Ecole de l'art de vivre

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  1. "Qu'est-ce que l'esprit?" Il n'est pas toujours facile de répondre clairement à une demande relative à la définition de l'esprit…

  2. "Le Travail de la Conscience" Ce travail si impératif attend donc tout être humain qui sait qu'il est avant tout…

  3. Le Secret de la Sainte Lance La force de la pensée n'est plus à démontrer aujourd'hui. Tout le monde peut…

  4. "Le Jour des morts" La vie réelle prend véritablement son sens que lorsque l'on a saisi la signification de la…

  5. Magnifique poème qui ne demande qu'a être lu à tous ceux qui ignorent qu'une Lumière les attend au bout de…

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Les 613 Commandements

Les 613 Commandements

Les 613 Commandements

Combien de Commandements?
Tout le monde connaît les célèbres 10 Commandements. Et un bon un bon Chrétien s’efforce de les respecter tous. De même qu’un bon Juif!
L’on sait aussi qu’il n’y a que cinq Commandements donnés à Hjalfdar dans le livre « Ephésus », six Lois données par Miang-Fong, et sept Commandements donnés aux Incas dans le Récit « L’Empire des Incas ».
Il y a aussi « Les 53 nouveaux Commandements », reçus par Abd-el-Nur.
Alors, combien y a-t-il de Commandements?
Tous les Commandements de Dieu sont indispensables:
Même si un être humain accomplit fidèlement neuf Commandements et n’en observe pas ne serait-ce qu’un seul, il est quand même, en définitive, perdu!
Il faut donc déjà en observer dix sur dix!
Mais qui connaît les 613 Commandements? (Autant que de pépins dans une grenade!) (Enfin, en principe!)
Et qui s’efforce de les respecter?
Et qui même seulement connaît leur existence?
Les 613 Commandements
Il est vrai que, en supposant qu’on les comprenne, une partie des 613 Commandements est ou sont difficilement (voire même impossiblement) applicables de nos jours, en particulier pour les non Juifs… Alors est-il possible d’effectuer un tri afin de reconnaître ceux qui, intemporels et non liés à  une confession précise, sont toujours en vigueur aujourd’hui?
L’on peut au moins essayer de les répartir entre les Commandements intemporels toujours en vigueur et donc applicables par tous (non-Juifs comme Juifs), ceux qui restent applicables par les Juifs, ceux impossibles à  appliquer de nos jours (même parmi les Juifs), et ceux dont le sens est, de nos jours, difficilement compréhensible, en particulier par des non-Juifs…:
Combien de pépins y a-t-il dans une grenade?

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Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Où est votre véritable Patrie?

Dans son livre « Le Grand Virage », Jean Choisel écrit:
« Nous ne voudrions donner qu’un seul exemple des conséquences de la disparition progressive de l’«Idée directrice» du Christianisme, qui «informa» les peuples dits chrétiens. On sait que le premier Commandement du Décalogue dit: «Je suis le Seigneur, Ton Dieu! Tu n’auras pas d’autres dieux devant Ma Face!». Ce bref Commandement est donc une condamnation formelle de toute idolâtrie.

Parce qu’ils n’adorent plus depuis longtemps d’idoles taillées dans la pierre ou le bois, la plupart des Chrétiens croient y obéir! Et pourtant…! Dans un chapitre de son très beau livre déjà cité, qui contient un nombre impressionnant de vérités premières, Claude Tresmontant écrit:
«L’idolâtrie est un processus, intellectuel, mental, ou affectif, qui consiste à attribuer à quelque chose de relatif une valeur d’absolu.»
«Pour comprendre, ou réaliser, ce que c’est que l’idolâtrie, et en quoi a pu consister le syncrétisme religieux que les prophètes d’Israël ont combattu, prenons un exemple contemporain. Prenons l’exemple du nationalisme intégral, tel qu’il a fleuri en France et en Allemagne au XIXème et au XXème siècles. C’est une doctrine selon laquelle la Nation, la Patrie, est la valeur absolue. À vrai dire, elle est l’absolu, le critère absolu, car aucun critère, aucune valeur ne lui est supérieure. La Vérité? La Justice? Ce ne sont que des abstractions à côté de cette valeur qu’est la Patrie, la Nation. (…) Ce qui compte, et cela seul compte, c’est l’intérêt supérieur de la Nation, et donc de l’Armée.»

