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Les proches Plans de l’Au-delà – Par André Fischer

Les proches Plans de l’Au-delà – Par André Fischer

Les proches Plans de l’Au-delà

Notre thème  »Les proches plans de l’Au-delà » évoque immédiatement la question suivante:
L’Au-delà existe-t-il?

Les divers enseignements religieux, les doctrines chrétiennes en particulier, répondent par  »oui ». En général, leurs explications sur cet Au-delà sont toutefois maigres.
La science a toujours refusé de prendre l’Au-delà pour une réalité, ses procédés de réflexion et de mesure étant inopérants dans ce domaine. Mais aujourd’hui, cette attitude est fortement ébranlée, les recherches subatomiques actuelles révélant l’existence d’un autre monde derrière la matière visible et mesurable, un monde autrement dimensionné, d’où des énergies et des directives irradient l’En-deçà.
Et que nous dit l’expérience courante? Elle nous parle d’innombrables manifestations émanant des plans de l’Au-delà, d’apparitions d’êtres différents, de matérialisation de défunts, de coïncidences et d’aides étonnantes, et aussi, simplement, des arguments hautement intelligents de la nature, qui supposent une pensée supérieure et une planification puissante et préalable.
Une pensée qui se veut sérieuse et logique ne permet plus aujourd’hui de balayer d’un mouvement de la main l’existence de l’Au-delà. Examiner les problèmes de l’Au-delà et de la survie avec attention et sincérité, voilà sans doute l’attitude la plus juste, qui seule peut conduire vers une progression de notre connaissance de la vérité. (…)
Les explications qui vont suivre (…) souhaitent pouvoir être utiles pour tout chercheur sérieux qui pressent intérieurement une grande réalité au-dessus de nous, que nous devons apprendre à connaître afin de vivre avec elle et de trouver ainsi notre bonheur!
◊◊◊

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Gloire à Dieu – Le domaine des élémentaux – Par André Fischer

Gloire à Dieu – Le domaine des élémentaux – Par André Fischer

GLOIRE à DIEU

Le domaine des élémentaux (catégorie de petits entéaux)

Les elfes

Commençons par les elfes lumineux, le genre le plus aimé parmi les élémentaux. Leur mission consiste à soigner les fleurs et à en développer de nouvelles sortes.
Mais en cela ils sont beaucoup gênés par le faux comportement des hommes. écoutons ce qu’ils ont a nous dire à ce sujet:
«N’arrachez pas inutilement les fleurs, cela nous fait mal. Lorsque vous les disposez dans vos demeures, alors cela nous réjouit.
Malheureusement, nous ne pouvons pas toujours faire avancer l’évolution des fleurs autant que cela devrait être. C’est la faute des hommes, car vous ne respectez ni les fleurs ni nous-mêmes de la bonne manière. Encore une chose: n’empoisonnez pas les fleurs avec divers insecticides, cela ne nous plaît pas du tout, mais laissez tout devenir par lui-même, nous y veillons de toute façon.».
Ainsi parle ASMANDA, la reine des elfes. Un commentaire n’est sans doute pas nécessaire dans ce cas.
Le mieux, pour comprendre la vie et l’activité des elfes de lumière c’est de les suivre sur leur chemin de vie, depuis la naissance jusqu’à leur maturité.
Écoutons ce qu’ils ont à nous dire à ce sujet:
«Nous venons sur Terre comme germes élémentaux et sommes enveloppés dans des bourgeons de fleurs. Après la naissance nous sommes transportés plus loin et soignés par nos aides.».
Ajoutons à cela, en complément, que les bourgeons de fleurs ne sont pas tous aptes à servir de lieu de naissance aux elfes lumineux. Il faut déjà que cela soit des bourgeons qui ne sont pas exposés à l’action humaine ou qui sont abrités en des endroits montagneux d’un accès difficile. Si, malgré cela, un tel embryon d’elfe se trouve en danger, nous le mettons rapidement en sécurité.
Aussi les plantes d’appartement peuvent servir de lieu de naissance d’un enfant d’elfe, si aucun danger ne le menace du côté des hommes. Ceux qui, comme ma femme et moi-même, ont eu plusieurs fois le bonheur et la joie d’assister à une telle naissance d’elfe, cela leur sera un événement inoubliable.

