Ecole de l'art de vivre

Commentaires récents

  1. "Le royaume intermédiaire" Et cette bonne nouvelle doit inciter tout un chacun à se préoccuper au plus vite des lois…

  2. A Etienne: «Il n’existe pas de droit de mentir.» Dont acte. «C’est l’intention qui compte!» Donc, si l'on a une…

  3. A Cécile Bompoil: "Dans certaines circonstances, je pense que nous pouvons utiliser le mensonge pour survivre…" "Nous pouvons" juste dans…

  4. Il n’existe pas de droit de mentir. «C’est l’intention qui compte!», aussi le fait de vouloir sauver des vies est…

  5. En complément à ma précédente intervention, en tenant compte des faiblesses humaines habituelles, ainsi qu'il est dit, d'une part, que…

  6. Le droit de mentir… Dans certaines circonstances, je pense que nous pouvons utiliser le mensonge pour survivre… Nous ne savons…

  7. Au sujet de la réponse de Francisco de Castro ci-dessus: Il me semble que cette contribution - que je salue…

  8. En ce qui me concerne, les Lois de la Création sont incorruptibles. Un mensonge doit être considéré comme une tromperie,…

Archives

.

La loi de conversion

.

Médecine psychosomatique

Médecine psychosomatique

Dans l’ouvrage «Médecine psychosomatique» de Weiss et English l’on trouve, présenté par Madeleine Cavé, le cas d’un être humain atteint de la maladie de Tinel:

Le malade présentait alternativement, soit un psoriasis, soit un état mélancolique, chacune de ces affections remplaçant l’autre, une fois le traitement appliqué, lequel était destiné à agir aussi bien sur la lésion organique de la peau (psoriasis) que sur l’état psychique.

Cette alternance obéit à la loi dite de «conversion» bien connue en psychiatrie et en psychosomatique, et qui se manifeste particulièrement sur des sujets hystériques.

Le fait que le sujet ne puisse pas, en même temps, présenter une maladie organique et sa correspondance psych{olog}ique pose une question à laquelle la médecine conventionnelle ne sait pas répondre.

Ce qui est frappant dans ce genre de cas c’est le fait que ou bien la maladie est psychique ou bien elle est physique, mais qu’elle n’est pas les deux en même temps.

Il se produit donc un effet de transfert, qui semble lié à la conscience.

Si on laisse de côté les influences externes provoquées par des traitements médicamenteux, que doit-on en déduire?

Si le malade ne peut pas psychiquement assumer une émotion ou un problème, celle-ci ou celui-ci quitte le domaine du psychique pour aller se focaliser dans le physique.

Il n’y a donc pas seulement répercussion mais bien transfert.

Qu’est-ce que cela change pour le malade? Il occulte! Il refuse de voir et de considérer, d’entendre et de sentir.

D’où une nouvelle définition de la maladie:

La maladie est un {inconscient} refus de conscience.

Plus généralement, le fait de voir qu’une maladie peut être tantôt psychique tantôt physique montre bien qu’elle est fondamentalement psychique, de sorte que – comme Jésus l’a dit: « Sachez que je pourrais pas guérir le corps d’un être humain dont l’âme n’ait pas été auparavant déjà guérie. ».

 

Guérir

Guérir

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *