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Une pollution
que l’on ignore…
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Lorsque les plages sont polluées…
Sur les plages, l’été, à juste titre, souvent, de nombreux estivants se plaignent de la pollution envahissant le rivage: déchets en matière plastique, emballages divers, débris variés, éclats de verre, canettes de bière, algues vertes, etc.
Sévissant aussi sur ces mêmes plages, il est, toutefois, une pollution invisible, dont quasiment personne ne se plaint, mais qui, en réalité, est bien plus polluante que toute la pollution gros-matérielle constatable dans la matière grossière lourde: C’est la pollution de matière grossière fine qui entoure tous les corps quasi-nus – en particulier les corps féminins – confortablement installés sur ces plages.
Comment naît cette pollution?
Au début du XXème siècle le niveau moral des populations occidentales était déjà tombé bien bas. Mais, au cours du XXème siècle la moralité s’est encore bien plus considérablement dégradée. Ce qui est stupéfiant c’est de voir avec quelle énorme vitesse le clair regard pour distinguer la moralité de l’immoralité s’est troublé, comment la faculté de jugement et de discernement s’est perdue, et comment la capacité de compréhension, en cela, s’est complètement métamorphosée, de sorte que beaucoup de ce qui, encore peu auparavant, aurait déclenché dégoût et mépris, est maintenant très rapidement accepté – voire même approuvé – comme étant quelque chose de tout à fait naturel et normal, et que cela n’étonne (quasiment) plus personne.
A ce sujet Augustin d’Hippone a écrit:
«A force de tout voir on finit par tout supporter…
A force de tout supporter on finit par tout tolérer…
A force de tout tolérer on finit par tout accepter…
A force de tout accepter on finit par tout approuver!».
Si nous regardons autour de nous, si nous considérons les lectures, les danses, l’habillement, nous voyons que les êtres humains de l’époque actuelle, encore plus que cela n’est, auparavant, jamais arrivé, se sont efforcés, par le renversement de toutes les barrières entre les deux sexes, de systématiquement troubler la pureté de l’Intuition. C’est un véritable déferlement d’impudicité.
En ce qui concerne les bains mixtes (aussi, en Allemagne, traditionnellement appelés « bains familiaux ») – qu’il s’agisse de plages, de piscines ou d’établissements de bains collectifs – le processus se déroulant dans la matière grossière fine (astral supérieur) est le suivant:
Sur un telle plage il peut y avoir, vautrés plus ou moins nues au Soleil, des centaines personnes des deux sexes. La nudité féminine, en particulier, incite beaucoup d’hommes intérieurement faibles à émettre des pensées de convoitise ou même de concupiscence. Contre cela se dresse le neuvième Commandement: « Ne convoite pas la femme de Ton prochain ». Qu’il s’agisse de femmes mariées ou non, là n’est pas la question; c’est ici essentiellement la convoitise qui est visée.
Supposons qu’il y ait là mille personnes, dont cinq cents hommes, et que sur les cinq cents, quatre cent quatre vingt-dix-neuf seraient entièrement chastes c’est-à-dire incapables de pensées impures. Une supposition qui, en réalité, d’emblée, est totalement à exclure; car l‘inverse aurait beaucoup plus de chances d’être juste. Mais, enfin, pour notre exposé, admettons.
Pour approfondir la notion de « chasteté » l’on peut, par exemple, la comparer à ce qu’est l’honnêteté dans le « corridor de la tentation », un célèbre épisode du « Zadig » de Voltaire. Pour découvrir un receveur des finances honnête, Zadig imagine de faire danser les 64 candidats, après qu’ils soient tous passés par le « corridor de la tentation », où de nombreuses richesses sont exposées à leur vue… Et celui qui, après cela, danse avec le plus de légèreté (parce que ses poches sont … vides!), c’est celui-là qui est le plus honnête et qui est donc le plus digne d’occuper le poste à pourvoir…
L’on peut, pareillement, imaginer de faire passer des candidats à un poste exigeant la Chasteté (par exemple, tous les métiers d’éducation et d’enseignement) dans un « corridor de la tentation » cette fois rempli de femmes aguicheuses (prostituées) et de tentations sexuelles variées. Sur cinq cents hommes, combien ressortiront en ayant détourné leur regard et intégralement gardé le foyer de leurs pensées pur?
