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La rage de dénigrer

La rage de dénigrer

La rage de dénigrer

Jamais rien de constructif ne peut résulter de discours de dénigrement, de railleries et de préjudices causés à nos prochains; car chaque genre et chaque manière ne peuvent engendrer que la même chose et ne peuvent aussi attirer que leurs semblables! C’est de là que tout jaillit et que se développe notre destin. Un fruit est toujours de même genre que la semence!
Des êtres «humains» qui déforment adroitement les faits, pour, au préjudice d’autres personnes, leur donner un faux sens, cela existe! Cela s’appelle des calomniateurs! Des êtres «humains» qui inventent des histoires et les répandent dans le but de nuire autrui, cela existe aussi, mais cela ne porte pas le même nom; ceux-là ne s’appellent pas des calomniateurs mais des menteurs. La question se posera pour certains de savoir si la calomnie est moins répréhensible que le mensonge. Pourquoi, selon les Lois d’En Haut, y aurait-il, de ce point de vue, une différence? L’un n’est-il pas tout aussi répréhensible et blâmable que l’autre?
D’un point de vue terrestre, la seule différence c’est que, pour le même but de nuire au prochain, dans un cas le calomniateur attend d’avoir une occasion pour cela, tandis que le menteur ne s’embarrassera pas de vraisemblance et n’hésitera pas à lancer tout de suite des accusations totalement gratuites. Souvent, si l’occasion lui en est donnée, le menteur deviendra calomniateur. Il est aussi possible que le calomniateur finisse par croire ce qu’il raconte, de sorte qu’il en arrive aussi à mentir «gratuitement»…
L’écrivain français La Rochefoucault a dit que «l’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu». De même, paraphrasant cela, l’on peut dire que la calomnie est un hommage que le mensonge rend à la vérité.

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Foule sentimentale

Foule sentimentale

Foule sentimentale

« Foule sentimentale », c’est notamment le titre d’une célèbre chanson, un succès populaire, que, probablement, beaucoup fredonnent sans se rendre compte de ce qu’ils chantonnent…

« Oh la la la vie en rose
Le rose qu’on nous propose
D’avoir les quantités d’choses
Qui donnent envie d’autre chose
Aïe, on nous fait croire
Que le bonheur c’est d’avoir
De l’avoir plein nos armoires
Dérisions de nous dérisoires car Foule sentimentale
On a soif d’idéal
Attirée par les étoiles, les voiles
Que des choses pas commerciales
Foule sentimentale
Il faut voir comme on nous parle
 Comme on nous parle. »

Tout en ayant choisi un bon sujet, à l’évidence, même l’auteur de cette chanson n’a pas pris la mesure de ce que représente la glu du sentiment – trop souvent, le senti-qui-ment – dans la vie de la foule mais aussi des êtres humains individuels qui la composent.

L’hyperdominance du sentiment dans toutes les sociétés « modernes » constitue, en effet, une catastrophe absolue, dont seuls quelques-uns semblent avoir au moins une petite idée.

Cela se manifeste tout le temps et à tout propos. Par exemple, l’attention a déjà été attirée sur la « guimauve de Noël » qui, chaque année, commence à sévir non seulement sur les ondes mais partout dans les rues, dès le 15 octobre.

La chanson place – ce qui est un peu facile et même beaucoup! – la responsabilité sur les autres: « Il faut voir comme on nous parle ». Oubliant ainsi qu’une foule n’est jamais composée que d’individus. Victor Hugo avait, certes, raison d’écrire: « Le Peuple est en haut, la foule est en bas! ». L’étymologie elle-même confirme son point de vue: En effet, en latin, la foule se dit « vulga », ce qui, en français, a donné « vulgaire ». Est vulgaire ce qui est comme la foule, une masse informe en proie à la démagogie.

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Aide à la libération de la domination de l’intellect

Aide à la libération de la domination de l’intellect

Aide à la libération de la domination de l’intellect

Expériences de vie

Le véritable et unique ennemi de chaque être humain individuel, de même que l’ennemi public numéro 1 de l’humanité tout entière, c’est, sur chaque être humain, la domination illimitée de son propre intellect, ainsi que l’obligation pour tous de devoir subir l’intellect dominateur des autres, dominés comme eux! Là est l’origine de la grande chute dans le péché originel, la plus lourde faute de l’être humain, laquelle a entraîné avec elle tout le mal existant sur la Terre et dans l’Univers.