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L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean

L’Apocalypse de Jean est le dernier Livre de la Bible.
L’Apocalypse, ou Livre de l’Apocalypse, ou Apocalypse de Jean, (en grec ancien: Ἀποκάλυψις Ἰησοῦ Χριστοῦ) suivant les premiers mots du texte1, est le dernier livre du Nouveau Testament. Dans les pays de culture anglophone, il est appelé  Livre de la Révélation.
L’Apocalypse de Jean dévoile à Jean «quel est le sens divin de son époque et comment le peuple de Dieu sera bientôt délivré».
L’œuvre aurait été terrestrement rédigée vers la fin du 1er siècle après Jésus-Christ par un dénommé Hélos ou par une femme selon Roselis von Sass. Mais, selon le préambule, l’auteur spirituel de l’Apocalypse est nommé Jean. Celui-ci se trouve dans l’Île de Patmos sur un Plan spirituel, lorsqu’il reçoit plusieurs visions, qu’il raconte en détails.
Au XXème siècle l’Apocalypse de Jean a été redonnée par lui-même:
« JEAN, le Serviteur de DIEU, vous appelle, vous les êtres humains, ainsi qu’il vous a appelés au temps où il était parmi vous dans la chair.
Faites pénitence, car le Royaume du Ciel est près d’arriver!
Et il a appelé encore une fois, car il ne séjournait plus sur Terre. Il vous a annoncé ce que DIEU lui a révélé, ce qu’il a dû voir avec les nouveaux yeux de son esprit. De cela vous devez apprendre, vous devez chercher à améliorer votre vie. » (…)
« À présent, je vous appelle pour la dernière fois. Je vous apporte la Révélation de DIEU, ainsi que je vous l’apportai il y a plus de 2000 ans. La comprendrez-vous et l’accueillerez-vous? Puisse-t-il en être ainsi, de telle sorte que quelques âmes puissent encore être sauvées. » (…)
“Qu’avec vous soient la Grâce et la Paix de Celui Qui Est, Qui Était et Qui Vient. » (…)
« Qu’avec vous soit la Grâce du DIEU TRI-UNITAIRE. Que la Force de DIEU vous soit accordée, à vous qui lisez ceci. ».
Apocalypse de Jean
Donné pour le Salut de ceux qui n’entendent pas se laisser circonvenir dans la bravade et l’infatuation.
Reçu par des êtres humains servant la Lumière et doués à cette fin.

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L’Enseignement de Lao-Tsé

L’Enseignement de Lao-Tsé

L’Enseignement de Lao-Tsé

« Pendant ce voyage [NDLR: Il s’agit de son dernier grand voyage à travers toute la Chine], son Enseignement [NDLR: L’Enseignement de Lao-Tsé] prit sa forme définitive.
Son Enseignement se résumait brièvement ainsi:
– « Nous les êtres humains, nous sommes des créatures du Hautement-Sublime, Que jamais personne n’a vu et ne verra jamais, car Il est Esprit, nous Matière dans laquelle Il a plongé une étincelle de Son Esprit.
« Hautement-Sublime Il est au-dessus de nous, mais Il prend part à notre destin. Il sait si nous nous comportons de façon digne de Lui. Si nous agissons ainsi, alors Il nous octroie tous les Secours dont nous avons besoin.
« L’étincelle spirituelle qu’Il a plongée en nous aspire de nouveau vers Lui en Haut. C’est pourquoi, pour nous, après un parcours terrestre correctement accompli, l’Ascension dans les Jardins éternels est assurée. Aucun être humain, toutefois, ne vit qu’une seule fois sur la Terre. Il revient au Terrestre aussi longtemps qu’il ne s’est pas débarrassé de tout le terrestre. Étant terrestres, nous devons nous libérer du terrestre.
« L’étincelle spirituelle enseigne à l’être humain ce qu’il doit faire et laisser {de côté} pour vivre selon la Volonté du Hautement-Sublime. Qui écoute l’Esprit parlant en lui n’a besoin d’aucune Loi pour vivre en Présence de Dieu.
« Mieux l’être humain saisit cela et d’autant plus il apprend l’ »Agir par le Non-Agir », c’est-à-dire l’Action qui se tient en Accord avec tout ce qui émane du Hautement-Sublime. La façon d’agir habituelle des êtres humains, « l’agir dans l’agir », coupe les bras aux répercussions des Irradiations divines en les entravant. Aussi longtemps que l’être humain se tient pour sage, il n’apprend pas l’Agir par le Non-Agir, et pourtant c’est {en lui que réside} la plus grande Félicité.