Par conséquent, l’un d’entre eux, le cinq-centième, un libidineux en proie à la luxure, excité par la convoitise et succombant à la tentation (certains, déjà profondément pervertis, ne mènent, d’emblée, aucune lutte contre elle), a, en regardant ces femmes presque complètement nues, des pensées malpropres, bien que, extérieurement, il se comporte peut-être, de façon irréprochable.
En quoi réside ici le caractère malpropre du regard? C’est – en ce qui concerne les « plaisirs de la chair » – de considérer la chair humaine comme de la chair animale, uniquement du point de vue du plaisir qu’elle peut donner, sans qu’à la base il y ait de l’amour pour motiver un rapprochement aussi sur le plan corporel. C’est considérer un être humain comme un objet, un objet de plaisir. La sexualité sans amour, là est le péché. Surtout en considération du fait qu’il n’y a pas d’amour sans pureté. Le véritable Amour élève l’être aimé; la convoitise sexuelle le rabaisse. C’est tout le contraire de l’Amour.
Beaucoup d’êtres humains s’imaginent que « Les pensées sont exemptes de taxes. ». Autrement dit, que l’on peut « penser ce que l’on veut », sans avoir de comptes à rendre à qui que ce soit, et que cela n’a pas de conséquences. Mais c’est faux! Tout s’enregistre indéfectiblement dans la matière grossière fine. Ces pensées prennent alors corps, fin-matériellement (au sens large, car – plus précisément considéré – les pensées se forment dans la matière grossière fine), aussitôt, en de vivantes formes-pensées (aussi appelées fantômes), lesquelles se dirigent ensuite vers l’objet de la concupiscence et adhèrent à celui-ci.
Toute femme dénudée (notamment celles pratiquant le « topless » ou « monokini ») peut ici « faire l’affaire ». Même pour une femme déjà profondément déchue un regard concupiscent est, déjà en soi, une souillure, il n’est pas nécessaire que cela en arrive ou non à quelques extériorisations (attouchements) ou voies de fait (agressions sexuelles) que ce soit!
La personne ainsi touchée et cernée par des pensées pécheresses, partout où elle ira, emportera cette souillure avec elle, laquelle est capable d’attirer d’autres formes-pensées de même genre errant autour d’elle, pour constituer de toujours plus grosses égrégores de formes-pensées de lubricité, avec une force d’attraction toujours plus grande…
De ce fait, l’ « atmosphère » s’opacifie toujours plus autour d’elle, et – même si, au départ, il s’agissait d’une personne encore relativement « claire » (beaucoup de jeunes filles ou femmes exhibent leur corps non par perversité mais juste par plus ou moins grande inconscience, pour « faire comme tout le monde »), cette sombre ambiance peut, à la longue, agir sur elle en la troublant et l’empoisonnant, tout comme une plante parasite (tel le lierre), souvent, peut faire dépérir l’arbre au départ le plus sain.
Ce sont donc les événements fin-matériels se produisant, en fait, plus précisément, sur le plan de matière grossière fine, lors des ainsi-dénommés « innocents » « bains-familiaux », jeux de sociétés, danses ou autres « divertissements » du même genre (spectacles de cabarets avec danseuses quasi-nues adoptant les poses les plus suggestives), etc., existant aussi par ailleurs.
Mais qui fréquente de tels endroits? Il est évident que fréquentent ces plages, ces bains, ces spectacles et ces divertissements, précisément tous ceux qui, intentionnellement, cherchent matière à tout spécialement s’exciter en pensées dans le but de déchaîner leur instinct (l’instinct ne s’éveille jamais sans une pensée de même genre préalable!) et leurs sensations par de tels « spectacles »! Donc des vicieux attirés par la luxure…, tout comme ceux qui, dans la Bible, regardaient Suzanne dans son bain. Les cœurs purs ne vont pas là!
Quelle saleté est donc ainsi cultivée, sans même qu’extérieurement et gros-matériellement quoi que ce soit puisse en être remarqué, cela est facile à comprendre. De même, il est évident que cette nuée des formes-pensées sensuelles, se multipliant et se condensant constamment, doit nécessairement, du fait des sollicitations constamment répétées, progressivement, négativement influencer toujours plus êtres humains qui, au départ, d’eux-mêmes, ne chercheraient pas de telles sources de corruption.