L’on est toujours piégé par son propre intellect!

Introduction: L’ennemi public numéro 1

De la domination de l’intellect, certes à des degrés divers et de manières différentes mais de façon assurée, nous souffrons tous, et c’est, assurément, un devoir de nous demander ce que nous pouvons faire, pour nous-mêmes et pour nos prochains, pour nous aider à nous en affranchir et de tout mettre en œuvre pour cela.
Naturellement, cette aide, pour être juste et efficace, doit être mise en place sur une Base juste.

Le copeau et la poutre
Lorsque l’on reprend le problème, tel qu’il est présenté dans la Parole de Jésus, l’on voit que la plus grande Aide qui nous est offerte pour nous libérer de cette terrible domination intellectuelle repose, probablement, le plus précisément, dans la célèbre Parole:
«Tu vois le copeau dans l’œil de Ton frère, mais Tu ne vois pas la poutre dans Ton œil».
Le plus souvent, cette Parole est interprétée comme un simple appel à l’indulgence ou à la tolérance envers le prochain. Mais, en réalité, cette Parole Divine dit beaucoup plus que cela!

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Qu’est-ce qu’une vie naturelle?

Qu’est-ce qu’une vie naturelle?

Qu’est-ce qu’une Vie Naturelle?

Qu’est-ce que Vivre Naturellement?

D’emblée, une définition: Fondamentalement, Vivre Naturel{lement}, c’est vivre à l’écoute de ses intuitions intimes.
Au sujet du mot « Naturel », dés le départ, il y a une ambiguïté à lever, car, pour beaucoup de gens, « Naturel » évoque la Nature. Certes, le mot « Naturel » dérive bien du mot « Nature », mais « Nature » a deux sens bien différents.
Le plus courant, est celui de la Nature comme désignant l’environnement naturel de l’être humain, soit les paysages, les montagnes, les forêts, les prairies, les océans, les fleuves, les animaux, les plantes, les rochers, etc., mais si je dis, en parlant de ma façon d’être, « c’est ma nature! », il apparaît ici une réalité naturelle qui n’a rien à voir avec la Nature précédemment définie, car s’il est vrai que l’être humain vit normalement dans la Nature (même si l’environnement urbain concentrant, maintenant, beaucoup d’êtres humains, dans ce sens, n’est pas naturel), il n’est pas pour autant naturel au sens où il ne procède pas de la Nature, il ne fait pas partie de la Nature, parce que la « nature » fondamentale de l’être humain n’est pas naturelle mais spirituelle.

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Le royaume intermédiaire

Le royaume intermédiaire

Le royaume intermédiaire

Pour introduire le sujet du « royaume intermédiaire » – que l’on pourrait aussi appeler le « purgatoire » ou le « seuil » – voici, tout d’abord un extrait du Récit « Miang-Fong » (Miang-Fong fut, selon le récit éponyme, bien avant l’arrivée du Bouddhisme, le fondateur des premiers Monastères tibétains, il y a environ plus de deux millénaires et demi).

« La Mission de Miang en ce lieu semblait être achevée. Il était, cependant, préoccupé par la croyance de ces êtres humains {relative} au retour dans le royaume intermédiaire. Il demanda des éclaircissements à son Ami lumineux et ils lui furent donnés.
Il put voir le chemin de l’âme du vieux Hung, lorsqu’elle quitta son corps. Elle ne put s’éloigner beaucoup de son vieux réceptacle. Beaucoup de fils denses et tenaces la reliaient encore à lui, car les yeux de l’âme étaient dirigés vers la Terre et le retour sur Terre. Peu à peu, ses fils devinrent plus faibles, pour se dessécher et tomber. Alors l’âme se mit à examiner son nouvel environnement. Elle se trouvait en présence d’une multitude d’êtres et de formes, sans pouvoir, au début, s’y retrouver. Cela devait être {cela} le royaume intermédiaire!
Mais si cela n’était qu’un royaume intermédiaire, donc un lieu entre deux royaumes dont l’un devait être la Terre, où était donc le second?
Lorsque Miang fut parvenu à cette réflexion, une faille s’ouvrit dans le ciel du royaume intermédiaire et il aperçut, loin au-dessus, une rayonnante Lumière et de merveilleux Jardins, dans lesquels s’activaient de joyeux êtres humains.
Le cœur de Miang jubila. Ces Jardins de Lumière lui apparurent comme une Patrie, ils devaient être le But des innombrables âmes humaines qui erraient et cherchaient dans le royaume intermédiaire, sans savoir quoi.

