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Heureux ceux qui supportent la souffrance pour la Justice

Heureux ceux qui supportent la souffrance pour la Justice

Heureux ceux qui supportent la souffrance pour la Justice;
car le Royaume des Cieux est à eux.

« Souffrir pour la Justice signifie souffrir pour la Vérité. Tout prendre sur soi, tout surmonter, pour pouvoir rester vrai, est, pour l’être humain, le plus difficile au cours de sa pérégrination.
Cela veut tout dire: Vivre juste, vivre vrai, jusque dans les plus petites choses, et cela lui coûtera maint combat, mainte souffrance, ce sera vivre d’expérience, la véritable expérience-vécue durant toute la pérégrination de l’être humain.

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Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas du tout le cas.
La première, c’était la Parole prononcée par Jésus, le soir du Jeudi-Saint, lors de Sa première agonie au Jardin des Oliviers à Gethsémani, lorsqu’Il a dit à Son Père: « Père, s’il est possible, que ce calice s’éloigne de moi » (Matthieu XXVI, 39). Il parlait, bien sûr, du calice de douleurs qui L’attendait, s’Il Se laissait arrêter (jusque-là, malgré diverses tentatives antérieures, personne n’avait jamais pu y parvenir!) le soir même, peu après par les sbires de Caïphe et les soldats envoyés pour cela.
Aurait-Il prononcé cette Parole si la crucifixion avait automatiquement fait partie de Sa Mission de Rédemption? Autrement dit, s’Il était venu sur Terre pour S’y faire crucifier? Bien évidemment, absolument pas! Cela montre bien, par conséquent, que s’Il avait pu l’éviter et quand même pleinement remplir Sa Mission, Il aurait grandement préféré éviter de devoir vivre l’épouvantablement – à tous points de vue – douloureuse passion.
La deuxième (dans l’ordre chronologique) Parole prononcée par Jésus qui nous permet d’être sûrs que la passion et la crucifixion n’étaient pas voulues ni de Dieu ni de Jésus c’est la Parole prononcée par Jésus sur la croix, lorsque, en parlant des êtres humains en général et de Ses bourreaux en particulier, Il dit: « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font! » (Luc XXIII, 34).
Cette Prière d’Intercession de Jésus à Son Père aurait-elle donc été sensée – ou même nécessaire – si la mort sur la croix avait été un sacrifice indispensable à la Réconciliation? Lorsque Jésus affirme « Ils ne savent pas ce qu’ils font! », cela indique clairement que « ce qu’ils font »  est non seulement un complet non-sens mais aussi un crime qualifié, un meurtre, un assassinat.
C’est bien la plus grande Accusation qui puisse se concevoir. L’incontestable Indication que « ce qu’ils font » est faux. Que cet acte n’était voulu ni de Dieu ni du Christ, ni de la Lumière, de façon générale. Par conséquent, un vulgaire crime envers le Plus-Saint qui, à cette époque, ait jamais foulé la Terre. Confronté à la haine des êtres humains dominés par les ténèbres, Jésus avait Lui-même pressenti et annoncé cette catastrophe spirituelle avec Sa Parabole des vignerons homicides.