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« Les péchés seront pardonnés à qui vous les pardonnerez »

« Les péchés seront pardonnés à qui vous les pardonnerez »

« Les péchés seront pardonnés à qui vous les pardonnerez »
(Jean XX-23)

Cette Parole de Jésus, d’une très grande importance (en fait, comme toutes Ses Paroles!), doit ici être particulièrement examinée, car elle a donné lieu à de nombreuses interprétations qui ne sont pas toutes entièrement justes.
En particulier, c’est en se basant sur cette Parole de Jésus que l’église catholique a instauré le « sacrement » dit de la « pénitence » ou de la « réconciliation ». Ainsi que des usages comme la pratique des « indulgences », avec laquelle il suffi{rai}t, pour obtenir le pardon des péchés, de faire des dons à l’église, de payer pour des messes ou de réciter des prières sur commande.
Tout cela est-il conforme aux Lois de la Création?, telle est la question qui se pose à nous, aujourd’hui.
Oui, à qui et à quoi Jésus Se référait-Il lorsqu’Il a prononcé cette Parole? Qui, en fait, a le réel pouvoir de pardonner les péchés? La réponse se trouve, déjà, aussi dans l’Évangile:
«Qui peut pardonner les péchés si ce n’est Dieu Seul?» (Marc II:7).
Quel est le contexte, lorsque Jésus dit cela?
« Après ces Paroles, Il souffla sur eux, et leur dit: Recevez le Saint Esprit. Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. ».

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Le jugement sur les autres

Le jugement sur les autres

Le jugement sur les autres

«Ne jugez pas si vous ne voulez pas être jugés!»
– Jésus – (Matthieu VII, 1)

«L’on vous jugera du jugement dont vous jugez.»
 – Jésus – (Matthieu VII, 2)

«De la mesure dont vous mesurez vous serez mesurés.»
– Jésus – (Matthieu VII, 2)

«Pourquoi vois-Tu le copeau qui est dans l’œil de Ton frère, et n’aperçois-Tu pas la poutre qui est dans Ton œil?»
– Jésus – (Matthieu VII, 3)

«Ne jugez point, et vous ne serez point jugés; ne condamnez point, et vous ne serez point condamnés; absolvez, et vous serez absous.»
– Jésus – (Luc, VI, 37)

«Un coup de langue est pire qu’un coup de lance.»
– Esope –

«Tout ce que tu dis parle de Toi, surtout quand tu parles d’un autre!»
– Paul Valéry –

Le jugement sur autrui, souvent associé – mais pas toujours – au bavardage stérile, est l’un des passe-temps favoris des êtres humains. Mais qu’en ressort-il? Pour les «jugeurs» et pour  les «jugés», leurs prochains? Du bon? Du mauvais?
L’être humain a-t-il le droit (moral) de juger son prochain? Cela peut-il lui porter profit? Cela peut-il lui nuire? (au «juge{ur}»!) Et quels effets cela peut-il y avoir sur le prochain ainsi {souvent mal} jugé?
Et si l’être humain a le droit, voire même le devoir, de juger, alors qui ou quoi peut-il juger? Et en quelles circonstances?
Un juge, pour se montrer digne de sa fonction, devrait toujours être un Porte-Parole de la Justice Divine sur Terre. Mais qu’en est-il des jugeurs?
L’observation des jugeurs et de leurs jugements montre qu’avec des paroles toutes faites et des expressions «bateau» un être humain veut, souvent, de sa propre autorité – c’est-à-dire en plaçant son petit ego au centre de tout -, lui-même s’ériger en juge et juger quelque chose ou même quelqu’un pour quoi ou pour qui il n’a, pourtant, en réalité, de façon frappante pour l’observateur impartial et objectif, aucune réelle notion lui permettant de parvenir à une profonde compréhension de la chose considérée et des êtres concernés.
En outre, ainsi que le dit justement le proverbe «Qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son!» et il est pourtant fréquent de voir que le jugeur, dans la précipitation de son intellect, veut déjà rendre son jugement définitif après n’avoir entendu qu’une seule des parties. 
Ce n’est pas pour rien que, comme le mot «partiel», le mot «partial» dérive du mot partie. Celui qui, pour rendre son jugement, n’écoute que l’une des parties en présence, de par son jugement nécessairement partiel se montre forcément partial.
«L’on ne peut être juge et partie!» dit fort justement la maxime, mais celui qui n’écoute qu’une seule partie prend partie, devient lui-même l’une des parties et ne peut donc plus juger sainement.
C’est ainsi, qu’il s’agisse ou non de jugements officiels, il est très fréquent que l’on observe un juge{ur} prononcer un jugement – voire une condamnation – vis-à-vis de quelqu’un, alors qu’en réalité le jugeur est bien plus lourdement chargé – même en regard de ce dont il est question dans le jugement – qu’en réalité le jugé ne l’est lui-même.

