Ecole de l'art de vivre

Santé et Spiritualité

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Comprendre et vivre les émotions

Comprendre et vivre les émotions

Comprendre et vivre les émotions

Pour une Hygiène Psychique Consciente

« Le naufragé » – Noyé dans ses émotions!

Les émotions font partie de nos vies. Étant donné que l’on en vit tous les jours, elles nous influencent à chaque instant. Comment les vivons-nous? Dans quelle mesure et comment convient-il de se laisser ou non toucher par elles?

Et, tout d’abord, que sont-elles?

Dans cette découverte il importe de partir avec des notions justes. Étymologiquement é-motion veut dire « mouvement vers l’extérieur » ou encore « mouvement de l’esprit ». Il s’agit d’un mouvement, d’une impulsion de l’âme (en allemand « Regung ») et, au-delà  d’elle, de l’esprit.

L’on pourrait, toutefois, ne pas utiliser le mot « émotions » et le remplacer par les mot « impulsions ». Mais, en français, le mot « impulsions » ne se réfère pas explicitement à l’état émotionnel. L’on pourrait aussi ne pas parler d’émotions et parler seulement d’intuitions ou de ressentis, mais « intuitions » ne se réfère qu’à une partie seulement – la partie supérieure – de ce que l’on entend couramment par émotions, l’autre catégorie étant constituée des émotions inférieures d’ordre sentimental, donc le senti-mental.

Il existe, en effet, deux sortes d’émotions. Tout d’abord, les vraies émotions, qui, à vrai-dire, devraient être nommées impulsions, et qui sont des intuitions – ou ressentis – provenant du Noyau Spirituel de l’être.

Et, en outre, il existe aussi une deuxième sorte d’émotions, des émotions secondaires, qui, quant à elles, naissent dans le cerveau antérieur, et donc non pas dans l’esprit, donc des émotions d’un genre inférieur, qui, en fait, appartiennent au domaine du sentiment et donc de l’intellect. Elles aussi, comme les émotions-impulsions, sont irréfléchies, mais ces émotions secondaires négatives d’un genre très répandu ne devraient pas pour autant jouir, en cas de jugement des actes occasionnés par elles, de la même indulgence que celle couramment accordée aux actes d’impulsion, car, même si l’on peut aussi les appeler « émotions », c’est, en fait, l’intellect et non l’âme qui en est la base. Et, en réalité, cela change tout!

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La loi de conversion

La loi de conversion

La loi de conversion

Médecine psychosomatique

Dans l’ouvrage «Médecine psychosomatique» de Weiss et English l’on trouve, présenté par Madeleine Cavé, le cas d’un être humain atteint de la maladie de Tinel:
Le malade présentait alternativement, soit un psoriasis, soit un état mélancolique, chacune de ces affections remplaçant l’autre, une fois le traitement appliqué, lequel était destiné à agir aussi bien sur la lésion organique de la peau (psoriasis) que sur l’état psychique.
Cette alternance obéit à la loi dite de «conversion» bien connue en psychiatrie et en psychosomatique, et qui se manifeste particulièrement sur des sujets hystériques.
Le fait que le sujet ne puisse pas, en même temps, présenter une maladie organique et sa correspondance psych{olog}ique pose une question à laquelle la médecine conventionnelle ne sait pas répondre.
Ce qui est frappant dans ce genre de cas c’est le fait que ou bien la maladie est psychique ou bien elle est physique, mais qu’elle n’est pas les deux en même temps.
Il se produit donc un effet de transfert, qui semble lié à la conscience.
Si on laisse de côté les influences externes provoquées par des traitements médicamenteux, que doit-on en déduire?
Si le malade ne peut pas psychiquement assumer une émotion ou un problème, celle-ci ou celui-ci quitte le domaine du psychique pour aller se focaliser dans le physique.