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Le dolorisme

Le dolorisme

Le dolorisme

C’est quoi, le dolorisme?
Le dolorisme est une possible appellation pour exprimer la doctrine de la souffrance.
Plus précisément le dolorisme une doctrine de portée principalement spirituelle ou religieuse exaltant la douleur physique, comme si elle était porteuse d’une valeur intrinsèque, en lui attribuant même une valeur spirituelle ou morale. Il s’agit, en fait, d’un véritable culte de la douleur pour elle-même. Un adepte d’un tel culte de la douleur, d’un point de vue philosophique, peut donc être appelé doloriste.
D’un point de vue plus courant, un doloriste peut tout simplement être appelé un martyr volontaire ou un fanatique religieux. Quant à eux, Les mots «dolorisme» et «doloriste» sont, tout simplement, des mots savants façonnés au début du XXème siècle à partir du nom latin «dŏlŏr», génitif «dolōris», signifiant «douleur physique, souffrance».
Cela se réfère, en particulier, déjà, à l’exaltation de la souffrance de Jésus sur la croix. Souvent l’accompagne la fausse imagination que les bons Chrétiens pourraient devenir «co-rédempteurs», c’est-à-dire participer à la Rédemption effectuée par Jésus (quelle présomption!) en « offrant » leurs souffrances à Dieu, comme s’il était possible de les monnayer et comme si Dieu pouvait en faire quelque chose!
C’est ainsi que le jeune Guy de Fongalland – reconnu par l’église comme « Serviteur de Dieu » – « offrait, chaque jour, de petits sacrifices à Jésus, pour Lui faire plaisir ». Parmi ce genre de « sacrifices » l’on raconte, par exemple, qu’il mettait volontairement des cailloux dans ses chaussures, même si ses pieds devaient en saigner, afin de « souffrir pour Jésus » et ainsi – croyait-il – – en vertu de la «communion des saints» – participer à «racheter les péchés des âmes du purgatoire»…
Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ
Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas le cas.
Afin de ne pas trop rallonger le présent article, ce chapitre du faux sens généralement attribué aux souffrances délibérément infligées à Jésus lors de la passion, est développé sur cette page.
Dieu aimerait-Il voir Ses créatures souffrir?
L’idée sous-jacente c’est que Dieu apprécierait – voire Se réjouirait de – la douleur de Ses créatures. Pourtant, c’est une idée insensée! Dieu ne veut pas de souffrance pour Son Peuple! Sinon, Il ne serait pas Dieu! C’est-à-dire Pureté, Amour et Justice! Quel « Dieu » serait-ce là? Au contraire, Dieu veut que l’être humain soit heureux dans le sens le plus vrai. Le Secret pour une juste appréciation de la Perfection Divine?: Accorder à Dieu l’Honneur de la Perfection!
Dolorisme et Rédemption
Alors, comment une idée aussi fausse que la supposée réjouissance de Dieu au vu de la souffrance humaine a-t-elle pu naître et se développer? Il semble que cette conception doloriste en vogue (de moins en moins quand même, en notre époque particulièrement hédoniste!) chez les croyants les plus dogmatiques soit intimement liée à la fausse conception au sujet de la Mission de Rédemption du Fils de Dieu Jésus.
En effet, pour tous ceux qui croient – et ils sont nombreux! – que la Mission de Rédemption de Jésus résidait dans Sa mort martyrisante sur la croix plutôt que dans Son Enseignement montrant aux êtres humains égarés le Chemin de la Lumière, il y a une certaine logique à penser que la souffrance pourrait avoir une valeur devant Dieu.
Le sophisme (faux raisonnement) pour parvenir à une telle conception est le suivant: Les êtres humains ont péché et Dieu exige une expiation. Mais, comme Son Amour est infini, Il décide de ne pas exiger une expiation de la part des pécheurs. Il préfère que, à la place des coupables, elle soit subie par le plus Innocent qui soit: Son propre Fils, Incarnation de l’Amour! Et ainsi – croit-on – Sa Justice sera satisfaite!
Ceux qui, pour leurs vaines tentatives d’auto-disculpation, pensent cela oublient juste de considérer que s’il est parfaitement exact de dire que Dieu est l’Amour, il ne doit pas être oublié qu’il est tout autant la Justice et aussi la Pureté. Et que la Base de l’Amour c’est la Justice, de même que la Base de la Justice c’est l’Amour! Les deux et même les trois sont tout à fait inséparables!
La théorie de la Rédemption-expiation et les Évangiles
Il est, toutefois, à noter que cette fausse théorie de la Rédemption basée sur le sacrifice de la croix s’appuie sur certains passages des Évangiles, par exemple: «Car le Fils de l’Homme est venu (…) pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de plusieurs.»  (Marc X, 45). Il s’agit, bien sûr, d’une Parole de Jésus, rapportée par Marc. Mais l’on trouve à peu près la même chose dans Matthieu:
« C’est ainsi que le Fils de l’Homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de beaucoup. » (Matthieu XX, 28).
Alors, questions: Jésus a-t-Il vraiment dit exactement cela? Comment comprendre cette Parole? Cela a-t-il le sens que veulent lui donner les partisans du rachat des péchés des êtres humains effectué, à leur place, par Jésus sur la croix? Ou bien cela peut-il être compris autrement?

