisme en Osroène au 1er siècle. »

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Le Suaire de Turin dit Le Saint Suaire

Le Suaire de Turin dit Le Saint Suaire

Le Suaire de Turin, dit Le Saint Suaire

Le Suaire de Turin – ou Linceul de Turin – a échappé à de multiples reprises et de façon vraiment extraordinaire à la destruction. Les coïncidences sont troublantes. Découvert au Matin de Pâques à plat, gisant sur la banquette de pierre du sépulcre, par Simon-Pierre et Jean l’Évangéliste, comme si le corps de Jésus avait disparu de l’intérieur, il fut d’abord conservé à Jérusalem par les Disciples, puis emporté, probablement à Pella ou à Antioche, au début de la guerre des Juifs, vers l’an 66, lorsque les premiers Chrétiens, avertis par une Prophétie, quittèrent la Ville Sainte. Le Linceul et les autres reliques de la Passion échappèrent ainsi à la destruction par les armées de Titus en 70. Malheureusement, l’on ignore ce qu’ils devinrent ensuite durant plusieurs siècles.

Concrètement, le Suaire de Turin, dit « Le Saint Suaire », est un drap de lin jauni de 4,42 mètres de long sur 1,13 mètre de large montrant l’image floue (de face et de dos) d’un homme présentant des traces de blessures résultant à l’évidence d’une crucifixion. Le crucifié du Suaire abrité dans la Cathédrale Saint Jean Baptiste de Turin est-Il Jésus de Nazareth? Même si, selon la « science », cela ne serait pas le cas (la datation au carbone 14 dirait que non), la conviction intime de nombreux croyants est qu’il s’agit bien du Suaire ayant, après sa descente de la croix effectuée par Joseph d’Arimathie et Nicodème, enveloppé le corps crucifié de Jésus.

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Le Mystère du Tombeau vide

Le Mystère du Tombeau vide

Le Mystère du Tombeau vide

«Et si {le} Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés, et, par conséquent, aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus.»
(Apôtre Paul – «Première Épître aux Corinthiens» – Chapitre XV – Versets 17-18)

La Résurrection du Christ – comme le souligne pertinemment l’Apôtre Paul, dans sa première épître aux Corinthiens – est donc absolument centrale dans la Foi chrétienne.
Normal, Jésus n’a-t-Il pas dit?:
 «Détruisez ce Temple, et, en trois jours, Je le relèverai.».
(Jean II, 19)
Au sujet de cette Parole Jean précise juste après: «20 Les Juifs dirent: Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce Temple, et Toi, en trois jours, Tu le relèveras! 21 Mais Il parlait du Temple de Son corps. 22 C’est pourquoi, lorsqu’Il fut ressuscité des morts, Ses Disciples se souvinrent qu’Il avait dit cela, et ils crurent à l’Écriture et à la Parole que Jésus avait dite.» (Jean II, 20-22).
Et Jésus n’a-t-Il pas aussi dit?:
«Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie,
  nul ne vient au Père que par Moi.».
(Jean XIV, 6)
Si Jésus est, entre autres, la Vie, Il est, par conséquent, bien sûr, à même de vaincre la mort!
«Je suis la Résurrection et la Vie.
 Celui qui croit en Moi,  fût-il mort, vivra.»
(Jean XI, 25)
Et, en plus, celui qui croit en Jésus et, de ce fait, met Sa Parole en pratique, peut, lui aussi, vaincre la mort!
«En Vérité, en Vérité, Je vous le dis, celui qui écoute ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle et ne vient point  en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» (Jean V, 24)
Celui Qui a envoyé Jésus, c’est, bien sûr, Son Père, Dieu, le Créateur de tout ce qui existe. Cette Parole est la confirmation que croire en Jésus c’est écouter Sa Parole, et que écouter Sa Parole c’est la mettre en pratique. C’est cela qui permet de passer de la mort à la Vie, et donc de ressusciter.

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