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La nécessité pour le corps de résonner avec l’âme

La nécessité pour le corps de résonner avec l’âme

La nécessité pour le corps de résonner avec l’âme

Comment le fait de « se retenir » se produit aux dépens du corps

L’être humain victime de sa biologie

Avoir envie de mordre
Il est bien connu que lorsqu’un être humain est oppressé par un autre être humain il peut finir par avoir envie de mordre, en particulier, bien sûr, mordre cet être humain qui l’oppresse, mais, éventuellement, s’il s’avère qu’il n’est pas possible de le faire, en mordre un autre… Le plus important étant de mordre! Quelqu’un ou quelque chose. Il s’agit donc, comme l’on dit familièrement, de « se défouler »! Mordre un autre qui n’a rien avoir avec un motif de mécontentement, c’est profondément injuste, mais il est vrai que ça défoule! Ce que cela signifie vraiment va être explicité un peu plus loin…
Considérons, par ailleurs, toutes les caries dentaires, très répandues. L’on incrimine le sucre… Certes, le sucre, générateur d’acides et facteur d’acidose, n’est pas bon pour les dents et attaque l’émail, comme un acide attaque une base. L’alimentation moderne n’est pas, non plus, de façon générale, bonne pour les dents, mais si l’on examine la dentition des corps retrouvés datant de la pré-histoire, l’on peut voir que l’homme pré-historique avait déjà  des caries. Donc cela ne date pas d’hier! Et cela existait déjà  avant l’invention du sucre… La cause principale des caries est donc à chercher ailleurs…
Et si la principale cause était psychique?
Sigmund Freud – le « père » de la psychanalyse et dont une partie de l’œuvre est certainement très contestable -, a, toutefois, mis en évidence l’existence du « ça » (les pulsions personnelles), du « moi » (l’être humain individuel, au centre) et du « surmoi » (la pression sociale s’exerçant sur l’individu), ce que presque personne ne conteste plus aujourd’hui: L’être humain doit se tenir en équilibre entre ses impulsions propres et la société qui réprime une part plus ou moins importante de ses impulsions. Comment vit-il cela? Plus ou moins bien.
Certains êtres humains sont qualifiés par les caractérologues comme « primaires » et « extravertis ». Ils réagissent facilement et rapidement et expriment leurs émotions, y compris leurs émotions négatives. Du coup, l’émotion extériorisée ne crée pas de dégâts à  l’intérieur. S’il s’agit de colère, d’envie, de jalousie, de haine, etc., l’émotion négative peut, toutefois, créer de gros dégâts à l’extérieur, c’est-à-dire sur les autres, qui deviendront ainsi, la plupart du temps, d’innocentes victimes…
Pour éviter cela, le médecin suisse Dr Tal Schaller préconise, entre autres, de « faire le tigre », c’est-à-dire, tout d’abord en mimant un comportement agressif, de se connecter ainsi avec l’agressivité réelle existant en soi, de sorte à l’extérioriser. Grâce à l’extériorisation de la colère, de la peur ou de la rage les effets négatifs qu’aurait provoqués sur le corps physique cette émotion négative retenue n’auront pas lieu, sans pour autant nuire à qui que ce soit à l’extérieur. Par conséquent, une pratique toute simple de « décharge psychique » (ou « psycho-émotionnelle »), mais hautement recommandable!

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Propre = Sain

Propre = Sain

Propre = Sain

« Seule la Pureté guérit! »
– Louis Kühne –

Vous voulez guérir? Purifiez-vous!

« Les maladies du corps se déclarent là où le corps est mal tenu.
Vous avez souvent fait l’expérience qu’une plaie empire lorsque la saleté y entre.
Les maladies s’implantent là où elles trouvent de la saleté pour s’y déployer.
Comprenez-vous cela? »
– Lao-Tsé –

Oui, comprenez-vous cela? Les grandes vérités sont tellement simples à comprendre qu’elles en deviennent très difficiles à  faire émerger à  la conscience.