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Le Renouvellement de la Force

Le Renouvellement de la Force

Le Renouvellement de la Force

La Pentecôte
Toute la Création dépend de la Force! Ce n’est rien de le dire, mais si, une seule fois, Dieu – ainsi qu’Il le fait, chaque année – ne renouvelait pas la Force, alors ce serait le commencement de la fin… Tout commencerait lentement à se flétrir, à dépérir et à décrépir, parce qu’il n’existe aucune créature qui ne dépende de la Force. Et avoir la Force ou pas, tout est là! Sans la Force impossible de vivre!
Même dans la Sphère Divine existent des êtres nés de l’Irradiation Divine et qui, eux aussi – bien que n’étant pas des créatures -, depuis toujours et pour toujours, dépendent de Sa Force. C’est, par exemple, le cas des Archanges, des Anges et des Plus-Anciens mentionnés dans l’Apocalypse de Jean. Sur la Terre tout être humain peut observer que, de l’humain au végétal, en passant par l’animal, jusqu’à chaque brin d’herbe s’efforce de s’élever vers la Lumière.

Pentecôte
Entropie et néguentropie
L’entropie est un concept scientifique permettant de comprendre que sans la Force tout est voué à disparition. En fait, l’entropie c’est juste la mort!

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Le culte des « saints »

Le culte des « saints »

Le culte des « saints »

Déjà, nous nous sommes intéressés au culte de Marie de Nazareth – la « Vierge Marie » -, la mère terrestre du Sauveur, pour essayer de savoir si, en fonction des Paroles de Jésus et des Lois de Dieu, ce culte, essentiellement pratiqué dans l’église catholique, était spirituellement justifié. Nous avons vu que la réponse est clairement non. Un tel culte n’est pas conforme à la Volonté Divine.
Alors, qu’en est-il du « culte des saints », de façon générale? Bien évidemment, toujours en fonction des Lois Divines et des Paroles de Jésus, un tel culte n’est pas davantage justifié, et, en fait, même encore moins.
Les théologiens de l’église catholique ont, à ce sujet, inventé des gradations:
« Le culte de dulie est, pour l’Église catholique, le culte réservé aux saints et bienheureux, par opposition au culte de latrie, réservé à Dieu et à chaque personne de la Trinité.
Il existe également le culte d’hyperdulie, réservé à la Vierge Marie et, moins fréquemment, celui de protodulie, réservé à Joseph.
C’est le concile de Trente qui a déterminé la distinction entre culte de latrie et culte de dulie, face à la réaction protestante contre ce qu’elle considérait [NDLR: avec raison!] {être} de l’idolâtrie. » (Source)
Ces distinctions savantes sont restées l’apanage des théologiens et ne sont donc pas passées dans le langage courant, de sorte que très peu de Chrétiens connaissent ces mots savants.
La création ou l’utilisation de tels mots savants peut certes servir à établir des distinctions intellectuellement clarifiantes, mais qui, du point de vue de l’Intuition, apporte, en fait, davantage de confusion que de clarté.
Chaque être humain, encore digne de cette appellation, possède, dans son for intérieur, un Autel dédié à l’Adoration de son Dieu. Cet Autel c’est sa faculté d’Intuition personnelle. Et l’Intuition de chaque être humain sait parfaitement vers Qui doit exclusivement se tourner son besoin d’Adoration, en fonction du Premier Commandement.

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L’Ascension

L’Ascension

L’Ascension

Chaque année, le Jeudi de l’Ascension, nous commémorons et fêtons … l’Ascension de Jésus.

La Fête de l’Ascension – qui est une Fête mobile, « tombe » toujours un Jeudi, parce que l’Ascension a toujours lieu exactement 40 jours après Pâques – qui est aussi une Fête mobile (fixée en fonction du calendrier lunaire) – et qui, bien sûr, a tours lieu un Dimanche … le Dimanche de la Résurrection!