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Le Secret du Bonheur

Le Secret du Bonheur

Le Secret du Bonheur

«Seul l’Esprit, s’il souffle sur la glaise, peut créer l’Homme.»
– Antoine de Saint-Exupéry –

 « C’est l’Esprit qui mène le Monde, et non l’intelligence. »
– Antoine de Saint-Exupéry –

«Il faut toujours viser la Lune. Car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles.»
– Oskar Wilde –

« Au fond il n’existe qu’un seul et unique problème sur Terre.
Comment redonner à l’humanité un sens spirituel, comment susciter une inquiétude de l’esprit.
Il est nécessaire que l’humanité soit irriguée par le Haut
et que descende sur elle quelque chose comme un chant grégorien.
On ne peut plus continuer à vivre en ne s’occupant que de frigidaires, de politique,
de bilans budgétaires et de mots croisés.
On ne peut plus progresser de la sorte. »
– Antoine de Saint-Exupéry –

«Ah! Général, il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde.
Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles.
Faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien.
Si j’avais la foi, il est bien certain que,
passé cette époque de «job nécessaire et ingrat»,
je ne supporterais plus que Solesmes.
On ne peut plus vivre de frigidaires, de politique,
de bilans et de mots croisés, voyez-vous!
On ne peut plus.
On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour.»
– Antoine de Saint-Exupéry –

Le Secret du Bonheur, c’est, tout simplement, la vie de l’esprit!

Ainsi que l’Ascension vers la Lumière! Qu’elle que soit la nature de l’expérience, tout ce qui arrive est une occasion de se réveiller spirituellement. Grâce à  la libération de l’emprise terrestre, il devient possible d’expérimenter la vie de l’esprit!

La capacité à être heureux, telle est bien la faculté la plus indispensable. Dans la Création tout est vivant, rien n’est mort. Le Bonheur consiste à prendre conscience de sa Liaison avec l’Esprit et d’être capable d’en retirer un Essor pour son Ascension. Il s’agit ici, bien sûr, de l’Ascension de l’esprit, pas de l’ascension sociale! Le Bonheur c’est développer un bon vouloir et une pensée pure. Chaque vie terrestre est une courte école, et nous devons apprendre à y trouver le vrai Bonheur.

Le Secret du Bonheur est donc la Liaison avec l’Esprit, qui flue à travers tout le Vivant.

La Bonheur résulte de la récolte en provenance de chacune de nos pensées, parce que ce que nous avons pensé nous revient ensuite avec la force acquise résultant de la liaison avec des centrales de formes-pensées de même genre, soit pour nous-mêmes nous accabler ou, au contraire, nous combler de Bonheur, selon la nature des pensées initialement émises par nous-mêmes.

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«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

Ainsi s’exprime le Petit Prince, de la façon la plus naturelle du monde, avec un parfait savoir-vivre et un total mépris de la grammaire.
D’emblée, nous sommes introduits au cœur de la question:
  «Je Te vouvoie ou vous me tutoyez?».
L’être humain qui ne connaît pas la Vérité pourrait même être surpris qu’il y ait là un problème… Et pourtant il existe:
Le «Tu» personnifie une notion toute particulière. Cette notion implique une liaison d’âme à âme: Aussi étonnant que cela puisse paraître à certains, la décomposition du corps physique (donc la mort) n’en suspend pas l’existence.
L’Enseignement de la Vérité expose le fonctionnement auto-actif des Lois avec ses inévitables et immuables conséquences. Il demande, il conseille de le sanctifier. Cela revient à ne l’utiliser qu’en des cas exceptionnels. Autrement dit, l’on peut considérer comme ayant des chances d’être naturel un comportement qui consiste à tutoyer au plus deux ou trois êtres humains choisis durant l’existence terrestre, c’est-à-dire, s’il y a lieu, outre ses enfants, son (ou sa) conjoint(e), ainsi qu’un ou deux ami(e)s.
Quelle est la condition du Tutoiement?
Le Genre Semblable! Seul le genre semblable autorise le «Tu». Mais en quoi consiste le genre semblable. Dans des convictions identiques? Non point. Ce n’est pas suffisant. Dans une même appartenance religieuse? Non plus. L’appartenance à une même religion ne constitue pas un genre semblable.
Le genre semblable réside dans le fait d’avoir développé le même genre (en allemand «Gleichart») à un degré comparable.
Il faut, en effet, distinguer deux choses:
– Les différents degrés de maturité valables aussi à l’intérieur d’un même genre, donc valables pour des genres identiques ou différents.
– Les différences de genres, toujours existantes pour un même degré de maturité. L’on peut même dire que plus les personnalités sont mûres, plus les différences sont apparentes.
Seuls les êtres de même genre et de même maturité peuvent se tutoyer, c’est-à-dire peuvent se tutoyer de sorte à ce que cela leur soit spirituellement profitable.