Quelques êtres particulièrement intuitifs comme Lao-Tsé, Louis Kühne, Hulda Clark l’ont compris: La maladie se développe à  partir de la « crasse » interne du corps: Toxines, toxiques, poisons, médicaments chimiques, polluants variés, pesticides, solvants, métaux lourds, parasites en tous genres…

Retirez tout cela du corps et vous retirez à  la maladie son support et sa nourriture: elle disparaîtra! Pour guérir il faut {se} purifier, et donc nettoyer, nettoyer, nettoyer!

Ce qui est vrai au niveau physique est, bien évidemment, également vrai au niveau psychique.

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Un corps propre et pur

Un corps propre et pur

Un corps propre et pur

Lorsque quelqu’un de supposément spirituel tombe physiquement gravement malade cela interpelle, surtout lorsque l’issue menace d’être fatale et que, pour finir, elle s’avère, même, fatale. Et si cet être humain est, de surcroît, quelqu’un ayant une vie spirituelle, cela interpelle encore plus!
Certains disent alors, de préférence en faisant remonter la chose à une vie antérieure: « Je suis malade parce que c’est mon karma. ». Explication ou excuse? L’explication est censée résider loin, à une époque dont personne ne se souvient, pas même l’intéressé. Du coup, cela agit de façon déculpabilisante. Mais, comme dit le proverbe: « Qui s’excuse, s’accuse! ».
En réalité, il y a là une fausse conception, largement répandue; cela procède de ce que l’on peut appeler la « mentalité magique », très courante, chez beaucoup de croyants, notamment, par exemple – même s’ils n’emploient pas le mot «karma» mais plutôt des mots comme «destin» ou «fatalité» -, chez les catholiques traditionnels. Avec une telle mentalité magique l’on pense que le karma, sous forme de maladie, vous « tombe dessus » sans que l’on n’y puisse rien ou pas grand chose. « Je n’y peux rien, parce que c’est mon karma/destin. ».
Le karma ne peut pourtant ignorer les lois de la biologie, et cela est dit au sujet de l’être humain guéri à la suite d’une Prière mais qui retombe ensuite dans ses anciens défauts.
Pour un tel contrevenant à sa promesse d’amendement, aucun Éclair céleste n’arrive, pour autant, alors, aussitôt, d’En-Haut pour le foudroyer, de même qu’il ne retombe pas non plus, automatiquement, immédiatement, malade, avec la mort foudroyante comme inévitable conclusion. Seule une pensée naïve et ignorante – ce que nous appelons ici une mentalité magique – s’attend à cela.
Si cela arrivait ainsi cela constituerait un Acte arbitraire de la part de l’Auteur de Tout, allant à l’encontre des Lois existantes en vigueur dans l’Univers. Si la Guérison ou l’Amélioration de la Santé a été accordée, alors le Secours advenu au malade s’est effectué en un Événement tout naturel, entièrement dans le cadre des Lois parfaites, jamais autrement. La Guérison, ou Amélioration, accordée ne sera pas retirée sans plus, uniquement parce qu’a reçu l’Aide en Cadeau un être humain qui, par la suite, du fait de sa libre volonté, et à cause de la réapparition de ses anciennes fautes, en est ensuite devenu indigne.
Ce qui a été accordé en fonction des Lois demeure donc, au moins provisoirement, acquis. Mais alors, questionnera-t-on, l’indigne va-t-il continuer à bénéficier indéfiniment de Grâces imméritées?
Non, bien sûr, mais, de nouveau, cela ne peut se passer que dans le cadre des Lois Parfaites, dont les Lois Biologiques physiques font aussi partie.
Un état maladif renouvelé ne peut alors seulement résulter que d’une nouvelle cause corporelle. Par « une nouvelle cause corporelle » il nous faut comprendre que, même en cas de karma, la maladie ne tombe pas directement du Ciel comme un Châtiment Divin extérieur et inéluctable mais que tout ce qui concerne le corps obéit, dans le cadre des Lois Divines, aux Lois terrestres régissant le corps terrestre gros-matérielles, donc aux Lois Biologiques.
Une rechute dans la maladie peut aussi avoir une autre cause, mais elle aussi sera biologique.
Ce qui est ici important à considérer c’est comment et à quelles conditions, une maladie passe de l’âme au corps, donc du fin- au gros-matériel, donc comment cela se répercute du psychique au physique.