Les Rogations
En fait, la Célébration de la Fête de l’Ascension commence trois jours plus tôt, avec les Rogations (37ème, 38ème et 39ème jours après Pâques). Le mot « Rogations » vient du verbe latin « rogare » qui signifie  «demander». Demander quoi? Eh bien, c’est une époque de l’année appropriée pour demander la protection des cultures et de bonnes récoltes, car l’Évangile du Dimanche précédent comprend la Parole: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.» (Jean XV, 7).
Quoi que les Rogations – notamment à cette époque de l’année – ne soient, pour les catholiques, plus systématiques depuis le Concile Vatican II, il est à remarquer que, trop souvent, l’attention des êtres humains s’est portée sur la deuxième partie de la Phrase, sans trop prêter attention à la première partie, qui est pourtant la condition de la deuxième. Pourtant, tous devraient savoir que « Tout ce qui est unilatéral est malsain. »!
A quel moment l’Ascension a-t-elle eu lieu?
Après Pâques, certes, mais pourquoi exactement 40 jours plus tard? Après Sa Résurrection, le Matin de Pâques, Jésus devait attendre que la Porte du Ciel soit ouverte – ce qui n’a lieu qu’une fois par an – pour pouvoir ré-intégrer Sa Place, à la Droite de Dieu.
L’Ascension est donc célébrée au quarantième jour à partir de Pâques, il s’agit d’une Fête mobile, dont la date est fonction du calcul de la date de Pâques et elle est donc, de façon générale, différente entre le calendrier liturgique catholique et le calendrier liturgique orthodoxe.
Cette Fête de l’Ascension est aussi la dernière des cinq Fêtes cardinales de l’année liturgique catholique. Et, bien sûr, elle tombe toujours un Jeudi (ce qui, en fait, ipso facto le 40ème jour à partir du Dimanche de Pâques), soit entre le 30 avril et le 3 juin inclus pour les Églises occidentales et entre le 13 mai et le 16 juin pour les Églises orthodoxes.

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La Rédemption

La Rédemption

La Rédemption

Nécessité de la Rédemption
Étant donné que – à part les très peu nombreux Missionnés – « les gens bien ne sont pas/plus sur Terre », pratiquement tous les êtres humains actuellement présents sur la Terre ont besoin, oui, de … Rédemption! Oui, tous les êtres humains, vous, les autres … et moi!
Mais comment cette Rédemption peut-elle s’effectuer? Concernant la Rédemption il y a l’aspect collectif et l’aspect individuel. L’aspect collectif est surtout théologique; la Rédemption serait essentiellement le fait du Rédempteur. A part croire en Lui, les bénéficiaires n’auraient quasiment rien à faire pour être rachetés. Leur Salut serait assuré par un Autre qu’eux…
La Doctrine de la Justification
C’est ainsi qu’est née, par exemple, la « Doctrine de la Justification ». La Justification signifie ici: Comment se justifier devant Dieu. Naturellement, il ne s’agit pas ici de tenter de s’auto-justifier soi-même avec des mots surgis de l’intellect, dans le sens de s’auto-disculper vis-à-vis de ses fautes. Devant le Juge Suprême, cela ne marche pas!
Il s’agit donc de se justifier spirituellement devant Dieu, autrement dit de pouvoir paraître devant Lui en qualité de Juste. Au sujet de cette « Doctrine de la Justification » il existe, dans une tentative de rapprochement doctrinal inter-églises chrétiennes, une « Déclaration conjointe de la Fédération Luthérienne Mondiale et de l’Église Catholique ». Il existe même une « Science du Salut » appelée la Sotériologie, rien que cela!
Jésus comme Rédempteur
Étant donné que cela déjà été fait, nous n’approfondirons pas ici en détails cette Doctrine de la Rédemption entièrement centrée sur le Sacrifice de Jésus. Un faux sens lui a été donné. L’assassinat du plus Innocent qui soit ne pouvait racheter personne, bien au contraire! Cela ne pouvait que charger encore bien davantage le karma des pécheurs.
Question: Mais si Jésus n’est pas mort sur la croix dans le but d’expier nos péchés à notre place, peut-Il toujours être désigné comme étant le Rédempteur? La réponse à cette question est clairement oui. Il suffit juste de comprendre que la Rédemption ne réside pas dans le fait d’expier nos péchés à notre place – ce que l’Omni-Justice Divine ne permet clairement pas! – mais dans le fait – avec tous les risques que cela comporte! – d’apporter jusque sur la Terre largement enténébrée la Parole de la Vérité Divine seule capable de montrer aux êtres humains profondément déchus le Chemin du Salut, qui, pour eux, déjà à cette époque, était déjà perdu.
En effet, les paroles des Prophètes déjà envoyés par Dieu ne suffisaient plus à ramener les êtres humains perdus vers la Lumière. Il fallait – venu d’En Haut – un Secours plus incisif que Seule une vivante Partie de DIEU Inentéallique (= Inqualifiable, sans nature propre ni attributs, totalement Indépendant) pouvait encore apporter. Ce fut une Mission d’urgence. Si Jésus n’était pas alors venu, plus aucun être humain de la Terre encore sur Terre ne pouvait plus être sauvé!