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Nature, mon Amour

Nature, mon Amour

Nature, mon Amour

J’aime la Nature et je la ressens.
La Nature est le plus beau Cadeau de Dieu à Ses créatures.
Un être trop dominé par son propre intellect ne peut pas réellement «sentir la Nature».
Le Naturel est sain, le Naturel est bon, le Naturel est promoteur et édificateur. Le pourquoi de cela est que: Dans la Nature agit l’Omnisagesse Divine.
La nature, en son activité réellement naturelle, conforme aux Lois de la Nature, crée des liaisons naturelles entre les différents éléments de la matière.
Uniquement dans les liaisons naturellement créées par la Nature elle-même résident une force et une irradiation constructives.

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«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

«S’il vous plait, dessine-moi un mouton!»

Ainsi s’exprime le Petit Prince, de la façon la plus naturelle du monde, avec un parfait savoir-vivre et un total mépris de la grammaire.
D’emblée, nous sommes introduits au cœur de la question:
  «Je Te vouvoie ou vous me tutoyez?».
L’être humain qui ne connaît pas la Vérité pourrait même être surpris qu’il y ait là un problème… Et pourtant il existe:
Le «Tu» personnifie une notion toute particulière. Cette notion implique une liaison d’âme à âme: Aussi étonnant que cela puisse paraître à certains, la décomposition du corps physique (donc la mort) n’en suspend pas l’existence.
L’Enseignement de la Vérité expose le fonctionnement auto-actif des Lois avec ses inévitables et immuables conséquences. Il demande, il conseille de le sanctifier. Cela revient à ne l’utiliser qu’en des cas exceptionnels. Autrement dit, l’on peut considérer comme ayant des chances d’être naturel un comportement qui consiste à tutoyer au plus deux ou trois êtres humains choisis durant l’existence terrestre, c’est-à-dire, s’il y a lieu, outre ses enfants, son (ou sa) conjoint(e), ainsi qu’un ou deux ami(e)s.
Quelle est la condition du Tutoiement?
Le Genre Semblable! Seul le genre semblable autorise le «Tu». Mais en quoi consiste le genre semblable. Dans des convictions identiques? Non point. Ce n’est pas suffisant. Dans une même appartenance religieuse? Non plus. L’appartenance à une même religion ne constitue pas un genre semblable.
Le genre semblable réside dans le fait d’avoir développé le même genre (en allemand «Gleichart») à un degré comparable.
Il faut, en effet, distinguer deux choses:
– Les différents degrés de maturité valables aussi à l’intérieur d’un même genre, donc valables pour des genres identiques ou différents.
– Les différences de genres, toujours existantes pour un même degré de maturité. L’on peut même dire que plus les personnalités sont mûres, plus les différences sont apparentes.
Seuls les êtres de même genre et de même maturité peuvent se tutoyer, c’est-à-dire peuvent se tutoyer de sorte à ce que cela leur soit spirituellement profitable.

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Les principales erreurs qui bloquent les êtres humains sur le Chemin de l’Ascension spirituelle

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Les principales erreurs qui bloquent les êtres humains sur le Chemin de l’Ascension spirituelle

Série 1

1) Croire que le Chemin conduisant vers la Lumière est pénible à apprendre et doit être difficile à suivre. Ce n’est pas le cas.
2) Croire que l’En-deçà et d’Au-delà sont séparés. Il n’y a pas de séparation. C’est un Tout unitaire.
3) Croire que la vie humaine commence avec la naissance. Croire que la vie humaine s’arrête à la mort. Il y a là ni Logique ni Justice.
4) Croire que l’être humain descend du singe. C’est uniquement vrai pour son corps mais pas pour son esprit. Appeler ces animaux hautement-évolués ancêtres de l’être humain est une grande erreur! 
5) Une instruction exclusivement intellectuelle aboutissant à une domination de l’intellect est une erreur funeste.
6) La supposition que Jésus de Nazareth était le Fils de Dieu en même temps que le Fils de l’Homme est fausse !
7)  Mettre en doute ses intuitions initiales au profit de considérations intellectuelles ultérieures.
8) Faire plus confiance à l’intellect et au sentiment qu’à l’Intuition spirituelle.
9) S’adonner à des pratiques occultes.
10) Croire qu’un trépassé, du fait qu’il est trépassé, est devenu omniscient, ou, tout au moins, plus-sachant que les Terriens (êtres humains incarnés sur Terre). En réalité, tout ce qu’un trépassé, du fait qu’il est « mort », sait de plus que les vivants de la Terre, c’est qu’il n’a, réellement, avec le soi-disant Mourir, pas cessé, pour autant, d’exister.
11) Croire que l’abstinence sexuelle est un facteur de progression spirituelle. L’abstinence forcée est un empiétement, qui peut amèrement se venger.
12) Croire que l’Univers est « infini ». En réalité, l’Univers n’est pas infini, mais il est juste indéfini.