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Le crépuscule des Dieux

Le crépuscule des Dieux

Le crépuscule des Dieux

Le Crépuscule des Dieux [« Götterdämmerung »]… Aussi appelé « Ragnarök ». Cette expression est certes le titre d’un célèbre opéra de Richard Wagner, mais, d’un point de vue spirituel, que signifie-t-elle exactement? Le « crépuscule »… Serait-il arrivé un malheur aux « Dieux »?

A cette question – en dépit de ce que raconte l’opéra – la réponse est clairement non. Les Dieux bien connus des anciens peuples, comme les Grecs, les Romains, les Germains, les Scandinaves, etc., existent toujours, car ils sont immortels. Ils se trouvent aux mêmes places où ils étaient jadis.

Leur Château-Fort principal le plus élevé s’appelle l’Olympe pour les Grecs ou le Walhalla pour les Germains.

En tant que grands entéaux, ils font donc partie des êtres entéalliques, dont nous avons déjà parlé. Avec le Genre Spirituel le Genre Entéallique est l’un des deux grands Genres Fondamentaux de la Création. Alors que le Genre Spirituel dispose du libre vouloir, le Genre Entéallique est l’exécutant de la Volonté Divine.

Alors, si rien n’a changé pour les Dieux, pourquoi auraient-ils connu un crépuscule? La réponse est simple. Ce n’est pas les Dieux eux-mêmes qui ont connu un crépuscule, mais uniquement le culte que les êtres humains leur rendait. Et pourquoi ce culte a-t-il connu un crépuscule? Pour une raison très simple: La conscience spirituelle en progression d’un certain nombre d’êtres humains leur a permis de reconnaître – au-dessus des « Dieux » – le DIEU Unique, l’Éternel, le SEIGNEUR DIEU!

De ce fait, leur vénération pour les Dieux en tant que – pour eux – Réalité la plus haute devait s’effondrer pour faire place à l’Adoration du Seul Vrai DIEU, le DIEU Unique. Là et nulle part ailleurs est le « crépuscule » des Dieux!

Cela se produisit ainsi: Parmi les différents peuples présents sur la Terre depuis des milliers d’années, il y avait des Peuples appelés. Ces Peuples appelés étaient, tout naturellement, spirituellement, les plus évolués. De ce fait, ce furent les premiers à pouvoir faire éclater cette limite de l’Entéallité en deçà de laquelle se trouvaient les Dieux. Leur expérience vécue avait atteint une maturité telle que leur perception ou leur pressentiment les conduisit jusqu’au seuil du Royaume Spirituel.

Afin de permettre au Spirituel – naturellement plus haut que le Seul-Entéallique (le Plan où se trouvent les Dieux) et le Spirituel plus Haut, à leur place, peu à peu, s’installa. La toute naturelle conséquence en fut que, de ce fait, alors, les « Dieux » ayant – pour eux – jusqu’ici existé durent, en tant que tels, s’effondrer. Les « Dieux » cessèrent d’être, pour eux, des « Dieux ». C’est cela le « crépuscule des Dieux ». Mais ils demeurèrent ce que, réellement, depuis le début, ils étaient: les grands Guides entéalliques des éléments.