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Sur la Réincarnation – Par Léon Denis

Sur la Réincarnation – Par Léon Denis

Sur la Réincarnation – Par Léon Denis

Dans ses œuvres, l’historien juif {Flavius} Josèphe fait profession de sa foi en la réincarnation; il rapporte que c’était la croyance des Pharisiens. Le P. Didon le confirme en ces termes, dans sa Vie de Jésus: «On croyait alors, dans le peuple (juif) et même dans les écoles, au retour de l’âme des morts dans les vivants.».
C’est ce qui explique en plusieurs cas les questions faites à Jésus par ses Disciples.
Au sujet de l’aveugle-né, le Christ répond à {l’}une de ces interrogations:
«Ce n’est point qu’il ait péché, ni ceux qui l’ont mis au monde, mais c’est afin que les œuvres de la Puissance de Dieu éclatent en lui.».
Les Disciples croyaient qu{e l}’on pouvait avoir péché avant de naître, c’est-à-dire dans une vie antérieure.
Jésus partage leur croyance, car, venu pour enseigner la Vérité, Il n’aurait pas manqué de rectifier cette opinion, si elle avait été erronée. Au contraire, Il y répond en expliquant le cas qui les préoccupe.
Le savant bénédictin Dom Calmet s’exprime ainsi dans son Commentaire, sur ce passage des Écritures:
«Plusieurs docteurs juifs croient que les âmes d’Adam, d’Abraham, de Phinées, ont animé successivement plusieurs hommes de leur nation. Il n’est donc nullement étrange que les Apôtres aient raisonné comme ils semblent raisonner ici sur l’incommodité de cet aveugle, et qu’ils aient cru que c’était lui qui, par quelque péché secret, commis avant sa naissance, s’était attiré cette disgrâce.».
Au sujet de l’entretien de Jésus avec Nicodème, un pasteur de l’Église hollandaise nous écrit en ces termes:
«Il est clair que la réincarnation est la véritable naissance pour une meilleure vie. C’est un acte volontaire de l’esprit, et non le résultat exclusif du commerce charnel des parents. Il résulte de la double résolution de l’âme de prendre un corps matériel et de devenir un homme meilleur.
«Remarquons comme S. Jean (I, 13) nie ouvertement la part des parents à la naissance de l’âme, quand il dit: «Qui ne sont pas nés du sang, ni de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.».
«Tous ces points obscurs s’éclairent d’une vive lumière, quand on les considère au point de vue spirite.».