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Un Corps en Résonance

Un Corps en Résonance

Un Corps en Résonance

«La robe de la Cloche résonne au battant de l’esprit.»

Voici, ci-dessous exposé, l’un des plus grands Secrets de Santé qui soient… Ce Secret est celui de la Résonance. La Résonance doit exister entre l’esprit et toutes ses enveloppes, donc, aussi, en particulier, entre l’âme (Noyau + fines enveloppes) et le corps.
Cela signifie que, par exemple, lorsqu’un être humain vit quelque chose dans son for intérieur il est nécessaire que ce qui l’émeut – et donc le fait vibrer – parvienne à se manifester aussi en direction de l’extérieur. C’est le principe de l’Ex-Pression : Une Pression {qui se manifeste} en direction de l’extérieur.
La réciproque est, naturellement, également, aussi vraie : Ce qui touche le corps de l’extérieur doit aussi, en tant que quintessence, être vibratoirement retransmis à l’âme, jusqu’au Noyau Spirituel, à l’intérieur.
Supposons, en un tel cas, un être humain qui, par une froide journée d’Hiver, se tient, sous une pluie glacée, dans un glacial courant d’air …
De nombreux êtres humains penseront peut-être que ce serait une preuve de supériorité de l’esprit maîtrisant le corps comme il se doit que de pouvoir, en un tel cas, par exemple, ne jamais attraper de refroidissement (en langage courant, un rhume, se dit, en effet, en langue allemande, « Erkältung » = « refroidissement »), autrement dit de ne jamais s’enrhumer!
Celui qui est susceptible de s’enrhumer en stationnant dans un courant d’air, celui-là est, d’office, déjà, par les adeptes du corps « dominé par l’esprit », éliminé de toute possibilité d’être jugé digne d’admiration; car cela ne correspond pas à l’idée qu’ils se font au sujet d’un esprit supérieur. Un être humain fort devrait, dans tous les cas et en premier lieu, avec son esprit, se tenir, tout à fait sublime, bien au-dessus de ces insignifiantes bagatelles, donc ne pas avoir besoin de s’enrhumer. Et ce serait la même chose pour quantité d’autres affections ou maladies…
Est-ce là, de leur part, une preuve de véritable savoir?

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Les démons existent-ils?

Les démons existent-ils?

Les démons existent-ils?

Un lecteur du livre «Le Chemin de la Santé Parfaite» témoigne…
Du fait de son métier, il se trouvait, en tant que technicien, devant un hôpital, afin de procéder à des mesures…
Il raconte:

«Je viens de terminer le livre « Le Chemin de la Santé Parfaite » et de vivre une confrontation avec les démons!
Symbolique très forte!
Hier soir, alors que j’étais seul devant l’hôpital de D…  en train de réaliser une mesure de bruit vers 23 heures, dans un lieu obscur et pesant, j’en profitais pour finir le livre dans ma voiture. Et j’ai demandé en mon for intérieur de pouvoir vivre l’expérience de la reconnaissance de mes propres démons.
C’est alors qu’un instant plus tard un coup de vent fit tomber le trépied sur lequel j’avais accroché mon appareil de mesure. Après sa chute déchirant le silence de la nuit, je me suis rapidement précipité, en laissant tomber le livre par terre, ayant peur que mon appareil soit cassé. Heureusement, celui-ci n’avait rien. Une belle frayeur.
Je reprends alors ma mesure, en prenant soin, cette fois-ci, de bien arrimer le trépied à terre.
Et je cherche mon livre! Plus de livre!…
Je l’ai cherché au moins 1/2 heure: dans ma voiture, sous ma voiture, sur ma voiture, dans l’herbe. Pas de livre, à en devenir « fou »!
Je suis passé par un état de négligence (manque de vigilance par rapport à l’appareil et au livre) à un état de peur (lieu sombre et peur d’avoir cassé mon appareil), d’énervement (du fait de ne pas comprendre où pouvait être mon livre), d’impatience (je voulais rentrer car, bien que fatigué, j’avais encore 1H30 de route à faire dans les montagnes en pleine nuit).
Bref, tous ces démons étaient autour de moi, sans aucun doute.
Je me suis dit: « Cela ne va pas se passer comme ça, je vais demander de l’aide, car je suis plus fort que ces démons et je retrouverai ce livre avant de partir, même s’il me fallait la nuit pour le retrouver, il ne s’est quand même pas volatilisé! ».
Après un court instant dans le silence, ayant fait encore 2 fois le tour de ma voiture, l’idée me vint  soudain de soulever une lourde plaque en ciment posée au sol sur une bouche d’égout.
Avec ma lampe torche, je scrute au fond de la bouche, pour y voir, à mon grand étonnement, … le livre …
Ma réaction à ce spectacle fut indescriptible!…»

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Le grand Secret – Plus jamais victime – Être responsable de sa vie à 100%

Le grand Secret – Plus jamais victime – Être responsable de sa vie à 100%

Le grand Secret – Plus jamais victime – Être responsable de sa vie à 100%

«L’être humain dort dans le lit qu’il s’est lui-même fait.»

«Si Tu savais le Don de Dieu…»

«C’est comme cela que je veux être»

«Tout est Grâce»

La «victimite» est une maladie très répandue. L’on s’en prend à « tout le monde » de ce qui nous arrive, allant parfois même jusqu’au blasphème en incriminant jusqu’au Créateur.

Description des symptômes: Combien de fois nous sentons-nous comme une victime de quelque chose – frustrés de voir que nous ne pouvons pas contrôler le déroulement de nos vies en raison de circonstances adverses, peut-être même se mettre à bouder ou se renfrogner ou même à bougonner à  cause de ce quelqu’un d’autre a dit ou fait pour nous, ou, au contraire, de notre point de vue, négligé de le faire? Combien de fois avons-nous choisi de voir notre verre à  moitié vide plutôt que de le voir à  moitié plein?

Combien d’entre nous blâment les autres, comme leurs parents, leurs frères et sœurs ou leurs enseignants, ou même leurs amis, pour avoir, de leur point de vue, rendu leurs vies misérables? Combien d’entre nous blâment le gouvernement de leur pays pour être responsable de la destruction de l’économie et des moyens de subsistance? Combien d’entre nous, même, blâment le temps qu’il fait, lorsque nous avons une « mauvaise » journée – jugée «trop chaude» ou, au contraire, «trop froide», «trop sèche» ou, au contraire, «trop humide»?

Il semble, dans notre vie, que nous ayons tellement à  nous plaindre, et si peu à  être reconnaissants pour tout ce qui nous est donné. Toutefois, lorsque la maladie frappe ou qu’une catastrophe survient, nous pouvons soudainement nous souvenir qu’il y a beaucoup plus de raisons d’être reconnaissants qu’il n’y a des raisons de se plaindre. Pourtant, comme le dit le proverbe: « Si Tu voulais remercier Dieu pour toutes les Bontés qu’Il Te donne, il ne Te resterait plus de temps pour te plaindre »!