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Le lyrisme et le romantisme

Le lyrisme et le romantisme

Le lyrisme et le romantisme

«Le lyrisme est le développement d’une exclamation!»
– Paul Valéry –

Introduction
Comme toujours, sur le site de l’École de L’Art de Vivre, précisons, pour commencer, que notre propos, ici, n’est fondamentalement pas littéraire ou même philosophique, mais bien spirituel. Ce qu’il faut comprendre par là, c’est que ce qu’il nous intéresse de savoir c’est si les notions ici examinées aident à l’Ascension spirituelle ou, au contraire, la freinent.
Le lyrisme
Le lyrisme  se définit comme l’expression passionnée de sentiments personnels. Plus précisément, la définition courte sur Wikipédia est celle-ci: « Le lyrisme est une tonalité, un registre artistique, qui privilégie l’expression poétique et l’exaltation des sentiments personnels, des passions. ».
En plus développé:
« Le mot «lyrisme» s’applique dans son sens général à la mise en avant des sentiments intimes dans l’expression artistique, particulièrement en poésie.
Le mot est dérivé de la lyre, instrument de musique à cordes qui est l’attribut d’Apollon (dont l’inventeur légendaire est Hermès), mais aussi d’Orphée, ou d’Érato, muse antique de la poésie lyrique et érotique représentée couronnée de roses et de myrtes et portant une lyre à la main droite.
L’adjectif «lyrique» apparaît en premier au XVème siècle en relation avec la poésie grecque antique et garde longtemps un lien avec la musique qui existe encore dans l’expression «art lyrique». Attaché cependant à une forme plus mineure de la poésie dès le XVIème, le mot va, en opposition à la poésie épique ou la poésie dramatique qui incluait la tragédie comme la comédie, définir une expression subjective qui concerne en particulier le domaine des sentiments privés.
Le substantif «lyrisme» n’est attesté qu’en 1829 sous la plume d’Alfred de Vigny et il va s’appliquer à l’un des aspects dominants du romantisme: la place faite au «Moi». Il se définit dès lors communément comme une «Tendance poétique et plus généralement artistique privilégiant l’expression de la subjectivité». » (Source)
A partir de cette définition nous pouvons déjà relever quelques mots-clefs tels que: « passion », « sentiment », « personnel », « subjectivité », « romantisme ». Cela nous indique déjà clairement de quoi il s’agit. Cela nous permet déjà de voir que le lyrisme ce n’est pas spirituel mais sentimental.

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Les Apôtres de Jésus

Les Apôtres de Jésus

Les Apôtres de Jésus

Selon la Bible et le livre «Les Apôtres», les douze Apôtres de Jésus sont:

N° Bible – Nouveau Testament

N° – Livre «Les Apôtres de Jésus»
1 Pierre ou Képhas (Simon-Pierre) 1 Pierre
2 André (frère de Pierre, dit le Protoclet) 2 André
3 Jacques le Majeur 3 Jacques
4 Jean (frère de Jacques, tous deux fils de Zébédée; généralement identifié comme l’Évangéliste) 4 Jean
5 Philippe 5 Philippe
6 Barthélemy 6 Nathanaël (semble être un autre nom de Barthélémy) Selon le livre «Mohammed», réincarné, plus tard, en tant que Mohammed, le Prophète de l’Islam.
7 Thomas Didyme (« Le Jumeau »), dit «L’incrédule». 7 Thomas
8 Matthieu, le publicain. 8 Matthieu
9 Jacques le Mineur (fils d’Alphée). 9 Jacques? (frère de Jésus, fils de Joseph et de Marie de Nazareth)
10 Jude (fils de Jacques, aussi identifié comme étant Thaddée ou bien Lebbée). 10  Lebbée?
11 Simon le Zélote (aussi appelé «Le Cananéen»). 11  Simon le Zélote?
12 Initialement Judas Iscariot, puis, après la mort de celui-ci, remplacé par Matthias. 12 Matthias

