La Candeur
La Candeur c’est l’état intérieur de celui ou celle qui laisse passer la Lumière à travers lui ou elle.
La Candeur
La Candeur c’est l’état intérieur de celui ou celle qui laisse passer la Lumière à travers lui ou elle.
Échelle de la Féminité
1. Je m’habille et me coiffe comme une femme.
2. Je me présente comme une femme.
3. Je parle comme une femme.
4. J’agis comme une femme.
5. Je me comporte comme une femme.
6. Je ressens comme une femme.
7. Je deviens la reine dans mon foyer.
8. J’éduque mes enfants (ou ceux des autres).
9. J’accepte les hommages des hommes.
10. J’ai une vraie relation avec les hommes.
11. Je fais rayonner la Beauté autour de moi.
12. Je deviens une Gardienne de la Flamme.
Appel aux femmes – Ne soyez pas féministes, soyez féminines!
Le « féminisme » est un immense piège pour l’authentique féminité, et – heureusement! – de plus en plus de femmes s’en rendent compte. Comme tous les « ismes » le féminisme est une systématisation intellectuelle d’une vérité partielle. De ce fait, ce qui, théoriquement, pourrait être intellectuellement juste devient rapidement spirituellement faux. En fait, le féminisme fait partie du wokisme.
Il s’agit donc de comprendre – et surtout de ressentir! – que l’authentique promotion de la femme ne passe pas par des revendications intellectuelles – lesquelles ne font qu’accroître la fausse conscience – mais par un accroissement de la conscience spécifiquement féminine imposant naturellement le respect aux véritables hommes.
Par exemple, dans notre sujet sur la galanterie nous avions déjà croisé le chemin de cette femme: Hanna Gas. Nous le croisons de nouveau avec la présente contribution consacrée à la différence entre féminisme et féminitude.
En effet, sa « confession » ci-dessous est particulièrement touchante et émouvante et mérite d’être attentivement regardée et entendue, car elle va indubitablement dans la bonne direction. Certes, elle avertit, dès le début « ça va être catho », mais les auditeurs doivent être capables de reconnaître le discours universel relative à l’authentique féminité, tout en le distinguant de son appartenance catholique.
Autrement dit, il n’y a nul besoin d’être catholique et un fan du pape Benoit XVI pour être touché et même interpellé par les interpellants propos de cette ardente promotrice des « bonnes manières », celles-ci pouvant être définies comme « les différentes manières d’être bon ».
Redevenir la Femme voulue par la Lumière
Programme d’accompagnement pour les femmes
But: Réveiller chez la femme, ce qu’elle porte de plus beau, de plus noble, en conscience, devenir un exemple inspirant pour les autres et éveiller le respect.
Trouver qui vous êtes vraiment au fond de vous. Vous révéler comme une fleur.
Les étapes pour y arriver
Reconnaître toutes les fausses conceptions qui vous entravent et les conceptions que vous avez acceptées sans réfléchir.
Reconnaître les facultés que vous portez en vous pour suivre votre chemin de vie.
Reconnaître comment l’intellect empêche l’accès à votre ressenti intuitif.
Développer l’intuition au quotidien, et faire confiance à la Vie par des expériences vécues.
Mettre de la clarté, de la joie, de l’enthousiasme pour irradier autour de vous et apporter plus de paix et de douceur.
Utiliser la puissance de la vraie beauté et de la grâce, qui viennent de l’intérieur.
Mettre la beauté dans tous les aspects de votre vie pour préserver et développer ce que vous avez de plus précieux en vous.
Trouver les vêtements qui expriment votre genre propre, votre style et votre personnalité et qui reflètent votre respect de vous-même et celui que vous attendez des autres.
Devenir unique en votre genre, cultiver ce qui vous anime, dans la conscience de vous-même et des Lois de la Création.
Lorsque l’enfant paraît…
Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l’enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre
Fasse autour d’un grand feu vacillant dans la chambre
Les chaises se toucher,
Quand l’enfant vient, la joie arrive et nous éclaire.
On rit, on se récrie, on l’appelle, et sa mère
Tremble à le voir marcher.
Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme,
De patrie et de Dieu, des poètes, de l’âme
Qui s’élève en priant;
L’enfant paraît, adieu le ciel et la patrie
Et les poètes saints! la grave causerie
S’arrête en souriant.
Un Enfant
Un Enfant! Ah! ce nom chante dans les étoiles!
Un être qui, tout en tissant sa propre toile,
Vient habiter chez nous, vivre notre destin,
Et partager un peu de ce qui nous atteint!
Un Enfant! Mot par qui l’Univers entier tremble!
Un être qui, à nous, assurément, ressemble,
Qui a Ton sourire, mais aussi mon regard,
Qui a Tes blonds cheveux, mais aussi mes égards.