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La victimite, la fatalité et la révolte

La victimite, la fatalité et la révolte

La victimite, la fatalité et la révolte

Trois maladies très répandues

La « victimite » et la fatalité sont deux maladies sœurs très répandues. La victimite est la {fausse} croyance que l’on peut être victime d’une quelconque injustice; la fatalité est la {fausse} croyance que l’on ne peut rien – ou seulement très peu – à son destin: « Je me livre en aveugle au destin qui m’entraîne » dit Oreste dans l' »Andromaque » du célèbre dramaturge français Jean Racine.
De la victimite à la révolte aveugle – laquelle est une troisième maladie faisant un triplé avec les deux premières -, il n’y a pas loin. Par exemple, la personne malade pense qu’elle est malade à cause de la fatalité ou à cause des autres. Jamais elle ne pensera être malade à cause d’elle-même; toujours c’est la faute à la génétique, à ses parents, aux microbes, à l’environnement, à la nourriture, à la malchance, aux autres, etc.
Elle ne voit pas la Grâce qui, pour le réveil de l’esprit, réside dans la maladie (lui permettant d’entendre ce que le « mal-a-dit ») et la souffrance, mais, trop souvent, par obstination, s’enfonce encore davantage dans l’erreur, ce qui, bien évidemment, à un degré encore plus élevé, lui occasionnera encore de nouveaux maux et de nouvelles souffrances.

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Comment être en bonne Santé?

Comment être en bonne Santé?

Comment être en bonne Santé?

L’être humain, victime de sa biologie

«Si Tu veux être en bonne Santé, alors soigne Ton corps et Ton esprit.»

Comment être en bonne santé?
En étant Un avec soi-même.
L’Unicité
L’être humain est un germe d’esprit en cours d’évolution.
Sa nature spirituelle lui confère son unicité.
Dans l’Unicité – être un avec soi-même – réside la source du Bonheur, de la Paix et de la Santé.
La dualité
Comment la dualité peut-elle exister dans l’être humain terrestre?
L’être humain terrestre est un esprit incarné dans un corps gros-matériel.
Malgré cette incarnation, l’être humain devrait toujours être unitaire, un avec lui-même.
Mais, bien souvent, il ne l’est plus, et là commencent les problèmes: il devient double ou duel; il entre en duel contre lui-même.
Le mal fondamental vient donc de la dualité: Une partie s’oppose à une autre.
Comment la dualité se manifeste-t-elle en l’être humain?
Comment peut-on éclairer cela?
Le bon Chemin à suivre pour chaque être humain lui est donné par sa voix intérieure.
Le problème a, par exemple, bien été observé par l’Apôtre Paul et arrive souvent ainsi:
«Je ne fais pas le Bien que je voudrais et fais le mal que je ne voudrais pas», dit l’Apôtre Paul, observant ce terrible conflit en lui.
En ce cas, il y a deux «Je» en l’être humain, ou, plus précisément, il y a un «Je», l’esprit, opposé au «moi», l’intellect.
Ceci est le conflit fondamental.
L’explication, apportée par Paul de Tarse, dans son Épitre aux Romains, est la suivante:
«Nous savons, en effet, que la Loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché».
Nous avons donc ici, exprimées par Paul, l’opposition, la dualité, spirituel{le} {d’un côté}/charnel{le} {de l’autre}.
Il explicite:
«Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.».
Donc, comme déjà vu, deux «Je» (ou un «Je» et un «moi»), le conflit fondamental.
Il importe fort de bien identifier ces deux «Je».
Paul développe:
«Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la Loi est bonne.».
Le premier «je» (le «moi») en lui fait le mal; c’est, dit-il, la partie «charnelle» (intellectuelle), «vendue au péché».
Mais un autre «Je», une autre partie en lui, ne veut pas faire ce qu’il fait. Ceci montre qu’il vaut quand même mieux que ses actes; ce «Je»-là est capable de reconnaître le caractère bon, juste, sage et bienveillant de la Loi.
L’on peut vouloir autrement que ce que l’on fait et même que ce que l’on dit ou pense. Ceci est facteur de dualité et introduit des distorsions entre les formes {nées} du vouloir et celles {nées} des pensées, paroles ou actions.

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