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Le syndrome du lampadaire

Le syndrome du lampadaire

Le syndrome du lampadaire

Beaucoup d’êtres humains se présentent volontiers comme des Serviteurs de la Lumière.
Ils ont à cœur de montrer qu’ils rayonnent telle une lampe à incandescence répandant sa clarté autour d’elle.
Toutefois, pour que la Lumière déversée par une telle lampe se distingue bien de tout autre lumière provenant d’une autre source, il est nécessaire que son lampadaire se situe à une distance minimale bien déterminé de tout autre lampadaire.
C’est sans doute pourquoi de tels serviteurs rayonnants ont le souci de se tenir à bonne distance de toute autre source lumineuse, ou de tenir tout autre source lumineuse à bonne distance d’eux-mêmes.
Car, dans le fond, ils craignent que si leur lumière venait à se mêler avec les lumières issues d’autres lampadaires, il ne soit plus possible à ceux qui sont éclairés par elle de clairement distinguer quelle en est la source.
Peut-être même pourraient-ils se rendre compte qu’une autre lumière sise à côté éclaire plus fort que celle de ce lampadaire déterminé?! 
Tandis qu’un unique lampadaire, seul au milieu d’une nuit complète, peut assurément davantage faire illusion.
Sans doute, de nombreux « serviteurs » de la Lumière sont-ils ainsi. Ils ne recherchent pas vraiment qu’une Clarté maximale se répande autour d’eux. Il recherche surtout que « leur » clarté soit la seule à être perçue de leur entourage.
Ils oublient, tout simplement, que le lampadaire n’est rien en lui-même puisqu’il ne détient pas la Source d’Énergie lumineuse qui l’alimente, qui est indépendante de lui, mais dont lui dépend.

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La bonne distance

La bonne distance

La bonne distance

Vis-à-vis des autres il est important de se tenir à la bonne distance, ni trop près ni trop loin. Nous avons déjà vu que, bien souvent, le Tu-Toi … ment, car la proximité ainsi artificiellement créée implique le tissage de nombreux liens néfastes qui n’auraient pas lieu d’être.
Se tenir trop loin du prochain n’est pas bon, non plus. Le prochain c’est, en effet, celui qui se tient proche de vous/nous. A ce sujet résonne à nos oreilles la question posée par Jésus en conclusion de Sa Parabole du Bon Samaritain…
La Parabole du Bon Samaritain, racontée par Jésus dans l’Évangile de Luc, vient en réponse à la question d’un docteur de la loi. Cette question est: “Et qui est mon prochain?” (Luc X, 29). Jésus répond par une Parabole (en hébreu: « Mashal ») montrant différentes attitudes que des hommes ont eu face à une personne dans le besoin. Grâce à cette Parabole, nous comprenons de manière pratique le deuxième plus important Commandement de Dieu, à savoir: “Tu aimeras Ton prochain comme Toi-même.” (Marc XII, 31). Le premier étant: “Tu aimeras le Seigneur Ton Dieu de tout Ton cœur, de toute Ton âme, de tout Ton esprit et de toute Ta force.” (Marc XII, 30).
Le Bon Samaritain est donc une Parabole du Nouveau Testament dont se sert Jésus pour illustrer sa définition de l’«Amour du prochain». Il répond à une question qui lui est posée à propos de la «Règle d’Or» définie dans l’Ancien Testament: «Tu aimeras Ton prochain comme Toi-même.» (Lévitique XIX, 18).

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