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Une volonté libre et consciente uniquement dirigée vers le Haut

Une volonté libre et consciente uniquement dirigée vers le Haut

Une volonté libre et consciente uniquement dirigée vers le Haut

Tel est le haut Objectif auquel le présent écrit souhaite concrètement commencer à apporter sa contribution.
Cet Objectif vous semble-t-il déjà atteint pour vous, ou vous semble-t-il encore désirable?
Beaucoup d’êtres humains s’imaginent être libres, mais, en réalité, ne le sont pas; il y en a peu qui le soient vraiment. Des fois, même pour qui le veut vraiment, une vie entière ne suffit pas pour le récupérer, pour le désenfouir.
La plupart des gens s’imaginent qu’être libre signifie pouvoir accomplir tous ses désirs terrestres sans restriction. Mais est-ce qu’un drogué, un buveur, un fumeur, un goinfre, un obsédé sexuel, etc., sont libres? Non, ils sont juste esclaves de leurs convoitises par trop terrestres, de leurs bas instincts, ils sont, tout au contraire, fortement dépendants. Et pourtant, paradoxalement, ils se considèrent – à tort – comme «libres» d’accomplir tout ce qu’ils désirent, puisqu’ils le font!
D’autres êtres humains, qui ne sont pas affligés de tares aussi rédhibitoires liées à des instincts par trop dominants, croient aussi être libres, alors que, chez eux, ce n’est pas fondamentalement l’instinct qui les opprime mais leur propre intellect, leur mental.
Le processus d’entrave est ici plus subtil et il est plus difficile de s’en rendre conscient, mais le ligotage n’en est pas moins fort pour autant, car leur volonté est constamment entravée par l’intellect terrestre.
Cela se manifeste de bien des manières.
L’une d’entre elles, et pas la moindre, ce sont les faux concepts et – en dérivant – les fausses conceptions, donc les fausses croyances, les préjugés, les idées reçues, etc.

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Mon démon et moi

Mon démon et moi

Mon démon et moi

L’intellect dominateur est le grand protecteur des démons.

Il est important et même fondamental de cerner de façon plus approfondie la nature du lien qui relie un être humain à son démon.
Si je – c’est-à-dire mon intellect- nie avoir un faux vouloir et donc un démon, alors mon démon est enchanté, car, aussi longtemps qu’il n’est pas reconnu, il peut tranquillement continuer à prospérer…
Les démons aiment les êtres humains dominés par leur propre intellect et qui ne veulent donc pas reconnaître qu’ils existent. L’on peut même dire qu’ils en raffolent!
Mon inavouable et terrible enfant
Le démon, en tant que fils né de mon désir, est mon enfant et cet enfant est, à la fois, une sangsue à l’affût de ma force – ou, plus précisément, de la part de Force neutre existant dans la Création qui, comme pour tout un chacun, me traverse et que je suis capable de capter par mes intuitions (c’est-à-dire les ressentis de mon esprit) – et une vipère que j’abrite en mon sein et qui n’attend que le moment où elle sera débusquée pour me mordre.
En effet, lorsque l’on ôte du repaire d’un serpent venimeux la protection qui le recouvre et qu’il se reconnaît, de ce fait, subitement découvert, c’est-à-dire reconnu en tant que tel, alors il cesse brutalement de faire semblant et cherche, bien évidemment, à sauter sur la main dépourvue d’égards, pour la mordre.
C’est la même chose ici. Le démon, se voyant découvert, réagit rapidement; une fois démasqué, il se manifeste violemment et fait tout son possible pour se maintenir sur le trône que l’être humain qui est son père lui a volontairement offert.
Un comportement «proprement» démoniaque
Nous voyons donc que le démon est, par nature, hypocrite. Au début, parce que c’est son intérêt, il fait semblant de vouloir notre bien. En réalité, il veut notre bien tout autant que nous voulons le bien d’un cochon que nous engraissons soigneusement dans le but de le transformer en jambons et saucisses…
Le démon est donc un parasite et même un «saprophyte». Du reste, une telle relation, en réalité, ça profite exclusivement à un seul: lui!
Il y a donc deux périodes bien distinctes: la période «sangsue» ou «vampire», pendant laquelle – parce que, par la Force que je capte, je le nourris – mon démon «m’aime», et la période «serpent» au cours de laquelle – parce que, du fait qu’il est démasqué, je ne le nourris plus – il «ne m’aime plus» et au cours de laquelle sa hargne «naturelle» se déchaîne alors contre moi.
L’on entend parfois dire qu’une personne a «fait une attaque» cérébrale ou autre. En réalité, il y a bien une attaque, mais ce n’est pas cette personne en mauvaise santé qui «fait  l’attaque; tout au contraire, elle subit l’attaque en provenance de l’un de ses démons, celui qui est alors débusqué.