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Rapports mutuels de l’Esprit et du Corps

Rapports mutuels de l’Esprit et du Corps

Rapports mutuels de l’Esprit et du Corps

Unité ou dualité?

L’esprit et le corps sont-ils un ou deux?

Unité, absence de séparation ou, au contraire, dualisme…? Essayons d’y voir plus clair…
Dans leur souci de s’opposer au préjudiciable dualisme séparateur plusieurs vont même jusqu’à  l’équation «Esprit = Corps» et «Corps = Esprit», donc jusqu’à nier que l’Esprit soit différent du corps et inversement.
Si tel était le cas, puisque le corps meurt, l’Esprit ne devrait-il pas mourir avec lui?
Mais si l’Esprit – ou l’âme – est capable de survivre au corps, cela veut donc dire qu’il n’y a pas identité entre l’Esprit et le corps mais uniquement union vibratoire temporaire. L’union n’est, en effet, pas la même chose que la fusion. Croire que la fusion existe, aux lieu et place de l’union, a pour effet de créer la con-fusion.
Le corps n’est qu’une enveloppe temporaire pour l’Esprit; c’est donc une erreur de dire ou de penser que ‘corps = Esprit’ et que ‘Esprit = corps’. Lorsque l’Esprit n’est plus présent dans le corps, le corps se désagrège et retourne à ses éléments constitutifs premiers. « Tu es poussière et retourneras en poussière. ».
Mais il est une autre erreur. Cette erreur est de penser, comme le faisait le philosophe «cartésien» René Descartes, que, pendant le temps de l’incarnation de l’Esprit dans le corps, l’Esprit et le corps demeurent séparés et, que par conséquent, l’un n’aurait pas d’influence sur l’autre.
De façon générale, l’erreur est de croire que soit séparé ce que Dieu a uni. Selon les Lois Divines, le temps d’une incarnation terrestre, l’Esprit et le corps sont, d’étroite manière, vibratoirement unis.
Cela signifie qu’une interaction profonde et permanente existe entre les deux. Ce que veut et vit l’Esprit se répercute sur le corps et ce qui atteint le corps touche aussi l’Esprit.

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« Soyez parfaits, comme votre Père Céleste est parfait! »

« Soyez parfaits, comme votre Père Céleste est parfait! »

« Soyez parfaits, comme votre Père Céleste est parfait! »
– Jésus de Nazareth –

Et comment fait-on pour devenir parfait?