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L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean est le dernier Livre de la Bible.
L’Apocalypse, ou Livre de l’Apocalypse, ou Apocalypse de Jean, (en grec ancien: Ἀποκάλυψις Ἰησοῦ Χριστοῦ) suivant les premiers mots du texte1, est le dernier livre du Nouveau Testament. Dans les pays de culture anglophone, il est appelé  Livre de la Révélation.
L’Apocalypse de Jean dévoile à Jean «quel est le sens divin de son époque et comment le peuple de Dieu sera bientôt délivré».
L’œuvre aurait été terrestrement rédigée vers la fin du 1er siècle après Jésus-Christ par un dénommé Hélos ou par une femme selon Roselis von Sass. Mais, selon le préambule, l’auteur spirituel de l’Apocalypse est nommé Jean. Celui-ci se trouve dans l’Île de Patmos sur un Plan spirituel, lorsqu’il reçoit plusieurs visions, qu’il raconte en détails.
Au XXème siècle l’Apocalypse de Jean a été redonnée par lui-même:
« JEAN, le Serviteur de DIEU, vous appelle, vous les êtres humains, ainsi qu’il vous a appelés au temps où il était parmi vous dans la chair.
Faites pénitence, car le Royaume du Ciel est près d’arriver!
Et il a appelé encore une fois, car il ne séjournait plus sur Terre. Il vous a annoncé ce que DIEU lui a révélé, ce qu’il a dû voir avec les nouveaux yeux de son esprit. De cela vous devez apprendre, vous devez chercher à améliorer votre vie. » (…)
« À présent, je vous appelle pour la dernière fois. Je vous apporte la Révélation de DIEU, ainsi que je vous l’apportai il y a plus de 2000 ans. La comprendrez-vous et l’accueillerez-vous? Puisse-t-il en être ainsi, de telle sorte que quelques âmes puissent encore être sauvées. » (…)
“Qu’avec vous soient la Grâce et la Paix de Celui Qui Est, Qui Était et Qui Vient. » (…)
« Qu’avec vous soit la Grâce du DIEU TRI-UNITAIRE. Que la Force de DIEU vous soit accordée, à vous qui lisez ceci. ».
Apocalypse de Jean
Donné pour le Salut de ceux qui n’entendent pas se laisser circonvenir dans la bravade et l’infatuation.
Reçu par des êtres humains servant la Lumière et doués à cette fin.

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L’Enseignement de Lao-Tsé

L’Enseignement de Lao-Tsé

L’Enseignement de Lao-Tsé

« Pendant ce voyage [NDLR: Il s’agit de son dernier grand voyage à travers toute la Chine], son Enseignement [NDLR: L’Enseignement de Lao-Tsé] prit sa forme définitive.
Son Enseignement se résumait brièvement ainsi:
– « Nous les êtres humains, nous sommes des créatures du Hautement-Sublime, Que jamais personne n’a vu et ne verra jamais, car Il est Esprit, nous Matière dans laquelle Il a plongé une étincelle de Son Esprit.
« Hautement-Sublime Il est au-dessus de nous, mais Il prend part à notre destin. Il sait si nous nous comportons de façon digne de Lui. Si nous agissons ainsi, alors Il nous octroie tous les Secours dont nous avons besoin.
« L’étincelle spirituelle qu’Il a plongée en nous aspire de nouveau vers Lui en Haut. C’est pourquoi, pour nous, après un parcours terrestre correctement accompli, l’Ascension dans les Jardins éternels est assurée. Aucun être humain, toutefois, ne vit qu’une seule fois sur la Terre. Il revient au Terrestre aussi longtemps qu’il ne s’est pas débarrassé de tout le terrestre. Étant terrestres, nous devons nous libérer du terrestre.
« L’étincelle spirituelle enseigne à l’être humain ce qu’il doit faire et laisser {de côté} pour vivre selon la Volonté du Hautement-Sublime. Qui écoute l’Esprit parlant en lui n’a besoin d’aucune Loi pour vivre en Présence de Dieu.
« Mieux l’être humain saisit cela et d’autant plus il apprend l’ »Agir par le Non-Agir », c’est-à-dire l’Action qui se tient en Accord avec tout ce qui émane du Hautement-Sublime. La façon d’agir habituelle des êtres humains, « l’agir dans l’agir », coupe les bras aux répercussions des Irradiations divines en les entravant. Aussi longtemps que l’être humain se tient pour sage, il n’apprend pas l’Agir par le Non-Agir, et pourtant c’est {en lui que réside} la plus grande Félicité.

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