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La Guérison par la Conscience

La Guérison par la Conscience

La Guérison par la Conscience

« La Vérité, c’est ce qui marche! »
– Bouddha –

« Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! »
– Proverbe –

“La maladie commence à l’instant même où l’on justifie par l’extérieur le malaise intérieur.”
– Samuel Hahnemann –

Lorsqu’un être humain, dans la maladie, se trouve fortement bouleversé, c’est toujours parce qu’il ne peut pas venir à bout de sa conscience.

Là, dans la grande simplicité de cet énoncé, réside vraiment l’Enseignement fondamental sur la maladie.
Ne pas pouvoir venir à bout de sa conscience signifie, d’une part, que la conscience est invincible, d’autre part, qu’il y a quelque chose en soi qui tente de s’opposer à la voix de la conscience et que, pour guérir, il est indispensable de clairement identifier.
Ce quelque chose n’est, en fait, rien d’autre que la volonté intellectuelle – l’ego, le mental – qui tente de prendre le pas sur le ressenti spirituel.
La maladie nous apparaît ainsi comme l’inévitable résultat d’un combat entre la volonté intellectuelle de l’être humain et sa conscience spirituelle.
Le combat contre soi-même s’exprime ici avec les mots «ne pas pouvoir venir à bout de sa conscience».
C’est, tout simplement, ce qu’aujourd’hui l’on appelle, en termes de psychologie moderne, un «conflit intérieur».
Un tel «conflit intérieur», traduisant la dualité entre l’être spirituel et sa conscience mentale terrestre montre que, dans une telle âme humaine, le combat fait rage entre Lumière et ténèbres, Bien et mal, Esprit et intellect…

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Nature, mon Amour

Nature, mon Amour

Nature, mon Amour

J’aime la Nature et je la ressens.
La Nature est le plus beau Cadeau de Dieu à Ses créatures.
Un être trop dominé par son propre intellect ne peut pas réellement «sentir la Nature».
Le Naturel est sain, le Naturel est bon, le Naturel est promoteur et édificateur. Le pourquoi de cela est que: Dans la Nature agit l’Omnisagesse Divine.
La nature, en son activité réellement naturelle, conforme aux Lois de la Nature, crée des liaisons naturelles entre les différents éléments de la matière.
Uniquement dans les liaisons naturellement créées par la Nature elle-même résident une force et une irradiation constructives.

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Le Mouvement de la Vie

Le Mouvement de la Vie

Le Mouvement de la Vie

La Vie c’est le Mouvement, et le Mouvement … c’est la Vie!