Étant donné qu’une personne seule peut difficilement incarner la Perfection, les êtres humains libres, ouverts, aimants et humbles se doivent d’y parvenir ensemble, et donc de rechercher l’Union! La Maturation et la Perfection de l’Individu et du Tout sont uniquement le fruit de l’Union et ne peuvent être atteintes que par l’Union. L’Union est la condition de toute Réalisation et de tout Accomplissement. Celui qui, incapable de Donner et de Recevoir, reste seul et n’arrivera à rien.
Dans le Donner uniquement, du fait de l’ouverture du Cœur que cela requiert, il peut aussi être Reçu! Mais qui ou quoi fera tomber, en nous, le bloc de rigidité mentale qui nous isole de la vraie Vie!?! Qui ou quoi nous libèrera du fardeau de la présomption, de l’intransigeance et du croire-mieux-savoir? Qui ou quoi nous façonnera pour que nous devenions enfin des serviteurs utilisables, à l’activité bénéfique pour la vie et les êtres vivants en tous genres, pour nos semblables, pour la Terre et pour la Création tout entière?
Mais qu’est-ce donc qui nous permettra de comprendre que nous devons enfin, réellement, nous unir? Et surtout de le vivre dans l’expérience vécue? A cela une seule réponse, tenant en un seul mot: L’Amour! Uniquement l’Amour! Rien que l’Amour! Sans l’Amour nous ne sommes rien. L’Amour est la Force de Cohésion fondamentale de tout l’Univers. L’Amour se tient comme la Force la plus haute, comme la Puissance infinie agissant constamment au sein de tout ce qui existe dans tous les Cieux et tous les Univers!
Comment agit l’Union déjà au niveau individuel. L’Union, pour chacune des pensées émises par un unique être humain, forme, affûte et façonne. L’Union forme, élague et façonne aussi chaque être humain individuel lui-même. L’Union, également, forme, modèle et façonne, oui, la Création entière! La Création, en une perpétuelle union de formes particulières déjà existantes parce que déjà façonnées, expérimente, de par la force du vouloir de chaque être spirituel, de nouvelles formations, et c’est là le Chemin de la Perfection.

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Le travail du cerveau – Appel pour la Vie – Reçu par André Fischer

Le travail du cerveau – Appel pour la Vie – Reçu par André Fischer

Le Travail du Cerveau

Vous avez reconnu la nécessité de veiller à une meilleure combinaison entre le cervelet et le cerveau antérieur ainsi nommé, que l’on devrait nommer plutôt le «cerveau proliférant».
Il y a de nombreux efforts à faire en cette direction. Si on veut toutefois parvenir au but le plus rapidement, il est nécessaire de prendre la voie la plus courte.
Le devoir du cervelet est d’accueillir les images de l’intuition.
Le devoir du cerveau est de reproduire celles-ci.
Tout assiste désormais tout ce qui exerce et renforce ce processus.
Cela consiste à:
– Réveiller et reproduire les images du souvenir.
– Les descriptions de l’image.
– Les récits de ce que l’on a entendu dire.
– Les descriptions des plus grandes impressions et expériences vécues.
– Les descriptions des intuitions et des états d’âme.
Un plus grand vocabulaire doit être à la disposition du cerveau pour trouver à chaque fois, dans un choix abondant, l’expression correspondante. La bonne connaissance de sa langue maternelle est pour cela une condition préalable importante. Les exercices de mémoire peuvent constituer un soutien.

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La mort naturelle

La mort naturelle

La mort naturelle

Différents cas de personnes dans le coma (« perte de connaissance/conscience/vigilance non réversible par des stimulations ») ou, plus précisément, « en état de conscience minimal » depuis des années, ont – comme l’on dit – « défrayé la chronique »…
A chaque fois c’est l’occasion de s’interroger sur ce qui – selon les Lois de la Création -, en matière de respect de la vie, est juste ou pas.
Le Serment d’Hippocrate dit:
«Je dirigerai le régime des malades à  leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si l’on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté.».
Le Serment d’Hippocrate actualisé, plus précisément, à ce sujet, dit:
« Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. ».
Voici, maintenant, une parole (extraite des souvenirs de Schwester Rosa Markus) [NDLR: en Allemagne, les infirmières – « Krankenschwester » [« sœur des malades »] – portent le titre de « sœur »] pouvant éclairer et même guider:
« Une fois, par exemple, je pus questionner au sujet du traitement des mourants. Selon les prescriptions de mes ancêtres [NDLR: Les ancêtres de la narratrice étaient juifs; pour plus de précisions sur les conceptions juives relatives à l’agonie voir plus bas], un patient ne doit plus être touché, aussitôt qu’il entre en agonie. ».
Différents médecins, cependant, et aussi des infirmières1 comprenaient la Parole « Fidèle jusque dans la mort »2 en sorte que, jusqu’à  son dernier souffle, l’on doive faire à un malade tout ce que l’on peut {lui} faire comme soins: toilette, coiffage, humectation des lèvres, éventuellement piqûres, etc…
– « A partir de l’instant où survient l’agonie3, le mourant ne doit plus être touché », fut la claire réponse.

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