En ceux-là surgissent, d’abord faibles, puis plus fortes et plus actives, des pensées de même genre, qui sont constamment nourries par le genre actuel des soi-disant « progrès » réalisés dans son entourage, et ainsi, l’un après l’autre, ils glissent, avec les autres, dans le marécage visqueux et sombre, en lequel la capacité de conception au sujet de la pureté et la moralité véritables s’obscurcit toujours plus, pour, pour finir, tout entraîner dans la profondeur de l’obscurité la plus noire.
Faut-il renoncer à séjourner sur de telles plages au milieu des corps dénudés? La réponse est clairement oui. Ces occasions et incitations à de telles foisonnantes immoralités doivent, en effet, en premier lieu, de nouveau, être supprimées! Ce ne sont rien d’autre que des foyers d’incubation, en lesquels la vermine pestilentielle d’êtres humains immoraux peuvent lancer leurs pensées, lesquelles, ensuite, en proliférant, se précipitent et se déversent, dévastant tout, sur l’humanité entière, créant toujours de nouveaux lieux d’incubation, lesquels, en définitive, ne forment plus qu’un gigantesque champ d’écœurants comportements, dont émane des miasmes empoisonnés, qui étouffent aussi avec eux tout le Bon et le Sain.
Mais qu’en est-il des femmes qui, intentionnellement (beaucoup en font même un « métier »), sont des idoles du sexe?
A ce sujet, dans son livre « Le Jugement Dernier sur la Terre », Roselis von Sass écrit:
« Il faudrait encore signaler que, dans les mondes de matière fine, il n’existe point de sexualité. Celle-ci appartient à la matière grossière lourde. Elle ne concerne que les corps physiques. Dans les mondes de consistance plus fine – donc aussi dans le monde astral autour de la Terre – l’esprit, et en conséquence l’âme aussi, ne peuvent éprouver intuitivement que le pur et légitime Amour. Et seules des créatures encore liées à la Lumière peuvent le ressentir, car l’Amour est un Don de la Lumière!
Or, depuis très longtemps, une sorte de sadisme s’est développé dans le monde astral à la place de l’Amour pur et de la sexualité saine liée à la matière grossière lourde. Et ce sadisme pousse, chaque fois plus, la créature humaine décadente vers les précipices des ténèbres.
Ce sadisme pratiqué dans le monde astral – l’endroit où se retrouvent les âmes lors du sommeil du corps terrestre – devient, chaque fois, plus cruel. Ainsi les femmes, surtout celles de la race blanche, souffrent beaucoup pour cela.
La race blanche, qui, d’ailleurs, devrait avoir donné l’exemple pour toutes les autres races en les conduisant spirituellement, est, aujourd’hui, justement, celle dont le bas niveau spirituel pourra difficilement être surmonté. La raison de cela est la décadence morale de la femme de la race blanche! Cette décadence féminine se montre, bien sûr, de façon plus drastique dans le “monde des rêves”, c’est-à-dire dans le monde plus fin autour de la Terre, puisque dans ce monde les considérations issues du raisonnement n’existent point, ni toutes autres sortes d’empêchements.
Le corps féminin de matière grossière lourde, qui devrait irradier la grâce et transmettre le pur amour spirituel, n’est aujourd’hui qu’un objet d’exhibition, un appât excitateur des impulsions et des instincts les plus bas. La mode, apparemment inoffensive, des pantalons serrés, des jupes courtes, des bikinis, etc., qui a rencontré une si forte adhésion dans le monde féminin de la race blanche, révèle de tragiques conséquences dans le monde astral. Nulle femme ne peut s’imaginer comment elle se fait maltraiter dans le monde astral, lors du sommeil nocturne, si elle suit une mode qui ne vise qu’à attirer tous les regards vers son corps.
Lorsque les âmes féminines se séparent de leur corps gros-matériel – ce qui a forcément lieu – lors du sommeil, elles se découvrent complètement nues dans le monde astral, selon leur “plus intime désir”.