Le Mouvement procède de La Vie. Là où il n’y a pas de Mouvement, il n’y a pas de Vie! Une évidence; une banalité. La Vie Seule est réellement Indépendante. Elle Est! Mais qui comprend vraiment tout ce que cela veut dire? La Vie est l’Absolu, c’est l’Être, la Lumière, la Force, en un Mot : Dieu! La Vie et la Force se tiennent en dehors de la Création et non en elle-même! La Force flue à travers la Création, mais ne procède pas d’elle. Dans la Création n’existe que le Mouvement, le Mouvement activé par la Vie, le Mouvement de la Vie!
La Vie produit donc le Mouvement. D’où, vue de haut en bas, l’expression: « La Vie c’est le Mouvement! ». Toutefois, la Vie ne se réduit pas au Mouvement; le Mouvement, en réalité, est juste un effet naturel de la Vie! Pour l’être humain, inversement, considéré, cette fois, de bas en haut, le Mouvement c’est la Vie! Parce qu’il ne peut fondamentalement appréhender que le Mouvement. L’Essence de la Vie Elle-même lui échappe.
Face à La Vie – L’Être, La Lumière, La Force, en un Mot: Dieu – dans tout Son Absolu, le petit être humain que nous sommes est entièrement dépendant. Entièrement dépendant de la Force qui traverse et transpénètre toute la Création et que la Vie nous accorde par Grâce. La Force est à notre disposition, mais ne nous appartient pas. Nous en possédons juste la Clef par notre ressenti, notre intuition.
La Lumière rayonne et, de ce fait, produit la Pression. La Pression, à son tour, produit le Mouvement. Le Mouvement n’est donc pas la Vie mais juste l’Effet naturel de la Vie. Dans la Création le Mouvement découlant de la Vie active tout. C’est pourquoi il est tellement profitable, en un authentique Savoir-Recevoir, de humblement se laisser pénétrer par le Mouvement de la Vie!
La condition pour cela est l’Ouverture, le Pouvoir-Recevoir, c’est-à-dire l’Humilité, dont la puissance est considérable. Étroitement lié à cela, il est aussi indispensable de vivre dans la Gratitude. Ouverture – Humilité – Gratitude: l’indispensable Triptyque pour se laisser pénétrer par le Mouvement de la Vie!

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Identification et Clôture des Cycles Inachevés

Identification et Clôture des Cycles Inachevés

Identification et Clôture des Cycles Inachevés

C’est « ICCI » et c’est maintenant!

Dans la Création tout est cycles! De même, nos ressentis, nos pensées, nos actions démarrent constamment de nouveaux cycles et chacun de ces cycles doit ensuite se boucler! Conformément aux Lois de l’Univers aisément reconnaissables, partout où l’on observe un cycle ne peut, toutefois, complètement se boucler – ou se clore – que dans le genre de matière qui l’a vu naître.
C’est, par exemple, ce que Johann Wolfgang von Goethe a lui-même observé en disant: « Le destin de l’être humain est semblable à {celui de} l’Eau: Du Ciel il descend, au Ciel il remonte. ».
Un ressenti crée, ou – mieux dit – forme, dans la matière fine de l’Au-delà. Toutefois, si ce ressenti donne simultanément lieu à une pensée et à un acte, alors, lorsque nous sommes incarnés dans la matière grossière, cet acte va, lui, se dérouler sur le plan terrestre.
Chacun de nos ressentis et chacune de nos pensées donnent lieu à un karma correspondant, de telle sorte que la plus grande partie des expiations se déroule{nt} fin-matériellement. Toutefois, un karma noué lors de la présence du Noyau spirituel incarné avec ses fines enveloppes (âme) dans le corps terrestre gros-matériel ne peut se dénouer que dans le genre gros-matériel.
C’est, en effet, une Lois de la Création: Tout événement ayant pris naissance dans la Création Postérieure, c’est-à-dire dans la matière fine ou grossière, doit recevoir, dans son parcours cyclique, une juste clôture, ou, autrement dit: il doit comme cercle se clore.

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Comprendre et vivre les émotions

Comprendre et vivre les émotions

Comprendre et vivre les émotions

Pour une Hygiène Psychique Consciente

« Le naufragé » – Noyé dans ses émotions!

Les émotions font partie de nos vies. Étant donné que l’on en vit tous les jours, elles nous influencent à chaque instant. Comment les vivons-nous? Dans quelle mesure et comment convient-il de se laisser ou non toucher par elles?