Au début du livre «Les Apôtres de Jésus», mais sans préciser si ce sont aussi des Apôtres, sont aussi mentionnés d’autres noms:
Barnabé, qui avait jadis accompagné Jean-Baptiste et qui, plus tard, fut aussi le compagnon de l’Apôtre Paul.
Démétrios (un Grec)
Nicomède (Docteur de la Loi, qui a aussi participé, avec Joseph d’Arimathie, à la première Inhumation du corps de Jésus.)
Lazare (de Béthanie, frère de Marie et de Marthe; ressuscité par Jésus.)
De plus, Lebbée (aussi appelé Jude ou Thaddée) et Simon le Zélote, bien qu’alors physiquement absents, sont aussi évoqués au début du livre «Les Apôtres».
Celui qui est alors désigné par tirage au sort pour prendre la place de Judas s’appelle Matthias.

Remarque: Concernant Jacques le frère de Jésus (considéré par l’église catholique comme un « cousin »), il n’est pas certain qu’il figure dans la Liste des 12 Apôtres, car, selon le Livre «Les Apôtres de Jésus», pour le remplacement de Judas, il lui fut préféré Matthias.

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Avec quel corps Jésus est-Il ressuscité, le Matin de Pâques?

Avec quel corps Jésus est-Il ressuscité, le Matin de Pâques?

Avec quel corps Jésus est-il ressuscité, le Matin de Pâques?

Fragilité des témoignages humains
Comme nous allons le voir ci-dessous, les quatre Évangiles ne disent pas exactement la même chose. Ces différences, les exégètes ne les interprètent généralement pas comme une marque de mensonge ou de falsification, au contraire, c’est plutôt, pour eux, un signe d’authenticité, accroissant leur crédibilité. Cela leur aurait, au contraire, plutôt paru suspect si les quatre Évangiles avaient – sans aucune contradiction – tout raconté exactement la même chose, car – en tant qu’historiens et exégètes – ils savent que « l’erreur est humaine » et que le témoignage humain est – par définition – peu fiable.
Pour illustrer cette idée du peu de fiabilité du témoignage humain, la plupart des lecteurs de cette page auront – pendant leur enfance, et peut-même même après avec leurs propres enfants et petits enfants – joué au jeu de société appelé le « téléphone arabe » (qui, en arabe, se dit, en fait, plutôt: « téléphone cassé »). Dans ce jeu – qui requiert un certain nombre de joueurs (par exemple, de cinq à une dizaine, c’est parfait) – un message initial, chuchoté de bouche à oreille, de voisin à voisin, entre les différents joueurs, arrive à destination copieusement déformé, par comparaison avec le message initial.
Dans le détail:
« Les joueurs forment une ligne; le premier joueur arrive avec un message et le murmure à l’oreille de la deuxième personne dans la ligne. Le deuxième joueur répète le message au troisième joueur, et ainsi de suite. Quand le dernier joueur est atteint, celui-ci annonce à voix haute le message qu’il a entendu. La première personne de la liste compare ensuite le message original avec la version finale (et éventuellement avec les versions intermédiaires).
Bien que l’objectif du jeu soit de faire passer le message sans le déformer en cours de route, une partie du plaisir est que, quoi qu’il en soit, celui-ci finit généralement par être déformé. Les erreurs s’accumulent généralement dans les retouches à chaque transmission du message, de sorte que la déclaration annoncée par le dernier joueur diffère significativement de celle du premier joueur, généralement avec un effet amusant ou humoristique. » (Source: Wikipédia).
Naturellement, la bonne foi des Évangélistes n’est ici nullement en cause. Ils sont animés des meilleures intentions, et il ne sont pas {vraiment} conscients que ce que – bien des années après -, issu de leurs propres souvenirs, ils consignent par écrit (« Les paroles s’envolent (sic!), les écrits restent! ») en tant que simples rapports à l’usage des toutes premières communautés chrétiennes, sera, par la suite, pendant des siècles et même des millénaires durant (au moins deux!), dans toute la Chrétienté, considéré comme … « Parole d’Évangile » (C’est le cas de dire!)!
La raison fondamentale pour laquelle la mémoire humaine est peu fiable est généralement peu connue. Même lorsqu’il ne s’agit que de rapporter des faits, les écrits d’un être humain, ses paroles, ou, de façon générale, ce que produit son cerveau antérieur, ne sont pas exprimés sans qu’il n’y ajoute encore quelque chose d’autre, de son cru. En particulier, les témoignages de seconde main (même pas la peine de parler ici des témoignages de troisième ou de quatrième main, ou même davantage…!) ne sont jamais des preuves sur lesquelles la postérité pourrait ou devrait se baser.
Il convient d’être conscient du fait que la compréhension correcte de toutes les Paroles qui parlent d’autre chose que de ce qui se passe dans la matière grossière – donc les réalités fin-matérielles et spirituelles – n’est possible qu »avec la collaboration sans faille du cerveau pouvant être qualifié d’intuitif – donc du cervelet -. Cependant, le cervelet, même il y a deux mille ans, à l’époque terrestre de Jésus, était déjà, chez la plupart des êtres humains de la Terre – si ce n’est tous -, fort rabougri pour cause de non-utilisation et était ainsi déjà devenu notablement atrophié, de sorte qu’il n’était plus capable de fournir une activité de réception intuitive normale.
Conserver des souvenirs inaltérés, seul le cerveau d’intuition de l’être humain en est capable, donc le cerveau postérieur (appelé ainsi du fait de sa place à l’arrière de la boîte crânienne), aussi appelé (du fait – ironie de l’histoire! – de sa petite taille!) « cervelet » (ou « petit cerveau »), mais non l’intellect produit par le cerveau antérieur (appelé ainsi du fait de sa place à l’avant de la boîte crânienne) ou « grand cerveau »!
Le cervelet – ou petit cerveau est seul capable d’enregistrer et de conserver comme tels, en images et en Intuition, tous les événements et expériences vécues, de telle façon qu’ils puissent plus tard, à tout moment, exactement re-surgir, tels qu’ils étaient réellement au moment où ils se sont produits, sans être modifiés, altérés ou atténués. Les êtres humains de l’époque de Jésus – même les Disciples! – avaient, alors, déjà, avec insouciance, laissé leur cerveau postérieur tellement s’atrophier qu’il n’était plus capable de correctement enregistrer les événements de la Vie de Jésus, ainsi que Ses Paroles!