En dehors de la matière grossière lourde, les limites conditionnées par le raisonnement n’existent pas! L’être humain doit se montrer tel qu’il est! Toute femme qui suit plaisamment quelque mode indécente doit se présenter nue dans le monde astral puisque c’est son désir le plus intime d’exposer au maximum ses attraits! Dans l’ambiance plus fine de la Terre tous les désirs se concrétisent immédiatement…
C’est difficile de décrire ce qui se passe dans le monde astral lorsque des foules de créatures humaines féminines se présentent nues. Elles sont généralement poursuivies en libre chasse dans les rues par des groupes d’âmes masculines, et une fois attrapées elles se voient maltraitées de façon presque indescriptible…
Sur la Terre, vu l’instinct sexuel, le corps féminin nu agit de façon stimulante sur les sens. Dans tous les mondes plus fins, c’est-à-dire en dehors de la matière grossière lourde, le contraire a lieu, car un instinct sexuel comme celui présenté sur la Terre n’existe pas! Les relations amoureuses sont différentes dans le monde astral. Un corps nu n’exerce pas là-bas un effet attractif, mais répulsif. Il n’éveillera, chez ces âmes masculines, que des instincts de brutalité et de violence.., munis de fouets, de pierres, d’épines et de déchets ils poursuivent les créatures nues en fuite… Ces hommes se comportent comme des possédés; or, malgré leur cruauté, ils ne sont, en réalité, que des figures comiques, car, une fois sur la Terre, chacun dans son corps charnel, ils encouragent les modes féminines immorales, vu qu’elles satisfont leurs désirs les plus occultes…
Même les filles à l’âge de l’enfance sont actuellement habillées de telle sorte qu’elles attirent vers elles de nombreux regards et désirs du monde masculin…
A partir de l’enfance les créatures humaines se trouvent exposées à tous les maux! Ce qui vient montrer que la plupart des créatures sont venues déjà si lourdement chargées de karma que toute protection supérieure leur est devenu impossible…
A l’heure actuelle, “les expériences vécues lors du rêve” sont, pour la plupart des femmes, des expériences liées à la peur. Ce sont des “cauchemars”, dans le plus véritable sens du mot, car leur mode de vie et leur façon d’agir sont hostiles à la Lumière! Il n’est point surprenant, de ce fait, que beaucoup se réveillent le corps plein de douleurs et commencent la journée de façon déprimée et sans joie… Le sommeil ne leur a pas concédé de nouvelles forces et du savoir, mais des expériences liées à la peur et à l’effroi, dont l’ombre obscurcit même leurs jours terrestres…
En ce qui concerne les âmes féminines nues ci-dessus mentionnées, qu’il soit dit qu’il ne s’agit pas là d’êtres humains spécialement mauvais. Ce sont généralement des créatures futiles et indolentes, qui s’engagent à tout prix à suivre la mode, de peur d’être considérées comme démodées…
Les nombreuses femmes et jeunes filles qui s’engagent par tous les moyens à stimuler la sexualité – comme, par exemple, les dénommées “idoles du sexe” des films et théâtres, ainsi que les innombrables interprètes de numéros de strip-tease, etc. – ne sont nullement poursuivies ni chassées lors de leur sommeil terrestre. Elles sont évitées par tous! Les terribles maladies de peau qui défigurent ces âmes humaines repoussent toutes les autres… Et ce sont les effets de cette maladie animique qui incitent au suicide, ici sur la Terre, tant de ces très enviées “idoles du sexe”…
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EVOLUTION ou DECADENCE?
Les jours passent, les mois passent, les années passent et la décadence poursuit tranquillement sa route dans un monde où la plus part des êtres humains ne la remarquent même plus, tant la déformation de leur vision enveloppe complètement leur façon de penser.
L’homme s’habitue, chaque jour, un peu plus, à ce qui est anormal et finit, avec le temps, par le considérer comme normal.
Pourtant le Créateur l’avait, cependant, doté d’un libre arbitre et d’une conscience lui permettant de s’orienter
soit vers les chemins lumineux des lois de la création (chemins de l’évolution spirituelle) soit vers les chemins ténébreux menant à la décadence.
Nous subissons, aujourd’hui, les conséquence de ce mauvais choix.
Nous sommes à l’aube d’un tournant cosmique sans précédent par lequel est donné à l’être humain une nouvelle occasion de retrouver le chemin de l’ascension spirituelle et de reconnaître les faux chemins qu’il avait pris jusqu’alors.
Naturellement, cela s’adresse aux hommes encore dotés d’un réel Bon Vouloir et d’un minimum d’humilité.
Cet article met l’accent sur un phénomène invisible, mais perceptible avec un peu d’attention par toute femme qui s’écoute intérieurement, car ces pensées de concupiscence, se sentent aussi, nous pouvons changer cela et purifier notre environnement en en prenant conscience…