Et, tout d’abord, que sont-elles?

Dans cette découverte il importe de partir avec des notions justes. Étymologiquement é-motion veut dire « mouvement vers l’extérieur » ou encore « mouvement de l’esprit ». Il s’agit d’un mouvement, d’une impulsion de l’âme (en allemand « Regung ») et, au-delà  d’elle, de l’esprit.

L’on pourrait, toutefois, ne pas utiliser le mot « émotions » et le remplacer par les mot « impulsions ». Mais, en français, le mot « impulsions » ne se réfère pas explicitement à l’état émotionnel. L’on pourrait aussi ne pas parler d’émotions et parler seulement d’intuitions ou de ressentis, mais « intuitions » ne se réfère qu’à une partie seulement – la partie supérieure – de ce que l’on entend couramment par émotions, l’autre catégorie étant constituée des émotions inférieures d’ordre sentimental, donc le senti-mental.

Il existe, en effet, deux sortes d’émotions. Tout d’abord, les vraies émotions, qui, à vrai-dire, devraient être nommées impulsions, et qui sont des intuitions – ou ressentis – provenant du Noyau Spirituel de l’être.

Et, en outre, il existe aussi une deuxième sorte d’émotions, des émotions secondaires, qui, quant à elles, naissent dans le cerveau antérieur, et donc non pas dans l’esprit, donc des émotions d’un genre inférieur, qui, en fait, appartiennent au domaine du sentiment et donc de l’intellect. Elles aussi, comme les émotions-impulsions, sont irréfléchies, mais ces émotions secondaires négatives d’un genre très répandu ne devraient pas pour autant jouir, en cas de jugement des actes occasionnés par elles, de la même indulgence que celle couramment accordée aux actes d’impulsion, car, même si l’on peut aussi les appeler « émotions », c’est, en fait, l’intellect et non l’âme qui en est la base. Et, en réalité, cela change tout!

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La loi de conversion

La loi de conversion

La loi de conversion

Médecine psychosomatique

Dans l’ouvrage «Médecine psychosomatique» de Weiss et English l’on trouve, présenté par Madeleine Cavé, le cas d’un être humain atteint de la maladie de Tinel:
Le malade présentait alternativement, soit un psoriasis, soit un état mélancolique, chacune de ces affections remplaçant l’autre, une fois le traitement appliqué, lequel était destiné à agir aussi bien sur la lésion organique de la peau (psoriasis) que sur l’état psychique.
Cette alternance obéit à la loi dite de «conversion» bien connue en psychiatrie et en psychosomatique, et qui se manifeste particulièrement sur des sujets hystériques.
Le fait que le sujet ne puisse pas, en même temps, présenter une maladie organique et sa correspondance psych{olog}ique pose une question à laquelle la médecine conventionnelle ne sait pas répondre.
Ce qui est frappant dans ce genre de cas c’est le fait que ou bien la maladie est psychique ou bien elle est physique, mais qu’elle n’est pas les deux en même temps.
Il se produit donc un effet de transfert, qui semble lié à la conscience.
Si on laisse de côté les influences externes provoquées par des traitements médicamenteux, que doit-on en déduire?
Si le malade ne peut pas psychiquement assumer une émotion ou un problème, celle-ci ou celui-ci quitte le domaine du psychique pour aller se focaliser dans le physique.

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La nécessité pour le corps de résonner avec l’âme