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Pourquoi le Tombeau de Jésus était-il vide?

Pourquoi le Tombeau de Jésus était-il vide?

Pourquoi le Tombeau de Jésus était-il vide?

Marie-Madeleine, accompagnée d’autres femmes ayant reconnu Jésus comme le Fils de Dieu et Son Enseignement comme la Vérité, fut la première à découvrir que le Tombeau en pierre dans lequel Son Corps avait été placé par Joseph d’Arimathie, Nicodème et les autres, était … oui … vide!

L’explication permettant de comprendre pourquoi le corps de Jésus ne se trouvait plus dans son Tombeau initial se trouve dans le livre « Les Apôtres de Jésus »:

« Lorsque Joseph d’Arimathie arriva sur le lieu de supplice, le Seigneur avait rendu le dernier soupir. Bouleversés, Ses plus proches attendaient encore par petits groupes.
Les soldats de Ponce Pilate rétablissaient l’ordre parmi le peuple et le faisaient partir.
Puis, Joseph d’Arimathie fit descendre le corps du Seigneur {de la croix}. Ils le déposèrent sur le manteau étalé du prince et l’enveloppèrent dans des tissus blancs.
Les femmes de Béthanie s’étaient timidement approchées. Marie-Madeleine se trouvait là.
A la demande de Joseph d’Arimathie, le gouverneur Pilate autorisa le prince à inhumer le corps de Jésus dans un tombeau de roches.
La Nature était morte. Morts étaient les objets qu’un éclat pénétrait habituellement. Comme des enveloppes vides, les êtres humains se dirigèrent vers le Tombeau.
Les Disciples portèrent le Corps du Seigneur. Les autres suivirent. Ils le déposèrent dans le Tombeau, qu’ils scellèrent à l’aide d’une grande pierre. (…)

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