Pourquoi est-il « à nous », tout en étant lui-même?
Pourquoi nous aime-t-il? Dis, Toi, pourquoi Tu l’aimes,
Pourquoi ce petit être est assez grand pour moi,
Puisqu’il est la cause de mes plus doux émois?
Plus longtemps, mon Aimée, je ne puis pas le taire,
C’est grâce à notre Amour qu’il est venu sur Terre!
C’est ainsi que le veut notre grand Créateur,
Il veut que l’Amour Seul apporte ce Bonheur!
Éveil à la Féminité Consciente
Dans l’esprit et dans le cadre de l’École de L’Art de L’Art de Vivre, particulièrement soucieuse de réveiller la Nostalgie de la Lumière chez les femmes en qui elle n’est pas encore complètement éteinte – animé par une femme porteuse de cette aspiration – un groupe Facebook privé dédié et réservé aux femmes désirant être, devenir ou redevenir de vraies femmes selon les Lois de la Création et les Commandements Divins vient d’être créé (le 05/01/2025).
En tant que réponse au présent Appel à la Féminité il est possible à toutes les femmes répondant à la description ci-dessus de rejoindre ce groupe privé en cliquant sur le lien ci-dessous:
Éveil à la Féminité Consciente
Noël, neuf mois plus tôt
Au centre du village, la jeune fille était à la fontaine et puisait de l’eau. Son sac sur le dos, le randonneur était arrivé sur la place et, assoiffé, regardait la fontaine. Il attendait que la place soit libre pour étancher sa soif…
En attendant, il regardait la jeune fille. Elle était très belle. Brune, élancée, avec une naturelle distinction. Elle portait aussi un voile sur la tête, couvrant en partie sa longue chevelure d’un noir de jais.
Lorsqu’elle eut rempli sa cruche, elle regarda autour d’elle – avait-elle aperçu le jeune randonneur ? – puis prit un chemin se dirigeant vers l’extérieur du village. Sylvain – c’était le nom du jeune randonneur – se dirigea rapidement vers la fontaine, but encore plus rapidement une gorgée d’eau fraîche, puis, à distance respectueuse, emboîta le pas à la jeune fille…
Marie – c’était le nom de la jeune fille – arriva à un embranchement : à gauche cela conduisait chez elle où habitaient aussi ses parents ; à droite cela menait vers un bois au pied d’une petite montagne. Elle bifurqua à droite.
Sylvain, lui aussi, obliqua vers la droite… En fait, en tant que randonneur, il n’avait pas d’objectif précis ; il allait, tout simplement, vers ce qui l’attirait… Et, pour l’heure, ce qui l’attirait, plutôt que le paysage, c’était un être humain, une merveilleuse jeune fille…
La jeune fille continuait son chemin, sa cruche d’eau pleine contre sa poitrine. En fait, il n’était pas très logique d’emmener sa cruche d’eau avec elle pour aller dans les bois – l’eau c’était plutôt pour la maison –, mais, partir vers le bois, au départ, ce n’est pas ce qu’elle avait prévu.
Le chemin décrivait une large courbe allant vers la droite, avant de progressivement s’enfoncer dans le bois… Marie marchait d’un pas vif mais sans hâte, elle était en promenade et regardait autour d’elle, accueillant les bruits et les impressions de la Nature, ramassant un champignon, ici ou là.
Marchant doucement, adaptant ou adoptant son pas, Sylvain la suivait à quelques centaines de mètres. À aucun moment Sylvain ne la vit tourner la tête pour regarder derrière elle, mais il aurait juré qu’elle savait qu’il se trouvait derrière elle.
Marie passa la lisière du bois et commença à pénétrer sous la chênaie. De nombreux oiseaux chantaient dans les ramures, dont des rouge-gorge.
Lorsque Sylvain eut, à son tour, pénétré dans le bois, tout d’abord il ne la vit pas. S’était-elle cachée ?
Soudain, il la vit. Son vêtement brun se confondait avec l’environnement ; c’est pour cela qu’il ne l’avait pas, tout d’abord, vue. Elle était assise sur une pierre et lui tournait le dos aux trois quarts.
Il s’approcha, à pas mesurés. Son cœur battait plus fort…
C’est seulement lorsqu’il fut à à peine une dizaine de mètres d’elle qu’elle se tourna vers lui en levant les yeux. Était-elle surprise ? Rien, dans son regard ou son attitude ne permettait de l’affirmer.
Sylvain, qui, déjà, marchait lentement, ralentit son pas encore davantage, jusqu’à finir par s’arrêter complètement, à quelques mètres d’elle …
Leurs regards se croisèrent et se pénétrèrent. Longuement. Le silence dura plusieurs minutes. Juste un regard mutuel.