La nécessité pour le corps de résonner avec l’âme

La nécessité pour le corps de résonner avec l’âme

Comment le fait de « se retenir » se produit aux dépens du corps

L’être humain victime de sa biologie

Avoir envie de mordre
Il est bien connu que lorsqu’un être humain est oppressé par un autre être humain il peut finir par avoir envie de mordre, en particulier, bien sûr, mordre cet être humain qui l’oppresse, mais, éventuellement, s’il s’avère qu’il n’est pas possible de le faire, en mordre un autre… Le plus important étant de mordre! Quelqu’un ou quelque chose. Il s’agit donc, comme l’on dit familièrement, de « se défouler »! Mordre un autre qui n’a rien avoir avec un motif de mécontentement, c’est profondément injuste, mais il est vrai que ça défoule! Ce que cela signifie vraiment va être explicité un peu plus loin…
Considérons, par ailleurs, toutes les caries dentaires, très répandues. L’on incrimine le sucre… Certes, le sucre, générateur d’acides et facteur d’acidose, n’est pas bon pour les dents et attaque l’émail, comme un acide attaque une base. L’alimentation moderne n’est pas, non plus, de façon générale, bonne pour les dents, mais si l’on examine la dentition des corps retrouvés datant de la pré-histoire, l’on peut voir que l’homme pré-historique avait déjà  des caries. Donc cela ne date pas d’hier! Et cela existait déjà  avant l’invention du sucre… La cause principale des caries est donc à chercher ailleurs…
Et si la principale cause était psychique?
Sigmund Freud – le « père » de la psychanalyse et dont une partie de l’œuvre est certainement très contestable -, a, toutefois, mis en évidence l’existence du « ça » (les pulsions personnelles), du « moi » (l’être humain individuel, au centre) et du « surmoi » (la pression sociale s’exerçant sur l’individu), ce que presque personne ne conteste plus aujourd’hui: L’être humain doit se tenir en équilibre entre ses impulsions propres et la société qui réprime une part plus ou moins importante de ses impulsions. Comment vit-il cela? Plus ou moins bien.
Certains êtres humains sont qualifiés par les caractérologues comme « primaires » et « extravertis ». Ils réagissent facilement et rapidement et expriment leurs émotions, y compris leurs émotions négatives. Du coup, l’émotion extériorisée ne crée pas de dégâts à  l’intérieur. S’il s’agit de colère, d’envie, de jalousie, de haine, etc., l’émotion négative peut, toutefois, créer de gros dégâts à l’extérieur, c’est-à-dire sur les autres, qui deviendront ainsi, la plupart du temps, d’innocentes victimes…
Pour éviter cela, le médecin suisse Dr Tal Schaller préconise, entre autres, de « faire le tigre », c’est-à-dire, tout d’abord en mimant un comportement agressif, de se connecter ainsi avec l’agressivité réelle existant en soi, de sorte à l’extérioriser. Grâce à l’extériorisation de la colère, de la peur ou de la rage les effets négatifs qu’aurait provoqués sur le corps physique cette émotion négative retenue n’auront pas lieu, sans pour autant nuire à qui que ce soit à l’extérieur. Par conséquent, une pratique toute simple de « décharge psychique » (ou « psycho-émotionnelle »), mais hautement recommandable!

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Propre = Sain

Propre = Sain

Propre = Sain

« Seule la Pureté guérit! »
– Louis Kühne –

Vous voulez guérir? Purifiez-vous!

« Les maladies du corps se déclarent là où le corps est mal tenu.
Vous avez souvent fait l’expérience qu’une plaie empire lorsque la saleté y entre.
Les maladies s’implantent là où elles trouvent de la saleté pour s’y déployer.
Comprenez-vous cela? »
– Lao-Tsé –

Oui, comprenez-vous cela? Les grandes vérités sont tellement simples à comprendre qu’elles en deviennent très difficiles à  faire émerger à  la conscience.

Quelques êtres particulièrement intuitifs comme Lao-Tsé, Louis Kühne, Hulda Clark l’ont compris: La maladie se développe à  partir de la « crasse » interne du corps: Toxines, toxiques, poisons, médicaments chimiques, polluants variés, pesticides, solvants, métaux lourds, parasites en tous genres…

Retirez tout cela du corps et vous retirez à  la maladie son support et sa nourriture: elle disparaîtra! Pour guérir il faut {se} purifier, et donc nettoyer, nettoyer, nettoyer!

Ce qui est vrai au niveau physique est, bien évidemment, également vrai au niveau psychique.

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