L’initiative venant manifestement de Sylvain, c’était à Marie d’exprimer ou non son accord. Elle demeura silencieuse encore un bon moment, sans bouger. Sylvain aussi restait immobile, le regard fixé sur elle, son sac toujours sur le dos.
Alors, elle fit un geste et tendit sa gracieuse main à elle dans sa direction à lui. C’était clairement une acceptation. Sylvain posa son sac dans la mousse à ses pieds. Puis il s’approcha, avec une respectueuse timidité, encore plus lentement qu’il ne l’avait fait jusqu’ici.
Toujours assise, elle resta la main tendue jusqu’à ce qu’il se tint, debout, tout proche d’elle. Alors, il s’accroupit et même s’agenouilla, se tenant ainsi à la même hauteur de visage qu’elle… C’est alors qu’il lui prit la main…
Une femme féminine c’est une femme … en robe!
Il y a des évidences tellement simples que plus personne n’en parle! En un tel domaine il n’y a strictement rien à prouver: Où un être humain – en particulier ici une femme -, non avec son intellect mais avec son intuition, est capable de percevoir ou de ressentir immédiatement la vérité d’une telle sentence ou bien il ou elle ne l’est pas!
S’il ou elle ne l’est pas, c’est possiblement – voire probablement – que des idéologies matérialistes mortifères – comme, par exemple, le wokisme – sont passées par là. La destruction des Vraies Valeurs de la Vie comme le rôle spécifique de la femme (dont – en dépit de son caractère sacré – la maternité n’est pas le plus important!), le foyer, la famille, etc., fait, à l’évidence, partie du nouvel ordre des barbares [page privée et protégée par un mot de passe à demander à la rédaction du site].
Certes – tout comme l’habit ne fait pas le moine – porter une robe (ou une jupe) ne suffit pas à faire une femme, mais une femme toujours en pantalon (on ne parle pas ici de circonstances exceptionnelles pouvant justifier le port occasionnel d’un pantalon) et jamais en robe montre, à l’évidence, qu’elle n’aspire pas à la féminité.
Le bon et le mauvais côté de l’esprit de famille
L' »esprit de famille » – plus exactement le « sens de la famille » (le mot « esprit » ne se réfère pas exactement ici au spirituel) – est souvent exalté. Bien sûr, la famille et le foyer sont et demeurent des valeurs sûres, mais là où l’intellect et le sentiment prennent la première place au détriment de l’esprit l' »esprit de famille » ou – mieux dit – le « sens de la famille » [en allemand: « Familiensinn »] peut devenir un véritable fossoyeur pour les âmes.
Un proverbe dit joliment: « L’on est de son enfance comme l’on est d’un pays ». La famille est, bien sûr, le terreau idéal pour permettre à l’être humain de grandir, se développer, s’épanouir, découvrir les Vertus, développer ses facultés, et devenir un être humain accompli. Il n’est, bien sûr – surtout à notre époque -, ici pas question de remettre cette réalité bien établie en cause.
Chaque esprit humain est, toutefois, en fait, une individualité. Même si, sur une rive certains le regardent partir et sur l’autre rive d’autres le regardent arriver, l’être humain naît seul et meurt seul. Devant son Dieu – même lorsqu’il a accepté des conceptions venant d’autrui et en particulier d’une collectivité quelconque – il est seul responsable de ses pensées, de ses paroles et de ses actes.
Personne ne peut s’abriter derrière sa famille, sa communauté, la société dans laquelle il vit ou quelque autre collectivité que ce soit, pour tenter d’excuser ses œuvres (dont font aussi partie ses pensées et ses paroles) et son comportement. Dans la Création il n’y a pas de communisme! L' »esprit de famille » déformé est une forme de communisme à l’échelle de la famille, tandis que le communisme est une sorte de sens de la famille à l’échelle d’un état. Tout cela est faux!
Dans la logique de l’article ci-dessus, sur les 24 Vertus, dans l’ordre alphabétique en français, les 12 Vertus Fondamentales sont:…
Je forme le vœu que ce beau texte, et d'autres qui lui soient semblables, puissent toucher et éveiller au moins…
Quelles sont les 12 vertus fondamentales?
Par la beauté de la Création, notre Dieu nous invite chaque jour à développer ce sentiment d'admiration. Comme le mentionne…
Merveilleux!
Magnifique!
La vengeance Le vengeur est toujours souffrant de la vengeance qui le ronge! Sa libération se trouve dans le pardon…
Le Sixième Sens Mais où existe-t-il un être humain qui ne soit pas débiteur envers Dieu? Le mot "miséricorde" devrait…
"Tout est Grâce" Ces quelques lignes englobent l'état d'esprit dans lequel chaque être humain devrait s'efforcer d'aspirer, s'il ne veut…
"Ce que Dieu veut femme le veut" Ainsi est rétabli le sens de la formulation énoncé par le proverbe traditionnel:…